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5 résultats trouvés

  1. Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
  2. Read more: http://www.montrealgazette.com/Empress+Theatre+will+house+movie+theatre+commercial+offices/7199253/story.html#ixzz25hrcSoJI Nice to see that this landmark will be saved. I will for sure go check it out, when it is all renovated.
  3. Des proprios de «plex» sont inquiets Publié le 12 octobre 2010 à 08h06 | Mis à jour à 08h06 Les propriétaires de «plex» montréalais sont inquiets de la hausse de l'évaluation foncière Maxime Bergeron La Presse La hausse salée de l'évaluation foncière inquiète plusieurs propriétaires d'immeubles à logement montréalais, dont certains ont vu la valeur de leur «plex» grimper de près de 80% au rôle 2011 dévoilé le mois dernier. Daniel Dagenais, qui possède un quadruplex à Montréal-Ouest, a ainsi vu son évaluation passer de 280 000$ en 2007 à 500 000$ au nouveau rôle. Un bond «inadmissible» de 78%, qui fera reculer la valeur marchande de sa propriété en plus de pénaliser ses locataires, a-t-il dénoncé à La Presse Affaires. «Je ne serais pas surpris de me faire assommer avec une hausse de 50% de mon compte de taxe», a avancé M. Dagenais. L'impact exact des nouvelles évaluations municipales sur l'impôt foncier sera connu le mois prochain, quand la ville centre fera connaître son budget 2011. La municipalité devrait abaisser graduellement son taux d'imposition pour amoindrir le choc financier dans le portefeuille des contribuables. Or, les propriétaires dont la résidence a pris plus de valeur au rôle que la moyenne - qui s'élève à 27% pour les «plex» dans l'île de Montréal - peuvent d'emblée s'attendre à subir des hausses plus marquées de leur impôt foncier. Une question cruciale pour les proprios d'immeubles à logements. D'une part, la valeur marchande de leur propriété dépend de ses revenus et dépenses, notamment l'impôt foncier. Une hausse trop brutale risque d'affecter les ratios utilisés pour calculer la rentabilité du «bloc», plombant du coup son prix à la revente. Par exemple, Daniel Dagenais estime à 50 000$ la dévaluation subie par son quadruplex. D'autre part, une augmentation prononcée de l'impôt foncier touchera aussi les locataires. Car en vertu de la loi québécoise, les propriétaires peuvent leur refiler l'intégralité des hausses. «Pour les ménages à faible revenu, ça veut dire un appauvrissement garanti», a déploré Jean-Claude Laporte, porte-parole du FRAPRU, un organisme de défense du droit des locataires. La Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) est consciente du problème. «La question, c'est toujours: comment refiler cette hausse-là à ses locataires sans les perdre, et sans non plus perdre sa marge de manoeuvre pour augmenter le loyer en fonction des autres dépenses», a dit son porte-parole Hans Brouillette. La CORPIQ incite malgré tout les proprios à refiler les hausses de l'impôt foncier à leurs locataires. «N'absorbez pas des montants que vous ne pourrez récupérer par la suite, a fait valoir M. Brouillette. Autrement dit, quand les augmentations (de l'impôt foncier) sont passées, il est trop tard ensuite pour augmenter le loyer en fonction de ce qui a été la hausse d'il y a deux ans. Ce qui n'est pas demandé maintenant ne pourra l'être dans le futur.» La CORPIQ tiendra dans les prochains jours des séances d'information avec un économiste pour présenter les scénarios de hausse d'impôt foncier aux propriétaires. Une rencontre aura lieu demain à Longueuil, et une autre lundi prochain à Montréal. Le FRAPRU s'attend pour sa part à recevoir de nombreuses plaintes de locataires. «C'est certain qu'on s'attend à des problèmes, comme à chaque fois», a dit Jean-Claude Laporte. Contestations Les propriétaires qui jugent leur nouvelle évaluation foncière exagérée ont jusqu'au 30 avril prochain pour demander une révision à la Ville de Montréal. Cela vaut aussi pour les résidants des municipalités défusionnées. Au dernier rôle de 2007, quelque 1,2% des dossiers d'impôt foncier ont été contestés, ce qui représentait 5320 immeubles. Près de 60% des proprios résidentiels qui ont demandé un abaissement de leur évaluation municipale l'ont obtenue, selon les données fournies à La Presse Affaires par la Ville. À ce jour, la municipalité a reçu environ 60 avis de contestation pour le nouveau rôle 2011, a indiqué la porte-parole Patricia Lowe. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201010/12/01-4331596-des-proprios-de-plex-sont-inquiets.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS16 Exode en vue? ou bien gentrification... une ou l'autre, les joueux de tambours ne seront pas contents. Remerciez les taxes...
  4. Le Journal de Montréal 31/07/2007 Il y a eu tellement de plaintes du secteur industriel contre le nouveau rôle d'évaluation de la Ville de Montréal que ses 70 évaluateurs ont obtenu un délai de six mois pour les traiter toutes. Ce sont les demandes de révision d'immeubles non résidentiels de 5 millions de dollars et plus qui ont déréglé la machine administrative. La Ville a enregistré plus de 308 plaintes majeures concernant de tels immeubles mais tout indique que les évaluateurs ne pourront pas respecter la loi et livrer des réponses détaillées à tous avant le 1er septembre. Les dirigeants de Montréal ont donc autorisé le report de l'échéance au 1er février 2008. Les deux arrondissements où le nouveau rôle a fait le plus mal sont Ville-Marie, où le nombre de plaintes atteint 552, pour une valeur totale de 3,3 milliards, et Saint-Laurent, où le rôle a été dénoncé 168 fois pour une valeur de 790,4 M$. Au total, 5320 plaintes ont été déposées contre le nouveau rôle d'évaluation. Les deux rôles précédents, soit ceux de 2001 et 2004, avaient valu à la Ville 5068 et 4084 plaintes respectivement. La valeur des immeubles visés par les demandes de révision totalise 12 milliards sur un rôle de 188 milliards pour toute l'île de Montréal. Secteur résidentiel Toutes les demandes de révision dans le secteur résidentiel, 3632, auront obtenu une réponse détaillée pour le mois de septembre, mais il en sera autrement pour les 1688 plaintes des secteurs commercial et industriel. Le processus de révision comporte une première phase de conciliation au cours de laquelle les parties peuvent en venir à une entente, si la plainte n'est pas rejetée. Mais en cas d'insatisfaction, un appel est toujours possible devant le Tribunal administratif du Québec. Le Centre Bell, qui conteste son évaluation foncière de 150 M$ au rôle de 2004-2006, a vu sa nouvelle évaluation grimper à 225 M$ pour les quatre prochaines années. Les avocats du propriétaire George Gillett et ceux de la Ville de Montréal se sont rencontrés à plusieurs reprises dans le passé pour tenter de régler le différend à l'amiable, avec l'accord du Tribunal administratif du Québec (TAQ), mais les deux parties ne s'entendent toujours pas. La cause sera entendue l'automne prochain par le TAQ.
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