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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

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Le 2024-01-27 à 15:13, Brick a dit :

Le plus grand danger est justement le communautarisme; regardez ce qui se passe en Europe...

Ca dépend des pays il y a plus de 900 000 marocains en espagne et ils n'ont pas les même probleme qu'en Belgique par exemple.

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TC Transcontinental to close St-Hyacinthe, Que., printing plant

TC Transcontinental to close St-Hyacinthe plant

MONTREAL - TC Transcontinental says it's closing its printing plant in St-Hyacinthe, Que.

The Montreal-based company says it will gradually reduce operations at the plant, with a complete closure scheduled in April.

The plant's activities will be gradually transferred to the company's other plants, mainly the one in Montreal's Anjou borough.

Senior vice-president Pierre Deslongchamps says the move came as a result of the company replacing the Publisac flyer service with the "raddar" folded flyer.

When TC Transcontinental announced the change in November, it said the new product reduces the volume of paper used.

The company says it's sorry for the impact the closure of the plant will have on 190 employees, and will offer the workers career transition support while pursuing relocation opportunities.

This report by The Canadian Press was first published Feb. 1, 2024.

Companies in this story: (TSX:TCL)

https://apple.news/AqcLotd3YQ1O6k4A28qDaQg

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Création d'emplois dans le domaine de la construction en 2023 au Québec. La Montérégie est en première place avec 35 000, Québec est au deuxième échelon avec 20 000 et je vous laisse qui deviner quelle ville est dans le rouge au tout dernier rang.

Révélation

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https://www.journaldemontreal.com/2024/02/07/emploi-en-construction-jai-fait-des-heures-supplementaires-six-jours-par-semaine-pendant-deux-ans#cxrecs_s

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Les impôts impayés bondissent de 1 G$ au Québec

Sylvain Larocque

 

Les impôts impayés au gouvernement du Québec ont bondi de 1 G$ en quatre ans, une situation entre autres attribuable à la pandémie et à la hausse des taux d’intérêt.

• À lire aussi: Saison des impôts: 6 astuces pour tirer le maximum de vos déclarations de revenus

• À lire aussi: Girard remet en doute le retour à l’équilibre budgétaire en 2027

La valeur nette des créances d’impôt s’élevait à 4,1 G$ au 31 mars 2023, contre 3,1 G$ au 31 mars 2019, indique Revenu Québec au Journal.

La hausse est particulièrement marquée au sein des entreprises. Les sommes à payer au titre de l’impôt des sociétés sont passées de 800 M$ au 31 mars 2019 à 1,2 G$ au 31 mars 2023, soit une augmentation de 50%.

Cette progression est plus importante que celle des sommes perçues par Québec en impôt auprès des entreprises pendant la même période. Celles-ci ont connu une hausse de 44% pour se chiffrer à près de 9,2 G$ pendant l’exercice 2022-2023, apprend-on dans les comptes publics établis par le ministère des Finances.

  • Écoutez le segment économique d'Yves Daoust via QUB :
Plus de 360 000 entreprises

À la fin mars 2023, plus de 360 000 entreprises devaient de l’argent au fisc (impôts, taxes ou retenues à la source), soit 31% de plus que quatre ans plus tôt. C’est plus de la moitié de toutes les entreprises inscrites à Revenu Québec.

2,9 G$

Du côté des particuliers, les impôts impayés atteignaient 2,9 G$ au 31 mars 2023, contre 2,3 G$ au 31 mars 2019, soit une augmentation de 26%.

Pendant la même période, les sommes perçues en impôt auprès des particuliers ont progressé de 33% pour atteindre 42,3 G$ pendant l’exercice 2022-2023.

Plus de 1,17 million de particuliers devaient de l’argent au fisc à la fin mars 2023, soit 5,4% de plus que quatre ans auparavant. Cela représente environ 16% de tous les contribuables particuliers au Québec.

« La proportion des contribuables qui devaient moins de 2500$ était respectivement de 80% en 2023 et de 85% en 2019. »

– Claude-Olivier Fagnant , Porte-parole de Revenu Québec

Photo Photo tirée du site web de Revenu Québec

La hausse des sommes en souffrance s’explique d’abord par la pandémie, qui a poussé le gouvernement à mettre en place des mesures d’assouplissement. 

«Certaines activités de recouvrement ont été suspendues et reprises graduellement par la suite», rappelle M. Fagnant.

La hausse marquée des taux d’intérêt, qui s’est amorcée en 2022, a également eu un impact. Celle-ci «expliquerait environ 10% de la croissance de la valeur des créances observée», révèle le porte-parole. 

L'augmentation des impôts impayés aura-t-elle un impact sur les finances publiques?

«Malgré la hausse constatée en 2023, le ratio des créances fiscales sur les revenus fiscaux, soit 6,2 %, est demeuré relativement stable par rapport à 2019», répond Charles-Étienne Bélisle, porte-parole du ministère des Finances.

«L’augmentation des impôts en souffrance n’a pas encore influencé de façon significative la dépense pour mauvaises créances», ajoute-t-il.

Créances abandonnées, créances recouvrées 

Fait important, les chiffres sur les créances d’impôts excluent les sommes qui ont fait l’objet de «provisions pour non-réalisation des revenus», c’est-à-dire des sommes que le gouvernement n’a plus espoir de récupérer (en raison par exemple de faillites).

Revenu Québec soutient avoir recouvré 3,28 G$ en créances fiscales en 2022-2023 (impôts et taxes), soit 1,8% de plus que l’année précédente.

L’organisme a également récupéré près de 3 G$ en effectuant des activités de «contrôle fiscal», lesquelles visent à «amener certains contribuables [...] à déclarer leurs revenus et à payer les sommes dues».

Rappelons par ailleurs qu’environ 30% des particuliers et 40% des entreprises n’ont ni impôt ni cotisation à payer, et ce pour diverses raisons (revenus insuffisants, crédits d’impôt, organismes à but non lucratif, etc.).

Plus de 2 G$ dus au fédéral

Un peu plus de 891 000 particuliers du Québec devaient de l’impôt fédéral en mars 2023, soit 32 % de plus qu'en mars 2019, précise l’Agence du revenu du Canada (ARC). Ces Québécois devaient alors 2,02 G$ au gouvernement fédéral. Dans l’ensemble du pays, ce sont plus de 3,9 millions de particuliers qui devaient de l’impôt au fisc fédéral en mars 2023. Leurs créances s’élevaient à 21,9 G$ au total. 

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  • 3 semaines plus tard...

Nouvelle salve contre les subventions aux entreprises

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PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Le gouvernement met le paquet sur l’industrie des batteries, avec des milliards d’aides à Northvolt, Ford et Lion Électrique, notamment.

À quelques jours du budget du Québec, une nouvelle étude torpille la politique industrielle du gouvernement, qui mise encore et toujours sur les subventions et autres formes d’aide aux entreprises pour enrichir le Québec.

Le gouvernement met le paquet sur l’industrie des batteries, avec des milliards d’aides à Northvolt, Ford et Lion Électrique, notamment. Cet afflux vient après avoir appuyé de diverses manières les Rio Tinto, Bombardier, Ubisoft, IBM et autres CGI ces dernières années.

Or, de telles politiques d’aide ont échoué à enrichir durablement le Québec, soutient une étude du Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal. Ses auteurs, notamment Robert Gagné et Jonathan Deslauriers, militent pour une réforme majeure.

« Après plus de 25 ans d’interventionnisme économique, force est de constater que la politique industrielle du Québec n’a pas produit les résultats escomptés », écrivent les auteurs⁠1.

« L’investissement privé en machines et matériel et en produits de propriété intellectuelle est faible, la croissance de la productivité demeure insuffisante pour combler le retard économique cumulé, et le niveau relatif des exportations québécoises est nettement plus faible que dans les économies occidentales de taille similaire. »

 

Le mois dernier, une autre étude, de l’Université de Sherbrooke, dressait des constats sévères. Elle faisait ressortir que sur les 702 entreprises du Québec qui bénéficient du crédit d’impôt pour les affaires électroniques – dont des multinationales – seulement quatre paient des impôts, au bout du compte. Pire : tout compris, le gouvernement du Québec enregistre une perte nette de 131 millions avec ces entreprises, même en tenant compte des charges sociales qu’elles versent⁠2.

Selon la nouvelle étude de HEC Montréal, ce genre de crédits et autres subventions n’ont pas significativement haussé les investissements des entreprises ni leur productivité ou innovation.

En moyenne, les entreprises du Québec investissent deux fois moins que celles des principaux pays industrialisés. Le Québec est même au dernier rang des pays comparés, à 12 658 $ d’investissement privé par emploi, loin derrière la moyenne canadienne (17 661 $), le Danemark (26 840 $) ou la France (29 258 $). La Suède est à 35 461 $ d’investissement par emploi.

Et cet écart entre le Québec et les autres pays a très peu bougé depuis 25 ans.

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Pourtant, le gouvernement du Québec appuie massivement les entreprises. En 2022, par exemple, le Québec a versé 2,8 milliards de dollars en crédits d’impôt aux entreprises, entre autres, soit trois fois plus que l’Ontario, toute proportion gardée.

Un des principaux soutiens prend la forme d’un crédit d’impôt sur les salaires ou les emplois. De fait, 80 % des crédits d’impôt aux entreprises ont servi à subventionner les salaires en 2022.

Cette injection de fonds est contestable, sachant que le Québec a une pénurie de main-d’œuvre aujourd’hui, avec moins de 5 % de chômage, notamment dans le secteur informatique.

« En refusant de suspendre ce crédit, le gouvernement subventionne des entreprises d’envergure internationale, profitables, qui évoluent dans un secteur d’activité parvenu à maturité. Grâce à l’avantage conféré par le crédit, ces entreprises cannibalisent des ressources hautement qualifiées qui pourraient être employées plus efficacement dans des secteurs d’activité potentiellement plus productifs, innovateurs, ou créateurs de valeur ajoutée », selon l’étude.

Autre constat : 70 % de l’aide fiscale pour la recherche et le développement va aux grandes entreprises, comparativement à 44 % il y a une décennie. Le gouvernement a dépensé 476 millions avec de tels crédits en 2022. Or, l’impact sur la recherche serait plus grand si cette aide était versée à de plus petites entreprises, disent les auteurs.

« Il y a tout un ménage à faire dans les crédits d’impôt. Il y a plein d’affaires qui ne marchent pas. On devrait s’en tenir à quelques mesures phares, bien ciblées, pour atteindre des objectifs précis, avec des indicateurs par la suite pour vérifier l’atteinte des objectifs », dit Robert Gagné, professeur d’économie à HEC Montréal.

« Faisons confiance aux entrepreneurs québécois, ajoute-t-il. On n’arrête pas de dire qu’ils sont imaginatifs, créatifs, alors pourquoi faut-il toujours leur donner des carottes bouillies dans la bouche à la petite cuillère ? »

Ce que j’en pense ?

Avec un déficit budgétaire qui s’annonce fort élevé et des compressions à l’horizon, le gouvernement aurait intérêt à s’interroger sur les résultats réels de sa politique industrielle.

D’autant que la présence du secteur public dans l’économie du Québec est parmi les plus importantes au monde. En 2022, le poids des dépenses courantes de l’ensemble des administrations publiques représentait 49,2 % du PIB au Québec, au 5rang mondial. La Suède est à 45,7 % et l’Ontario, à 39,5 %.

Le financement de nos programmes sociaux dépend de notre enrichissement collectif. Et la seule façon de vraiment s’enrichir sans inflation indue est de hausser notre niveau de vie. Pour ce faire, il faut augmenter la production par habitant et, plus précisément, la productivité des entreprises et donc leurs investissements dans les équipements et les logiciels.

L’étude de HEC Montréal constate que la politique industrielle du Québec n’a pas permis de hausser ces investissements par rapport à nos concurrents mondiaux.

1. Consultez l’étude du Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal 2. Consultez la chronique « Québec perd 130 millions par an avec ses bonbons fiscaux »
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Dans le même ordre d'idée dans le Devoir:

Appel à une plus grande présence des caisses de retraite dans l’économie canadienne

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 Dans la province seulement, la présence de la Caisse de dépôt et placement du Québec s’éleve à 88 milliards, dont 70 milliards dans 550 entreprises.

Les gouvernements devraient forcer les caisses de retraite à ne pas faire seulement une fixation sur les rendements à court terme et à prêter plus attention au développement de l’économie canadienne tout entière, disent des voix issues des milieux d’affaires et des syndicats.

« Les fonds de pension représentent environ 37 % de l’épargne institutionnelle au Canada, [soit] une taille comparable à celle des banques », ont rappelé mercredi un peu moins d’une centaine de gens d’affaires et de représentants de grandes centrales syndicales dans une lettre ouverte à l’intention des ministres des Finances au Canada. Et alors qu’il leur était interdit jusque dans les années 1990 d’investir plus de 10 % de leurs avoirs à l’étranger, cette proportion s’est aujourd’hui inversée et ce n’est plus qu’environ 10 % des actifs des huit plus grandes caisses de retraite canadiennes qui ont investi dans des sociétés publiques et privées, l’immobilier ou des infrastructures au Canada.

« Cela n’a pas été fait par malveillance », a expliqué en entretien téléphonique au Devoir Daniel Brosseau, le président de la firme d’investissement LetkoBrosseau et l’une des personnes à l’origine de la lettre ouverte signée entre autres par Pierre Karl Péladeau, Louis Audet, Andrew Molson, Laurent Beaudoin, Alain Bouchard et Jim Balsillie. C’est seulement que, dans un monde où l’on ne tient compte que des rendements, on ne cherchera pas à accorder trop de poids à une petite économie comme le Canada dans son portefeuille d’actifs.

Lorsque tout est compté, on constate que le Régime de pension du Canada (presque 600 milliards d’actifs), la Caisse de dépôt et placement du Québec (plus de 430 milliards), la caisse de retraite des enseignants de l’Ontario (250 milliards) et les cinq autres plus grandes caisses de retraite au Canada ont 25 % de leurs actifs au Canada, les 75 % restants étant investis à l’étranger, a calculé LetkoBrosseau. C’est environ deux fois moins que la présence moyenne de leurs pairs des autres pays dans leurs propres économies nationales.

Or, l’économie canadienne et ses entreprises ont un pressant besoin d’investissements pour aider leur développement et améliorer leur compétitivité. Et comme elles ont un horizon de placement plus long, les caisses de retraite seraient particulièrement bien placées pour leur apporter ce financement. L’opération devrait d’ailleurs se révéler gagnant-gagnant parce qu’en aidant l’essor de l’économie et de l’emploi au pays, les caisses de retraite serviraient doublement leurs déposants, à la fois à titre de travailleurs et à titre de retraités.

L’exemple de la Caisse

L’idée est loin d’enchanter les principales intéressées, admet Daniel Brosseau, et elles l’ont bien fait savoir aux gouvernements qui pourraient être tentés de leur serrer la vis. La ministre des Finances, Chrystia Freeland, a toutefois indiqué cet automne qu’elle voulait trouver avec les caisses de retraite un moyen d’augmenter leurs investissements au Canada. « Je crois qu’elles ont surtout peur d’un retour à des règles avec des seuils comme par le passé. Mais ce ne serait pas nécessaire », dit le financier, qui propose, par exemple, que chaque investissement à l’étranger vienne avec l’obligation de garder une certaine somme en réserve, censée équivaloir au risque financier et à la perte de retombées économiques qu’il représente.

À la Caisse de dépôt et placement du Québec, on dit fournir déjà amplement sa part en vertu de son double mandat qui consiste à chercher les meilleurs rendements possibles pour ses déposants et à aider le développement économique du Québec. Depuis 2002, son exposition à l’économie canadienne est passée de 66 à 159 milliards sur un total de 434 milliards d’actifs (37 % de l’actif), rapporte la Caisse. Au Québec seulement, sa présence s’élevait à 88 milliards (20 % de l’actif), dont 70 milliards dans 550 entreprises.

À l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques, on appuie la cause d’un plus grand investissement dans l’économie locale. Son président-directeur général, François Dauphin, note toutefois que tous les investissements ne s’équivalent pas. L’effet de levier économique n’est pas le même, par exemple, entre le simple rachat en Bourse d’actions canadiennes déjà en circulation et la participation à un premier appel public à l’épargne d’une entreprise en développement.

Ce qu’il y a de sûr, c’est que contribuer à garder le contrôle de ses propres entreprises se traduit généralement par leur meilleur développement à long terme, dit François Dauphin. « Je serais assez d’accord pour dire que la Caisse de dépôt et son double mandat sont un bon exemple à suivre. Mais on doit être honnête. Sur quoi tout le monde évalue-t-il sa performance chaque année ? Ses rendements. »


http://url4076.ledevoir.com/ls/click?upn=u001.u5fP6CjschWVz-2B-2BJCjMy2d0DbLyoi6nGyDdbkcYjJF7TZoF6-2BTmwVc7MkmcZyo3HuEQlF0g06IpzH4MBOMiATLzQyQoyPyi78P2aZgmBtkUMDCprlGyp5Y6N53rrER3atgAYeUKFZ4LUxv1k8zCiZ2FW9rWb63myVP5xdjUD7QU-3D2jAD_Xtt4-2FBpONRcUua7JLxmdyMhJQ-2B85d-2FEXCpPPJUB024nb1NV7hrVUSJGmeWN8pD7i249P54dF71d-2FX9bvL5pKQvpCuW2B8guT-2FBrbAoZCopdEhmxFtURWa2aAXWO5l23rlJmOLLRWQkEZH2GGdzRdPGv3HRkSADz1Mufxcb1WH-2F-2FMRUYcmPCfmaqjJGMdt3Pcn0Fv1KPX4sfOT8u8KpJVYQ-3D-3D

 

 

 

 

Modifié par Brick
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il y a 11 minutes, andre md a dit :

La CAQ sont entrain de scraper le travail de Carlos Letaio.  Méchante gang d'incompétent.

 

https://www.ledevoir.com/economie/808702/retour-quebec-deficit-zero-pourrait-etre-repousse-trois-ans?

 

En effet !  Quelle bande d'incompétents de ne pas avoir été capables de stopper une pandémie mondiale avant que celle-ci ne paralyse l'écomomie...

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il y a une heure, ToxiK a dit :

En effet !  Quelle bande d'incompétents de ne pas avoir été capables de stopper une pandémie mondiale avant que celle-ci ne paralyse l'écomomie...

Ouaip compare avec les autres provinces et apres vient me reparler. Pendant la pandémie a cause du féderal plusieurs provinces ce sont même retrouver en surplus.

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Il y a 4 heures, andre md a dit :

Ouaip compare avec les autres provinces et apres vient me reparler. Pendant la pandémie a cause du féderal plusieurs provinces ce sont même retrouver en surplus.

L'Alberta et la Saskatchewan vont avoir des surplus grace au pétrole et au gaz.  Le prix pour ces surplus est de maintenir le Canada parmi les plus gros producteurs de GES par habitant au monde.  L'Ontario va avoir un déficit, le gouvernement fédéral aussi, je présume que c'est aussi de la faute de la CAQ...

On a une (quasi) récession causée par la hausse des taux d'intérêts qui eux-mêmes ont été montés pour combattre une inflation jamais vue depuis 40 ans.  On pourrait blâmer le fédéral pour cette inflation avec leurs dépenses un peu excessives durant la pandémie mais 1) l'inflation est mondiale et en partie causée par la disruption des chaines d'approvisionnement et 2) bien que les dépenses durant la pandémie ont été plus élevées que ce qui aurait été préférable (et les mécanisme de vérification de la justification des dépenses n'ont pas été bien mis en place), ces dépenses étaient nécessaires pour ne par que l'économie s'effondre.

Un gouvernement libéral au Québec aurait aussi eu un déficit dans les circonstances actuelles, sinon on aurait eu des coupures des dépenses drastiques que les services publics n'ont pas les moyens d'avoir.  Oh, et les syndiqués seraient encore en grève et le gouvernement n'aurait jamais obtenu la moindre flexibilité de leur part.  D'un autre côté, on aurait moins de chicanes avec le gouvernement fédéral puisque les libéraux se seraient applaventrés devant la moindre demande de leurs patrons à Ottawa: "Accepter davantage de migrants?  Aucun problème." ; "Assumer seul la facture?  Bien sûr !" ; "Alléger les demandes de connaissances en français pour ces migrants pour faciliter leur intégration canadian?  But of course !"

L'Inflation commence à fléchir, les taux d'intérêts vont probablement commencer à baisser d'ici la fin de l'année et l'économie va repartir.  Le "peak" de la pénurie de main-d'oeuvre va passer et les dépenses en investissement des entreprises vont augmenter (suite aux baisses des taux d'intérêts et à l'augmentation des salaires des dernières années).  Et cette baisse des taux d'intérêts va faire augmenter la construction résidentielle (on pourrait même parler d'un mini-boum pour compenser l'augmentation insoutenable de la population et les retards pris ces dernière années en construction résidentielle).  Les NIMBY n'ont plus la cote qu'ils avaient auparavant dans les médias et la population commence à les voir pour ce qu'ils sont: pas des citoyens héroïques qui se tiennent debout devant les gouvernements et les méchants développeurs, mais bien des chialeux chronique qui ne s'intéresse qu'à leur personne et à leur petit confort.  Reste maintenant que la ville de Montréal sorte la tête de son derrière (ou mieux, que les électeurs sortent Projet Montréal de la mairie) et les choses vont pouvoir finalement avancer pour la peine.

 

https://thoughtleadership.rbc.com/economics-articles/provincial-fiscal-analysis/provincial-budgets-and-economic-statements/

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