Aller au contenu
publicité

Quartier Sainte-Marie (Faubourgs Est): projets et nouvelles


IluvMTL

Messages recommendés

publicité

La grande fête du quartier aura lieu demain samedi de midi à 15h dans le parc Bellerive au coin de Fullum et Notre-Dame.

 

Arrêtez au kiosque des AmiEs du courant Sainte-Marie et apprendre plus sur le Village Éphémère au Pied-du courant ainsi que nos propositions pour le secteur.

 

Au plaisir!

 

30a40d335abd08b643eaa8129e6a0597.jpg

 

sent via Tapatalk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

VOUDRIEZ-VOUS TRANSFORMER LE TERRAIN VACANT AU COIN DE STE CATHERINE E. ET CARTIER A COTE DE MÉTRO PAPINEAU?

 

RENDEZ-VOUS À UN PICNIC POUR EN PARLER!

 

QUAND : mercredi le 15 juillet dès 18h30

OÙ : Terrain vacant au coin nord-ouest de Sainte Catherine E. et Cartier

 

En cas de pluie, rendez-vous à la CDC Centre-Sud, 2187 rue Larivière info@landeMTL.com

 

ebee84c703ccd5571cb51d42fcba4f7d.jpg

 

sent via Tapatalk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'idée d'une passerelle sculpturale à l'entrée du pont Jacques-Cartier à été évoqué lors des consultations pour le PPU du quartier Sainte-Marie en 2011.

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/

 

Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans.

 

Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances.

 

Carte-Passerelle pont Jacques-Cartier

 

Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont.

 

«Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro.

 

C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours.

 

«Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers».

 

Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons.

 

«Cette passerelle, c’est aussi une façon de recoller un quartier qui est sectionné [par l’entrée du pont]. Il y a l’est et l’ouest.» -Valérie Plante, conseillère de ville dans le district Sainte-Marie.

 

«La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante.

 

Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère.

 

La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle.

 

«C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère.

 

L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années.

 

«Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière.

 

«Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante.

 

Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo).

 

Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion.

 

La firme d’architectes Rayside Labossière a mis sur papier ce que plusieurs citoyens du quartier Sainte-Marie espèrent: une passerelle piétonne et cycliste pour améliorer la sécurité aux abords du pont Jacques-Cartier.

 

Une structure «grandiose»

Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet.

 

«Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière.

 

«Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner.

 

L’intersection problématique

 

Previous photoNext photo

 

 

8013b5c5f988106d8b1d243d17b545eb.jpg

 

034812ea1af69207a3581f64f0cf9a2f.jpg

 

a42afccb2047b730e8d38f70b4305d38.jpg

 

2fcd72ee14d02d21957e5d967a7fd2ec.jpg

 

08cfd1aaf9bc0a852774fe516f018bf6.jpg

sent via Tapatalk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 5 semaines plus tard...

 

L'illumination du pont par Moment Factory est une nouvelle fantastique pour le quartier qui coexistait avec le pont depuis des décennies. Malgré la beauté architecturale du pont, il ny avait pas de retombés economiques.

 

On tourne une page avec ce projet qui devrait stimuler le développement des terrains vacants ou sous utilisés autour du pont et le fleuve.

 

Avec le pont illuminé et l'annonce que Molson songeait à peut etre redeveloper les terrains de leur brasserie à l'ouest du pont, peut être le propriotaire de l'immense terrain d'îlot De Lormier (Porte Sainte-Marie) va finalement aller de l'avant avec un projet.

 

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php?t=14481

 

Sent from my SGH-M919V using Tapatalk

Modifié par IluvMTL
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour accéder le pont, acpnc et moi avons un penchant pour la solution ascenseur adjacent au pont, près du Métro Papineau et les pistes cyclables. C'est la meilleure solution pour un accès universal.

 

Un belvédère pourra être ajouter pour apprécier les vues panoramiques de Montréal à cet endroit, puis aussi le pont illuminé.

 

J'avais fais un croquis pour mieux comprendre le concept.

 

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php?t=21820

 

6cb37793ac6423d650285f2c5a9e7945.jpg

 

sent via Tapatalk

Modifié par IluvMTL
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Avec le développement possible au sud de Papineau, incluant les installations de Molson, l'ascenseur vélos-piétons devient encore plus pertinent comme accès direct au pont. Il faciliterait grandement l'usage de cette infrastructure par la nombreuse population riveraine qui s'installerait éventuellement dans ce nouveau secteur de l'est du centre-ville. Ainsi en seulement 10-15 minutes à vélo, ou 30 à pied, c'est tout le parc des Iles qui devient un peu la cour arrière des gens et des familles. Une occasion en or, en parfaite adéquation avec le développement durable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://ecomusee.qc.ca/collections/elements-patrimoniaux-designes/

 

 

6dbdf7b18a0e8c2de3bbfcb83bd0fddb.jpg

 

905c9f5955f46fd8ca5c5b5732ac13a7.jpg

 

Écomusée du fier monde.

Musée d’histoire et musée citoyen

 

ÉLÉMENTS PATRIMONIAUX DÉSIGNÉS

 

 

L’Écomusée du fier monde, avec la collaboration d’acteurs locaux, identifie les éléments patrimoniaux particulièrement représentatifs du quartier, et significatifs pour sa communauté. Les éléments désignés sont intégrés à la collection écomuséale. Celle-ci regroupe des éléments matériels et d’autres immatériels : bâtiments in situ ou parfois disparus, personnages, événements, pratiques, traditions, expressions, lieux, paysages, etc.

 

Découvrez les éléments qui composent cette collection!

 

 

Pont Jacques-Cartier : Emblème architectural de Montréal et du quartier

 

Année de construction : 1925-1930

 

 

Le pont Jacques-Cartier, 1929. Compagnie Dominion Bridge, Bibliothèque et Archives Canada

Le pont Jacques-Cartier, 1929.

Compagnie Dominion Bridge, Bibliothèque et Archives Canada

Construit à la fin des années 1920, le pont Jacques-Cartier relie l’île de Montréal à la rive-sud, en plus de donner accès à l’île Sainte-Hélène. Sa structure est faite en acier et comporte trois courbes qui lui confèrent sa forme unique. Le pont a eu des répercussions sur l’aménagement urbain et les activités économiques de Sainte-Marie. Il constitue une marque physique qui rappelle l’industrialisation et le développement de la ville au début du 20e siècle, et se révèle une œuvre architecturale iconique de Montréal.

 

 

 

Brasserie Molson : Industrie pionnière du Centre-Sud

 

Localisation : 1670, rue Notre-Dame Est

 

 

La brasserie Molson, 1936. Archives de la Ville de Montréal

La brasserie Molson, 1936.

Archives de la Ville de Montréal

 

 

Établie au pied du courant Sainte-Marie, la brasserie Molson est fondée par l’homme d’affaires anglais John Molson, en 1786.

 

L’usine Molson, 1995. Écomusée du fier monde

L’usine Molson, 1995.

Écomusée du fier monde

 

 

La compagnie occupe encore aujourd’hui un vaste espace toujours en bordure du fleuve, allant de la rue Papineau jusqu’aux abords du Vieux-Montréal. La tour de l’usine, ornée d’une horloge et de l’enseigne de la compagnie, est un élément visuel fort de la ville et du quartier Sainte-Marie.

 

 

 

Église Notre-Dame-de-Guadalupe : Église à l’architecture singulière

 

Localisation : 1969, rue Ontario (coin Dorion)

 

 

Église Sainte-Marguerite-Marie-Alacoque (aujourd'hui Notre-Dame-de-Guadalupe), date inconnue. Écomusée du fier monde

Église Sainte-Marguerite-Marie-Alacoque (aujourd’hui Notre-Dame-de-Guadalupe), date inconnue.

Écomusée du fier monde

L’église Sainte-Marguerite-Marie-Alacoque construite en 1924-1925, donne sur la rue Ontario, et est bordée des rues Bordeaux et Dorion. Elle est l’œuvre de deux architectes de renom, Ernest Cormier et Emmanuel-Arthur Doucet. Son architecture se distingue par un style d’inspiration byzantine. Initialement, l’église porte le nom de Sainte-Marguerite-Marie-Alacoque, sainte canonisée en 1920. En 1992, toutefois, l’église passe aux mains de la communauté latino-américaine qui la renomme église Notre-Dame-de-Guadalupe.

 

 

 

Bain Généreux : Lieu d’histoire et de culture

 

Localisation : 2050, rue Amherst, (coin Ontario)

 

 

Le bain Généreux, 1928. Photo : Rice, Institut de technologie agroalimentaire de Saint-Hyacinthe

Le bain Généreux, 1928.

Photo : Rice, Institut de technologie agroalimentaire de Saint-Hyacinthe

Le bain Généreux est l’œuvre de l’architecte Joseph-Omer Marchand. Le bâtiment se distingue par sa façade de style Art déco et par son bassin surmonté d’une voûte d’envergure. Ouvert en 1927, rue Amherst, un peu au nord d’Ontario, le bain répond d’abord à un besoin d’hygiène dans un quartier où de nombreux logements n’ont ni bain ni douche. Le bain Généreux ferme en 1992. L’Écomusée du fier monde s’y installe en 1996 pour y présenter ses expositions.

 

Cliquez ici pour en apprendre davantage

 

 

 

Stade De Lorimier / Place des Royaux : Haut lieu de sport et de divertissement

 

Localisation : Angle de la rue Ontario et de l’avenue Delorimier

 

 

Visite royale, 1951. Archives de la Commission scolaire de Montréal

Visite royale, 1951.

Archives de la Commission scolaire de Montréal

Le stade De Lorimier, aujourd’hui disparu, a été le théâtre d’événements mémorables, dont la visite de la princesse Élizabeth en 1951. Les parties de l’équipe de baseball les Royaux y ont eu lieu de l’ouverture du stade en 1928 jusqu’à la dissolution du club en 1960. Jackie Robinson, premier joueur noir de la ligue américaine, évolue au sein du club en 1946. Aujourd’hui, le site est occupé par la polyvalente Pierre-Dupuy, ainsi que par un petit espace commémoratif, la place des Royaux.

 

Le stade De Lorimier, 1936. Archives de la Ville de Montréal

Le stade De Lorimier, 1936.

Archives de la Ville de Montréal

 

 

Rue Parthenais : Pôle de création culturel des Faubourgs!

 

Localisation : rue Parthenais entre Rouen et Ontario

Édifice Grover, Chat des artistes, Coop Lezarts

 

 

Le pôle de création des Faubourgs, 2014. Écomusée du fier monde

Le pôle de création des Faubourgs, 2014.

Écomusée du fier monde

L’édifice Grover, le Chat des Artistes et la Coop Lezarts sont trois anciennes usines du quartier qui ont été transformées et ont aujourd’hui une vocation culturelle. Elles se situent toutes en bordure de la rue Parthenais. Elles forment un ensemble de bâtiments industriels convertis en lieu de création et de diffusion artistique, dont le dynamisme rejaillit sur le secteur.

 

 

 

Joseph Venne : De fils du quartier à bâtisseur de Montréal

 

Né rue Montcalm, Montréal, en 1858 – Décédé à Montréal en 1925

 

 

Joseph Venne, vers 1914. Photographie : Notman. Collection Michel Venne, Écomusée du fier monde

Joseph Venne, vers 1914.

Photographie : Notman.

Collection Michel Venne, Écomusée du fier monde

L’architecte Joseph Venne est né rue Montcalm, près de la rue Ontario, en 1858, et il demeurera dans le quartier toute sa vie. Ce fils d’ouvrier du bâtiment a participé à la construction de nombreux bâtiments au Québec et au Canada, et même en Nouvelle-Angleterre. Plusieurs de ses réalisations se situent dans le Centre-Sud et ses environs, notamment l’église Sacré-Cœur-de-Jésus et son presbytère. C’est d’ailleurs dans Saint-Jacques qu’il érige, en 1908, la première école à l’épreuve du feu : l’école de Salaberry (aujourd’hui le Comité social Centre-Sud). La place publique faisant face à l’école Gédéon-Ouimet, œuvre de l’architecte, porte désormais son nom.

 

 

 

Courant Sainte-Marie : Une particularité à l’origine du nom du quartier

 

Le courant Sainte-Marie à vol d’oiseau, date inconnue. Archives de la Ville de Montréal

Le courant Sainte-Marie à vol d’oiseau, date inconnue.

Archives de la Ville de Montréal

Le courant Sainte-Marie est une caractéristique morphologique du fleuve Saint-Laurent qui a donné son nom au quartier Sainte-Marie. Dans les siècles passés, et avant l’invention du bateau à vapeur, il constituait une entrave à la navigation. Cet obstacle naturel forçait souvent l’arrêt des navigateurs qui devaient faire remorquer leurs embarcations pour le traverser. C’est en bordure de ce courant que se développe le quartier ouvrier désigné, au fil du temps, des noms de faubourg Québec, de faubourg Sainte-Marie et de « Faubourg à m’lasse ».

 

 

 

Prison au Pied-du-Courant : Témoin d’un épisode historique marquant

 

Localisation : 905, avenue de Lorimier (au nord de Notre-Dame)

 

 

La prison au Pied-du-Courant, vers 1900. Archives de la Ville de Montréal

La prison au Pied-du-Courant, vers 1900.

Archives de la Ville de Montréal

Le site comprend l’ancienne prison construite entre 1832 et 1840, la maison du gouverneur érigée en 1895 et le mur d’enceinte. La prison de style néoclassique a servi de lieu de détention entre 1836 et 1912. Elle fut le lieu d’exécution de 12 patriotes en 1838, un épisode marquant de l’histoire du Québec. La prison ferme en 1912, et en 1921, la Commission des Liqueurs, devenue la Société des alcools du Québec, y installe son siège social. Au début des années 1970, le projet de construction de l’autoroute Ville-Marie prévoit la destruction de l’ancienne prison, mais la mobilisation citoyenne permet de modifier le tracé afin de préserver le bâtiment.

 

 

 

Maison mère des Sœurs de la Providence : Empreinte de l’œuvre sociale d’une communauté

 

Localisation : 1434, rue Fullum (coin Sainte-Catherine)

 

 

La Maison mère des Sœurs de la Providence, vers 1980. Écomusée du fier monde

La Maison mère des Sœurs de la Providence, vers 1980.

Écomusée du fier monde

Située dans la partie sud du quartier Sainte-Marie, la Maison mère des Sœurs de la Providence constitue un ensemble conventuel et patrimonial. Le site rappelle l’importance de cette communauté religieuse fondée par Émilie Gamelin au milieu du 19e siècle et qui répondait aux besoins des personnes pauvres, malades et démunies. À partir de 2011, le bâtiment de la Maison mère fait l’objet d’un projet de transformation qui accueille des entreprises d’économie sociale et des habitations pour aînés.

 

 

 

Caserne no 19 : Entre patrimoine bâti et patrimoine artistique

 

Localisation : 1945, rue Fullum (coin Coupal)

 

 

La caserne no 19, 1995. Écomusée du fier monde

La caserne no 19, 1995.

Écomusée du fier monde

La caserne no 19 a été construite en 1903-1904. Elle venait répondre aux besoins de protection des résidents du quartier Sainte-Marie. En 1980, la caserne de la rue Fullum déménage ses installations au coin de l’avenue De Lorimier et de la rue Ontario. L’année suivante, le bâtiment est transformé en lieu de création et de diffusion, l’Espace libre. Des personnalités artistiques significatives, telles que Robert Gravel et Jean-Pierre Ronfart, ont gravité autour de ce théâtre.

 

 

 

Église Notre-Dame de Czestochowa : Symbole de la présence polonaise

 

Localisation : 2550, rue Gascon (coin Hochelaga)

 

 

L’église Notre-Dame de Czestochowa, vers 1984. Écomusée du fier monde

L’église Notre-Dame de Czestochowa, vers 1984.

Écomusée du fier monde

L’église Notre-Dame de Czestochowa se situe dans le secteur nord-est du quartier Sainte-Marie. Elle est rattachée à la plus vieille paroisse polonaise de Montréal. Construite en 1946, cette église vient remplacer une première église érigée trente ans plus tôt, mais devenue trop petite pour les besoin de la communauté. L’église demeure, encore aujourd’hui, un lieu de culte dédié aux Polonais catholiques de Montréal, et est un des éléments les plus représentatifs de leur présence.

 

 

 

Bain Mathieu : Bâtiment aux multiples vocations

 

Localisation : 2915, rue Ontario Est (coin Florian)

 

 

Le bain Saint-Eusèbe (devenu le bain Mathieu), lors de sa construction, 1931. Archives de la Ville de Montréal

Le bain Saint-Eusèbe (devenu le bain Mathieu), lors de sa construction, 1931.

Archives de la Ville de Montréal

Construit en 1931, le bain Mathieu répond alors aux besoins d’hygiène d’une population défavorisée qui n’a pas toujours accès aux installations d’hygiène nécessaires. Il est érigé dans le secteur est du quartier Sainte- Marie. Le bain ferme ses portes en 1990. La Société pour Promouvoir les Arts Gigantesques (SPAG) s’y installe à partir de 1998. En 2000, la Ville fait don de l’édifice à la SPAG qui, consciente de la valeur patrimoniale du bâtiment et soucieuse de sa préservation, le fait rénover et le transforme en salle d’événements multifonctionnelle.

 

 

 

Usine Macdonald Tobacco : Une industrie toujours présente

 

Localisation : 2455, rue Ontario Est

 

 

L'usine Macdonald Tobacco, vers 1940. Collection Macdonald Tobacco, Écomusée du fier monde

L’usine Macdonald Tobacco, vers 1940.

Collection Macdonald Tobacco, Écomusée du fier monde

L’usine Macdonald est l’une des rares industries du Centre-Sud, toujours en activité. Cette entreprise de tabac est fondée par William Christopher Macdonald en 1858. D’abord située rue Water, près du port, l’usine déménage au coin d’Ontario et d’Iberville, en 1876. À la suite d’un incendie survenu en 1895, la bâtisse est reconstruite. L’entreprise a employé des milliers de personnes depuis sa création, dont plusieurs résidents et résidentes du Centre-Sud. Le bâtiment de la Macdonald marque le paysage de Sainte-Marie par son ampleur et par sa tour centrale dotée d’une horloge à quatre faces.

 

Cliquez ici pour en apprendre davantage

 

Side bar.

AGENDA

Exposition permanente « L’heure des travailleurs » dans l’exposition permanente, 2012. Photo : Marie-Josée Lemaire-Caplette, Écomusée du fier monde

Balade des Faubourgs autour de l’usine Grover Parc des Faubourgs, 2013. Photo : Laetitia Laronze

26 septembre 2015 de 13h30 à 15h30

Rue Ontario : patrimoniale et festive! Carte postale de la rue Ontario. Collection Luc Charron

2-3 et 10-11 octobre 2015 de 11h à 16h

Goûtez l’Italie! Goûtez l'Italie

22 octobre 2015 de 18h00 à 21h00

Confitures et marinades Raymond : faites pour… PRINT_Entete_Raymond_4

29 octobre 2015 au 14 février 2016

Peuple de l’œil Peuple de l'oeil

26 novembre au 20 décembre 2015

▲▼

FERMETURE TEMPORAIRE

L’Écomusée est fermé du 3 août au 29 septembre 2015 en raison de travaux de rénovation.

 

La réouverture est prévue le mercredi 30 septembre 2015.

 

Merci de votre compréhension

 

JEUDI 22 OCTOBRE 2015 HISTOIRE ET SAVEURS

Écomusée du fier monde 2050, rue Amherst, Montréal (Qc) H2L 3L8 | 514 528-8444 | info@ecomusee.qc.ca

©2012-2015 Écomusée du fier monde, All rights reserved. Site Web par Kaki DCM

 

sent via Tapatalk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...