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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. C'est plus que dérangeant, je dirais même que c'est méprisant, surtout après toutes ces années de combat pour préserver notre langue. Mais c'est le nom qu'on lui a donné, alors c'est le nom que l'on doit utiliser pour le moment.
  2. Sur cette photo l'escalier est bien à l'est de l'ancienne gare Dalhousie où réside le Cirque Éloize, comme tu le disais toi-même dans ton commentaire précédent. Car sur cette photo on regarde vers le Vieux-Montréal, donc vers l'ouest.
  3. Ce qu'il faut cacher ce n'est pas la PB mais l'horrible rampe d'accès (ce que le 900 fera en partie). Moi j'ai toujours aimé la Place Bonaventure et l'aime encore plus aujourd'hui suite aux rénovations. Le soir c'est même devenu l'un des plus beaux édifices de Montréal. Photos: François LeClair.
  4. Then you have to do the same until they give a different name to the lots.
  5. Yes that is where it would have been erected.
  6. Ça ressemble à ça en effet.
  7. Oui mais à mon âge je peux me permette de radoter. 😛 Une idée que les architectes ont eu spontanément oui, mais seulement après le refus du propriétaire de vendre. Il faut comprendre que tout cela n'était pas voulu au départ et qu'il s'agit d'un compromis embarrassant, pour ne pas dire honteux. Une terrasse qui donne sur l'arrière du premier étage du Starbucks on comprend qu'on est pas bien loin du ridicule. On comprendra aussi que le Maestria donne en principe sur la place des Festivals et que cela fait partie du concept des lieux. Hélas les résidents qui s'aventureront sur cette terrasse auront la vue complètement obstruée par ces commerces. Et cette situation sera particulièrement insupportable lorsqu'il y aura de l'action à cet endroit. De grâce les amis arrêtez de vous planter la tête dans le sable et regardez la vérité en face, que ce soit à partir de la place des Festivals ou de la terrasse d'où on ne pourra pas voir ce qui s'y passe.
  8. La tour du maire Drapeau (pardonnez-moi si je dévie un peu du sujet).
  9. Je serais tout à fait d'accord car pour moi le 200 mètres est une limite naturelle, dans le sens que peu importe qu'il y ait ou non une montagne, je trouve que les édifices de 50 à 60 étages sont à la fois sobres et élégants. Évidemment je ne crois pas que nous aurions cette limite à Montréal si ce n'était de la montagne, mais cela aura toutefois eu pour effet de faire une ville à l'allure humble et modeste. Par contre une tour comme le CN qui se démarque complètement par rapport à son environnement je trouve ça très bien aussi et j'aimerais bien en avoir une à Montréal. Je n'imposerais donc pas de limite pour une tour, comme la tour Eiffel par exemple. Mais il faudrait que cela relève du one of a kind. Ci-joint la tour proposée par Lucien Saulnier, qui aurait été beaucoup moins onéreuse que celle proposée par son patron et que je présume tout le monde ici connait. Sinon j'aurais plein de photos à vous montrer de la tour du maire.
  10. Merci pour cette gentille correction. J'utilise parfois le mot Ville au sens large du terme, certains diraient abusivement, mais dans ce cas-ci il n'était vraiment pas approprié de le faire, l'OCPM étant un organisme indépendant.
  11. Lorsque je parlais de l'expérience acquise par Prével avec le 21e je pensais au projet dans son ensemble et non pas aux espaces commerciaux comme tel.
  12. Suggestion intéressante. Ce n'est en effet pas tant une question de hauteur que de masse. C'est que dans sa mouture actuelle il est plutôt top-heavy et c'est je crois ce que lui reproche la Ville.
  13. L’expertise québécoise au service de Marvel Rodeo FX a conçu 155 plans visuels pour Shang-Chi et la légende des dix anneaux Le studio québécois Rodeo FX a réalisé plusieurs des effets visuels du film de superhéros Shang-Chi et la légende des dix anneaux, la nouvelle production de Marvel qui a récolté plus de 400 millions de dollars au box-office mondial à ce jour. Près de 130 artistes du bureau montréalais de Rodeo FX ont mis la main à la pâte pour concevoir 155 plans d’effets visuels de ce film hollywoodien qui relate les aventures d’un jeune guerrier d’arts martiaux qui doit retourner en Chine pour affronter son père, un criminel doté de pouvoirs surnaturels. « Le gros de notre travail pour ce film a été de recréer la ville de Macao en 3D au complet et une structure d’échafaudage en bambou pour une scène de combat », explique Ara Khanikian, superviseur des effets visuels chez Rodeo FX, dans un entretien accordé au Journal par visioconférence. Au départ, une équipe de Rodeo FX devait se rendre sur place à Macao au début 2020 pour tourner des plans d’ensemble de Macao qui allaient lui servir de base pour recréer la ville de façon numérique. Mais la fermeture des frontières causée par la pandémie a fait en sorte que ce voyage n’a pas pu se concrétiser. « Quand on regarde cela avec du recul, tout ce qu’on avait comme matériel de travail à la base, c’était les images des acteurs sur un fond bleu, souligne Ara Khanikian. Tout ce qu’on voit dans ces scènes à part les acteurs a été créé par nous : la ville, les échafaudages en bambou, le gratte-ciel avec les vitres en miroir. C’était un défi énorme. » Des clients exigeants Au cours des dernières années, Rodeo FX a développé une relation de confiance avec le puissant Marvel Studios. L’entreprise québécoise a récemment conçu des effets visuels pour trois séries de Marvel diffusées sur Disney+ : WandaVision, Loki et Falcon et le soldat de l’hiver. Rodeo FX a d’ailleurs été nommé aux Emmy Awards (l’équivalent des Oscars pour la télévision américaine) plus tôt cette année pour sa contribution à WandaVision et à Falcon et le soldat de l’hiver. « Avec Marvel, c’est toujours grandiose parce qu’on est dans la création de mondes et d’univers, souligne Ara Khanikian. « Les gens de Marvel sont des clients très exigeants qui veulent de la haute qualité tout le temps. Ils accordent tellement d’importance à leurs productions. Quand on travaille avec eux, on doit être bien préparé pour être capable de réagir rapidement à des changements de montage et à des nouveaux plans qui s’ajoutent. Il faut toujours être à l’affût et être très réactif quand on travaille sur ce genre de production parce qu’ils prennent pour acquis que les effets visuels doivent être impeccables. » Ara Khanikian conçoit des effets visuels chez Rodeo FX depuis 13 ans. À l’époque où il s’est joint à l’entreprise fondée par Sébastien Moreau en 2006, le studio ne regroupait qu’une dizaine d’employés dans son siège social, à Montréal. Rodeo FX compte aujourd’hui plus de 600 employés répartis dans des bureaux à Montréal, à Los Angeles, à Québec et à Munich. https://www.pesesurstart.com/2021/10/18/lexpertise-quebecoise-au-service-de-marvel
  14. Prével avait acquis l'expérience nécessaire avec le 21e Arrondissement.
  15. Désolé, mais cela n'a aucun rapport. On parle ici d'un projet qui porte le nom de South Block, qu'il soit temporaire ou non. Alors changez vite le nom de l'entête avant que je me fâche. 😛
  16. Si la tendance se maintient, cela confirme ce que je soupçonne depuis longtemps: les pour sont nettement majoritaires. Moi qui croyait que les membres de MTLUB étaient tous passionnés d'architecture!
  17. Je suis d'accord avec FrancSois parce que le fil est plus facile à retrouver si on fait une recherche sous la rubrique South Block. De toute façon l'un n'empêche pas l'autre: on pourrait très bien avoir les deux dans l'entête.
  18. Électrification des transports Il y a les camions, les autobus… et maintenant l’ambulance L’ambulance 100 % électrique est la plus récente déclinaison de la filière québécoise de l’électrification. Fruit d’une collaboration entre Demers Ambulances et la Compagnie électrique Lion, ce véhicule d’urgence commencera à être livré l’an prochain. Les deux entreprises souhaitent maintenant voir le gouvernement Legault offrir des subventions, afin d’amortir les coûts d’acquisitions. Julien Arsenault - La Presse Développée depuis 2018 avec le soutien financier de Québec et Ottawa, qui ont consenti un total d’environ 5 millions aux deux compagnies, l’ambulance Demers eFX se distingue sur deux aspects : un châssis développé par Lion, qui s’est également chargé de l’aspect de l’électrification, et un habitacle réaménagé par Demers. Avec son modèle électrique, l’entreprise établie à Belœil, en banlieue sud de Montréal, pourra réduire sa dépendance aux châssis des fourgonnettes commerciales américaines qu’elle achète pour y intégrer de l’équipement médical – le procédé en vigueur depuis plusieurs décennies. « L’ambulance a été construite autour du châssis », a expliqué Alain Brunelle, président de Demers Ambulances, au cours d’une entrevue avec La Presse, en compagnie du président et chef de la direction de Lion, Marc Bédard, en marge du dévoilement. Selon le grand patron du constructeur d’ambulances, ce nouveau véhicule d’urgence a été conçu « avec des paramédicaux pour des paramédicaux ». Le compartiment médical a été repensé. En plus de circuler plus facilement à l’intérieur du compartiment médical, les paramédicaux pourront prodiguer des manœuvres d’urgence à l’intérieur tout en portant une ceinture de sécurité, ce qui n’est pas le cas actuellement. « Le châssis, le système de propulsion et batteries sont réalisés pour Demers, a expliqué M. Bédard. C’est eux qui vendent les véhicules à leurs clients. Ils ajoutent le fourgon. » Ces châssis seront assemblés dans les installations de Lion à Saint-Jérôme, dans les Laurentides, où l’entreprise québécoise construit ses autobus et camions électriques. Les deux partenaires croient pouvoir déployer au moins 1500 véhicules d’urgence entièrement électriques au cours des cinq prochaines années au Canada ainsi qu’aux États-Unis, où les barrières à l’entrée sont moins contraignantes pour les ambulances. Beaucoup plus cher Le prix d’une ambulance traditionnelle coûte entre 150 000 $ et 175 000 $. Le modèle proposé par Demers est plus de 500 000 $, mais sa durée de vie est de 10 ans, comparativement à cinq années pour les véhicules alimentés par du carburant, a expliqué M. Brunelle. Le prix d’acquisition est plus élevé, mais l’ambulance électrique deviendrait plus rentable avec le temps, selon le patron de Demers Ambulances. La facture énergétique pourrait fondre d’environ 80 % par unité alors que la baisse serait de l’ordre de 60 % du côté des coûts d’entretien. Au Québec, le gouvernement Legault offre jusqu’à 125 000 $ pour l’acquisition d’un autobus électrique en plus d’autres incitatifs pour la mise en place de bornes de recharge. Même s’ils ont bénéficié d’appuis gouvernementaux pour développer le modèle eFX, les deux entreprises estiment qu’un coup de pouce supplémentaire est nécessaire. « Pour accélérer le rythme de croissance et atteindre les normes (de réduction d’émissions de gaz à effet de serre) il faut aider les opérateurs à assumer les coûts de départ, a dit M. Brunelle, qui estime que les demandes des partenaires sont raisonnables. Dans toute nouvelle technologie, il faut du soutien pour acquérir le véhicule et les bornes de recharge. » Des discussions avec le gouvernement Legault sont en cours. Demers Ambulances s’est également inscrite au Registre des lobbyistes pour effectuer des représentations auprès de Québec. Le succès de la commercialisation sera également tributaire du réseau de bornes de recharge. L’autonomie du véhicule d’urgence est d’environ 200 kilomètres. Les ambulances devront être rechargées dans la journée, souvent à l’extérieur des stationnements des hôpitaux. Demers n’a pas encore enregistré de commandes pour son premier modèle électrique. En marge de l’annonce, M. Fitzgibbon n’a pas caché qu’il souhaitait une conversion du parc ambulancier au cours des prochaines années. Selon la Corporation des entreprises de services paramédicaux du Québec, on recense environ 1000 ambulances, ce qui tient compte des véhicules de rechange et de formation. Si le ministre s’est félicité de voir qu’un nouveau type de véhicule serait construit au Québec, il ne croit pas toutefois que la province accueillera un constructeur automobile. « Je considère que l’Ontario va faire des voitures, ils le font bien, a affirmé M. Fitzgibbon. Nous, on va faire tout ce qui entoure les véhicules commerciaux. Je pense qu’il faut se concentrer où on peut être des champions. » Rivale de Demers Ambulances dans le marché nord-américain, REV Group avait annoncé, en avril dernier, un partenariat avec Lightning eMotors pour le développement d’une ambulance électrique. L’entreprise québécoise dispose d’une longueur d’avance. En plus d’avoir développé une version électrique du véhicule d’urgence, Demers a réalisé trois transactions d’envergure au cours des quatre dernières années afin de gonfler sa taille. Sa plus récente prise a été réalisée en avril dernier, lorsque la société a mis la main sur le constructeur américain Medix Specialty Vehicules, établi en Indiana. Le chiffre d’affaires de Demers oscille aux alentours de 350 millions par année. L’entreprise compte 12 usines et centres de services de véhicules ambulanciers au Canada ainsi qu’aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-10-18/electrification-des-transports/il-y-a-les-camions-les-autobus-et-maintenant-l-ambulance.php
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