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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Voici la passerelle en question lors de sa livraison en 2018. Après un bref séjour dans la cours de la gare Viger on l'a transportée jusqu'au Vieux-Port où elle a été installée entre les deux quais pour faciliter la transition entre le stationnement du quai King-Edward et le terminal de croisière du quai Alexandra (Grand Quai).
  2. Nouvelle formation en restauration des bâtiments patrimoniaux. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1838667/formation-restauration-bati-patrimonial-manque-main-oeuvre
  3. Il semble y avoir une contradiction entre ces deux extraits: si Montréal était revenue au niveau prépandémique le taux d'inoccupation serait à 6,4% et non pas à 13,2 %.
  4. Eux ils ont plutôt utilisé une technique d'affaiblissement qui consiste à creuser sous les fondations.
  5. C'est le cas de le dire, ils ne veulent pas se faire tomber dessus. 😂
  6. Suite à l'annonce d'un danger d'effondrement du mur du cinéma le chantier a été déserté et est demeuré inactif depuis.
  7. There is nothing wrong with the video itself. All your work is first class and I hope you will always have enough material to be able to exercise your extraordinary talent. What was wrong is the timing. For Mont Stephen is a symbol of oppression for people like me (I am more than twice your age). It used to be a private club where French Canadians were not admitted (Michael Rousseau would have been allowed in though). McGill could not do the same because it was a public institution, but they still had secret quotas for French Canadians and Jews. So I am not blaming you because obviously you had no political agenda when you posted. It's just a bad coincidence.
  8. Une responsabilité qu'on lui a confiée en 1965 alors qu'il n'avait que 23 ans. Il aura donc laissé un lègue immense avant même d'être maire, mais c'est dommage pour lui que sous son règne il y avait de graves tensions politiques au Québec, que d'ailleurs les événements de cette semaine ne sont pas sans rappeler. Petit extrait de sa biographie: Dès 1965, il n’a alors que 23 ans, Pierre Bourque se voit confier la responsabilité des travaux d’aménagement et d’entretien des espaces verts de l’Exposition universelle. En 1969, il passe au Jardin botanique et c’est à lui que l’on confie en 1980 les Floralies internationales qui connaissent un immense succès. Sur cette lancée, il additionne les réussites, soit le jardin japonais, le jardin de Chine et l’insectarium au Jardin botanique. Sa plus grande réalisation est sans conteste le Biodôme en 1992.
  9. C'est bien d'établir un lien entre le Biodôme et les Floralies, mais il ne faudrait pas oublier celui qui est à l'origine des deux: Pierre Bourque, que l'on voit ici au côté de Jean Doré.
  10. The timing of this video could not be worse and displays a lack of sensitivity, and possibly something else.
  11. Pour certaines occasions oui et pour une courte période. Mais pour le reste du temps il s'agit d'un artère important qui commence au nord de la ville (avenue du Parc) et descend jusqu'au Vieux-Port (rue Saint-Pierre).
  12. À partir d'une capture d'écran de la photo du post précédent on constate que le coin nord-est du bâtiment, de même que la partie nord-ouest, semblent en effet en assez mauvais état.
  13. Il y a un mois, jour pour jour, j'ai partagé ici une photo du chantier qui nous montrait l'excavation sous le cinéma (cliché 1). Et sur une autre photo datant d'hier (cliché 2) on aperçoit un travailleur qui semble inspecter le haut du mur du cinéma.
  14. D'accord pour le 628, mais par contre la Banque Royale a l'air plus grosse que le 1000 de la Gauchetière et quasiment de la même hauteur. Pour ce qui est de la Banque Nationale à l'avant-plan elle est sur les stéroïdes; de même pour le basilaire du VSLP. Il y a donc beaucoup de distorsion dans cette photo. Mais si l'on s'en tient à la Tour de la Bourse et au 628 on peut dire en effet qu'ils forment un très beau couple sur cette photo.
  15. On fera le ménage en temps et lieux. ☺️
  16. Pour avoir une idée plus juste de la situation il faudra attendre non seulement la fin de la pandémie et des mesures qui y sont associées, mais également que la situation des nouveaux arrivants se soit stabilisée (70 000 immigrants en 2022 selon les voeux pieux du gouvernement Legault). Il faudra donc attendre au moins deux ou trois ans avant que la poussière soit retombée. Cependant cela ne nous empêche pas d'observer déjà certaines tendances. Et si ces tendances se maintiennent le Canadien pourrait ne pas remporter un 25e coupe Stanley en 2022, mais Valérie pourrait cependant retourner derrière le banc des Montréalais le 8 novembre prochain. 😛
  17. Cela ne veut rien dire, surtout en temps de (fin) de pandémie alors que sévit une grave pénurie de main-d'oeuvre.
  18. Le chômage en baisse Le taux de chômage a diminué pour un cinquième mois consécutif en octobre au Canada, cette fois de 0,2 point de pourcentage, pour s’établir à 6,7 %, ce qui a représenté son plus bas niveau en 20 mois. Statistique Canada ajoute qu’au Québec, le taux de chômage s’est élevé à 5,6 % le mois dernier, en baisse de 0,1 %. L'agence fédérale a observé que l’emploi est demeuré stable au Canada le mois dernier. Les hausses d’emploi observées dans un certain nombre de secteurs, y compris dans le commerce de détail, ont été contrebalancées par les baisses survenues ailleurs, y compris dans les services d’hébergement et de restauration. Chez les personnes du principal groupe d’âge actif, celles âgées de 25 à 54 ans, l’emploi a progressé de 53 000 en octobre, et toute la hausse est survenue dans le travail à temps plein, tant pour les hommes que pour les femmes de ce groupe d’âge. L’agence fédérale a noté qu’en dépit de l’assouplissement de nombreuses restrictions de santé publique partout au Canada pendant l’été, le nombre de Canadiens qui ont travaillé à domicile le mois dernier, soit de 4,2 millions de personnes, n’était que légèrement inférieur à celui enregistré un an plus tôt, de 4,3 millions. Dans les Maritimes, le taux a reculé en un mois de 9,3 % à 9,1 % au Nouveau-Brunswick et de 11,3 % à 9,1 % à l’Île-du-Prince-Édouard. Il a augmenté de 8 % à 8,3 % en Nouvelle-Écosse. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-11-05/le-chomage-en-baisse-au-canada-et-au-quebec.php
  19. Nos « jobs payantes » et l’Ontario Francis Vailles - La Pressse « À chaque fois que je rentre un immigrant qui gagne moins de 56 000 $, j’empire mon problème. À plus de 56 000 $, j’améliore ma situation. » Vous vous rappelez cette déclaration ? Elle a été faite par François Legault à une assemblée privée du Conseil du patronat du Québec (CPQ), en mai dernier. A suivi un débat houleux sur la pertinence ou non de cette approche, qui vise à attirer de nouveaux arrivants qui gagnent davantage que le salaire moyen de 56 000 $ du Québec. Et qui ferait en sorte que ces immigrants – comme les nouveaux emplois qui sont en général créés au Québec – servent l’objectif de la CAQ de voir nos salaires rattraper ceux de l’Ontario, « notamment avec des jobs payantes ». Dans ce contexte, l’Institut du Québec vient de faire paraître une étude sur les salaires du Québec et de l’Ontario. Les chercheurs Mia Homsy et Simon Savard font des constats fort intéressants. Première remarque : le salaire de quelque 56 000 $ en 2019 pour les employés à temps plein englobe les employés du public et du privé. Si l’on retranche le public, le salaire moyen des temps pleins tombe à 52 700 $ au Québec. Bref, une stratégie qui viserait, en toute logique, davantage le secteur privé que le public devrait avoir pour cible 52 700 $ au lieu de 56 000 $. Et en Ontario ? Nos voisins qui travaillent dans le privé à temps plein font plutôt 57 800 $, ce qui correspond à un écart de 8,8 % en leur faveur. Est-ce la différence à combler ? Pas nécessairement. Environ le tiers de cet écart s’explique par le moins grand nombre d’heures travaillées au Québec (38,7 heures) qu’en Ontario (39,6 heures) et par une structure industrielle différente (il y a davantage d’emplois dans le secteur financier en Ontario, par exemple). En redressant la situation pour rendre les deux provinces comparables, l’écart de salaire tombe à 5,8 %. Voilà donc la différence à combler, une cible qui est ambitieuse, mais atteignable en quelques années, selon moi. L’étude constate qu’en Ontario, les emplois du secteur privé sont plus payants qu’ici dans les secteurs des services professionnels, scientifiques et techniques, ainsi que dans le commerce de détail et de gros ou dans les soins de santé privés, par exemple. À l’inverse, au Québec, les travailleurs de la construction sont un peu mieux payés qu’en Ontario (l’écart du salaire horaire est de 3,1 %). Autre découverte des chercheurs : l’écart de 5,8 % s’explique notamment parce que les Ontariens comptent davantage d’emplois payés plus de 28 $ l’heure qu’au Québec. Ainsi, près de 39 % des employés à temps plein du privé gagnent plus de 28 $ l’heure, contre seulement 34 % au Québec. Plus encore : dans ce sous-groupe des 28 $ et plus, 44 % font plus de 40 $ l’heure en Ontario, contre 38 % au Québec. Qu’est-ce qui explique ces écarts ? Selon l’IDQ, la différence est essentiellement attribuable à une plus grande productivité du travail en Ontario qu’au Québec. Les chercheurs constatent justement qu’au Québec, le PIB est de 54,10 $ par heure travaillée, contre 57,30 $ en Ontario, une différence de 5,9 %, semblable à l’écart de 5,8 % des salaires horaires moyens. Cet écart pourrait aussi s’expliquer par la plus grande taille des entreprises ontariennes ou par la plus grande proportion qui exportent. « L’écart est un peu réduit si l’on tient compte du coût de la vie, mais pas totalement », dit Mme Homsy. La productivité, on l’a dit souvent, est LE facteur à améliorer au Québec pour voir nos salaires augmenter plus vite que l’inflation. Et pour rattraper nos voisins. Justement, à ce sujet, Mia Homsy juge que pour augmenter les salaires, il faut tenter d’accroître la productivité de l’ensemble des travailleurs, et non seulement miser sur des emplois à salaires plus élevés, comme le propose François Legault. « Il faut éviter de faire des choix mécaniques pour les projets, basés sur un salaire donné, par exemple 56 000 $. Souvent, les emplois payants reposent sur la création d’emplois moins payants », dit-elle. Ce que j’en pense ? Que la migration de notre économie vers des emplois à plus forte valeur ajoutée est essentielle à la hausse de notre niveau de vie. C’est ce que disait Bernard Landry il y a très longtemps, comme François Legault aujourd’hui avec son approche comptable des emplois à 56 000 $, bien qu’elle manque de nuances. « C’est correct de développer des emplois à forte valeur ajoutée, dit de son côté Mme Homsy, mais il faut beaucoup de temps pour changer une structure industrielle. » Selon elle, il est crucial d’améliorer la formation des travailleurs pour augmenter la productivité, notamment pour les outils technologiques. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2021-11-05/nos-jobs-payantes-et-l-ontario.php
  20. Sachant à qui je m'adresse je ne comparerai certainement pas Montréal à New York. Ceci étant dit je crois que l'analogie à faire serait de comparer Montréal avec Montréal. C'est qu'on doit remonter aux années 60 pour retrouver un tel niveau d'activité ici. Lorsqu'en 2005 la Ville de Montréal a produit son document intitulé Montréal 2025 on était bien loin de se douter de tout ce qui allait se bâtir dans les années à venir. En fait nous avons très largement dépassé nos attentes les plus élevées. Pour ma part j'ai hâte de voir ce que sera vraiment Montréal en 2025 lorsque la majorité des projets en cours auront alors été réalisés. Je m'attends de voir une ville plus belle que jamais, dynamique et effervescente, mais surtout un endroit où il fera bon vivre. Certains trouveront sans doute que j'exagère, mais j'anticipe que Montréal sera de plus en plus reconnue comme une sorte d'oasis planétaire.
  21. Extrait d'une vidéo récente, entre de Maisonneuve et l'escalier monumental de la PVM.
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