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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Amazon installera un entrepôt dans l’est de Montréal Amazon fera construire un entrepôt à Anjou, au sud de l’autoroute 40, selon les informations colligées par La Presse. André Dubuc - La Presse Le futur centre de distribution créerait au moins 1000 emplois. Les travaux se mettraient en branle avant la mi-2023, selon un scénario réaliste. Une fois annoncé, ce nouveau projet porterait à sept le nombre d’installations logistiques d’Amazon dans la région montréalaise. Broccolini paie 56,8 millions pour acquérir 2,5 millions de pieds carrés (211 160 m2) de terrains en façade de l’autoroute à l’ouest du boulevard Bourget et au sud de l’A40. Le terrain acquis est compris dans l’arrondissement d’Anjou et, pour une petite portion, dans Montréal-Est. « Je suis pour un développement sur ce terrain, assure Luis Miranda, maire d’Anjou, joint par La Presse. Mais il n’y a rien de concret à ce que je sache. » Ni le constructeur Broccolini ni le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, n’ont voulu confirmer l’identité du futur occupant des lieux. Fidèle à sa ligne de conduite, Amazon est restée discrète. Un courriel envoyé à son responsable des communications au Canada David Bauer n’a pas eu de suite. Le prix payé par Broccolini revient à environ 23 $ le pied carré, un prix jamais vu pour un terrain industriel dans l’est de l’île, explique Ryan Cymet, courtier spécialisé dans le produit industriel chez CBRE. C’est un prix qui revient à 1 million de dollars par acre [environ 4000 mètres carrés], un niveau qu’on voit habituellement à Toronto et à Vancouver. - Ryan Cymet Le vendeur est la société C. Laganière, spécialiste de la réhabilitation de sols contaminés. D’ailleurs, le terrain acquis a été décontaminé, assure dans un entretien Roger Plamondon, président du Groupe immobilier chez Broccolini, l’un des grands promoteurs de la région montréalaise. Cet entrepreneur a construit la nouvelle maison de Radio-Canada et est en train d’ériger le siège social de la Banque Nationale au coin du boulevard Robert-Bourassa et de la rue Saint-Jacques. Emplacement stratégique « Ça fait quasiment deux ans qu’on travaille sur le dossier, explique M. Plamondon. Les services sont à proximité. Il n’y a pas de résidences aux alentours. C’est un emplacement stratégique, facile d’accès, qui se prête bien à des activités de logistique et de distribution avec une belle façade sur l’A40 », explique le promoteur. Il y a encore des détails à régler avec le zonage. « On a aussi conclu une entente avec les grands parcs de la Ville de Montréal pour un corridor vert est-ouest sur la partie sud de notre terrain, le long de la carrière Lafarge. La Ville de Montréal avait un droit de préemption [premier refus] sur le terrain. » Malgré toutes ses qualités, le site est mal desservi actuellement par les transports en commun. Le REM de l’Est ne prévoit pas de gare à Montréal-Est. Broccolini entend faire toutes les démarches possibles pour obtenir une desserte en transports collectifs. Quand on regarde la taille du site, on peut parler facilement de 1000 emplois. Si on parle de 1000 emplois, il faut qu’on puisse amener les gens au travail et les ramener à la maison. - Roger Plamondon, président du Groupe immobilier chez Broccolini La Ville de Montréal-Est a modifié son règlement de zonage le 18 août dernier pour permettre l’utilisation « stationnement » sur la portion de terre bordant ce qui deviendra le prolongement du boulevard Joseph-Versailles. Le règlement est « conditionnel à la signature d’une entente de compensation monétaire avec les occupants des lots concernés ». Complexe environnemental C. Laganière avait acquis les terrains de l’ancienne raffinerie Shell en 2017. « L’option de vendre à Broccolini est devenue un choix stratégique pour assurer la pérennité de l’entreprise et injecter de l’oxygène pour pouvoir continuer le développement du CEME, du Complexe environnemental Montréal-Est », explique à La Presse Valérie Laganière, directrice des relations publiques au sein de l’entreprise familiale. L’entreprise conserve le reste de la superficie de l’ancienne raffinerie. Mme Laganière assure que les terrains ne sont pas à vendre. À terme, la famille souhaite garder environ 2 millions de pieds carrés pour son entreprise de réhabilitation des sols et attirer sur les lots voisins des entreprises et centres de recherche du domaine environnemental. En croissance accélérée En septembre, Amazon Canada a annoncé vouloir engager 15 000 travailleurs dans les prochains mois. L’entreprise connaît une croissance rapide en raison de l’explosion des achats en ligne qu’a provoquée la pandémie. Amazon compte désormais 46 installations logistiques au pays. D’autres annonces sont attendues cette année. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-10-07/amazon-installera-un-entrepot-dans-l-est-de-montreal.php
  2. J'aimerais être inclus dans la conversation car ta recette de "camomille" m'intéresse au plus haut point.
  3. Tu es dans l'erreur mon cher troll. 😜 D'abord ils sont en négociation avec le gouvernement québécois pour déménager deux autres départements: 1- Mathématiques et statistiques. 2- Informatique et recherche opérationnelle. De plus ils prévoient construire un Centre de l'innovation vers l'est, non loin du 400 Atlantic.
  4. Tu soulèves un bon point, mais cela reste à voir car la tour sera quand même un peu plus haute (15 étages/65 mètres). Je ne connais pas la hauteur exacte du Pont Jacques-Cartier mais je ne cois pas que la tour "passerait" sous le pont, comme un bateau de croisière peut le faire, sauf lorsque le niveau de l'eau est trop élevé comme il arrive parfois. Reste à voir aussi ce que la tour aura à offrir aux visiteurs et je suis pas mal certain qu'à cet effet Port de Montréal a pensé aux croisiéristes.
  5. La dalle de béton de l'entrée de stationnement vient tout juste d'être terminée.
  6. Deux heures plus tard, tout est maintenant fermé à nouveau.
  7. Belle perspective! Tu étais où lorsque tu as pris cette photo? Sur Sainte-Catherine et tu as zoomé, c'est ça?
  8. Ils creusent des tunnels sous le théâtre Impérial, puis les referment peu de temps après. Les quatre clichés ci-joints couvrent les trois derniers jours.
  9. Filière électrique Un projet québécois de cellules se dessine Un entrepreneur d’ici annoncera ce mardi une transaction avec le géant asiatique Delta Electronics pour l’aider à faire cheminer son projet québécois d’usine de production de cellules lithium-ion pour les batteries de véhicules électriques, projet évalué entre 200 et 300 millions de dollars. L’entente avec Delta, dont la valeur n’est pas divulguée, permet à StromVolt d’obtenir les droits sur la technologie et l’expertise taiwanaises développées notamment pour des systèmes de stockage d’énergie de bâtiments verts et de centrales d’énergie renouvelable. Le chiffre d’affaires de Delta Electronics, société inscrite à la Bourse de Taiwan, s’élève à environ 10 milliards US. « Le montant de l’entente avec Delta est modeste compte tenu de sa valeur stratégique », commente Maxime Vidricaire, chef d’entreprise de StromVolt. L’entrepreneur de 31 ans doit révéler l’accord ce mardi durant la conférence virtuelle EV/VÉ 2021, de Mobilité électrique Canada, présentée par Hydro-Québec. En voulant construire au Québec la première usine de fabrication de cellules lithium-ion au pays, Maxime Vidricaire présente StromVolt comme le chaînon manquant de la chaîne d’approvisionnement locale de l’industrie. « Actuellement, nous transportons nos minerais en Asie pour qu’ils soient transformés en cellules de lithium. La fabrication de cellules est complexe et pose des défis technologiques. Aucune firme nord-américaine ne possède le savoir-faire pour envisager un tel projet », dit-il. C’est une occasion unique pour le Québec de construire ses propres cellules. Ça va donner un avantage aux producteurs de véhicules électriques locaux. - Maxime Vidricaire Il entend cibler tous les clients potentiels d’ici tels Nova Bus, Lion, Taiga, BRP et, éventuellement, des clients de l’extérieur du Québec et du Canada. « On veut offrir une alternative québécoise aux entreprises pour renforcer leurs accords d’approvisionnement ou remplacer entièrement leurs sources étrangères. » Ces entreprises savent que le gouvernement tient des discussions pour faire venir des celluliers, dit-il. « Elles ne savent toutefois pas lequel va réussir à franchir la ligne d’arrivée. Il semble qu’on sera le premier et le seul canadien. » « Beaucoup de joueurs nous parlent du même projet », commente le PDG du constructeur montréalais de véhicules récréatifs 100 % électriques Taiga, Samuel Bruneau. « La baisse du prix des cellules est essentielle, et son coût est principalement lié à de grands volumes de production », ajoute-t-il. Pourparlers Au ministère canadien de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, le porte-parole affirme ne pas être en mesure de formuler de commentaires pour des raisons de confidentialité, alors qu’Investissement Québec indique avoir pour politique de ne pas discuter des pourparlers que la direction tient ou pourrait avoir avec des promoteurs de projets, le cas échéant. La plus grande menace qui risque de ralentir les constructeurs de véhicules électriques est l’approvisionnement en cellules, dit Maxime Vidricaire. « Tout le monde se garroche pour acheter des cellules produites par les entreprises chinoises, coréennes et taïwanaises. L’Asie a de l’avance depuis longtemps dans ce marché. C’est une grande course, et on veut s’assurer que les sociétés québécoises et canadiennes ne soient pas désavantagées », dit-il. On s’aligne vers une pénurie de cellules dans les prochaines années. Toute la planète essaie d’atteindre des objectifs agressifs en matière d’électrification des transports. La demande sera très difficile à satisfaire. Si on parvient à sécuriser cet aspect, on aura un énorme avantage. - Maxime Vidricaire L’emplacement de l’usine de StromVolt au Québec reste à déterminer. « C’est sujet à des négociations avec des investisseurs et les gouvernements », dit Maxime Vidricaire. « Le premier bâtiment sera seulement la première phase. On voudra ajouter de la capacité au fur et à mesure que les joueurs québécois accélèrent leur croissance. On veut s’installer près de sources d’expertise parce que cette usine aura aussi un centre de R & D. On veut pouvoir attirer des scientifiques pour raffiner la technologie davantage. » Maxime Vidricaire souhaite que le gouvernement soit partenaire. « Pour le format, on verra ce qui est disponible. D’autres entreprises dans le secteur ont reçu un appui. C’est un projet stratégique pour la province. » Il évalue la construction complète entre 200 et 300 millions avec la machinerie et les installations jusqu’au commencement de la production. « Il s’agit de chiffres inférieurs à ce qu’on voit pour d’autres projets. Une approche ciblée avec une capacité pour satisfaire la demande actuelle est plus appropriée afin de s’assurer qu’on produit exactement ce dont le marché québécois a besoin. En ce moment, dit-il, il n’y a même pas un gigawatt de demande dans le marché québécois pour des cellules. Quand j’entends parler de projets de 35 gigawatts, c’est pour extraire le minerai le plus vite possible, le transformer en cellules et vendre à l’étranger. » Il vise au départ une usine de 400 000 pieds carrés de quelque 300 employés (scientifiques, ingénieurs et techniciens) d’une capacité initiale de 250 mégawatts – un quart de gigawatt –, ce qui permettrait d’alimenter l’équivalent de 1000 à 2500 camions ou autobus par année. S’il parvient à obtenir les appuis nécessaires, la construction pourrait débuter dès 2022 et l’usine pourrait être opérationnelle avant la fin de 2023. « C’est très rapide, mais possible en raison de l’expertise apportée par Delta et de l’équipement spécialisé qu’ils vont nous vendre », dit-il. « L’important est que ça se fasse ici. Le Québec veut devenir une puissance dans l’industrie des batteries. Il y a tous les minerais qu’il faut (lithium, nickel, cobalt, graphite, etc.). Les astres sont alignés. » https://www.lapresse.ca/affaires/2021-10-05/filiale-electrique/un-projet-quebecois-de-cellules-se-dessine.php
  10. Vue à partir de la caméra de chantier en fin de soirée.
  11. To my knowledge no one ever said that. Actually, in this very thread we have previously discussed this issue and I suggested at the time that it would not be practical to make it free because too many people would want to go in the tower at the same time. However no one knew at the time if it would be free or not, and we never discussed the issue again afterwards. You are making a claim here that I am afraid you will never be able to substantiate. But I promise to retract myself if you do. However I am confident I won't have to because what you are saying does not make sens to me. Keep in mind that three levels of government are involved in the Grand Quai project, which the tower is part of: Montréal gave 15 M$ plus 1,1 M$ for Place des commencements; Québec gave 20 M$; and the Montreal Port Authority will pay the difference (50 M$ and counting). So which one made the claim: Montréal, Québec, or the federal agency?
  12. Ce prix d'entrée me parait tout à fait raisonnable. De toute façon si c'était gratuit la tour serait inaccessible la plupart du temps car il y aurait trop de monde. Car selon moi cette tour sera le principal point d'attraction du Vieux-Port et un site très prisé des touristes, qu'ils arrivent par bateau ou d'autres moyens.
  13. Normand Hamel

    Expos de Montréal

    Caricature: @Serge Chapleau - La Presse
  14. Il faudrait voir ce que signifie ces fluctuations, à quoi elles correspondent précisément. Ce qui me surprend c'est que la population a continué d'augmenter à chaque année depuis 1950 malgré le départ massif des anglophones. Il ne faut pas oublier la démographie non plus car dépendamment si la population est âgée ou jeune cela aura une incidence sur la croissance car à partir d'un certain moment il pourrait y avoir davantage de mortalités que de naissances; je crois d'ailleurs que nous sommes déjà rendus là. S'il y a quand même croissance cela est dû essentiellement à l'immigration, soit en provenance des régions ou de l'extérieur. Le taux de chômage est très bas présentement à Montréal malgré la pandémie et le phénomène avait d'ailleurs commencé quelques années avant. Et si on continue sur cette lancée on pourrait bien se retrouver dans la même situation que la ville de Québec qui affiche depuis nombre d'années l'un des taux de chômage les plus bas au Canada, soit autour de 3-4%. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi la reprise est aussi forte au Québec en général, et à Montréal en particulier, alors qu'elle se fait attendre ailleurs au Canada. Il faudra sans doute attendre à 2022 pour avoir l'heure juste à ce sujet. Mais pour l'instant on observe un pattern similaire à celui de la récession de 2009 de laquelle le Québec s'était sorti plus rapidement que plusieurs autres provinces. Mais Montréal n'allait quand même pas aussi bien qu'aujourd'hui à ce moment-là. On était cependant très proche d'une remontée spectaculaire qui deviendra manifeste à peine quelques années plus tard. Le hasard veut que cette remontée coïncide avec l'arrivée de DC au pouvoir, mais en réalité on commençait simplement à récolter les fruits de tout le travail qui avait été amorcé sous le règne de son prédécesseur. Je pense notamment à la création du Quartier des spectacles qui nous montre que dès cette époque il se passait quelque chose à Montréal malgré les apparences.
  15. Ce qui arrive à Montréal depuis quelques années est absolument remarquable. N'est-ce pas toi l'autre jour qui disait qu'il y a dix ans personne n'aurait cru qu'on construirait trois 200 mètres simultanément sur la même rue! Et j'ajouterai qu'en même temps, non loin de là, on a le 1 Square Phillips et le Maestria. Plus une multitude d'autres projets fort intéressants aussi. C'est tout simplement hallucinant! 🤪 C'est vrai qu'elle est hypnotisante cette photo. Mais ce qui me frappe le plus c'est le Bonaventure dont le remarquable éclairage lui permet de se détacher dans la nuit. On dirait une nouvelle construction.
  16. Ce matin on excavait jusqu'à l'intérieur du théâtre!
  17. Ce que tu dis s'applique sans doute à bon nombre d'autres projets qui pourraient être en attente du résultat des élections avant de faire une annonce car les règles pourraient changer après les élections si DC était élu.
  18. Électrification des transports Effervescence dans les facultés de génie « Il y a de la job là-dedans pour tout le monde, ça, c’est sûr ! » Pour Steven Joubert, étudiant en génie électrique de 24 ans, l’industrie du transport électrique représente une alléchante promesse d’emploi. « On a toujours dit que les voitures électriques, c’était l’avenir. Mais là, ce n’est plus tellement l’avenir que ça, il y en a déjà qui roulent dans les rues ! », illustre l’étudiant de Polytechnique Montréal, qui entame une maîtrise en génie électrique. Si Steven Joubert et nombre de ses confrères font le choix de se spécialiser dans le domaine des transports électriques, c’est que l’industrie est particulièrement vivace au Québec. L’abondance d’énergie verte, les recherches menées par Hydro-Québec dans les dernières décennies et la volonté du gouvernement Legault de pousser l’électrification des transports font de la province un pôle d’intérêt pour le secteur. Les étudiants ont énormément d’emplois qui les attendent, que ce soit dans les multinationales ou dans les jeunes entreprises qui abondent au Québec. L’importance des concours étudiants Dans l’industrie du transport électrique, les compétitions étudiantes constituent d’importants rendez-vous pour mettre en contact les aspirants ingénieurs et les patrons de l’industrie. Chaque année, l’État du Michigan est l’hôte d’une compétition, la Formule SAE, qui rassemble une centaine d’universités nord-américaines et européennes. Les équipes conçoivent leur propre bolide et le font participer à des courses de vitesse et d’endurance, en plus de présenter un plan d’affaires à un jury. Signe des temps, alors que cette course ne faisait concourir à l’origine que des voitures à essence, elle a désormais un volet réservé aux véhicules électriques, qui est de plus en plus populaire. L’équipe de Polytechnique, qui a été l’une des premières à présenter une voiture électrique en 2009, a complètement laissé tomber la voiture à essence en 2019. C’est la troisième année que Steven Joubert s’investira dans l’équipe de Polytechnique : épaulé par une trentaine de collègues, il y consacrera des centaines d’heures en plus de ses études. « Ça permet de travailler sur du concret, alors qu’à l’école, c’est assez rare ! » Se démarquer Le club dispose d’un local informatique sur le campus, mais surtout d’un impressionnant atelier situé dans un hangar à Pointe-Saint-Charles. Son engin y côtoie toutes les créations des autres « sociétés techniques » de Polytechnique : une voiture solaire, un bateau, un sous-marin, des fusées, des avions-cargos... « Quand la saison des concours approche, c’est plein en permanence », raconte Steven Joubert. Il s’investit par plaisir, mais aussi par nécessité. « La plupart des gens qui sont embauchés sont passés par les sociétés techniques avant », explique-t-il. Des cadres de l’industrie se rendent chaque année aux courses de la Formule SAE pour participer aux jurys et dénicher de nouveaux talents. Steven Joubert a lui-même été recruté, l’an dernier, pour faire un stage chez Lion électrique, qui construit des autobus et des camions électriques. S’il aimerait dans l’avenir travailler pour des sociétés québécoises, son ambition à long terme serait de fonder sa propre entreprise. Pour sa maîtrise, il s’est justement spécialisé dans l’étude des moteurs. « On pense beaucoup aux entreprises qui construisent des véhicules finis, mais en fait, il y a aussi un grand besoin pour des fournisseurs de composants », illustre-t-il. https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2021-09-28/electrification-des-transports/effervescence-dans-les-facultes-de-genie.php
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