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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Un nouveau studio de cinéma à l’UQAM https://www.tvanouvelles.ca/2021/10/25/un-nouveau-studio-de-cinema-a-luqam
  2. C'est un belle photo, mais tu aurais pu prendre la même la semaine dernière car le chantier est à nouveau immobilisé.
  3. Une commande potentielle de plusieurs centaines de millions pour Lion La Compagnie électrique Lion est positionnée pour décrocher une commande de 1000 autobus scolaires électriques – la plus importante de sa jeune histoire – évaluée à environ 300 millions si son client, Student Transportation of Canada (STC), est admissible à un programme d’aide récemment annoncé par le gouvernement Trudeau. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-10-25/une-commande-potentielle-de-plusieurs-centaines-de-millions-pour-lion.php
  4. On a commencé à ériger la grue vendredi (1-2-3) et le chantier s'est mis sur pose samedi. On a repris les activités dimanche (4-5-6) et en début d'après-midi l'érection de la tour était complétée.
  5. Pas de centres de données, pas de MTLURB. Et pas de MTLURB, pas de Rocco. 😜
  6. Le Québec se veut le nouvel eldorado vert et «pas cher» des centres de données Avec son électricité bon marché et renouvelable, le Québec rêve de devenir un nouvel eldorado pour les géants technologiques, qui y déploient de plus en plus leurs centres de données («data centers») dans un secteur en plein essor, mais très énergivore. Cinquante centres sont actuellement installés dans la province canadienne, contre 39 début 2019, dont certains sont détenus par des champions de ce secteur devenu stratégique pour l'économie numérique comme Amazon (leader du «cloud», l'informatique à distance, avec sa filiale Amazon Web Services), Microsoft, Google ou encore IBM. Encore loin derrière la Virginie aux États-Unis et sa «Data Center Alley» qui revendique 70% du trafic internet mondial, ou l'Ile-de-France, qui compte plus de 120 centres de données, le Québec veut devenir une option. Au cours des dernières années, «on a vu de nouveaux joueurs arriver, et de très gros joueurs», se félicite Stéphane Paquet, PDG de Montréal international, l'organisme chargé de la promotion économique de la métropole. Le géant américain Google, déjà présent dans la province, a prévu de construire son premier centre de données, un investissement de 735 millions de dollars canadiens (489 millions d'euros) sur un terrain d'une soixantaine d'hectares. Même stratégie d'expansion pour Microsoft, qui a acheté un terrain dans l'agglomération de la ville de Québec. Environnement L'un des pionniers, l'hébergeur français OVHcloud, a installé au Québec en 2012 l'un de ses 32 centres de données. À l'intérieur d'une ancienne usine d'aluminium dans la grande banlieue de Montréal, des dizaines de milliers de serveurs sont entreposés dans de vastes conteneurs. «L'objectif était de nous implanter sur le continent américain et la porte d'entrée naturelle a été le Québec où se trouvait aussi une source d'énergie renouvelable. Ce n'est pas la seule raison, mais ça a fortement joué dans la décision», explique à l'AFP Estelle Azemard, vice-présidente d'OVHcloud pour les Amériques. Cette infrastructure de 10.000 mètres carrés est située à Beauharnois, à quelques dizaines de kilomètres de Montréal, près d'un barrage hydroélectrique. L'entreprise, qui figure parmi les leaders mondiaux du «cloud» et de l'hébergement de sites web, a mis au point une technologie pour refroidir la chaleur dégagée par les machines avec de l'eau, ce qui lui permet de se passer de climatisation. «L'environnement est vraiment au coeur de notre système d'affaires», assure Mme Azemard. Électricité à bas coût Argument financier de taille, le Québec se targue de proposer une électricité à bas coût, qui défie la concurrence américaine et européenne avec un prix d'environ 5 cents (en dollars canadiens) le kilowattheure. «Nos tarifs sont parmi les plus avantageux au monde», vante Cendrix Bouchard, porte-parole d'Hydro-Québec, qui détient le monopole public de production et de distribution d'électricité. «On vient ici parce que ce n'est pas cher, mais surtout parce que c'est une énergie qui est renouvelable» à plus de 99%, explique à l'AFP M. Paquet. Les hivers longs et froids de la province francophone permettent également de limiter les dépenses nécessaires pour le refroidissement des machines, selon M. Paquet. Gloutons en matière d'énergie, les centres de données, dont les serveurs ont sans cesse besoin d'être refroidis pour éviter la surchauffe, émettent près de «4% des gaz à effet de serre du monde, soit davantage que le transport aérien civil» selon un rapport du groupe de réflexion français The Shift Project publié en 2019. Au Québec, la consommation mensuelle d'électricité des centres de données atteint environ 663 gigawattheures (GWh), soit l'équivalent de la consommation de 40.000 foyers. «Il vaut mieux mettre des +data centers+ dans des endroits qui sont alimentés en électricité hydraulique, solaire ou même nucléaire, qu'alimentés par de l'électricité produite par des centrales à charbon», salue Hugues Ferreboeuf, de The Shift Project. «Mais ça ne suffit pas», ajoute-t-il. «Il faut qu'en même temps ils arrivent à maîtriser la croissance de leur consommation, sinon ils vont capter une part trop importante de l'électricité produite par des énergies renouvelables». https://www.journaldemontreal.com/2021/10/23/le-quebec-se-veut-le-nouvel-eldorado-vert-et-pas-cher-des-centres-de-donnees-1
  7. Endettement Les Québécois s’en sortent mieux que les autres Canadiens La crise sanitaire a dégradé la qualité de vie de plusieurs Canadiens en raison de l’augmentation du coût de la vie, révèle l’Indice d’accessibilité financière de BDO Solutions à l’endettement. Toutefois, les Québécois auraient été largement épargnés. Claudia Blais-Thompson - Le Soleil Quarante-trois pour cent des Canadiens ont ajouté des dettes à cause de la pandémie, soit quatre pour cent de plus par rapport à l’an dernier. Parmi eux, 26 % ont contracté au moins une nouvelle forme de dette durant cette période. Sept personnes sur dix affirment que cette nouvelle dette a nui à leur qualité de vie et la moitié se disent optimistes de pouvoir rétablir leur qualité de vie prépandémique. De façon générale, le premier vice-président de BDO Solutions à l’endettement, Ronald Gagnon, croit que l’écart, qui se dessinait déjà l’an dernier dans le sondage, entre « ceux pour qui ça va bien et ceux pour qui ça va moins bien » se poursuit cette année. « Il y a une certaine catégorie de Canadiens qui, leur situation financière va mieux qu’elle allait prépandémie, entre autres parce que les voyages en Europe n’ont pas eu lieu. Les dépenses non essentielles n’ont pas été engagées. Il y a une partie de la population qui va mieux. » En revanche, il précise que la situation financière de trois répondants sur dix est encore difficile. « Pour une personne sur quatre de ces gens-là, ils ont encouru une dette de plus qu’ils avaient à la même période l’an dernier, ajoute M. Gagnon. Ils ont un peu de misère à retrouver leur niveau de vie prépandémique. » Les femmes, les Canadiens âgés de 35 à 54 ans et les gens des provinces maritimes sont les groupes les plus touchés par l’endettement. Trois répondants sur dix ont eu recours aux prestations gouvernementales et 76 % les décrivent comme très importantes ou essentielles. Du lot, les femmes (82%), les Canadiens âgés de 35 à 54 ans (84%) et ceux qui gagnent moins de 50 000 $ (80%) ont été plus susceptibles d’avoir recours aux prestations gouvernementales pour maintenir leur qualité de vie. Au Québec Parmi les Québécois sondés, 85 % d’entre eux disent ne pas avoir de difficulté à subvenir à leurs besoins de base, alors que la moyenne au Canada est de 77 %. Un quart des Québécois affirment que le coût du logement représente un défi pour eux en fonction de leur revenu, le taux le plus bas au pays, alors que la moyenne nationale est de 45 %. « On dirait que ce qui est véhiculé [dans les médias] n’est pas représentatif de ce qu’on a sondé, concède M. Gagnon. […] Même si on est encore là mieux qu’ailleurs au Canada, il y a quand même sept personnes sur dix au Québec qui disent qu’ils ne prévoient pas d’achat de maison dans les trois prochaines années et que l’une des raisons est l’incapacité de réussir à avoir la mise de fonds nécessaire à l’achat. » Parmi ceux qui ont contracté des dettes pendant la pandémie, près des deux tiers (63 %) disent que cela a eu un impact négatif sur leur niveau de vie. Ce chiffre est toutefois le plus bas de toutes les régions étudiées, la moyenne nationale étant de 70 %. En matière d’épargne, trois Québécois sur dix ont indiqué avoir épargné davantage pendant la pandémie, et 74 % affirment que c’est parce qu’ils ont réduit leurs dépenses non essentielles en voyages, en repas et en appareils électroniques. De plus, 69 % mentionnent avoir une épargne-retraite et 51 % ont actuellement plus qu’assez d’argent ou sont en passe d’en avoir suffisamment. https://www.lesoleil.com/actualite/endettement-les-quebecois-sen-sortent-mieux-que-les-autres-canadiens-047be4858c535dfa85d5c1254a917ed2?utm_medium=twitter&utm_source=dlvr.it
  8. Il s'agit de bien davantage qu'une simple nouvelle place car l'endroit sera animé en tout temps, l'année durant, hiver comme été. L'impact sera donc énorme. Lorsqu'il ne se passera pas grand chose à l'extérieur les gens pourront toujours se réfugier à l'intérieur des chalets. Ce sera donc un endroit très dynamique.
  9. De par son imposante structure il aura dans ce secteur le même effet que la Place Ville-Marie a eu au centre-ville dans les années 60 ainsi que le Sun Life avant lui.
  10. Je ne crois pas qu'elles soient permanentes. Selon moi elles seront retirées au printemps pour laisser place à un aménagement estival. Avec l'espace disponible sous l'esplanade ils ont beaucoup de flexibilité et peuvent adapter leurs besoins selon les saisons et les évènements.
  11. J'ai l'impression que certains acheteurs ne réalisent pas ce qui les attend. On ne peut pas tout voir lorsqu'on magasine pour une habitation et c'est le genre de choses qui peut facilement nous échapper. Souvent c'est après le déménagement que la réalité se manifeste à nos yeux mais il est alors trop tard (voir esquisse ci-jointe). Sur la maquette (voir la photo ci-haut) ils ont mis des arbres en pots sur la terrasse au bas de l'escalier afin de cacher la vue; l'idée étant sans doute de pouvoir les retirer pour certaines occasions. Cela démontre quand même l'absurdité de la situation. L'autre mesure étant le mur qui longera la ruelle et que l'on peut déjà apercevoir sur le chantier en cours. Mais sa hauteur est limitée et ne cachera pas grand chose finalement. Sur l'esplanade du basilaire on sera à la hauteur des derniers étages tandis que sur la terrasse au bas de l'escalier on sera seulement à la hauteur du premier étage du Starbucks et le mur ne montera pas plus haut.
  12. Elle n'a pas changé beaucoup effectivement et j'en veux pour preuve la seconde photo ci-jointe qui date de mars dernier (@Mtlarch), plus une troisième qui date d'une semaine environ (@Bandolero).
  13. Ce que j'apprécie de cette vidéo c'est qu'on voit pour la première fois la terrasse dont je parlais et celle-ci semble assez proche des dimensions que j'anticipais dans un commentaire précédent: 10m X 12m.
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