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ERJ-Boy

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Tout ce qui a été posté par ERJ-Boy

  1. Bernie a raison, le modèle canadien est assez exceptionnel. Le problème de Bernie, c'est que tu peux pas faire un changement aussi radical rapidement...
  2. Ça va être impressionnant de voir ça monter!! J'ai vraiment hâte de savoir les bannières qu'il y aura dans ce centre commercial. J'ai vraiment espoir que ce soit un genre de Yorkdale, avec une section grand luxe (qui sait).
  3. Doesn't mean much for Montreal... Most of the work would still be done out of LA. Plus they've been renovating all their space in the last year. There's no way they'd be moving. The only reason why it could be WSP is if the owner of their building wants to redevelop.
  4. S'ils se font sacrer dehors, ils ont pas bin bin le choix.
  5. Est-ce que ça pourrait être Bombardier dans la Tour Terminale?
  6. L'intérêt c'est de faire en sorte que des milliers de personnes n'aient pas à passer par Berri-UQAM et les lignes orange et verte.
  7. J'ai l'impression que ça va être quelques tours de 20-25 étages. Peut être 30 si on est chanceux.
  8. Un supertall aurait encore moins sa place à l'échangeur 15-40... qui est loin du centre-ville et du cluster de tours actuelles. Ça ferait très Back Bay, ce qui n'est pas exceptionnel
  9. N'oublions pas que c'est un estimé aussi... on ne sait pas tout à fait comment l'exercice a été fait.
  10. C'est sur que de construire au centre-ville doit couter plus cher aussi, et construire des correspondances avec Bonaventure/Gare Centrale, Place-des-Arts, Mont-Royal et Pie-IX doit pas aider aux coûts non plus.
  11. Faut pas oublier non plus que la ligne rose ferait augmenter la valeur de revente des propriétés, réduirait la congestion, augmenterait la mobilité. C'est des retombées économiques qui doivent être prises en compte dans l'analyse coûts-bénéfices, surtout que c'est une infrastructure qui durera potentiellement 50 ans avant un entretien majeur. Le jeu en vaut la chandelle selon moi. C'est le temps d'avoir un énorme projet porteur. Au même titre que la métropolitaine en tunnel ou le TGV Montréal-Toronto.
  12. On planifie donc le démantèlement de la portion "autoroute" du boulevard Taschereau?
  13. C'est quoi le taux de disponibilité des bureaux de classe A au centre-ville?
  14. L'échangeur 15-40 se trouve à 2.5nm du seuil de la 24L (pas directement dans l'axe). À cette distance l'avion doit être autour de 1000 pieds... soit 300m, qui est la hauteur à laquelle un édifice est considéré comme un supertall... Si on veut y aller avec une tour de 225m je suis partant par contre
  15. Désolé de vous décevoir mais c'est beaucoup trop proche de l'axe de la piste 24L de Montréal Trudeau pour que Transport Canada approuve un supertall à cet endroit...
  16. Bin c'est ça que je me dis... J'ai un doute sur la hauteur de ces tours et sur les toits verts... Par contre si ça peut amener un engouement pour ce coin de la ville, et le développement de Namur-Blue Bonnets et de ce qui se trouve entre les deux projets, ce sera un plus!
  17. Je suis sceptique, mais c'est joli. Donc si c'est construit comme tel, ce sera un bel ajout!
  18. Planète bleue, idées vertes: conjuguer écologie et économies avec les murs végétaux PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le nouveau centre de correspondance, qui accueille le public depuis décembre dernier, est doté d’un mur végétal de 22 mètres carrés (240 pieds carrés). Ce mur de plantes ne fait pas qu’enjoliver les lieux : il règle aussi le taux d’humidité de ce secteur de 3000 mètres carrés. Impossibles à manquer, les murs végétaux de l’aéroport Montréal-Trudeau attirent les regards. Mais ils ne sont pas qu’esthétiques : ils humidifient et climatisent l’air ambiant, ce qui se traduit par des économies d’énergie significatives. Publié le 24 février 2020 à 8h00 JEAN-THOMAS LÉVEILLÉ LA PRESSE Les voyageurs qui transitent par l’aéroport de Montréal l’ignorent probablement, mais leur confort repose en grande partie sur... des plantes. Le nouveau centre de correspondance, qui accueille le public depuis décembre dernier, est doté d’un mur végétal de 22 mètres carrés (240 pieds carrés). Ce mur de plantes ne fait pas qu’enjoliver les lieux : il règle aussi le taux d’humidité de ce secteur de 3000 mètres carrés. « Le retour d’air passe au travers », explique l’ingénieure Martine Saint-Arnaud, directrice adjointe de l’efficacité énergétique d’Aéroports de Montréal (ADM). Inutile, donc, d’avoir recours à un système mécanique d’humidification, qui consomme de l’électricité et requiert de l’entretien. De plus, l’eau y circule en circuit fermé, ce qui se traduit par une consommation quasi nulle. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Martine Saint-Arnaud, ingénieure, est directrice adjointe de l’efficacité énergétique d’Aéroports de Montréal (ADM). C’est de l’humidification naturelle, gratuite. Martine Saint-Arnaud, Aéroports de Montréal Cette infrastructure verte possède également les attributs de base de tout mur végétal : elle capte les composés organiques volatils (COV) et le dioxyde de carbone (CO2), ce qui « diminue la demande d’air frais, neuf, en provenance de l’extérieur » et se traduit aussi par des économies de chauffage ou de climatisation, ajoute Mme Saint-Arnaud. Amorti en huit ans Le mur végétal du nouveau centre de correspondance doit son existence à un projet-pilote réalisé en 2016 dans un autre secteur de l’aéroport Montréal-Trudeau, celui comprenant la zone de restauration publique et deux îlots d’enregistrement. « On avait des problèmes d’humidité relative », raconte Martine Saint-Arnaud. Le taux d’humidité descendait parfois à 12 %, loin du minimum de 25 % stipulé dans le Code du bâtiment. Avec un collègue, elle a planché sur une solution végétale plutôt que mécanique : l’installation d’un mur de plantes de 22 mètres carrés, à travers lequel passe le retour d’air. C’est né d’un besoin. Martine Saint-Arnaud, Aéroports de Montréal Et les résultats de ce « premier concept du genre au Québec » ont été probants, avec un « gain de 18 % » du taux d’humidité dans ce secteur de 6000 mètres carrés, s’enthousiasme-t-elle. Avec des économies d’énergie et de frais d’entretien d’environ 20 % par rapport à un système mécanique, le mur végétal est un investissement qui s’amortit en huit ans, estime ADM. « Tout ce qui peut briser, c’est la pompe », résume Mme Saint-Arnaud. Ce projet-pilote a donc « ouvert la porte » à l’intégration systématique de murs végétaux dans les nouveaux agrandissements ou dans les secteurs faisant l’objet de rénovations majeures, affirme-t-elle. En plus de celui du nouveau centre de correspondance, un autre, de 6 mètres carrés (64 pieds carrés), a été installé en juillet dernier dans les bureaux administratifs. ADM a également fait l’acquisition en 2018 de cinq petits murs végétaux « mobiles » de 2,3 mètres carrés (25 pieds carrés), conventionnels, qui peuvent être déplacés dans les aires d’embarquement. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Avec des économies d’énergie et de frais d’entretien d’environ 20 % par rapport à un système mécanique, le mur végétal est un investissement qui s’amortit en huit ans, estime ADM. Foncez Martine Saint-Arnaud ne voit « que du positif » avec les murs végétaux de l’aéroport, « une technologie qui permet d’utiliser les plantes plutôt que les systèmes mécaniques qui consomment de l’énergie ». Elle invite les entreprises à « ne pas hésiter et foncer » avec ce type de technologie. « Utilisez le mur végétal pas seulement pour sa partie esthétique et biofiltrante, [mais aussi pour] réduire la demande en énergie », dit-elle. Au-delà de ses bénéfices écologiques, qui s’inscrivent dans l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de consommation d’énergie d’ADM, elle y voit un « beau projet » au sens propre. « Ça crée un sentiment de mieux-être, ça apaise les gens, dit-elle. Tout le monde va y toucher ! »
  19. Je salue l'utilisation du bois et de la lumière naturelle! https://www.lapresse.ca/actualites/education/202002/25/01-5262313-quebec-presente-une-nouvelle-signature-visuelle-pour-les-ecoles.php Québec présente une nouvelle signature visuelle pour les écoles Exit le Lab-École, Québec a dévoilé ce matin une nouvelle « identité architecturale » pour les établissements scolaires de la province. Les agrandissements d’écoles et les nouvelles constructions suivront désormais un guide bien défini mettant à l’honneur le bois, l’aluminium et le bleu fleurdelisé. Publié le 25 février 2020 à 10h45 Mis à jour à 12h41 MARIE-EVE MORASSE LA PRESSE Le ministre de l’Éducation assure que les écoles du Québec ne seront pas uniformisées. « On veut avoir une signature visuelle. […] Ça ne sera pas identique, mais il y aura un rappel visuel suffisamment important pour qu’on sache que ça, c’est une école, que ça fait partie de la nouvelle génération d’école », a déclaré Jean-François Roberge, en citant en exemple les églises de la province. Ces nouvelles écoles comprendront également des espaces communs abondamment vitrés, utiliseront l’aluminium en parement et seront dotées de cours avec des places publiques ouvertes à tous. Déjà, 20 nouvelles écoles primaires et 16 écoles secondaires sont en voie d’être construites selon cette nouvelle « vision ». Le chantier prendra un « certain temps », a reconnu le ministre. Il a rappelé que 4 milliards sont déjà prévus cette année pour ces nouvelles constructions et rénovations. Quant au Lab-École instauré par le gouvernement libéral en 2017, il sera « arrivé au bout de son mandat » une fois que ses six écoles auront été livrées. « On n’a jamais désavoué le projet du Lab-École. J’ai trouvé ça intéressant, on a discuté avec eux et tiré profit de ce qu’ils ont fait. Ils ont fait de grandes consultations publiques, ont consulté des enseignants, la communauté, et toujours, on tirait profit de ça. On leur demandait quelles étaient [leurs] conclusions. Ils vont livrer leurs écoles et on va y aller avec le guide pour la suite », a déclaré Jean-François Roberge. Québec se dit « confiant » qu’il pourra s’entendre avec les municipalités pour construire ces nouvelles écoles sur des terrains que celles-ci pourraient lui céder. La loi 40 permet aux futurs centres de services scolaires d’acquérir des terrains municipaux sans débourser un sou, ce qui a soulevé l’ire des municipalités qui seront privées de revenus.
  20. Les salaires augmentent plus vite à Montréal qu'à Toronto ou Vancouver. Tôt ou tard, on finira par avoir ces marques et cette masse critique d'acheteurs qui permettra l'ajout de cette offre de luxe. Et ce n'est pas la job du centre commercial de "vendre en ligne".
  21. 3 minutes pour atteindre le centre-ville... je me demande si ça va créer un boom dans cette partie de la ville.
  22. Le projet 15-40 incorpore des éléments de divertissement et des options de restauration pour justement attirer du monde. De plus, ils essaient d'attirer plus de marques de luxe, qui sont nettement moins touchées par le commerce en ligne.
  23. Brossard est pas mal entièrement construite (mise à part la portion après l'autoroute 30, ou il ne devrait pas y avoir de développement). Je parle spécifiquement de cette ville puisqu'elle est mentionnée dans l'article en question.
  24. C'est pas de l'étalement si le développement se fait dans la première couronne...
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