Aller au contenu
publicité

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'vivent'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

6 résultats trouvés

  1. Un sondage de l’ACP démontre que moins de Canadiens vivent d’une paie à l’autre. Les employés épargnent davantage, mais plusieurs sont encore loin de leurs objectifs de retraite. TORONTO (6 septembre 2012) – Ce sont de bonnes et de mauvaises nouvelles qui ressortent du sondage auprès des employés qu’a réalisé l’Association canadienne de la paie (ACP) dans le cadre de la Semaine nationale de la paie de cette année. Commençons par les bonnes nouvelles : Un moins grand nombre vit trop près du seuil Les réponses de 3 500 employés de partout au Canada ont permis de découvrir qu’un moins grand nombre vivent d’une paie à la suivante. Bien que 47 % d’entre eux maintiennent qu’ils éprouveraient des difficultés financières si leur paie était retardée d’à peine une semaine, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une nette amélioration sur les 57 % de l’an dernier qui avaient du mal à joindre les deux bouts. Les provinces ou régions qui comptent le pourcentage le plus élevé d’employés vivant d’un chèque à l’autre sont : les Maritimes (54 %), le Manitoba (53 %) et l’Ontario (52 %). C’est au Québec que le pourcentage est le plus bas (33 %). Épargner davantage Le quatrième sondage annuel de l’ACP comprend un signe encourageant puisqu’il démontre qu’un plus grand nombre d’employés trouvent qu’ils sont mieux en mesure d’accroître leur épargne. Bien que seulement 40 % employés tentaient d’épargner davantage et le faisaient l’an dernier, ce nombre a augmenté à 66 % en 2012, un saut énorme. Au Québec, les employés sont les meneurs en ce qui a trait à leur capacité d’accroître leur épargne (71 %). Réévaluer les besoins de retraite Les employés au Canada semblent également se préoccuper davantage de leurs besoins de retraite. Un plus petit nombre croit que des économies de 500 000 $ à un million de dollars suffiront pour leur assurer une retraite à l’aise (34 % cette année, 42 % l’an dernier), alors qu’un plus grand nombre croit qu’il leur faudra plutôt entre un million et trois millions de dollars (38 % cette année, 27 % l’an dernier). Et maintenant, les mauvaises nouvelles : Un taux d’épargne toujours bas Bien qu’un plus grand nombre d’employés au Canada économisent, le taux d’épargne demeure bas. Près de la moitié (46 %) affirment qu’ils réussissent à épargner à peine 5 % ou moins de leur paie. Les spécialistes de la planification financière recommandent généralement un taux d’épargne de 10 % de la paie nette. Très éloignés des objectifs de retraite Ce bas taux d’épargne se reflète dans un autre constat inquiétant. Lorsqu’on leur demande jusqu’à quel point ils se rapprochent de leur objectif de retraite, 73 % des employés disent avoir épargné moins du quart des sommes qu’ils aimeraient avoir accumulées. Une conclusion particulièrement préoccupante : même chez les employés qui se rapprochent de la retraite (50 ans et plus), 45 % mentionnent qu’ils ont amassé moins du quart de l’épargne qu’ils avaient souhaité pour leur retraite. Devoir travailler plus longtemps En ce qui concerne les employés, qui se sont fixé une date de retraite : 41 % disent qu’ils devront maintenant travailler plus longtemps – cinq ans de plus en moyenne – qu’ils ne l’avaient prévu en 2007; la principale raison qui explique cette nécessité de travailler plus longtemps est « Je n’épargne pas assez pour ma retraite »; l’âge médian de retraite est de 60 ans. L’endettement est le principal obstacle à l’épargne Deux employés sur cinq au Canada dépensent leur paie nette ou davantage. En résumé « Le sondage de cette année montre qu’un plus grand nombre d’employés au Canada sont maintenant en mesure d’épargner davantage et que moins d’entre eux vivent d’une paie à la suivante », a remarqué Caroline Bernard, présidente du conseil de l’ACP. « Toutefois, à peine 13 % ont épargné la moitié ou plus de leur objectif de fonds de retraite. » Patrick Culhane, président-directeur général de l’organisme, affirme que l’insuffisance d’épargne-retraite est particulièrement préoccupante parmi les travailleurs les plus âgés. « Plusieurs d’entre eux quitteront le marché du travail dans quelques années à peine, pourtant la plupart d’entre eux sont bien loin de leurs objectifs de retraite. » Les professionnels de la paie peuvent souvent aider les employés à épargner automatiquement en demandant qu’une partie de leur paie nette soit versée dans un compte d’épargne distinct ou dans un régime enregistré d’épargne-retraite (qui contribue à réduire l’impôt sur le revenu personnel). Consultez le site http://www.payroll.ca pour une synthèse des conclusions du sondage (sous le volet Salle de presse) ou pour toute autre information. Les porte-parole de l’ACP sont accessibles pour des entrevues. [...] http://www.payroll.ca/Content/NavigationMenu2/Salledepresse/Communiqusdepresse/Communiqué_de_presse.htm
  2. LED

    Métro du Saguenay

    Aujourd'hui sur le site de Radio-Canada, pour souligner la semaine du transport collectif, on demande aux gens ce qu'ils voient devenir le prochain métro du Saguenay: «Et si Montréal n'était pas la seule ville au Québec à posséder un métro? Pour souligner la Semaine des transports collectifs et actifs, nous nous sommes demandé à quoi pourrait ressembler le réseau du métro de la ville de Saguenay s'il voyait le jour. Selon les nombreuses personnes consultées, le métro de Saguenay pourrait ressembler à deux boucles qui se rejoignent sur le boulevard Talbot à la hauteur des centres commerciaux. Ainsi, les usagers circuleraient aisément de Jonquière à Chicoutimi et à La Baie, en passant par les alumineries, l'université, les cégeps, l'hôpital et la zone portuaire. Cette illustration est une autre façon de visiter Saguenay en insistant sur les lieux où vivent les citoyens. À vous maintenant... Dites-nous à quoi devrait ressembler votre métro. Faites-nous part de vos commentaires et vos suggestions.» Avez-vous des idées? Pour ma part, je ne vois pas ce métro comme étant sous terre mais bien hors terre. Ce serait trop couteux et inutile sous terre. http://www.radio-canada.ca/sujet/visuel/2012/09/13/004-metro-virtuel-saguenay.shtml
  3. Plus de quatre employés de Montréal sur dix vivent à l'extérieur de la métropole, a révélé Projet Montréal, jeudi. Et selon son chef Richard Bergeron, ce sont les services aux citoyens qui en souffrent. Le deuxième parti d'opposition à l'hôtel de ville a recueilli des données sur les lieux de résidence des 29 000 employés de Montréal. Résultat : près de 80% des policiers et des pompiers vivent hors de Montréal. La moitié des travailleurs des services centraux habitent en banlieue. Même chose pour 45% des cols bleus. Le recensement révèle que 12 employés vivent à St-Hyacinthe, 30 résident à St-Jérôme. Repentigny est une destination populaire: 205 travailleurs y habitent. D'autres voyagent bien davantage: des employés de Montréal viennent d'aussi loin que Saint-Paul-de-l'Île-aux-Noix, près de la frontière américaine, de Sherbrooke et même de Québec. Richard Bergeron se défend de vouloir lancer la pierre aux travailleurs. Selon lui, c'est la Ville de Montréal qui est à l'origine du phénomène parce qu'elle fournit des stationnements gratuits et des voitures de service à plusieurs travailleurs. Il estime qu'un employé municipal qui habite loin des citoyens qu'il dessert connaîtra beaucoup moins les problèmes locaux qu'un travailleur qui habite sur place. Et par conséquence, ce sont les Montréalais qui font les frais de l'exode des travailleurs. «Le résultat de cette politique de la Ville réduit, abaisse la qualité des services aux citoyens», a dénoncé Richard Bergeron lors d'une conférence de presse. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201003/18/01-4261976-40-des-employes-municipaux-vivent-en-banlieue.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  4. Gilbert Rozon a pris position: Gilbert Rozon a pris position en faveur d'un ajustements des heures d'ouverture des établissements du Nightlife montréalais. Il dit, et je cite : « (...) d'autres villes ont pris les moyens et font des villes vibrantes. Toronto a compris (...) Dans notre société moderne, les citoyens d'une ville ont envie d'être des touristes dans leur propre ville. Il ont envie de terrasses, ils ont envie d'un Nightlife. Le Nightlife à Montréal qui finit à trois heures du matin, je ne sais pas comment le dire sans choquer, mais c'est dépassé. Il faudrait qu'il y ait des lieux qui vivent jusqu'à six heures du matin. Il y a des gens qui vivent la nuit et ils ont besoin d'un endroit, sans menacer la société. C'est dépassé ça (...) » passé 18 minutes: http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_montreal/2008-2009/Entrevue.asp?idDoc=82152
  5. Le Fonds monétaire international revoit ses prévisions de croissance à la baisse et s'attend maintenant à ce que les pays développés, à l'exception du Canada, vivent en 2009 lors première récession généralisé depuis 1945. Pour en lire plus...
  6. Un député français serait en poste à Montréal Canoë Bernard Plante 25/07/2008 16h47 © Corbis Le Congrès de Versailles (députés et sénateurs élus en France) a adopté, le 21 juillet dernier, une réforme constitutionnelle qui prévoit que les Français établis à l’étranger seront désormais directement représentés par un député à l’Assemblée nationale française. Le texte et la loi ont été adoptés selon la règle du 3/5 de la majorité requise. En entrevue, le conseiller élu à l’Assemblée des Français de l’Étranger pour le Québec, les Provinces atlantiques et le Nunavut, François Lubrina, explique que c’est le principe qui vient d’être adopté et que les modalités restent à définir. Mais, vraisemblablement a-t-il dit, douze députés seront élus par leurs concitoyens qui vivent, à travers le monde, à l’extérieur du territoire français. Du nombre, deux sièges devraient être réservés pour l’Amérique. L’un pour le Canada et l’autre pour les États-Unis et le Mexique. Le découpage n’est pas arrêté. Ça pourrait aussi être un siège pour l’Est du Canada et des États-Unis et l’autre pour l’Ouest des États-Unis et le Mexique. Ces premières élections directes se tiendront en 2012. En poste à Montréal Chose pratiquement certaine, un député devrait être basé à Montréal. M Lubrina explique que les Français sont 48 500 à vivre à Montréal et dans sa région. En importance, c’est la 4e communauté de la diaspora française après Londres, Bruxelles et Genève. On dénombre aussi 9 800 Français à Québec et 850 à Moncton au Nouveau-Brunswick. Actuellement, douze sénateurs français sont élus par un collège électoral pour représenter leurs compatriotes qui vivent à l’extérieur de la France. L’élection des douze nouveaux députés se fera, elle, par suffrage direct. Des pays comme l’Italie, le Portugal et l’Algérie ont des dispositions semblables. Le député français du Canada résiderait dans la métropole et siègerait à Paris en temps de session à l’Assemblée nationale française. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2008/07/20080725-164747.html
×
×
  • Créer...