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  1. 14 unités d’habitation de petite dimension http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CA_Vma/CA_Vma_ODJ_LP_ORDI_2015-02-10_19h00_FR.pdf CA : 40.10 2015/02/10 Adopter une résolution autorisant la construction d’un bâtimentrésidentiel projeté sur le lot 2 162 250 du côté est de la rue Saint-André, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliersde construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble(CA-24-011) -plan d'aménagement paysager général, le tout réalisé par Blouin, Tardifarchitecture-environnement et Version paysage, architectes paysagistes
  2. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  3. Montréal perdrait le siège social d'un centre international du film jeunesse Il y a 17 heures MONTREAL - Montréal perdrait le siège social du Centre International du Film pour l'Enfance et la Jeunesse (CIFEJ) en raison de la décision d'Ottawa de mettre fin à son soutien financier. La directrice exécutive du CIFEJ, Jo-Anne Blouin, devrait en faire l'annonce officielle à Amsterdam mardi à l'occasion de l'Assemblée générale de l'organisation. Dans un communiqué diffusé lundi, Mme Blouin a indiqué trouver que l'arrêt du financement du gouvernement fédéral étaient difficile à justifier compte tenu que les sommes demandées étaient petites et que le centre contribuait au rayonnement du pays. Créé en 1955, le CIFEJ est basé à Montréal depuis 1990. Son réseau d'adhérents compte environ 150 membres dans 57 pays.
  4. un autre exemple pathétique de nos taxes à l'oeuvre au fédéral Complexe Guy-Favreau: le mail se vide 28 février 2007 - 06h14 La Presse Laurier Cloutier Le complexe Guy-Favreau vient d'entreprendre la «revitalisation de son mail commercial», dit la pancarte. Mais dans les faits, les commerces tombent comme des mouches et les locaux se vident. Le mail Guy-Favreau ne comprendra pas plus que la moitié de ses commerces habituels à la fin des travaux, selon les détaillants. Le porte-parole de Travaux publics Canada n'a pas rappelé La Presse Affaires pour commenter les travaux, qui se limiteraient à 1 million de dollars, d'ici la fin du mois prochain (mars 2007). Selon la propriétaire de Marie-Josée Leblanc Opticienne, qui a fini par s'installer au Palais des congrès, de guerre lasse, il ne restera plus que quatre commerces sur 15 au mail Guy-Favreau. Seulement six sur 17 commerces, selon Rosaire Blouin, propriétaire de la bijouterie Création de Sade, qui doit fermer le 15 mai 2007. Pourtant, en face, boulevard René-Lévesque, le mail commercial du complexe Desjardins va très bien, avec 110 commerces, dont Renaud-Bray, Aldo, Le Château et La Vie en rose, et une foire alimentaire pour 1000 personnes. Le mail Guy-Favreau, pour sa part, a fermé sa foire alimentaire, il y a trois ans, et Création de Sade a alors perdu une part importante de son chiffre d'affaires, faute d'affluence. Création de Sade est arrivée au mail Guy-Favreau il y a 21 ans, mais la veille de la Saint-Valentin, Travaux publics Canada a exigé de Rosaire Blouin qu'il vide rapidement les lieux. Les loyers des autres commerces augmentent de 50%, selon lui. «Je n'arriverais jamais à faire mes frais. Je ne vais pas me battre, c'est trop con. Je ne vais pas me casser les roubignoles avec ça. Ça me fais suer, mais je ne suis pas prêt à tuer encore», a lancé Rosaire Blouin. Par contre, Marie-Josée Leblanc a mené une bataille contre Travaux publics Canada, car elle ne pouvait pas déménager facilement sa clinique d'opticienne, avec 30 000 clients. Grâce à l'accès à l'information, elle a raconté en ses propres mots avoir découvert un bordel administratif et avoir été dégoûtée de la mauvaise utilisation des fonds publics. Ce sont des bureaux et des centres de services qui vont occuper la moitié des locaux, selon Marie-Josée Leblanc et Rosaire Blouin. Il ne va rester que Van Houtte, le dépanneur Petit Calumet et quelques commerces. «Depuis 20 ans, ça a toujours été mal géré, c'est épouvantable. Travaux publics Canada et ses mandataires n'ont rien fait. Ça fait 20 ans qu'on a un éclairage de salon mortuaire», a ajouté Rosaire Blouin. Création de Sade n'avait plus qu'un bail au mois depuis deux ans et, ainsi, Rosaire Blouin ne pouvait même pas vendre son commerce, a-t-il dit. Pendant 18 mois, Marie-Josée Leblanc a dû payer deux loyers dans la phase de transition de sa clinique, vers le Palais des congrès. «La planification au mail Guy-Favreau n'était jamais terminée» et l'opticienne ne savait plus sur quel pied danser, pour sa clientèle. Avec les hausses de loyer annoncées, sa clinique n'aurait pas pu survivre, selon elle. C'est ainsi que son voisin du Relais Gourmand a dû fermer, après 23 ans, et a perdu son commerce de 800 000 $, selon elle.
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