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  1. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  2. ** Note aux modérateurs: je ne souhaite en aucun cas enfreindre les règles du forum, je partage un évènement que j'organise ici ** Bonjour à tous, Je participe depuis quelques années au forum, que je lis à tous les jours avec beaucoup de plaisir! Je fais partie du comité organisateur du concours d'idées Morphopolis, et nous organisons une édition en 2017 sous le thème du transport en commun à Montréal. Le thème explore toutes les facettes des lieux du transport, de l'échelle de l'objet à la planification générale des modèles de transport à Montréal. La fin des inscription est le vendredi 17 mars @ 23h00, et les prohets doivent être remis le 22 mars. Nous demandons 1 panneau format A2 (orientation portrait, 420mm x 594mm), sous la forme d'image et de croquis. Nous souhaitons surtout dégager des idées, des tendances en aménagement, ou encore des projets audacieux pour redorer l'image du transport en commun. *Tous les détails sont sur notre site morphopolis et sur notre Facebook (Morph.o.polis Montréal).* Nous avons cette année un jury très dynamque, composé de: - François Cardinal, rédacteur en chef de La Presse - Catherine Demers, Architecte Associée, Jodoin Lamarre Pratte Architectes Inc. (chargée de projet pour les projets à l'Aéroport Montréal-Trudeau) - Josée Bérubé, architecte, Provencher_Roy, présidente du CA de l'ARTM - Jonathan Cha, architecte paysagiste, urbanologue, phD en aménagement - Valérie Mahaut, professeure titulaire à l'Université de Montréal. Nous présentons également des conférences la semaine prochaines à la Faculté de l'Aménagement (2940 chemin de la Côte-Sainte-Catherine), amphithéâtre 3110: - Mardi 14 mars @ 18h00 : Zvi Leve, Rue Publique, "Les rues comme lieux de transit" - Jeudi 16 mars @ 18h00 : Maxime Frappier, ACDF* Architecture, "Architecture et Mouvement" Je sais que certains d'entre-vous avez participé l'année dernière et que certains projets ont été relayés ici. Je me permets de faire la promotion de mon évènement avec vous parce que je sais qu'il saura vous rejoindre en tant que passionnés de Montréal. Je serais très content de voir une équipe MTLURB, ou d'autres contributions à titre personnel! Il y a 2000$ à gagner en prix, dont 1 grand prix de 1000$. Vous pouvez me contacter en message privé, ou encore nous envoyer un courriel pour toute question ou inscription. Merci, et bonne chance aux futurs participants!! Simon Tremblay Responsable du jury Morphopolis 2017
  3. Saint-Laurent, le 1er février 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le maire de Saint-Laurent et vice-président du comité exécutif, M. Alan DeSousa, ont dévoilé aujourd’hui le projet lauréat du concours d’architecture tenu à l’échelle du Québec pour la nouvelle bibliothèque de Saint Laurent. Cette annonce s’est faite en présence de la responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, et de la présidente du jury, Mme Lise Bissonnette. (...) Selon l’échéancier établi, la firme lauréate travaillera à l’élaboration des plans et devis du bâtiment tout au cours de l’année 2010. La construction s’effectuera en 2011 et en 2012. L’ouverture du nouvel édifice est prévue à la fin de 2012. http://bibliotheque.saintlaurent.ville.montreal.qc.ca/
  4. Bravo à M. Dolan! Xavier Dolan, coup de coeur du 67e Festival de Cannes Cannes — Non, il n'y a pas que la Palme au palmarès. C'est un honneur important qu'a remporté Xavier Dolan avec le Prix du jury samedi soir (heure locale) pour son cinquième long métrage Mommy, qui fut l'immense coup de cœur de ce festival. Un laurier récolté ex aequo avec Godard pour Adieu au langage, l'aîné et le cadet des cinéastes en compétition logés à la même enseigne. La présidente du jury Jane Campion a dit aux médias avoir aimé beaucoup Mommy : «film merveilleux d'un brillant jeune cinéaste. Chez lui comme chez Godard, on sentait la passion et la liberté.» La cérémonie du palmarès s'est déroulée in abstentia de Godard, bien entendu. «Ce prix ne devrait pas révolutionner sa vie», a souligné, lucide, son producteur Alain Sarde, ajoutant : «Xavier Dolan 25 ans, Jean-Luc, 83, c'est magnifique!» Au moment de recevoir son laurier au grand amphithéâtre Lumière, Xavier Dolan ému, la voix brisée, a remercié Jane Campion dont La Leçon de piano l'avait jadis ébloui. Il a encouragé sa génération à croire à ses rêves. «Je pense que tout est possible à qui rêve, ose et travaille.» L'étreinte de Jane Campion à Xavier Dolan venait du fond du cœur. Plus tard, le jeune cinéaste québécois a commenté devant nous cette association avec Godard : «Je reconnais le gouffre de temps qui nous sépare. Nos recherches respectives de liberté au cinéma se sont faites à des époques différentes. En son temps, il a tenté de réinventer le cinéma. J'aime avoir l'impression que le cinéma prend un virage et que j'y participe. Le cinéma s'exprime à travers toutes les générations. Je viens du Québec. Toute mon enfance j'ai entendu : “Redescends sur terre! Pour qui tu te prends?” Je venais d'un endroit plutôt grand où les gens rêvaient petit. Les gens de ma génération ont une plus grande propension à rêver.» Il avait fantasmé sur la Palme, que tant de voix lui prédisaient. «On avait rêvé à tout. Il faut voir grand, rêver grand. Ce Prix du jury, nous dit que ses membres ont reconnu ce film, voulu le célébrer. Cette récompense me flatte de matière incompatible avec la mesure de mes rêves. On a un prix formidable que l'on ramène avec une grande fierté.» La Palme d'or à un grand film Le Turc Nuri Bilge Ceylan, plusieurs fois primé à Cannes, était un des favoris de la Palme d'or, qu'il a remporté pour son remarquable Winter Sleep — en plus du laurier de la critique internationale (Fipresci) — œuvre pleine de maturité et de maîtrise, très dialoguée, en quête de vérité profonde, son meilleur film. Il a souligné que cette année était la centième de l'histoire du cinéma turc, pays qui récolte sa première palme. Jane Campion a jugé le film brillamment tchékhovien, sophistiqué, avouant qu'elle craignait d'abord sa durée : 3 h 15, mais en aurait ensuite bien pris deux de plus. «Il durait 4 h 30 au début du montage», avouait le cinéaste aux journalistes. Nuri Bilge Ceylan déclare s'intéresser à la part sombre de son âme, donc de la nature humaine. La jeune cinéaste italienne Alice Rohrwacher, dont le film tendre, fragile et poétique Les Merveilles avait été reçu tièdement, prend sa revanche, surclassée pour ainsi dire, en recevant le Grand Prix du jury. C'est la note incongrue d'un palmarès par ailleurs équilibré. L'Américain Bennett Miller, avec un laurier de la mise en scène pour son Foxcatcher, a de quoi soupirer de soulagement. Le tournage de l'adaptation d'un fait divers tragique, en présence de plusieurs protagonistes de l'époque, avait été éprouvant et Miller avoua qu'il n'aurait jamais pu faire le film sans ses trois grands acteurs. Le Russe Andrey Zvyagintsev a récolté le prix du scénario pour le beau, tragique et ironique Leviathan, brillamment mis en scène, une satire du régime russe, de ses abus et de ses corruptions. «Plus biblique de politique», estime pour sa part Jane Campion. Certains souhaitaient une troisième palme aux belges frères Dardenne pour Deux jours, une nuit, donnant la vedette à Marion Cotillard. Pour la première fois en six sélections, les voici repartis, bredouille. Il est vrai que leur excellent cinéma social piétine. Timbuktu d'Abderrahmanse Sissako, pressenti haut au palmarès, n'a rien reçu non plus. Les prix d'interprétation étaient mérités. Julianne Moore, folle de charisme dans l'excellent Maps to the Stars du Torontois David Cronenberg, satire féroce d'Hollywood, n'était pas à Cannes pour récolter son laurier. Timothy Spall, acteur britannique d'immense talent, récolte enfin la reconnaissance internationale .Le voici primé pour son extraordinaire performance du peintre paysagiste J.M.W. Turner (Angleterre du XIXe siècle) dans le film éblouissant de Mike Leigh Mr. Turner. Confus à l'heure de remercier le jury, empêtré dans son cellulaire et son incohérence, l'émotion, lui coupait le souffle. Le truculent et vibrant Party Girl de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis a remporté la Caméra d'or du meilleur premier long métrage, avec l'histoire vraie d'une femme de province, kitsch, entraîneuse de cabaret, allergique à la vie ordinaire. Son fils est un des cinéastes. Party Girl avait remporté la veille le prix d'ensemble d'Un certain regard. Un autre premier long métrage, Les Conbattants du Français Thomas Cailley s'est fait remarqué : trois prix à la Quinzaine des réalisateurs en plus du laurier de la FIPRESCI hors compétition. Les astres sont bien enlignés bien pour lui aussi. Mais c'est Xavier Dolan qui aura remporté lors de ces derniers jours enfiévrés, la palme du cœur. Et l'immense vitrine internationale offerte à son Mommy en multiples porte-voix des médias du monde se traduit aussi par une distribution à l'échelle planétaire. Près de 1,5 M$ de ventes, sont déjà assurées, un chiffre énorme. Entre autres marché, l'Allemagne l'a acquis samedi en prévision d'une sortie importante. Les États-Unis en négocient les droits. Avec un tel buzz et le prix du jury, le film commence à peine sa trajectoire. http://www.ledevoir.com/culture/cinema/409164/67e-festival-de-cannes-la-palme-d-or-a-nuri-bilge-ceylan-le-prix-du-jury-a-xavier-dolan
  5. Oooooh, Canada A French entry opened the Montreal international fireworks competition this year. Article Tools Sponsored By By HENRY FOUNTAIN Published: June 27, 2008 LATE last Saturday evening, La Ronde, an amusement park that’s just a stone’s throw from downtown Montreal on an island in the St. Lawrence River, seemed an unlikely venue for a world-class competition. Teenagers with the giggles and other signs of roller-coaster overexposure contemplated yet another ride on the Super Manège or Le Monstre. Younger children, slowed by too much barbe à papa (cotton candy) and poutine (that Québécois concoction of French fries, cheese curds and gravy), were willed along by weary parents. The occasional large Fred Flintstone or Scooby-Doo plush doll appeared among the midway crowd, bounty from booths like Frappez la Taupe (Whack the Mole) and Roulé-Boulé (a form of skeeball). GENERATIONS Some families haven’t missed any of the shows for years. But just a few feet away at La Ronde’s small lake, before a grandstand filled with about 5,000 people, with thousands more waiting in anticipation elsewhere in the park, along the riverbanks and on a nearby highway bridge that had been closed to traffic for the occasion, a tuxedoed master of ceremonies introduced Fabrice Chouillier, a French pyrotechnician, and his team. The 24th International des Feux Loto-Québec, the international fireworks competition that runs for two months every summer in Montreal and draws millions of viewers, was about to begin. Mr. Chouillier, whose company, Prestatech-Artifices, is the first of nine competitors this year, walked through the crowd to a control booth at the top of the grandstand, ready to start his computer-controlled extravaganza, built around the theme of space exploration and synchronized with orchestral passages from “2001: A Space Odyssey” and other works. He’d designed the 30-minute show at his office near Paris, had shipped thousands of shells and other fireworks across the Atlantic, and had been preparing them the last five days at a series of bunkers and platforms in an off-limits section of the park. Across the lake, the lights on the park’s Ferris wheel flickered off. Among the crowd, the hawkers selling beer and blinking devil’s horns grew silent. As the opening strains of “The Blue Danube” waltz filled the air, a series of pyrotechnic strobes went off on the far side of the lake. The Strauss faded out, replaced by the “10...9...8” of an Apollo-era countdown, each number embellished by a comet, a shell that leaves a glittering trail in its wake. At zero, a line of fountains started spewing fire, and a loud rumbling began. It was as if the whole lake was about to lift off. For the public, the competition is a chance to see 10 grand pyromusical displays — including a noncompeting show that closes the festivities — throughout the summer. In a city known for its festivals, the fireworks are exclamation marks that punctuate many Saturday nights, and a few Wednesday nights as well. Officials at La Ronde, which was built for the 1967 World’s Fair and is now owned by Six Flags, estimate that last year more than three million people watched the displays. A jury of 19, chosen from the public, evaluates each performance and at the end awards golden, silver and bronze trophies to the top three. There’s no prize money, but that doesn’t really matter: for Mr. Chouillier and the other pyrotechnicians, just being invited to participate in the competition, generally regarded as the industry’s most prestigious, is an honor. “It’s a sort of consecration in the life of a fireworks artist,” Mr. Chouillier said last Friday as his team, aided by La Ronde’s own crew, loaded aerial shells up to a foot in diameter into firing tubes. Or as Stephen Vitale, president of Pyrotecnico, the American entrant in the event this year, put it, “It’s like the Olympics for us.” It’s also a chance for these companies to design a show just for themselves, rather than carrying out some client’s vision. “What’s great about this competition is you have total freedom,” Mr. Chouillier said. OF the hundreds of thousands of people who see each show, only a fraction are paying customers in the park. Many are like Marcel Gareau, a construction worker who with his family had driven from the suburbs and was installed in a lawn chair on the Montreal side of the St. Lawrence a full five hours before the fireworks began. The Gareaus have hardly missed a show in a dozen years, watching over the trees and listening to the soundtrack on their car radio. They’ve seen the work of some of the best fireworks companies worldwide — from China, Australia, Italy, Portugal and elsewhere — but Mr. Gareau has a clear favorite. “The Americans,” he said. “They make the most noise.” The competitors and the jury like a good racket as much as anyone, but for them the shows are more about conveying emotion through kamuro shells, go-getters, tourbillons, Chinese cakes and other pyrotechnic effects, all intricately synchronized with the music. “You have to have a lot of emotion to think about the soundtrack and the colors and everything,” said Martyne Gagnon, who has directed the competition since 1998 and is herself a licensed pyrotechnician. “It comes from the heart.” VANTAGE POINT Fireworks displays are generally best viewed straight ahead from ground level. The recent French show, above, used a lot of surface effects. Enlarge This Image Yannick Grandmont for The New York Times WAIT UNTIL DARK Part of the pre-fireworks entertainment at La Ronde. Enlarge This Image Yannick Grandmont for The New York Times FAIR PLAY La Ronde, on Île Ste-Hélène, initially part of Expo 67. Ms. Gagnon is in charge of choosing the competitors, and she keeps tabs on possible candidates within the small community of professional fireworks companies. She almost always invites teams from Canada, the United States and Australia, a couple from among Europe’s big three — France, Italy and Spain — and usually another European team or two. She tries for one from Asia, and this year she got two, from South Korea and China. Competitors are given a fixed amount of money for materials, but some pay for extra shells and effects out of their own pockets — which may be one reason the Americans make the most noise. The jurors get a day of training in the science and art of pyrotechnics. Magalie Pilon, a doctoral student in physiology who was among those chosen for the jury from 550 applicants this year, was taking the job seriously. “This is a big party here,” she said as dance music thumped in the grandstands a few hours before the show. “But we have to concentrate because it’s important.” “But if they wanted a professional jury they would have asked for it,” she said. “As a member of the public, I know I’m good.” That confidence comes from having seen almost every display for the last six years. But she used to watch from the bridge, where her family had a special spot each week. As a jury member, she now has a prime seat for every show for herself — and for one guest. “Let’s just say that now I am very popular,” she said. “I could ask for anything. Maybe I’ll ask for somebody to wash my car.” THE grandstands offer certain advantages over the view from the bridge or the riverbanks. Many of the low effects can’t be seen from far off. And the shows are designed to look best from straight on. Mr. Chouillier used plenty of low effects, starting with the fountains that, accompanied by the rumble of a rocket engine, seemed to simulate the launching of a Saturn V. Then it was on to “Also Sprach Zarathustra,” with exploding mines and other effects piercing the sky, choreographed to the piece’s famous kettledrum passages. The “Star Trek” theme followed, with glittering showers of tiny stars looking for all the world like what Captain Kirk disintegrates into when Scotty beams him up. There were brilliant flashes, head-throbbing bangs, huge groups of flares in red and green, chrysanthemums in red, white and yellow and, during passages from “Mars, the Bringer of War” by Gustav Holst, dozens of small green flares that seemed to dance on the water like little green men. More comets crisscrossed the sky in perfect time with the music. And at 30 minutes the whole thing ended in a barrage of pale gold-and-white shells, accompanied by more music from “Star Trek.” As the smoke drifted, the final sounds were heard: the five-tone alien signal from “Close Encounters of the Third Kind.” Afterward the verdict among some of the veterans was that the show was probably not a trophy winner — that the choice of theme and music was a bit clichéd, that the effects weren’t startling enough, that the all-white finale, though elegant, lacked a certain drama. But back at a makeshift beer hall where team members and others relaxed and discussed the show, Mr. Chouillier looked happy and relieved. “My big fear was that something would go wrong, and it didn’t,” he said. And judging from the hoots and hollers in the grandstand, the show was a crowd pleaser. “It’s the best we’ve ever seen,” said Mark Jeffries, a Floridian who with his family had come to Montreal to visit his mother. “There’s some fireworks we’ve never seen before.” His 11-year-old daughter, Carlin, had no problem with the finale. “In Florida they shoot off all of them,” she said. “They kind of overwhelm you. This was different. Just nice and white.” VISITOR INFORMATION L’International des Feux Loto-Quebéc continues every Saturday through Aug. 2 and on three Wednesdays — July 23 and 30 and the closing show, on Aug. 6. The countries represented include Australia, Austria, China, Italy, Portugal and South Korea; the United States entry’s show is on July 30. Fireworks begin at 10 p.m. Grandstand tickets, which include all-day park admission, range from 44.90 to 56 Canadian dollars (about the same amount in American dollars) for people over 4-foot-6; it’s less for those under that height. After 5 p.m. tickets are about half price. La Ronde is best reached by public transportation. The Papineau Métro station, on the Orange Line, connects with the 169 bus, which goes to the park’s front gate. Alternatively, the Yellow Line stops in Parc Jean-Drapeau on the other side of the Île Ste-Hélène; it connects with the 167 bus to La Ronde, or a 15-minute walk will get you there (and you’ll pass the geodesic dome designed by Buckminster Fuller for Expo 67; it now houses an environment museum). After the show, walking to the Yellow Line is the best way off the island. Free places to watch the shows include the Jacques Cartier Bridge, which closes to traffic at 8 p.m.; the Old Port of Montreal; and around Boulevard René-Lévesque north of the bridge. http://travel.nytimes.com/2008/06/27/travel/escapes/27fireworks.html?pagewanted=2&hp
  6. le 14 octobre 2007 L’Ordre des architectes du Québec décerne un Prix d’excellence en architecture à Brière Gilbert + Associés Architectes ainsi qu’à la Coopérative d’habitation Au-Pied-du-Courant pour la réalisation de logements sous le tablier du pont Jacques-Cartier. L’Ordre des architectes du Québec procédait jeudi à la remise du trophée d’un Prix d’excellence en architecture dans la catégorie des projets résidentiels de type «ensemble d’habitations» aux architectes Brière, Gilbert + Associés ainsi qu’à la Coopérative d’habitation «Au-pied-du-courant» pour la réalisation des logements situés au 2000 rue Tansley à Montréal, sous le tablier du pont Jacques-Cartier. Membre du jury, l’architecte Isabelle La Fontaine, a justifié le choix de ce projet dans ces termes: «Malgré l’âpreté de sa situation géographique et le caractère ingrat du terrain, ce projet a su démontrer, par son architecture simple mais vivante, l’adéquation de l’expression à l’idée.» Le jury a tenu à souligner l’originalité et l’ingéniosité de ce projet tant dans sa réponse au milieu bâti environnant que par l’exploitation optimale des ressources offertes. «La cour, toute de verdure, devient le milieu de vie de ces familles réunies en coopérative. On assiste à la transition parfaite d’un lieu urbain triste et gris à un lieu collectif lumineux dans cette cour semi-ouverte créée par la morphologie du bâtiment en L. L’effort de revitalisation urbaine de cet ensemble d’habitations dans un contexte de ressources très limitées représente un intérêt indéniable. Un projet valeureux!», a déclaré le jury. Ce projet a été sélectionné parmi une centaine d’autres, toutes catégories confondues, par des experts réunis dans le cadre de la 24e édition des Prix d’excellence en architecture.
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