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Le Quartier des spectacles


mtlurb

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Es tu sûr? Sur la photo on voit bien les gens sur le troittoir regarder l'écran géant!

 

Je pense qu'il parlait des écrans du 2-22 rue ste-Catherine, ceux dans la photo sont bel et bien à l'extèrieur.

 

Cela aurait été magnifique si ils remplaçaient les murs latéraux du 2-22 rue ste-Catherine par des murs interractifs comme ceux-ci... sauf que cela serait couteux...

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Merci pour le lien Fred, mais ce vidéo est insupportable à cause du ton sirupeux de la narratrice qui semble s'adresser à des débiles ou à des enfants de cinq ans.

 

La narratrice est Dorothée Berryman.

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État des lieux du Quartier des spectacles

 

 

Publié le 09 juin 2009 à 07h10 | Mis à jour à 07h11

Daphné Cameron

La Presse

 

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Photo: Robert Mailloux, La Presse

 

Trois semaines avant le spectacle d'ouverture du Festival de jazz, le quadrilatère de la Place des Arts a encore les allures d'un immense chantier de construction. Le temps file, mais les classiques de jazz remplaceront bientôt le ballet des pelles mécaniques et les concerts de marteaux-piqueurs, assurent les organisateurs. Les travaux pour achever les différentes phases du Quartier des spectacles ont toutefois engendré un véritable jeu de chaises musicales. La majorité des scènes extérieures ont été déplacées. Amateurs de jazz, préparez-vous à une véritable métamorphose.

 

 

Place du Quartier des spectacles

 

La place du Quartier des spectacles, également appelée place des Festivals, représente le coeur du projet du Quartier des spectacles. Depuis plusieurs semaines, les ouvriers ont mis les bouchées doubles afin de terminer la place à temps pour la performance de Stevie Wonder, le 30 juin.

 

À compter de cette année, la scène GM, qui accueille les grands spectacles extérieurs, migre de la rue Sainte-Catherine à la place du Quartier des spectacles. Elle sera orientée vers le nord et sera visible jusqu'à la rue Sherbrooke. Par ailleurs, la scène située angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance sera remplacée par une installation de plus petite taille.

 

Hier après-midi, le chantier de la place des Festivals bourdonnait d'activités. Soudeurs et ouvriers s'affairaient à assembler la structure des «vitrines habitées» qui abriteront bars et restos à l'ombre de la Place des Arts. Quelques mètres plus loin, une dizaine d'ouvriers exécutaient les derniers travaux d'une fontaine de 250 jets d'eau qui sera inaugurée à l'automne après les festivals. Quatre mégastructures d'éclairage inachevées trônaient aussi au-dessus du site.

 

Malgré la poussière et les trottoirs barrés, le chargé de projet à la Ville de Montréal assure que la majorité des travaux seront terminés avant l'arrivée des techniciens du Festival de jazz, dans une semaine.

 

«Nous avons effectué les travaux dans un temps record, c'est un exploit, raconte Martin Maillet. Nous sommes parvenus à maintenir notre calendrier et même à rattraper le temps perdu grâce aux températures clémentes ce printemps.»

 

 

Maison du Festival et la salle de spectacles L'Astral

 

La même frénésie était palpable au chantier de la Maison du Festival, qui abritera la salle de spectacles L'Astral.

 

«On travaille les soirs, le midi et les fins de semaine pour que tout soit terminé à temps», a confié un ouvrier occupé à scier du bois devant l'ancien édifice Blumenthal, angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. «Je dirais que ça commence tranquillement à ressembler à une salle de spectacle», a ajouté son confrère.

 

Hier, le grand manitou du Festival de jazz, Alain Simard, était loin de s'inquiéter de l'état du chantier. «Si vous aviez vu le Spectrum à la veille de l'ouverture il y a 25 ans, on était encore en train de peinturer. Le jour de son inauguration, ça sentait encore la colle!»

 

Il promet que la salle de spectacles ouvrira ses portes le 29 juin comme prévu. «Nous sommes en retard d'environ une semaine sur la date de livraison, dit-il, mais c'était prévu. C'est une question de finition maintenant. Je ne suis pas stressé du tout, j'ai très hâte.» L'Astral aura 350 sièges et pourra contenir 600 personnes debout.

 

 

L'Adresse symphonique

 

La construction de la nouvelle salle de concert de l'OSM qui sera achevée pour la saison 2011-2012 de l'Orchestre aura aussi d'importantes répercussions sur le Festival de jazz.

 

Les jeux pour enfants et les kiosques alimentaires, situés dans la partie est de l'esplanade de la Place des Arts, ont dû être déplacés en grande partie dans la rue Sainte-Catherine, près de la rue Saint-Urbain. Certains kiosques seront également déplacés entre la place du Quartier des spectacles et la Place des Arts. La scène Radio-Canada se retrouve quant à elle à l'angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. Par ailleurs, un accident survenu sur le chantier de l'Adresse symphonique pourrait également ralentir les travaux. Il y a une semaine, le plafond d'un ancien stationnement de la Place des Arts a cédé sous le poids d'une grue. Elle est toujours coincée dans les décombres.

 

 

Place de l'Adresse symphonique et promenade des Festivals

 

Les chantiers pour construire la place de l'Adresse symphonique et la promenade des Festivals ont été lancés il y a peu de temps. Les rénovations risquent de donner des maux de tête aux automobilistes cet été, mais les amateurs de musique seront épargnés assure Martin Maillet. «Le bruit ne sera pas un problème durant les festivals car tout va être fait le matin ou en début d'après-midi.» Les spectacles de blues, autrefois présentés là, seront présentés dans la partie nord du site, à cheval sur le terre-plein de l'avenue du Président-Kennedy.

 

autres photos: http://photos.cyberpresse.ca/48-6502#enVedette/0/recherche/Rechercher%20un%20album/0/onglets/48/0/album/6502/162068/

 

http://www.cyberpresse.ca/arts/200906/09/01-873840-etat-des-lieux-du-quartier-des-spectacles.php

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  • 2 mois plus tard...

Delays in Quartier could hurt Tremblay

The mayor has been using the project as a symbol that the city is on the move

By HENRY AUBIN, The GazetteAugust 8, 2009

 

Poor Gérald Tremblay. The mayor desperately wants to show that the years of immobilisme are past. That a vote for him in the Nov. 1 election is a vote for energy. That progress over the next few months on the Quartier des spectacles is solid proof that he can deliver.

 

The Quartier - the future heart of Montreal's entertainment scene - is the centrepiece of this new I-can-get-Montreal-moving-after-all campaign theme. In June, Tremblay inaugurated the Quartier's first (and easiest to build) component, a paved expanse for open-air performances, he showed impatience with critics who, he suggested, delay development plans. "We're not going to procrastinate anymore."

 

Oops. The second (and far more ambitious) component of the Quartier is the redevelopment of the west side of St. Laurent Blvd. between René Lévesque Blvd. and Ste. Catherine St. And this week the plan received withering criticism - not from some whining citizens but from a respectable municipal agency.

 

This advisory agency, the Office de la consultation publique de Montréal, has in effect put Tremblay on the spot. If the mayor accepts its recommendations to modify the plan, he himself will be the author of a new delay. But if he rejects the recommendations, as he is free to do, and goes full steam ahead with the project, his political rivals can accuse him of ramming through a faulty project.

 

The changes that the OCPM seeks are important. The component in question, the "Quadrilatère Saint-Laurent," is a 12-storey office building in which Hydro-Québec would be the main tenant. The OCPM does not oppose the curious presence of a business tower inside downtown's new culture district, but it recommends a smaller size. It fears the high-rise would dominate the Quartier in the way that another office tower notoriously overshadows Place d'Armes.

 

The agency also recommends that the project retain more than just the façades of the old buildings along St. Laurent Blvd.

 

(The OCPM, incidentally, is not a crunchy-granola outfit. Its 28 rotating part-time commissioners are mostly retired academics and businesspeople seldom known for social activism. The three commissioners who made the recommendations on the Quartier after holding public hearings include Luc Lacharité, the former chief executive at the Board of Trade - as pro-development an organization as there is. City council must approve commissioners' appointments, and so far it has done so unanimously every time.)

 

Tremblay might have better luck with another OCPM report due next week. It will focus on a third component - the "2-22," a six-storey structure on the southeast corner of Ste. Catherine and St. Laurent where show-goers would be able to buy tickets and cultural groups can find office space. A source says the report will be "mostly favourable." (Never mind that many people find the design peculiarly cold and soulless for a cultural centre.)

 

But the main problem with the Quartier goes deeper than architecture. That problem is something the OCPM does mention: the fact that Tremblay has outsourced the planning of the Quartier to a private development company.

 

This reflects a trend. Tremblay has downgraded the role of civil servants and elected officials in mega-projects to an unprecedented extent. He has put a developer, Devimco, in charge of urban planning in an even bigger area, Griffintown. He has also let a company, BPR, plan the renewal of the city's waterworks and help to find a consortium to carry out the largest contract in city hall's history. All such work once belonged to civil servants free of monetary interests.

 

If you wonder why an electricity utility, of all things, is now to have a large physical presence inside the entertainment zone, it's because city hall has put a private developer in charge of much of the Quartier project. And this company, the Société de développement Angus, albeit non-profit, needs Hydro-Québec's fat corporate rent to pay for the Quartier's costs.

 

The mayor's yen for outsourcing is not only sapping the power of the civil service. It also means delays. An overstretched Devimco has put most of its $1.2-billion Griffintown project on ice. Work on the water contract, mired in sleaze, is suspended pending the results of an auditor's probe. And now, a month before the start of the election campaign, part of the showpiece Quartier could stall.

 

All this leaves the mayor without an excuse. He can't even make scruffy citizens' groups the scapegoat. His own zeal for outsourcing explains much of the procrastination that he bemoans.

 

Poor Gérald Tremblay.

 

haubin@thegazette.canwest.com

© Copyright © The Montreal Gazette

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