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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Je me demandais si l'un des quatre anciens pavillons de l'hôpital ne pourrait pas être utilisé pour y reloger le Musée McCord. Parmi le Ravenscrag, le Hersey, le Ross et le Women's il doit bien y avoir un pavillon qui correspondrait aux besoins du Musée, non? Cela permettrait au McCord de demeurer dans le giron de l'Université McGill et offrirait un cadre architectural on ne peut plus approprié pour un musée de cette nature. Premièrement, il est difficile de dissocier le McCord de McGill. Deuxièmement, il est encore plus difficile de dissocier McGill du Royal Vic, surtout de par leur architecture respective. Troisièmement, les besoins du McCord ne cessent de grandir car ce musée a un pouvoir d'attraction de plus en plus grand sur les diverses collections qui n'y ont pas encore trouvé refuge et il est ainsi devenu au fil du temps un lieu magnifique de préservation de notre histoire qui n'a aucun équivalent ailleurs au Canada.
  2. Attentes et appréhensions à l’approche d’une consultation publique sur l’ancien hôpital Royal Victoria Zacharie Goudreault - Le Devoir Le milieu communautaire et les organismes de défense du patrimoine naviguent entre attentes et appréhensions à l’approche d’une consultation publique concernant le réaménagement du site de l’ancien hôpital Royal Victoria, dont une partie est convoitée par l’Université McGill. Une première séance d’information virtuelle aura lieu le 8 septembre, indique une récente mise à jour du site web de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), qui fera une annonce officielle à cet effet la semaine prochaine. La consultation s’échelonnera ensuite jusqu’en novembre et comprendra notamment des séances virtuelles d’audition des opinions des citoyens et des organismes, de même que des visites guidées de l’immense site de l’ancien hôpital. « Un bien collectif » Fondé en 1893, l’hôpital Royal Victoria a longtemps occupé une place importante dans le réseau de la santé montréalais. De nombreuses ailes se sont d’ailleurs ajoutées au fil des décennies au complexe hospitalier. La majeure partie des bâtiments sur ce site, d’environ 100 000 m2, sont toutefois vacants depuis le déménagement des activités du Centre universitaire de santé McGill au site Glen, en 2015. Ainsi, plusieurs ailes de l’ancien complexe immobilier laissées à l’abandon sont aujourd’hui dans un état de dégradation avancée. « Les immeubles sont vacants, donc ils se dégradent. Il y a aussi beaucoup d’espaces minéralisés qui ne peuvent bénéficier à personne actuellement alors que c’est un site qui a un grand potentiel », évoque au Devoir la directrice des affaires publiques des Amis de la montagne, Maryline Charbonneau, qui suivra avec intérêt cette consultation publique. « Il faut avoir une main mise sur ce bien collectif pour le redonner aux Montréalais », estime-t-elle. Ce site stratégique, situé au pied du mont Royal et à proximité du centre-ville, fait toutefois l’objet d’un vaste plan directeur d’aménagement de la Société québécoise des infrastructures qui inclut notamment un projet d’environ 700 millions de dollars piloté par l’Université McGill. L’établissement souhaite ajouter plus de 25 000 m2 à son campus actuel en aménageant un pôle d’innovation en développement durable et en politiques publiques destiné à ses professeurs et étudiants sur une partie du site de l’ancien complexe hospitalier. Sur les six bâtiments que McGill compte acquérir, plusieurs seraient démolis pour laisser place à ce projet. Les bâtiments les plus anciens, qui ont un important cachet patrimonial, seront restaurés. Il faut avoir une main mise sur ce bien collectif pour le redonner aux Montréalais — Maryline Charbonneau Le gouvernement du Québec a d’ailleurs approuvé le mois dernier le dossier d’opportunité de ce projet, baptisé le « Nouveau Vic ». Celui-ci est ainsi passé à l’étape du dossier d’affaires. La Ville de Montréal a pour sa part adopté un avis favorable le mois dernier concernant notamment les démolitions et les constructions prévues sur ce site, avant d’envoyer ce dossier devant l’OCPM. Des inquiétudes L’ensemble de la requalification du site soulève toutefois de nombreux enjeux sur lesquels l’OCPM, un organisme indépendant, sera appelé à se pencher. Le caractère patrimonial du site, son verdissement et la protection du mont Royal devraient notamment aviver les débats à venir pendant cette consultation. Le plan directeur d’aménagement prévoit entre autres de faire passer de 1200 à 200 le nombre de cases de stationnement sur ce site — largement minéralisé — afin d’y augmenter le nombre d’espaces verts. Des trajets piétonniers sont aussi prévus pour relier de façon plus formelle l’ancien hôpital au parc du Mont-Royal, afin d’éviter que des sentiers sauvages continuent de prendre forme aléatoirement dans ce secteur, nuisant à la biodiversité de ce milieu naturel. « Actuellement, les gens se créent eux-mêmes des chemins d’accès à partir du milieu naturel et ça entraîne une multiplication des chemins d’accès informels, confirme d’ailleurs Maryline Charbonneau. On veut que les gens puissent accéder au mont Royal de façon sécuritaire et paisible. » L’organisme Les Amis de la montagne se préoccupe d’ailleurs de l’avenir de l’importante portion du site de l’ancien complexe hospitalier qui ne sera pas occupée par l’Université McGill. Dans un avis préliminaire réalisé en juin 2020, le Conseil du patrimoine de Montréal et le Comité Jacques-Viger soulignaient d’ailleurs l’importance d’avoir, de la part des différentes parties impliquées dans le développement de ce site, « un engagement formel » quant au maintien du « caractère public » de ce site. « Il faut s’assurer qu’il y ait une vue d’ensemble, une vision commune » pour ce site pour éviter que celui-ci soit géré de façon distincte par « plusieurs promoteurs », estime également la directrice adjointe des politiques chez Héritage Montréal, Taïka Baillargeon. « C’est un site exceptionnel qui est vraiment important pour [le mont Royal] et le centre-ville », rappelle-t-elle. Il faut donc que la planification de celui-ci « soit à la hauteur » des attentes de la population. Pour ce faire, « il faut qu’une partie du site serve au développement de logement social », affirme la porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain, Véronique Laflamme. Actuellement, les seuls logements envisagés sur ce site sont des résidences étudiantes. « Il faut veiller aux grains pour s’assurer que les sites publics demeurent d’utilité publique, dans un contexte où le foncier devient hors de prix, insiste Mme Laflamme. Ça n’a aucun sens de laisser au privé des sites qui nous appartiennent collectivement. » Un enjeu électoral ? Cette consultation aura ainsi lieu en même tant que la campagne électorale municipale, ce qui laisse présager que le réaménagement de l’ancien hôpital Royal Victoria pourrait s’inviter dans les débats à venir entre les différents partis politiques montréalais. « En 2017, ce n’était pas un enjeu qui a l’importance qu’il a aujourd’hui. Aujourd’hui, il a tout le potentiel pour que ça devienne un enjeu important », estime la professeure à l’UQAM et experte en gestion municipale, Danielle Pilette. Cette dernière constate notamment que la préservation des points de vue sur le mont Royal préoccupe de plus en plus la population, tout comme des enjeux en matière d’habitation. L’OCPM pourrait déposer son rapport d’ici la fin de l’année ou encore au début de 2022. https://www.ledevoir.com/societe/621948/attentes-et-apprehensions-a-l-approche-d-une-consultation-publique-sur-l-ancien-hopital-royal-victoria
  3. La Biosphère est le seul musée consacré à l'environnement en Amérique du Nord. Maintenant qu'il est intégré à Espace pour la vie il recevra davantage de publicité et les visiteurs seront invités à se rendre au parc Jean-Drapeau. Avec l'ouverture d'Espace 67 il est déjà plus visible même s'il est fermé. Mais il connaîtra bientôt une troisième vie.
  4. Outre le Jardin botanique, le Biodôme, l'Insectarium et le Planétarium, Espace pour la vie s'apprête à accueillir la Biosphère. Pas physiquement évidemment mais intellectuellement. Pour s'initier aux sciences naturelles c'est la totale. Les Montréalais ont de quoi être fiers de ces installations qui sont uniques au monde. https://espacepourlavie.ca/biosphere
  5. FADEL chooses Montréal for its new R&D centre FADEL, an innovative provider of rights & royalty management software, is continuing its growth with a new research and development centre in Montréal, marking its expansion in Canada. FADEL has been assisting global brands with IP and content licensing rights, legal compliance, royalty fee calculation and billing management. Its unique cloud-based solutions ensure brand compliance, automate payment calculations to content creators, and calculate revenue from merchandising channels and digital content distribution – driving incremental revenue opportunities and streamlining royalty billing operations. FADEL’s products support some of the largest names in consumer products, media & entertainment, publishing, retail, manufacturing and high tech, including market leaders such as Pearson and Kohler. Based in New York City with hubs in six major urban centres, including LA, London, Paris and Beirut, the company has had its eyes on Montréal for a while. FADEL is betting on the city’s creative and tech savvy talent pool to further develop its line of products. “With its growing reputation as a technology hot spot, particularly in leading edge areas such as gaming and artificial intelligence, we are drawn to Montréal for its burgeoning talent as well as its bilingual and diverse demographic,” said Tarek Fadel. “As a global company with an international team, we are excited to invest in this thriving city, collaborate with other companies in its ecosystem, and launch some interesting new products.” To support its Montréal operations, FADEL plans to hire up to 50 people over the next several years, including graduates from the city’s renowned post-secondary establishments. FADEL’s Montréal team will be dedicated to the expansion of the organization’s tech capabilities. As a research and development centre, the office will contribute to the creation of new and innovative products filling roles across software development and quality assurance. As a company new to the region but well established across the US and Europe, FADEL is excited to participate in local events, network with the tech community, invest in the infrastructure and bring its products to the Canadian market. “Montréal’s thriving tech industry is once again attracting an innovator. The region is home to a vibrant techno-creative industry and a developed artificial intelligence ecosystem, both closely related to software development,” said Stéphane Paquet, President and CEO, Montréal International. “Such investments in research and development contribute to our local economic recovery while strengthening the local ecosystems.” “The opening of FADEL’s research and development centre in Montréal is an indisputable example of the vitality of our innovation ecosystem, says Hubert Bolduc, President of Investissement Québec International. Our teams, based around the world, will continue to highlight the advantages of long-term investment in Québec to foreign companies in sectors that are strategic to our economic development.” https://www.montrealinternational.com/en/news/fadel-chooses-montreal-for-its-new-rd-centre/
  6. Les technos montréalaises de la santé sont en pleine éclosion Alain McKenna - Le Devoir Sur la scène technologique, on associe généralement Montréal aux jeux vidéo et à l’intelligence artificielle (IA). Au rythme où vont les choses, il faudra bientôt penser à ajouter les technologies de la santé à la liste. L’émergence ces derniers mois des Dialogue, Alaya Care et autres Aifred Health témoignent d’une effervescence dans ce secteur qui va au-delà des effets de la COVID-19. « Nous assistons vraiment à l’émergence d’un nouvel écosystème à Montréal », croit le Dr David Benrimoh, directeur scientifique pour Aifred Health. La jeune pousse qui a récemment levé 4 millions pour développer une solution de traitement de maladies mentales comme la dépression reposant sur l’intelligence artificielle vient de terminer au second rang du concours IBM Watson X Prize en IA. Cette distinction vient avec une bourse d’un million de dollars, en prime. Et une occasion de maillage qui a permis à Aifred de voir le jour. « C’est grâce au X Prize que nous nous sommes incorporés et que nous avons intégré l’incubateur District 3 de l’Université Concordia. Ce concours a vraiment validé notre technologie et notre vision », ajoute le Dr Benrimoh en entrevue téléphonique avec Le Devoir. Aifred Health s’apprête à commercialiser une partie de sa technologie dans les prochains mois au Canada et aux États-Unis. L’intelligence artificielle qui devrait aider un peu plus les professionnels de la santé à moduler automatiquement le dosage des soins apportés à leurs patients souffrant de dépression sera ajoutée par la suite. Le malheur des uns… L’IA est très en vogue ces jours-ci dans le secteur de la santé, pour une raison simple, avance la firme Gartner : son application permettrait de réduire de façon substantielle les coûts des soins de santé, qui s’élèvent à quelque 3300 milliards $ US par an en Amérique du Nord seulement. Montréal a déjà une certaine réputation en IA, mais la récente vente d’Element AI à des intérêts étrangers a libéré plusieurs spécialistes qui se retrouvent ces jours-ci à faire bénéficier à de jeunes pousses de leur expertise. Ça contribue à l’effet d’émergence des technos montréalaises de la santé, assure Magaly Charbonneau, associée du fonds iNovia Capital. « Ces gens-là sont importants. On en voit plusieurs dans les entreprises composant notre portefeuille et nous tenons à ce qu’ils continuent de travailler chez nous ! » dit-elle. L’intégration de l’IA dans les solutions de santé numérique est très importante pour les nouvelles entreprises, ajoute la femme d’affaires montréalaise, puisqu’elle leur permet d’offrir des outils plus puissants qui les distinguent avantageusement de la concurrence. Phénomène également relativement récent, Montréal compte ces jours-ci sur un écosystème d’investisseurs, de gens d’affaires et d’entrepreneurs qui semblent au diapason sur la direction à apporter pour se lancer en affaires. « On n’avait pas ça, avant. Ça rend bien plus facile l’accès au talent ainsi qu’au financement », dit Mme Charbonneau. 3300 milliards Ce sont, en dollars américains, les coûts annuels des soins de santé en Amérique du Nord, selon la firme Gartner. Du financement qui touche jusqu’à la recherche fondamentale. Même sans l’émergence des technologies de la santé, Montréal compte sur un important secteur des sciences de la vie. On y trouve plus de 600 entreprises qui ont investi, avec les centres de recherche universitaires, plus de 10 milliards en recherche-développement à ce jour. Un virage durable Autre fait rare, les technologies montréalaises de la santé comptent plusieurs entreprises de forte taille, dont Alaya Care et même Dialogue, qui s’est inscrite à la Bourse de Toronto à la fin mars. Dialogue offre des services de télésanté en entreprise et semble à la recherche d’acquisitions prometteuses pour s’imposer comme la principale plateforme de consultation médicale à distance au Canada. L’entreprise montréalaise a d’ailleurs mis la main le mois dernier sur le spécialiste australien en thérapie cognitive sur Internet ehub Health pour garnir un peu plus son catalogue de soins auxquels des milliers d’employés salariés partout au pays ont accès. De son côté, Alaya Care vient de boucler cette semaine une ronde de financement de série D de 225 millions qui est menée principalement par le fonds américain Generation Investment Management, dirigé par l’ex-vice-président américain Al Gore. Selon des sources proches de l’entreprise, ce créateur d’une plateforme intégrée d’outils numériques qui facilitent les soins de santé à domicile atteint grâce à ce financement une valeur qui se rapproche du seuil symbolique du milliard de dollars nécessaire pour en faire ce qu’on appelle une « licorne » dans le monde de l’investissement. L’entreprise fondée en 2014 compte aujourd’hui plus de 500 employés et génère des revenus qui font qu’on ne peut plus la décrire comme une start-up, même si sa croissance est supérieure à celle de l’ensemble de son marché. Alaya Care affirme que la taille de ses activités aux États-Unis a été multipliée par sept au cours des deux dernières années. Pendant ce temps, selon la firme spécialisée Precedence Research, le secteur des soins de santé à domicile croît de 8 % par année à l’échelle mondiale… Au moins, c’est une croissance qui risque d’être durable : le vieillissement de la population partout sur la planète est le principal stimulant derrière cette croissance plutôt stable, selon Precedence Research. « Alaya Care est dans une position assez unique pour résoudre le casse-tête que représentent, tant pour les patients que pour les professionnels du secteur, la prise de rendez-vous et la gestion des soins de santé à domicile », assure par communiqué son p.-d.g. Adrian Schauer. Un casse-tête qui risque de perdurer bien au-delà de la crise actuelle de COVID-19, une occasion que la scène technologique montréalaise compte bien saisir pour continuer de croître. https://www.ledevoir.com/economie/613941/les-technos-montrealaises-de-la-sante-sont-en-pleine-eclosion
  7. Ce n'est pas pour rien si à Montréal plusieurs de ces usines ont été transformées en condos. Prével en a même fait une spécialité, en commençant avec le Loft Imperial et ses magnifiques plafonds de 11 pieds.
  8. Je crois qu'autrefois ces terrains furent occupés par la Dominion Oil Cloth, dont ce qui subsiste aujourd'hui occupe le coin de l'autre côté de Parthenais.
  9. Voici une image de Street View datant de deux ans.
  10. La PDG d’Hydro-Québec aura sa Tesla La PDG d’Hydro-Québec Sophie Brochu est en voiture et deviendra bientôt la première dirigeante de la société d’État à rouler dans un véhicule de fonction 100 % électrique, a appris Le Journal. Francis Halin - Le Journal de Montréal « Ça sera une voiture Tesla modèle Y 100 % électrique. Il n’y aura plus aucune émission de gaz à effet de serre (GES) liée au véhicule de fonction », a confirmé au Journal le porte-parole d’Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty. D’ici la fin de l’année, la numéro 1 de la société d’État délaissera son hybride rechargeable pour une voiture 100 % électrique, qui pourra lui offrir assez d’espace pour « un bureau de travail mobile ». « La Volvo XC 90 hybride rechargeable avait un coût d’achat de 82 000 $, alors que la Tesla modèle Y coûtera 73 000 $. On parle quand même de 9000 $ de moins », a détaillé Louis-Olivier Batty. Des épargnes Au Journal, le porte-parole d’Hydro-Québec fait également valoir que les coûts d’utilisation et d’entretien du véhicule seront eux aussi revus à la baisse. Avant, la société d’État payait 5000 $ d’essence par année pour les 40 000 kilomètres de sa présidente, alors qu’avec la Tesla 100 % électrique, les coûts fonderont comme neige au soleil à 1000 $ d’électricité. À cela s’ajoutent des frais d’entretien qui seront eux aussi revus à la baisse et qui feront économiser un autre bon 400 $ annuellement. « On parle donc de gains assez importants : 9000 $ de moins à l’achat et de près de 4500 $ de moins par année, sachant qu’un véhicule de fonction se garde de quatre à sept ans », résume Louis-Olivier Batty. Hier, il a rappelé que le Québec est un leader en électrification. « Près de la moitié des véhicules électriques (VÉ) vendus au Canada sont ici », a-t-il dit. « C’est une bonne nouvelle de voir qu’une PDG d’Hydro-Québec se commet avec un véhicule 100 % électrique », a applaudi Daniel Breton, de Mobilité Électrique Canada (MEC), auteur du Guide pratique de la voiture électrique. « C’est un véhicule tendance à la mode. Ça semble coller à l’image de Sophie Brochu », a observé Germain Goyer, producteur de contenu automobile au Guide de l’auto. Du chemin à faire Seul bémol, il craint que la Tesla soit de moins bonne qualité. « C’est moins bien assemblé qu’une Volvo et la qualité des matériaux est moindre », a-t-il analysé. Par ailleurs, pour ce qui est du reste de sa flotte, Hydro-Québec a encore du chemin à faire. Seulement 35 % de ses autos, minifourgonnettes et petits véhicules utilitaires sport (VUS) sont hybrides, hybrides rechargeables ou 100 % électriques. Et si l’on compte les autres véhicules légers (pick-up, fourgonnettes cargo et grands VUS), pour lesquels Hydro-Québec dit qu’il n’y a pas d’offres disponibles en ce moment sur le marché, ce chiffre plonge à 15 %. https://www.tvanouvelles.ca/2021/07/30/la-pdg-dhydro-quebec-aura-sa-tesla
  11. Ça fait 40 ans que Prével offre cette valeur ajoutée. Ils ont toujours été des pionniers, non seulement dans Griffintown mais aussi dans le Faubourg des Récollets, et même dans Shaughnessy où les 500 unités du Séville se sont vendues en trois heures et pour lequel il y avait une file d'attente de 36 heures avant l'ouverture des bureaux. Il y a longtemps déjà le Lowney offrait des terrasses sur les toits et des passerelles permettant aux résidents des différentes phases d'interagir socialement via des espaces communs. Ils ont aussi créé les premiers chalets urbains. Le 21e est un autre exemple éloquent de milieu de vie avant-gardiste en phase avec la société actuelle.
  12. Ottawa versera des milliards à T.-N.-L. pour compenser les coûts de Muskrat Falls Les coûts de cet important projet hydroélectrique, qui accumule les retards, ont plus que doublé depuis 2010. Les gouvernements fédéral et provincial de Terre-Neuve-et-Labrador ont annoncé mercredi avoir conclu un accord de 5,2 milliards de dollars pour une restructuration financière du projet hydroélectrique de Muskrat Falls. L’accord va permettre de limiter la hausse des tarifs d’électricité. Les coûts du projet, qui accumule les retards, ont plus que doublé depuis 2010. Le premier ministre Justin Trudeau soutient que l'accord a été conclu pour assurer la viabilité financière du projet à la suite d'une excellente rencontre mercredi matin. Les détails ont été dévoilés lors d’une séance d'information technique suivant l’annonce. Les nouveaux tarifs d’électricité atteindront 14,7 sous le kilowattheure (kWh), soit plus que les 13,5 sous promis par l’ex-premier ministre Dwight Ball. Sans ce nouvel arrangement, les tarifs d'électricité auraient cependant bondi de 75 % pour couvrir les coûts du projet, selon les autorités. Ils devraient néanmoins augmenter de 2,25 % par an par la suite. L’accord inclut un financement de 2 milliards de dollars d’Ottawa, partagé en investissement et en garantie de prêt pour les actifs de transport du projet, et des transferts tirés des revenus nets de la plateforme pétrolière Hibernia. Ces revenus sont évalués à environ 3,2 milliards d’ici la fin de la vie utile de la plateforme, située à 315 km au large de Saint-Jean. Maintes interventions d'Ottawa Ce n’est pas la première fois qu’Ottawa intervient pour venir en aide à la province relativement à ces travaux. Le projet hydroélectrique controversé de 824 mégawatts dans le centre du Labrador a connu des retards et des dépassements de coûts dans la décennie qui a suivi son annonce, la facture passant de 6,2 milliards de dollars à plus de 13 milliards. Il menaçait d'aggraver la situation financière déjà fragile du gouvernement provincial, qui croule sous sa dette, et de le forcer à trouver des centaines de millions de dollars par an pour subventionner les tarifs d'électricité. Cette aide représente un bon coup de pouce parce que la province est dans une situation économique précaire, explique Stéphanie Chouinard, professeure de science politique au Collège militaire royal du Canada. Le gouvernement fédéral est impliqué depuis plusieurs années […], mais l’annonce d’aujourd’hui semble beaucoup plus importante. L'accord est le résultat de négociations de haut niveau qui ont commencé en décembre dernier, lorsque le premier ministre Trudeau a nommé Serge Dupont, un ancien greffier adjoint du Conseil privé, pour négocier la restructuration financière de Muskrat Falls. M. Dupont a négocié avec Brendan Paddick, un cadre en télécommunications et proche conseiller du premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Andrew Furey. Le premier ministre a choisi M. Paddick pour diriger l'équipe d'atténuation des tarifs de Terre-Neuve-et-Labrador. L'objectif était de trouver un moyen d'atténuer les dommages financiers causés par le projet sans infliger des augmentations de taux punitives à une population vieillissante dans une province en difficulté économique. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1812384/muskrat-falls-barrage-hydro-terre-neuve-dette-tarifs-electricite
  13. Le but de ce projet était d'acquérir une certaine indépendance envers HQ. Ils ne pouvaient donc pas en même temps demander l'aide d'Hydro-Québec pour réaliser ce projet. De plus dans le passé ils ont déjà demandé l'aide d'Hydro-Québec pour réaliser Churchill Falls et ils ont l'impression de s'être fait fourrer. Et en voulant réparer cette erreur du passé, dont ils attribuent d'ailleurs la responsabilité à Hydro-Québec, ils ont commis une autre erreur bien plus grave à mon sens. Le plus drôle (ou le plus triste, c'est selon) c'est qu'ils n'ont pas vraiment besoin de cette électricité en ce moment. Ils auraient très bien pu attendre la fin du contrat de Churchill Falls dans une vingtaine d'années et au besoin s'alimenter à faible coût de cette centrale qu'ils contrôleront alors è 65,8%, l'autre 34,2% appartenant toujours à Hydro-Québec.
  14. Ottawa to give N.L. billions of dollars to offset Muskrat Falls costs Deal will allow province to avoid significant borrowing to keep rates low David Cochrane - CBC News The federal government is finalizing a multi-billion-dollar agreement with Newfoundland and Labrador to financially restructure the over-budget and behind-schedule Muskrat Falls hydroelectric project, CBC News has learned. Sources with knowledge of the agreement say Ottawa will buy an equity stake in the project and guarantee more of its debt to reduce borrowing costs and help keep electricity prices low. The precise dollar amounts weren't shared with CBC News. Sources say negotiations are continuing today with the aim of finalizing the agreement in the hours before the prime minister's scheduled pre-election visit to the province. Prime Minister Justin Trudeau and Premier Andrew Furey are expected to announce the deal in St. John's on Wednesday. The 824-megawatt hydro project in central Labrador has been plagued by delays, cost overruns and political controversy in the decade since it was first announced. The enormous debt of the out-of-control project threatened to worsen the provincial government's already weak financial position and force it to find hundreds of millions of dollars a year to subsidize electricity rates. Without this new arrangement, electricity rates would have jumped by 75 per cent to cover the project's costs. Sources say the financial relief in the agreement will allow the province to avoid those catastrophic rate increases — though it won't completely offset the need for rates to rise over time. The deal is the result of high-level negotiations that started last December when Trudeau appointed Serge Dupont, a former deputy clerk of the Privy Council, to negotiate the financial restructuring of Muskrat Falls. Dupont negotiated with Brendan Paddick, a telecommunications executive and close adviser to Furey. The premier picked Paddick to lead Newfoundland and Labrador's rate-mitigation team. The goal was to find a way to mitigate the financial damage done by the project's runaway development without inflicting punishing rate increases on an aging population in an economically struggling province. Project costs have doubled Then-premier Danny Williams pitched Muskrat Falls in 2010 as a green energy option to replace the province's largest oil-burning power generation facility and meet future demand. It would bring Labrador power to the island of Newfoundland and then into Nova Scotia through a series of sub-sea cables. The entire project was supposed to cost just $6.2 billion. But after a decade of delays and deception, the final price tag is now set to come in at more than $13 billion. The project was spearheaded by Nalcor Energy, a powerful Crown corporation Williams created to transform Newfoundland and Labrador into a major energy supplier. Last year, a judge-led provincial inquiry found that the former Nalcor leadership "concealed information that would undermine the business case reported to the public, to [the provincial government] and to Nalcor's board of directors." Finding a way to limit the damage done by Muskrat Falls is one of the most pressing political issues facing Newfoundland and Labrador. Without significant mitigation, average electricity bills will spike from 13 cents per kilowatt hour to just under 23 cents when the project finally delivers power later this year. The province's Public Utilities Board, which sets electricity rates, completed a study of mitigation options that found ways to hold rates to 20 cents per kilowatt hour. But the utilities board warned that a price increase of that magnitude would be too much to absorb for people in a province with high unemployment, and could make major employers less competitive. It concluded that limiting rates further would require significant help from the federal government that could include a financial restructuring of the project. The provincial Liberal government and the taxpayer-owned Nalcor have been trying to find a combination of cost savings and revenue options to cap that massive rate increase. But doing so would require hundreds of millions of dollars a year, at a time when the provincial government is already running record deficits. Last year, the federal government helped Newfoundland and Labrador manage the rising cost of Muskrat Falls by temporarily waiving debt and financing charges. This restructuring arrangement will be the third time the federal government has helped to directly underwrite the cost of the project. In November 2012, former prime minister Stephen Harper agreed to guarantee up to $5 billion of the project's debt. That allowed the provincial government to access the federal government's much stronger credit rating and lowered interest payments. At the time, Muskrat Falls was projected to cost $7 billion. By 2016, costs had ballooned to $11.4 billion. Jim Carr, the natural resources minister at the time, agreed to increase the loan guarantee by an additional $2.9 billion, increasing the federal government's guarantee to $7.9 billion. https://www.cbc.ca/news/politics/muskrat-falls-hydro-newfoundland-labrador-1.6119276
  15. @Chris1989 You might find a few shots for your next concoction in the opening scene of the following movie where the action takes place in China. That particular scene last less than two minutes.
  16. Je partage l'entièreté de ton analyse. Je voudrais juste ajouter que l'aménagement du parc Robert-Bourassa a complètement désenclavé Griffintown et que l'on peut maintenant circuler librement de, ou vers, le Faubourg des Récollets qui lui aussi connait une véritable renaissance.
  17. Donc avant l'ÉTS, car celle-ci est arrivée en 1997. D'ailleurs grâce à la présence de l'ÉTS, en 2003 Prével débutait la première phase du Lowney. Mais je ne connais pas bien l'histoire de Griffintown et j'aimerais savoir s'il y a eu d'autres développements importants entre 1997 et 2003, ou même avant.
  18. Il me fait penser au 750 Peel, dans sa troisième incarnation (l'avant-dernière). Une version très controversée que personnellement je trouve très réussie pour l'endroit et que j'aurais bien aimé voir se réaliser. Mais au grand soulagement de la majorité ce projet a été abandonné.
  19. It's a 100-story skyscraper called Window of Opportunity. Il faudra cependant attendre qu'il soit approuvé par le nouveau maire. 😜
  20. Il y avait également celui-ci, qui date de 2015 je crois.
  21. Il manque encore le 1 Square Phillips, le 900 Saint-Jacques et les projets South Block. Avec le 628, le Victoria et le 800 tout cela créera éventuellement une magnifique façade à l'entrée de la ville lorsque l'on arrivera par l'autoroute Bonaventure et cela donnera un peu plus de voilure à la ville.
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