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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


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Sommet international du jeu de Montréal

Les jeux sociaux et sur mobiles ont la cote

Agence QMI

Alexis Le Marec

01/11/2011 21h27

 

MONTRÉAL - Réservé aux professionnels du jeu vidéo, le Sommet international du jeu de Montréal a atteint son rythme de croisière avec plus de 1500 participants venus du monde entier. Si les jeux sur consoles et PC restent les plus cotés niveau prestige, les jeux sociaux et sur téléphones mobiles sont aussi là pour rester.

 

Il faut dire que les superproductions sur consoles comme Assassin’s Creed ont des budgets compris entre 25 et 120 millions $. Leur rentabilité se fait en vendant plusieurs millions de copies.

 

Mais avec l’arrivée de nouvelles consoles infiniment plus puissantes d’ici un an ou deux, les budgets vont grimper en flèche. « Il va y avoir une explosion des coûts. De notre côté, il va falloir les stabiliser, a indiqué David Anfossi, producteur de Deus Ex chez Eidos Montréal. La solution serait peut-être d’optimiser les coûts de production, et même, à l’image de l’industrie automobile, de développer et partager des technologies entre différentes compagnies. »

 

Jusqu’à 50 000 $ de bénéfices par jour

Depuis l’explosion des téléphones intelligents, c’est désormais toute une partie de l’industrie qui se rue vers ce nouvel eldorado. Mais difficile de percer parmi des milliers de jeux offerts. Pour cela, chacun a sa méthode. Certains, comme le nouveau venu Budge Studio, ont parié sur des licences fortes comme Dora, mais non sans négliger le contenu.

 

D’autres comme Gamerizon, qui a déjà vendu plus de 15 millions de jeux sur iPhone, ont aussi leur stratégie. « Il faut proposer un design de jeu qui se distingue, a dit Kael Lazla, producteur chez Gamerizon. Une personne va essayer un nouveau jeu en moyenne pendant trois minutes.

 

Il faut donc également un jeu très amusant et qui offre le maximum de plaisir sur une courte durée. »

 

Les coûts de développement sont bien plus bas sur cellulaire. Si les petits jeux coûtent quelques milliers de dollars à développer, le budget d’Angry Birds a été de plus de 100 000 $. Du côté de Gameloft et de ses superproductions vendues 5 $, un jeu pourra coûter jusqu’à un million de dollars en développement. Mais en restant dans le top 10 des vendeurs sur iPhone, le pactole est assuré et peut rapporter jusqu’à 50 000 $ par jour.

 

La folie Facebook

En 2009, Facebook, c’était 200 millions d’utilisateurs, dont 15 % qui jouaient. Désormais, c’est plus de 800 millions d’utilisateurs et 80 millions de joueurs, dont 22 millions viennent jouer tous les jours. Pas étonnant que Facebook attire désormais toutes les convoitises.

 

« De 1 à 3 % des joueurs dépensent entre 20 et 30 $ par mois. Quelque 2 % de 80 millions de personnes qui donnent 20 $ par mois, c’est énorme. Il faut être dans les jeux sociaux. De plus, même si les joueurs ne dépensent pas, on peut avec ce volume aller chercher de la pub », a expliqué Luc Richard, directeur chez Ubisoft.

 

Et pour réussir à percer dans les jeux sociaux comme sur les cellulaires, Ubisoft comme les autres compagnies comptent également sur le « viral » et le bouche à oreille. Si le jeu est excellent et permet de créer une communauté, il n’y a même pas besoin d’aller chercher les joueurs avec de la publicité.

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Montréal

Ludia : 100 nouveaux emplois en 2012

Canoe.ca

01/11/2011 16h01

 

La compagnie de divertissement interactif Ludia, située dans le Vieux-Montréal, a annoncé la création de 100 nouveaux emplois d’ici la fin de l’année 2012.

 

Ludia est connue pour le lancement des jeux The Price is Right, Où est Charlie? et Family Freud.

 

«L'expertise que Ludia a développée ces dernières années sur les réseaux sociaux et plateformes mobiles nous amène à un positionnement unique qui bénéficiera pleinement des secteurs du jeu vidéo connaissant la plus forte croissance», a déclaré Alex Thabet, Président de Ludia INC.

 

20 nouveaux jeux adaptables sur réseaux sociaux, plateformes mobiles et consoles, devraient être lancés par la compagnie en 2012.

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C'est probablement l'une de nos industries qui a le plus le vent dans les voiles, en plus de nous donner une visibilité internationale. Quant à moi, c'est totalement rentable à plusieurs niveaux.

 

Exact ! Je n'ai malheureusement pas beaucoup de temps pour jouer (je suis du genre à m'acheter un jeu et il passe 6 mois dans son emballage, chez moi, avant que je n'aie le temps de l'ouvrir) mais ça rend effectivement fier de lire le générique du jeux et d'y voir des noms comme Nicolas Parent, Geneviève Boucher, Xavier Côté, etc.

 

Il y a 5 ou 10 ans, tout ce qu'on lisait, c'était plutôt Xinshin Yakutaba, Luoxiang Dao ou encore Ken Burgman, Larry Davis, etc.

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Warner Brothers veut revitaliser le Quartier des spectacles

 

Le célèbre studio de cinéma Warner Brothers a bien l'intention de contribuer à la revitalisation du square Berri, à l'extrémité est du Quartier des spectacles au centre-ville de Montréal.

 

Warner Brothers a inauguré officiellement lundi soir son studio de jeu vidéo de 66 000 pieds carrés, place Dupuis, à côté du square Berri, officiellement la place Émilie-Gamelin. Mais l'entreprise américaine ne veut pas seulement concevoir des jeux vidéo à l'extrémité est du Quartier des spectacles. Elle souhaite présenter des films en plein air au square Berri, enrichir la collection de films de la Grande Bibliothèque, y organiser des expositions thématiques sur ses héros et contribuer à l'essor du quartier.

«Nous voulons que la place Émilie-Gamelin ressemble un peu moins à Gotham City [la ville de Batman] et un peu plus à Metropolis [la ville de Superman, réputée comme l'une des plus belles du monde]», dit Martin Carrier, directeur du studio de jeu vidéo montréalais de Warner Brothers, faisant référence aux deux héros de l'empire Warner. «Il y a parfois une population moins intéressante ou attirante qui fréquente la place Émilie-Gamelin, mais c'est en train de changer, dit-il. Nos projets sont encore au stade embryonnaire, mais nous voulons nous impliquer avec les intervenants locaux. Avec l'accès au métro et un grand parc, c'est un quartier qui a beaucoup de potentiel.»

 

«Le Quartier des spectacles est un endroit qui ne demande qu'à être développé et nous arrivons avec 300 jeunes bien rémunérés qui ont un certain style de vie dans un environnement où ça bouge», dit Martin Tremblay, président de Warner Brothers Interactive Entertainment, la division de jeu vidéo du géant américain du divertissement.

 

La Grande Bibliothèque accueille favorablement les propositions de Warner Brothers. «Nous sommes heureux de la volonté de Warner, nous la partageons et plusieurs pistes de projets sont en discussion», a indiqué Claire-Hélène Lengellé, porte-parole de la Grande Bibliothèque, par courriel.

 

Si le pari de Warner Brothers fonctionne dans le Quartier des spectacles, ce ne serait pas la première fois que l'industrie du jeu vidéo modifierait de façon importante le tissu social d'un quartier montréalais: l'arrivée d'Ubisoft en 1997 a fortement contribué à l'embourgeoisement du Mile End. Avec 150 employés actuellement et 300 employés en 2015, Warner Brothers a toutefois des ambitions plus modestes qu'Ubisoft, qui compte 2100 employés dans son studio du Mile End, le plus important studio de l'industrie du jeu vidéo en Amérique du Nord.

 

En plus du crédit d'impôt québécois de 37,5% sur la masse salariale offert à tous les studios de jeu vidéo, Warner Brothers a reçu une subvention directe de 7,5 millions de dollars du gouvernement du Québec pour installer son studio de 300 employés à Montréal. Ouvert depuis mai dernier, le studio compte actuellement 150 employés et atteindra sa maturité (300 employés) en 2015.

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Plus facile à Toronto pour Ubisoft

Jean-François Cloutier

 

Alors qu’il ne pourra pas atteindre son objectif de 3000 employés à Montréal en 2013, le géant français du jeu vidéo Ubisoft a admis qu’il était plus facile pour lui de recruter à Toronto qu’à Montréal.

 

 

Yves Guillemot, fondateur d'Ubisoft. Montréal, le 02 novembre 2011. Photo : Agence QMI

 

C’est la confession qu’a faite à Argent le grand patron d’Ubisoft, Yves Guillemot, de passage à Montréal dans le cadre du Sommet international du jeu. «Le bassin de main-d’œuvre est plus large là-bas et il est possible d’attirer des talents d’un horizon plus vaste», a-t-il reconnu.

 

Ubisoft a ouvert en 2009 un studio à Toronto et elle y emploie déjà 190 personnes. L’entreprise prévoit l’embauche de 800 personnes sur dix dans la Ville Reine. Le gouvernement ontarien a accordé une aide de 263 M$ au groupe français pour réaliser ses ambitions.

 

M. Guillemot a souligné que Montréal apparaissait davantage en périphérie de l’Amérique du Nord. Il a déploré le fait que des développeurs repartaient quatre ou cinq ans plus tard sans s’établir de façon durable dans la métropole.

 

«Il faudrait leur demander pourquoi ils s’en vont. Quand des Français viennent ici, ils ne veulent plus repartir», a-t-il dit.

 

M. Guillemot a par ailleurs indiqué qu’il tablait sur l’échec de certains studios qui ont ouvert récemment à Montréal pour régler la pénurie de main-d’œuvre qui sévit dans l’industrie.

 

«Parfois, on voit ces studios annoncer leur arrivée en grandes pompes, mais il faudra voir la suite des choses, s’ils connaissent vraiment du succès», a-t-il dit.

 

Rappelons que Warner Bros. a inauguré cette semaine son nouveau studio de la Place Dupuis, près de Berri-UQAM. À terme, quelque 300 personnes devraient y travailler. Martin Tremblay, le président de Warner Bros. Interactive Entertainment, est un ancien d’Ubisoft.

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/11/20111102-160039.html

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et d'un autre coté....!

 

Warner Games n’a aucun problème à embaucher à Montréal

2 novembre 2011 | 16h52

 

L’écosystème économique du jeu vidéo à Montréal est en plein essor, selon Martin Tremblay, président de Warner Bros. Interactive Entertainement. Et jamais Warner n’a eu de difficulté à embaucher.

 

« L’offre de formation est énorme : Polytechnique, CEGEP du Vieux-Montréal, CEGEP de Matane, le Centre NAD, et j’en oublie… Des jeunes à embaucher à Montréal, il y en a beaucoup! », a indiqué M. Tremblay.

 

« Ça dépend qui tu recrutes. Les gens qui ont 10-15-20 ans d’expérience, c’est plus difficile à enrôler. C’est un métier qui est jeune », a-t-il ajouté.

 

Ces propos contrastent avec ceux du patron d’Ubisoft, Yves Guillemot, selon lequel le grand nombre d’entreprises spécialisées dans le jeu vidéo à Montréal contribue à raréfier la main-d’œuvre.

 

Selon M. Guillemot, Ubisoft ne pourra pas atteindre son objectif d’avoir 3000 employés à Montréal. Cet objectif avait été annoncé en 2007 lors d’une conférence de presse organisée avec le premier ministre Jean Charest.

 

M. Tremblay, lui, ne comprend pas. « Je n’ai aucune idée pour quelle raison Ubisoft est incapable d’embaucher. [Warner] n’a eu aucun obstacle à sa croissance. Ç’a été plus rapide que prévu. Les jeunes qui sortent des écoles sont prêts à travailler immédiatement. »

 

M. Tremblay était l’invité d’honneur de la Chambre de Commerce du Montréal métropolitain, mercredi midi.

 

Warner Bros. a ouvert son studio de développement de jeux vidéo lundi, à Montréal. Plusieurs géants du jeu sont également présents dans la métropole, dont Electronic Arts, Behaviour et Gameloft.

 

Subventions gouvernementales

 

Investissement Québec détient 4,5 % des actions d’Ubisoft, un investissement qui avait coûté 40 millions $ en 2010.

 

De son côté, Warner a obtenu un coup de pouce d’Investissement Québec à hauteur de 7,5 millions $.

 

Bien que les subventions du gouvernement aient pesé dans la balance, M. Tremblay affirme que ce n’est pas la seule raison pour laquelle Warner ouvre « le premier studio Warner créé de toutes pièces » à Montréal.

 

« L’aspect gouvernemental est important, mais ces incitatifs sont plus ou moins les mêmes partout. » M. Tremblay préfère souligner ce qui fait de Montréal un endroit unique pour la création de jeux vidéo. « La première raison, c’est le talent. Le bassin de personnes qui y travaillent, la communauté multiculturelle, le bilinguisme… »

 

Finalement, « le Hollywood du jeu vidéo, c'est Montréal », a-t-il conclu.

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/11/20111102-165249.html

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Faut dire que j'ai entendu au travers des branches que Ubisoft avait très mauvaise réputation dans le monde du jeux vidéo à Montréal et que même des anciens employés Ubisoft travaillant pour d'autre studios utilisait leur contact pour "vider ubisoft"

 

 

pas étonnant qu'ils ont de la misère à recruter.

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C'est le genre de phenomene qui peut arriver facilement pour le premier joueur majeur d'une industrie a s'installer dans une ville, bcp de monde sont embauché la au début, et quand d'autres arrivent, ils débauchent chez la concurence établie

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  • 4 semaines plus tard...

http://www.montrealgazette.com/life/Entertainment+coming+Montreal/5779869/story.html

 

By Jason Magder, THE GAZETTE November 28, 2011 7:06 PM

 

MONTREAL - The boom continues in Montreal’s video gaming sector, as Vancouver-based 7G Entertainment announced it’s setting up a web hosting and online video game publishing service in Montreal.

 

The company, which is run by Montreal native Anthony Brown, will hire between 150 and 180 employees over the next two years. The Fonds de Solidarité FTQ has kicked in an $8-million investment in the company, for which it will gain a minority stake. The value of 7G Entertainment’s investment was not disclosed.

 

There are actually two new companies being formed in Montreal. The larger one, Infinite Game Publishing, will focus on everything needed to sell, advertise, and run games online. Seven Group Games Services will be more of a hosting and management service for online games.

 

An online game publisher works with the developer of a web-based game to do the marketing, hosting, and running of the game’s website, and the payment gateway.

 

Anthony Brown, the chief executive officer of parent company 7G Entertainment, said his company is Canada’s first online game publisher. The new Montreal venture will focus on high-quality AAA games. It has already secured three contracts – the first of which is the online portion of the game MechWarrior V, which is being developed by Vancouver’s Piranha Games.

 

Brown said while there have been casual games available online for several years, there is only a recent trend toward having an online version of higher quality games. He said he expects this trend to grow and be a continual source of business for his company.

 

“An online game is something that is never finished,” he said. “It’s something that’s continually updated and refreshed.”

 

Brown added that many gaming studios are outsourcing this work because it involves a lot of manpower, but those that are doing the work in house can also get services from Seven Group Games Services.

 

Brown will be the CEO of both Montreal ventures, which will have their offices based in the downtown area. He will move to Montreal to run the operations. The company will retain a presence in Vancouver with its hosting service company called Seven Group Data Management.

 

“Montreal has one of the largest gaming industries in the world,” Brown said. “To land in an economic environment that’s as strong as it is, and to be in a position where we’re by ourselves as a publisher and a service provider just makes a lot of sense.”

 

Patrick McQuilken, a spokesperson for the Fonds de Solidarité FTQ, said the investment made sense because the company will offer services that many of the local companies can take advantage of.

 

“This strengthens Montreal’s place in the gaming world,” McQuilken said.

 

He added that while the announcement means new hires in the gaming sector, 7G Entertainment will not be competing for talent with the gaming studios.

 

Top talent is a premium in Montreal’s gaming sector; Monday’s announcement brings the total number of new hires announced for the gaming industry to about 1,500 in the next five years.

 

jmagder@montrealgazette.com

 

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/life/Entertainment+coming+Montreal/5779869/story.html#ixzz1f3p7oOtj

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  • 1 mois plus tard...

Montréal, Mecque du jeu vidéo.

 

Un des jeux vidéo les plus rentables jamais produits, la série Assassin's Creed, a été créé ici même, à Montréal, par un concepteur qui est devenu une vedette mondiale de cette industrie, Patrice Désilets. Solveilg nous explique que Montréal est vraiment un des centres de production de jeux vidéo les plus importants de la planète.

 

 

 

http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=195055&autoPlay

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