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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. C'est ce que j'ai pensé aussi. Mais si tel était le cas l'urbaniste aurait dit << en train de se construire >> et non pas << en train de se planifier. >> Il est donc possible que outre le Art de vivre il y ait un autre hôtel en planification.
  2. Même s'il demeure possible que certains investisseurs se tournent vers d'autres villes qui seraient moins contraignantes en termes de règlementation je n'anticipe pas de déplacement massif des mises en chantier vers la périphérie car plusieurs projets s'adressent spécifiquement au marché de Montréal. Par contre je m'attends à ce que les nouvelles exigences aient un impact négatif sur le nombre de mises en chantier à Montréal. Cependant le ralentissement anticipé pourrait n'être que de courte durée si l'économie poursuit sur sa lancée.
  3. Le projet Maestria modifié, l'une de ses tours comptera 58 étages Maestria, le plus haut projet résidentiel de Montréal, n'est plus tout à fait le même que lorsqu'il a été dévoilé il y a trois mois. Le nombre d'étages, notamment, a été révisé à la hausse. L'une des tours en comptera 58 – un sommet dans la métropole. Jérôme Labbé - Radio-Canada Des documents rendus publics en vue de la prochaine séance du conseil d'arrondissement de Ville-Marie, mardi soir, montrent que la hauteur des deux tours a changé depuis la présentation du projet, en novembre dernier. La tour A, qui donne sur la rue Sainte-Catherine Ouest, est passée de 194 mètres à 185 mètres – une baisse de 9 mètres –, tandis que la tour B, qui sera construite le long de la rue De Bleury, a grandi de 25 mètres, passant de 173 mètres à 198 mètres. Le nombre d'étages a aussi été revu à la hausse. Alors qu'on parlait en novembre de deux tours de 53 et 51 étages, on évoque maintenant des tours de 58 et 55 étages. Peu de gratte-ciel dépassent actuellement les 200 mètres à Montréal. Le record est détenu par le 1000 de La Gauchetière et ses 51 étages de bureaux, qui mesurent 205 mètres. Le constructeur Broccolini entend toutefois construire pour 2022 une tour de 56 étages baptisée « Victoria sur le parc », qui sera érigée au 700 rue Saint-Jacques, en lieu et place d'un stationnement situé près du square Victoria. Ces modifications ont été apportées entre autres parce que les promoteurs ont abandonné l'idée d'intégrer un hôtel dans leur projet, ce qui a permis de diminuer la hauteur de certains plafonds et d'augmenter le nombre d'étages, explique l'urbaniste Brian Fahey. « Il y a un autre hôtel qui est en train de se planifier pas loin, dans le secteur, et la demande pour le locatif était plus grande », a-t-il mentionné en entrevue à Radio-Canada, lundi. L'abandon du projet d'hôtel a donc eu pour résultat d'augmenter de presque 15 % le nombre d'unités d'habitation prévu, qui passe de 1432 à 1636. Toutefois, sur ces 204 nouvelles unités d'habitation, seulement 80 seront mises en location, pour un total de 700 appartements locatifs contre 936 condominiums. Une « version améliorée » du projet Outre l'abandon du projet d'hôtel, les modifications qui ont été apportées ces trois derniers mois découlent aussi des recommandations du comité consultatif d'urbanisme (CCU) de l'arrondissement Ville-Marie, qui s'est penché deux fois sur le projet, en décembre et en janvier. Deux avis favorables au projet ont été produits depuis. Le sommaire décisionnel soumis aux élus de l'arrondissement précise même que « la proposition [...] présente plusieurs avantages par rapport à la version actuellement autorisée », soit l'ancien projet de tours de bureaux de Canderel, et qu'elle ne nécessite aucune dérogation supplémentaire. Il souligne en outre que le projet respecte la réglementation selon laquelle aucun gratte-ciel ne peut dépasser la hauteur du mont Royal. « Qui plus est, malgré l'importance des volumes en surhauteur, les critères généraux d'ensoleillement sont respectés et l'impact sur la place des Festivals est concentré le matin », écrit-on. Deux recommandations du CCU sont toutefois demeurées lettre morte. Du moins, pour l'instant. La première concerne l'intégration de logements sociaux. Les promoteurs disent attendre l'annonce de la règlementation « 20/20/20 » promise par Projet Montréal en campagne électorale, qui obligerait les grands projets à inclure 20 % de logements sociaux, 20 % de logements abordables et 20 % de logements de trois chambres et plus. Cette règlementation devrait être annoncée en 2019, affirme l'administration Plante. L'autre suggestion se rapporte aux 677 places de stationnement prévues en sous-sol. Le CCU aimerait qu'une partie de l'espace puisse plutôt être utilisée par le Partenariat du Quartier des spectacles pour y entreposer de l'équipement pour ses événements. Des discussions à ce sujet ont été entamées, ont fait savoir les promoteurs vendredi. Aux citoyens de s'exprimer C'est donc mardi soir que le conseil d'arrondissement de Ville-Marie aura pour la première fois l'occasion de se pencher sur le projet Maestria. Même s'il ne s'agira que d'une formalité – l'adoption d'une résolution modifiant une autre résolution adoptée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble (PPCMOI, dans le jargon) –, le projet sera malgré tout soumis à une consultation publique en arrondissement. Un exercice qui, habituellement, n'attire pas les foules. Dans tous les cas, les promoteurs devront revenir devant le CCU et soumettre à ses membres les plans et devis nécessaires à une dernière révision architecturale. Ce n'est qu'après avoir franchi cette étape que les permis de construction pourront être délivrés. Entre-temps, les promoteurs devront réaliser d'autres études, notamment sur l'impact sonore et l'impact éolien de leur projet. Aucun changement de zonage ne sera nécessaire. « C'est un projet qui est de plein droit », rappelle Sophie Mauzerolle, conseillère du district de Sainte-Marie et présidente du CCU de Ville-Marie. Cela dit, « c'est quand même un certain privilège de venir s'installer dans le Quartier des spectacles », souligne-t-elle. En ce sens, le CCU « est un bon moment pour passer des messages », ajoute l'élue. « Je pense que les promoteurs ont bien entendu les orientations de notre administration et notre préoccupation par rapport au fait qu'on veut préserver la mixité au centre-ville, qu'on veut s'assurer qu'il y ait des familles qui restent sur l'île de Montréal, donc on travaille dans ce sens-là, et je pense que les promoteurs l'ont bien entendu », a-t-elle affirmé. Le projet Maestria est promu par la firme Devimco, la société d'investissement Fiera Immobilier et le Fonds immobilier de solidarité FTQ. Ceux-ci souhaitent commencer la construction des deux tours sur le site de l'ancien Spectrum d'ici la fin de 2019. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1152316/tours-quartier-spectacles-place-festivals-devimco-fonds-immobilier-solidarite-ftq-lemay-fahey
  4. C'est ce que je crois aussi. Si jamais le boom continuait après le nouveau règlement cela voudrait alors dire que l'économie va extrêmement bien. Ce qui ne me surprendrait pas du tout même si je m'attends quand même à un certain ralentissement des mises en chantier dû à la nouvelle règlementation.
  5. Près de 400 000$ pour réparer la place des Festivals La Ville de Montréal devra investir quelque 390 000 $ pour réparer des dalles de béton et du mortier de la place des Festivals. Selon la Ville, il s’agit de travaux résultant d’une « usure normale ». Pourtant, c’est la deuxième fois en 10 ans que Montréal devra sortir son chéquier pour des réparations sur cette place signature du Quartier des spectacles. En 2011, à cause d’un problème de conception, la Ville avait dû investir 650 000 $ pour refaire l’ensemble des joints du dallage de la place publique. Cette fois, la facture sera moins salée, soit environ 390 000 $. L’arrondissement de Ville-Marie octroiera aujourd’hui un contrat à Construction Momentum inc. pour des réparations diverses. 120 dalles fissurées Entre autres, environ 5 % des joints qui avaient été remplacés en 2011 devront être refaits, surtout près de la fontaine centrale. Cette usure du mortier est due à la puissance des jets d’eau. Les travaux consistent aussi au remplacement de 120 dalles fissurées, dont la majorité ont été endommagées par le poids des scènes utilisées pour les événements. Finalement, un autre problème de conception devra être corrigé. Quarante-huit dalles ayant été installées sur des grilles métalliques sont fragilisées par ce système. Les dalles seront donc retirées de cet endroit et remises à leur place, une fois les grilles démantelées. La place des Festivals, qui a coûté quelque 147 M$, comprend 6000 dalles. La Ville souhaite que les travaux commencent le plus rapidement possible, « selon les conditions météorologiques », afin de ne pas obstruer l’accès à la place des Festivals pour l’été. https://www.journaldemontreal.com/2019/02/11/pres-de-400000-pour-reparer-la-place-des-festivals
  6. Le projet Maestria s’apprête à franchir une nouvelle étape Jeanne Corriveau - Le Devoir Les élus de Ville-Marie s’apprêtent à donner le feu vert à la construction de deux tours d’une cinquantaine d’étages sur l’emplacement de l’ancien Spectrum, dans le Quartier des spectacles. Même s’il approuve le projet, le comité consultatif d’urbanisme (CCU) invite les promoteurs à y intégrer des logements sociaux. Quand, en novembre dernier, Devimco Immobilier et le Fonds immobilier de solidarité FTQ avaient dévoilé leur projet de plus de 1500 unités, la mairesse Valérie Plante avait qualifié le dossier de « stunt publicitaire ». L’imposant projet devait être analysé par le CCU avant que la Ville puisse l’autoriser, avait-elle déclaré. C’est maintenant chose faite. Le CCU a examiné le projet à deux reprises, en décembre et en janvier. Dans un premier temps, le CCU, qui réunit des élus et des professionnels en architecture et en urbanisme, a demandé quelques modifications volumétriques pour la tour nord ainsi que des ajustements de nature architecturale. Les promoteurs se sont pliés à plusieurs exigences et le CCU a remis un avis favorable au projet en janvier. Mardi soir, ce sera au tour du conseil d’arrondissement de se prononcer sur le dossier. Le CCU a toutefois recommandé aux promoteurs de réfléchir à l’intégration de logements sociaux. Une part de 15 % de logements abordables est prévue dans les immeubles, mais pas de logements sociaux, car le projet n’est pas assujetti aux règles d’inclusion en vigueur. Lundi, les promoteurs n’ont pas voulu émettre de commentaires. À l’ombre des tours Le terrain sur lequel s’érigeront les deux tours de 51 et de 53 étages est vacant depuis la démolition du Spectrum il y a plus de 10 ans. Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, qui a acheté le terrain en 2011, s’est associé à Devimco Immobilier et à la firme d’architectes Lemay pour proposer Maestria, dont les deux tours qui dépasseront en hauteur les autres constructions du secteur, dont le Complexe Desjardins (41 étages) et l’hôtel AC Marriott (37 étages). Sur les rues De Bleury et Sainte-Catherine, les rez-de-chaussée seront occupés par des commerces. Des 1636 logements des deux tours, 700 seront mis en location. Au 25e étage, une passerelle reliera les deux immeubles. L’arrondissement estime que le projet Maestria comporte des avantages par rapport à celui qui avait été autorisé auparavant. « Les volumes ayant front sur la rue Sainte-Catherine offrent une occasion idéale de retisser la trame urbaine », note-t-on dans les documents rendus publics lundi. Malgré la taille des tours, l’arrondissement souligne que les critères généraux d’ensoleillement sont respectés. « L’impact sur la place des Festivals est concentré le matin », précise-t-on. Déficit en logements sociaux Coordonnateur au Comité logement Ville-Marie, Éric Michaud déplore que la Ville n’ait pas exigé des promoteurs de Maestria la construction de logements sociaux. Entre 2005 — année de l’entrée en vigueur de la politique d’inclusion de la Ville — et 2017, seulement 942 des 24 754 logements mis en chantier dans Ville-Marie étaient des logements sociaux, soit 3,8 %, souligne-t-il. Ailleurs à Montréal, la proportion de logements sociaux construits a atteint 14,3 %. « Le centre-ville est devenu le terrain de jeu des promoteurs », juge M. Michaud. « Il faut trouver des solutions pour que des logements sociaux y soient réalisés. Ça fait 15 ans qu’on soulève ce problème. » La Ville travaille sur un nouveau projet de règlement sur l’inclusion, mais d’ici son adoption, des projets comme celui du Maestria n’y seront pas assujettis, conclut-il. Estimé à 700 millions, le projet Maestria fera l’objet d’une consultation publique avant d’aller de l’avant. https://www.ledevoir.com/economie/547660/le-projet-maestria-s-apprete-a-franchir-une-nouvelle-etape
  7. La nouvelle a déjà été partagée à la page 111. https://mtlurb.com/topic/11363-îlot-balmoral-onf-13-etages/?page=111
  8. Je suis tout à fait d'accord avec toi. Pour ma part j'aime le contraste qu'il offre à son entourage immédiat et j'ai d'ailleurs entendu des touristes souligner le fait que le mélange des genres de la Place d'Armes était absolument remarquable.
  9. Surplus de 4,43 milliards à Québec Le ministre québécois des Finances, Eric Girard, continue à jouer de prudence en prévoyant un surplus de 1,7 milliard à la fin de l'exercice 2018-2019, et ce, même si un surplus de 4,43 milliards se trouve dans les coffres de l'État après huit mois. En novembre, la performance économique a encore été au rendez-vous, ce qui a fait en sorte que l'augmentation des revenus a encore été plus marquée que la progression des dépenses. Le surplus de 4,43 milliards - qui tient compte d'un versement de 1,7 milliard au Fonds des générations - a été dévoilé dans le rapport mensuel des opérations financières au 30 novembre, publié vendredi après la fermeture des marchés. Il est bien plus élevé que celui de 2,46 milliards enregistré à la même période l'an dernier. « Il est évident que les rentrées fiscales autonomes ont été très bonnes dans tous les secteurs », a expliqué M. Girard, au cours d'une entrevue téléphonique avec La Presse canadienne. Toutefois, le gouvernement Legault s'attend à ouvrir les vannes en dépensant près de 2,7 milliards d'ici la fin de l'année financière, souligne le rapport. Cela s'explique par une sortie prévue de 2,5 milliards afin d'atteindre des cibles de dépenses ainsi que par un autre montant de 229 millions attribuable aux différentes initiatives figurant dans la mise à jour économique. Parallèlement, Québec anticipe une plus faible progression des revenus autonomes, alors que la croissance économique devrait ralentir. M. Girard a reconnu qu'il y avait plus de chance, après plus de huit mois dans l'exercice, que le surplus budgétaire dépasse les prévisions. Le ministre a toutefois ouvert la porte à des « mesures ciblées » destinées à « l'amélioration des services publics » si des sommes ne sont pas dépensées. « Si l'on constate que les dépenses persistent à ne pas se réaliser, nous allons évaluer la possibilité de se tourner vers des initiatives ciblées non récurrentes », a dit M. Girard. Étant donné qu'il s'affaire encore à préparer son premier budget, qui devrait être déposé en mars, le grand argentier de la province n'a pas voulu ouvrir son jeu quant aux mesures qu'il pourrait offrir aux contribuables. Huit mois après le début de l'exercice, les revenus autonomes - qui excluent les recettes générées par les sociétés d'État - atteignaient 41,7 milliards, en hausse de 8 %, ou de 3,2 milliards. En revanche, les dépenses de programmes ont été de 48,2 milliards, en hausse de 5,1 %, ce qui est inférieur à la cible de croissance de 5,6 % de la mise à jour économique pour l'année financière 2018-2019. Plus précisément, l'impôt prélevé sur le revenu des particuliers a permis à Québec d'empocher 1,4 milliard de plus, alors que pour celui des entreprises, ce sont 590 millions supplémentaires qui ont été récoltés. Les taxes à la consommation ont aussi généré 529 millions de plus. À 2,5 %, la croissance économique a été au rendez-vous en 2018, mais un début de ralentissement a été constaté dans la deuxième moitié de l'année. « La hausse a été de 3 % pendant le premier semestre et de 2 % au deuxième semestre », a indiqué M. Girard, qui anticipe une croissance de 1,9 % du produit intérieur brut en 2019. De leur côté, les transferts fédéraux ont été de 14 milliards, en hausse de 4,3 %. Ainsi, la hausse globale des revenus pour les huit premiers mois de l'exercice a été de 7,3 %, pour atteindre 55,7 milliards. Par ailleurs, les sociétés d'État comme Loto-Québec, la Société des alcools du Québec ainsi qu'Hydro-Québec ont injecté 287 millions de plus dans les coffres de l'État d'avril à novembre, soit 13,4 % de plus comparativement à la période correspondante de l'exercice précédent. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201902/08/01-5214094-surplus-de-443-milliards-a-quebec.php
  10. Je ne suis pas surpris car j'ai déjà partagé à la page 117 la capture d'écran suivante qui indique que les travaux d'excavation devaient débuter en février 2019.
  11. Inside The New Offices of Element AI in Montreal Element AI, a technology company that provides advanced AI software products, recently hired architecture firm Linebox Studio to design their new office in Montreal, inside the O Mile-Ex. Element AI’s new 65,000 sq.ft office space is designed around 3 themes: Montreal, the democratization of artificial intelligence (AI), and the accommodation and support of Element AI’s unique culture. The primary goal of this project was to show how AI is the contrast between humans and technology – taking human thoughts and ideas and turning it into computer intelligence. EAI have called Montreal home for many years and deciding to establish their Head Office there was meaningful. This decision was reflected through the design of the office. We drew from the culturally rich city as a muse through materials like the brick and metal stairs – materiality that is quintessentially Montreal. Additionally, priority was given to local makers and crafters who contributed custom lighting, finishes, millwork and furniture throughout the project. We worked closely with local masons to design and create innovative brickwork that appears throughout the public space. Similar to how 1’s and 0’s are building blocks of computer code, bricks represent building blocks or thoughts which come together to form something amazing. The extraordinary brickwork pulls and extrapolates from traditional bricklaying technique and serves as a beautiful backdrop for everyday life at EAi. Present in both floors, the public area, called the “spine”, is a space that serves as a general circulation loop, connected at both ends by two custom internal staircases to foster human interactions and connections. Secondly, the Robot Laboratory, Element Ai’s internal testing and experimentation facility is located front and centre in the public area. Because one of EAi’s company goals is to democratize AI, placing the testing room adjacent to the Main Reception desk versus hidden away manifests this in a tangible way. The largest area in the office, the kitchen and lounge area, serves dual purposes as both an eatery and a presentation area. This is the main gathering hub for all EAi staff and where they come together to eat, work and discuss. The duality of function played an important role in hosting the G7 Conference on Artificial Intelligence mid-December of 2018. Two other areas are significant to the internal community of the office space: the Espresso and Kombucha bar and the Tea Bar. Both spaces are located away from the main Lounge, on Level 4, to generate movement through the two floors and large floor plate. The objective was to create “watering holes” providing different products and services that would draw people at different moments and so creating accidental encounters and sparking discussions. Being one of the leading companies in the field of artificial intelligence, Element AI draws on the global talent pool and recruits the top researchers from around the world. To support their way of life, we’ve added a laundry room, showers, a nursing room, a yoga room and a nap room as amenities to support weary, global travellers so that these researchers and intellectuals can focus on their work. Full of challenges and intricacies, this space is truly unique and has hidden gems at every turn. https://www.officelovin.com/2019/02/05/inside-the-new-offices-of-elements-ai-in-montreal/
  12. Le Grand Montréal, champion de la croissance économique au Canada Le Grand Montréal a connu une excellente année 2018 en poursuivant sur sa lancée économique de 2017! Avec une croissance réelle de son PIB de 3,6 %, l’économie du Grand Montréal a connu l’une de ses meilleures progressions depuis 20 ans, lui permettant d’enregistrer la croissance la plus élevée parmi les grandes métropoles canadiennes, devant Toronto, Vancouver, Calgary et Ottawa-Gatineau. Le marché du travail s’y porte également très bien avec un taux d’activité en hausse à 67,5 %, un gain net de 41 000 emplois (+1,9 %) et un taux de chômage baissant d’année en année pour s’établir en 2018 à un creux historique de 6,1 %. Quant aux ventes de détail, elles ont vu la progression annuelle la plus importante des grandes métropoles canadiennes avec une croissance de 7,3 %. L’économie du Grand Montréal tourne à plein régime avec une consommation robuste et des indicateurs économiques au vert. Le rôle clé de l’international et des technologies de pointe Cette embellie est également alimentée par une vague d’activités économiques sans précédent en provenance de l’international. Le nombre d’étudiants internationaux a bondi de plus de 6 % en 2018 et le trafic aérien et maritime ont connu des progressions respectives de 6,9 % et de 9,2 %. L’équipe de Montréal International (MI) a quant à elle accompagné un nombre record d’entreprises et de travailleurs internationaux ayant choisi de s’établir dans la métropole en 2018. La grande majorité de ces investissements et de ces talents se retrouve dans les domaines de pointe tels que l’intelligence artificielle, le jeu vidéo, les effets visuels, les sciences de la vie et technologies de la santé, l’aérospatiale et les technologies financières. Depuis deux ans seulement, MI a accompagné plus d’une trentaine de projets en intelligence artificielle, pour des investissements de 500 M$. Parmi les entreprises ayant investi dans la région en 2018, notons Behavox, MegaZebra, QuantumBlack, Scanline VFX, Upgrade et Varian Medical System. En conclusion, la métropole remplit de nouveau son rôle de locomotive économique du Québec. L’attraction d’investissements directs étrangers et de talents internationaux, ainsi que l’activité économique croissante des secteurs de pointe ont permis à la région de poursuivre son essor économique et sa création nette d’emplois de qualité. Le maintien de cette stratégie d’ouverture sur le monde sera essentiel pour assurer les succès futurs du Grand Montréal. http://www.montrealinternational.com/blogue/le-grand-montreal-champion-de-la-croissance-economique-au-canada/
  13. WSP à l'ère des mégacités La firme de génie-conseil WSP a dévoilé, la semaine dernière, sa nouvelle planification stratégique globale pour les trois prochaines années, un exercice qui réaffirme encore une fois la forte volonté de croissance du groupe qui a entrepris depuis 2010 une importante expansion internationale. JEAN-PHILIPPE DÉCARIE - La Presse WSP est présente dans 41 pays et compte 48 000 professionnels. Son chiffre d'affaires est de 6 milliards de dollars. Son PDG, Alexandre L'Heureux, en poste depuis mars 2016, prévoit qu'au terme des trois prochaines années, les effectifs vont connaître une hausse de 35 % pour atteindre les 65 000 employés. Le chiffre d'affaires du groupe va atteindre entre 8 et 9 milliards, et le bénéfice d'exploitation sera 50 % plus élevé qu'aujourd'hui. Mais, surtout, WSP va poursuivre sa transformation en développant davantage de nouveaux services stratégiques pour ses clients, nous explique Alexandre L'Heureux. Votre nouvelle planification stratégique pose des cibles financières et opérationnelles ambitieuses, mais très précises. Vous insistez aussi beaucoup sur les transformations qui vont toucher le coeur même de vos activités. Qu'en est-il exactement ? Oui, nos revenus, nos bénéfices et nos effectifs vont augmenter aussi, mais on va aussi poursuivre la transformation de WSP. On veut diversifier l'entreprise. On est déjà un acteur stratégique pour nos clients, mais on veut le devenir davantage dans toutes les phases du développement humain. On est une firme de génie, mais on élargit nos horizons pour tenir compte des changements de société. On veut être notamment plus présent dans les questions environnementales et d'acceptabilité sociale, dans la gestion de projets en étant responsable des aspects financiers, technologiques ou logistiques. On embauche de plus en plus de spécialistes, tels que des météorologues, des comptables, des docteurs en physique nucléaire, en sciences de la terre. On veut faire exploser la diversité de nos compétences pour répondre aux besoins qui changent. L'urbanisation, la démographie, les milléniaux. On vit l'époque des mégacités. Dans les 35 prochaines années, il va se construite chaque année une ville de la taille de Pékin. C'est énorme. D'ici 30 ans, la température à Londres va être de 5 à 6 degrés supérieure à aujourd'hui. Il va falloir refaire les bâtiments, redéfinir la mobilité, la gestion de l'eau, de l'environnement, de l'énergie. On est des spécialistes des grands projets urbains et on veut devenir un acteur mondial dans ce domaine. Depuis vos grosses acquisitions en Europe et aux États-Unis, vos champs d'expertise ont beaucoup évolué alors que vos activités dans le domaine du transport et des infrastructures ont pris de l'importance. Comment sont maintenant segmentées vos activités ? En 2012, lorsqu'on a fait l'acquisition de WSP en Angleterre, on a doublé de taille en passant de 4500 à 9000 employés. Avec l'acquisition de Parsons Brinckerhoff (PB), en 2014, aux États-Unis, on est passé de 15 000 à 30 000 employés. Avant notre expansion internationale, on était principalement dans le bâtiment. Aujourd'hui, ce secteur représente 28 % de nos revenus. On participe présentement à la construction de 15 des 20 plus hauts gratte-ciel dans le monde. On est très actif dans la science du bâtiment : la structure, la mécanique électrique, l'acoustique, la sécurité, la certification LEED... Le transport et les infrastructures représentent 50 % de nos activités. On est dans les gros projets, comme l'échangeur Turcot à Montréal. L'environnement et l'acceptabilité sociale comptent pour 12 %, et les ressources et l'industriel représentent 10 % de nos revenus. On est très actif au Canada et en Australie dans le domaine des ressources. Pour atteindre vos objectifs financiers, vous ne pouvez pas compter sur la seule croissance organique. Allez-vous devoir poursuivre vos acquisitions ? Oui, c'est escompté dans notre planification. De 2015 à 2018, on a réalisé 29 acquisitions et on a ajouté 16 000 personnes à nos effectifs. Depuis qu'on est devenu public en 2006, on en a fait plus de 120. Notre force, c'est l'intégration. En 2017, on a réalisé l'acquisition de la firme Opus, en Nouvelle-Zélande. On est arrivé le vendredi soir et on a avisé le PDG qu'on allait acheter l'entreprise et qu'il fallait que ce soit réglé dimanche soir pour être annoncé le lendemain. On avait préalablement conclu une entente avec un fonds souverain de Malaisie qui contrôlait 60 % des actions. L'OPA s'est réglée en un week-end, et on a acheté la plus grosse firme d'ingénieurs de Nouvelle-Zélande. On vient de compléter l'acquisition du Groupe Berger aux États-Unis, qui appartenait à un fonds d'investissement. On a rajouté 5000 professionnels à nos effectifs et on a acquis une expertise dans le gouvernement fédéral américain, notamment dans le département de la Défense. Depuis votre décision en 2010 de vous lancer dans l'expansion internationale, vous avez pu compter sur l'appui de la Caisse de dépôt et de l'Office d'investissement du RPP. Est-ce que ces partenaires vous suivent toujours ? Absolument. En 2010, on leur a présenté notre plan, qu'ils ont fait valider par Bain Capital. La Caisse et l'OIRPC ont investi chacun 75 millions pour prendre une participation dans WSP (Genivar à l'époque). Depuis, ils ont toujours participé à nos acquisitions et ils ont augmenté leur participation respective dans notre capital à 20 %. Ce sont des partenaires exemplaires et solides qui cumulent des actifs de 600 milliards. Il faut dire toutefois que ces deux institutions cumulent un rendement annuel de 25 % depuis qu'ils ont investi dans WSP... Et c'est certain que si une acquisition transformationnelle se présente comme WSP ou PB à l'époque, ils vont participer. Notre planification stratégique ne tient pas compte d'une telle éventualité. On a des entreprises dans notre ligne de mire, on a la capacité financière, les outils opérationnels et la volonté de réaliser une grosse transaction, mais il faut que l'occasion se présente. La question que l'on ne peut éviter. Si jamais SNC-Lavalin devait être forcée d'être vendue, en totalité ou en partie, est-ce que vous seriez sur les rangs pour faire une proposition ? Écoutez, SNC-Lavalin n'en est pas là, et ce ne serait pas une bonne nouvelle pour le Québec si cela devait arriver. C'est une grande entreprise, un siège social important, et on ne leur souhaite pas de malheur. Cela dit, nos activités ne concordent pas. SNC-Lavalin est très active dans la construction, et c'est un secteur qui ne nous intéresse pas du tout. Nous, on est des professionnels du génie et on s'en tient à ça. SNC-Lavalin est aussi très impliquée dans le secteur pétrole et gaz, où on est totalement absent. C'est un secteur qui ne nous intéresse absolument pas. On réalise 90 % de nos contrats dans des pays qui sont membres de l'OCDE, c'est là qu'on veut développer nos affaires. Mais outre les problèmes récents que SNC a rencontrés au Moyen-Orient, ce n'est pas normal que l'entreprise soit encore pénalisée au Canada par le comportement de certains individus à l'époque. Dans les autres pays où on fait affaire, ça ferait longtemps que ce dossier aurait été réglé. Ici, on revient constamment sur ce sujet. Réglons-le une fois pour toutes. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/grande-entrevue/201902/05/01-5213558-wsp-a-lere-des-megacites.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&amp;utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_grande-entrevue_4268315_section_POS1
  14. La pauvreté recule à Montréal, mais moins qu'annoncé ANDRÉ DUBUC - La Presse Le nombre de personnes à faible revenu a bel et bien baissé dans l'île de Montréal dans les dernières années, mais pas dans les proportions que pouvait laisser croire un document récent de la Ville de Montréal. Après vérifications auprès de Statistique Canada et de la Ville de Montréal, le nombre de personnes à faible revenu a diminué de 18 % dans l'île de Montréal en 10 ans, entre 2005 et 2015. Or, le 16 janvier dernier, La Presse a écrit que la population de personnes à faible revenu avait diminué de 175 000 personnes en 15 ans, une diminution de 34 % qui avait laissé dubitatif Stéphane Crespo, analyste statistiques et indicateurs sociaux à l'Institut de la statistique du Québec. Les données ayant servi de référence à notre article avaient été tirées d'un profil de quartier préparé par Montréal en statistiques à la demande de l'arrondissement de Ville-Marie, dans le cadre de la préparation du programme particulier d'urbanisme (PPU) pour le secteur des Faubourgs. Le document en question est diffusé sur le site internet de l'Office de consultation publique de Montréal. Le nombre de personnes à faible revenu reposait sur les seuils de faible revenu après impôt utilisés par Statistique Canada. Ces seuils sont calculés sur une base canadienne et sont établis en fonction de la taille de la région. Pour Montréal, les seuils en 2015 s'élevaient à 20 386 $ pour une personne seule et à 38 544 $ pour un ménage de quatre personnes. Le scepticisme de M. Crespo s'est avéré justifié. La Ville a reconnu avoir comparé des pommes avec des oranges dans son profil de quartier. Dans un courriel reçu le 28 janvier, le Service de développement économique de la Ville explique avoir comparé des données avant impôt de 2001 avec des données après impôt de 2016, ce qui a eu pour effet d'exagérer la diminution du nombre de personnes à faible revenu entre les deux périodes. Le dénombrement des personnes se trouvant sous les seuils de faible revenu après impôt n'a malheureusement pas été calculé par Statistique Canada lors du recensement de 2001. Pour refaire les calculs, on doit se contenter des seuils avant impôt, moins intéressants parce qu'ils ne tiennent pas compte des transferts gouvernementaux, dont l'un des buts est de réduire la pauvreté. Sur cette base imparfaite, le nombre de personnes à faible revenu a reculé de 13 % en 15 ans, soit une diminution de 67 705 personnes, donc beaucoup moins que les 175 000 espérés. À notre demande, Statistique Canada a comparé les seuils de faible revenu après impôt pour la plus longue période disponible. Entre 2005 et 2015, le nombre de personnes à faible revenu dans l'île de Montréal a diminué de 73 845 personnes, passant de 413 530 personnes à 339 685, une baisse de 18 % en 10 ans. Raisons du recul de la pauvreté La Ville explique ce recul par la croissance du revenu moyen des ménages de l'île qui a excédé le rythme de l'inflation au cours de la période. « Le montant qui détermine les seuils de faible revenu a augmenté de 30,5 % de 2001 à 2016 alors que les revenus médians des Montréalais ont augmenté de 46,3 % », écrit Benoit Van de Walle, membre de l'équipe de Montréal en statistiques. Il rejette aussi l'hypothèse, évoquée par certains de nos lecteurs à la publication de notre article original, selon laquelle le recul de la pauvreté s'expliquerait par le déménagement des ménages à faible revenu en banlieue, où le logement est moins cher. « Parce que le nombre de personnes à faible revenu a reculé partout au Québec dans les mêmes proportions qu'à Montréal, rien ne permet d'estimer que cette diminution serait le résultat d'un déplacement des Montréalais moins bien nantis vers d'autres régions du Québec. » Historiquement, ce sont des travailleurs professionnels qui quittent Montréal pour acheter une maison en banlieue dans le but d'élever une famille. Ceux-ci sont remplacés dans l'île en bonne partie par des étudiants et par des immigrants qui n'ont pas nécessairement de gros moyens. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/emploi/201902/01/01-5213288-la-pauvrete-recule-a-montreal-mais-moins-quannonce.php
  15. Habituellement la banalité laisse les gens indifférents, ce qui est n'est pas le cas du Griffix que plusieurs ici semblent détester profondément. J'aime beaucoup Griffintown mais il est vrai qu'on y trouve plusieurs édifices récents dont l'architecture est assez banal. Pourtant ceux-ci ne sont pas critiqués aussi vertement que le Griffix. C'est peut-être justement parce que le Griffix n'est pas si banal que ça après tout.
  16. Mila inaugure ses nouveaux locaux dans le Mile-Ex MONTRÉAL, le 28 janv. 2019 /CNW Telbec/ - Mila - Institut québécois d'intelligence artificielle a inauguré aujourd'hui ses nouveaux locaux au Complexe O Mile-Ex, en présence du ministre de l'Économie et de l'Innovation du gouvernement du Québec, monsieur Pierre Fitzgibbon et de plus de 200 partenaires et acteurs de l'écosystème québécois en intelligence artificielle. Mila met en œuvre la Stratégie pour l'essor de l'écosystème québécois en intelligence artificielle rendue publique par le gouvernement du Québec en juin 2018, dont les orientations principales visent à assurer l'essor et la pérennité du pôle de recherche académique en intelligence artificielle (IA) au Québec, à développer le talent en sciences numériques pour répondre aux besoins du Québec, et à accélérer le développement et l'adoption de solutions d'IA. « Le nouveau Mila est un centre de recherche dont les travaux sont axés sur l'innovation en entreprise, le développement du talent pour les entreprises, la création de nouvelles entreprises et le transfert technologique », affirme Pierre Boivin, coprésident du comité d'orientation sur la stratégie québécoise de développement de l'intelligence artificielle et président du conseil d'administration de Mila. « Mila recevra une contribution de 80 millions $ sur cinq ans du ministère de l'Économie et de l'Innovation du gouvernement du Québec. Mila bénéficiera aussi d'un financement de 44 millions $ de CIFAR, à titre de partenaire du développement et de la mise en œuvre de la stratégie pancanadienne d'intelligence artificielle. Le secteur privé ajoutera aussi un apport financier important au développement de Mila ». « Pour créer davantage de richesse, le Québec doit maintenir son leadership en intelligence artificielle et commercialiser les technologies qui en découlent. Mila représente un atout majeur pour le dynamisme de cet écosystème d'innovation. La recherche universitaire, la formation, le transfert technologique et le dialogue social permettront à la société québécoise de développer ce pan de l'économie désormais incontournable », affirme Pierre Fitzgibbon, ministre de l'Économie et de l'Innovation. Mila est un concept unique créé par l'Université de Montréal et l'Université McGill, avec l'appui de HEC Montréal et de Polytechnique Montréal. Le projet rassemble, dans un lieu hors campus, les forces de ces établissements en recherche fondamentale de pointe en intelligence artificielle. Afin de transformer cette puissance de recherche en développement économique, Mila rassemble aussi toutes les phases du processus d'innovation, de la recherche universitaire, en passant par la jeune pousse, la naissance d'une entreprise, jusqu'à la commercialisation des applications ou produits. « Mila et ses membres portent des valeurs fortes que nous avons inscrites dans la Déclaration de Montréal pour le développement de l'intelligence artificielle socialement responsable. Ces valeurs teintent tout l'écosystème québécois de l'intelligence artificielle dont Mila est à la fois le cœur, l'âme et la matière grise », souligne Guy Breton, coprésident du comité d'orientation sur la stratégie québécoise de développement de l'intelligence artificielle et recteur de l'Université de Montréal. Aménagés sur plus de 90 000 pi2, dans un immeuble recyclé de la rue Saint-Urbain, au cœur du Mile-Ex, les nouveaux espaces modernes hébergeront plus de 375 membres de la famille Mila et 125 chercheurs ou experts provenant des entreprises et institutions partenaires. Mila accueillera des professeurs-chercheurs, des étudiants-chercheurs de niveau maîtrise, doctorat et postdoctorat, et des experts en développement technologique. Mila inclut aussi un centre de transfert technologique, un Espace CDPQ | Axe IA hébergeant neuf entreprises en démarrage, une douzaine de labs corporatifs, un espace dédié aux jeunes pousses étudiantes, et plusieurs lieux qui favorisent les interactions et suscitent la créativité et l'innovation. « Nous franchissons aujourd'hui une étape importante », déclare Valérie Pisano, présidente et chef de la direction. « Nous allons conserver notre leadership en recherche avancée en intelligence artificielle grâce à l'augmentation des professeurs-chercheurs, qui sont maintenant 35, et des étudiants-chercheurs que nous accueillons. Nous aiderons nos universités partenaires à diplômer, chaque année, plus de 250 titulaires d'une maîtrise professionnelle en intelligence artificielle afin de répondre à un besoin urgent des entreprises québécoises. Nous allons aussi contribuer à la création de nouvelles entreprises spécialisées en IA en favorisant les rencontres et les collisions entre nos chercheurs, nos partenaires et nos voisins dans ce quartier où l'IA est en effervescence ». « Le nouveau Mila accélèrera le développement de l'intelligence artificielle au Québec et il nous permettra de prioriser une utilisation socialement responsable de l'IA et un dialogue sur les enjeux qui y sont reliés, afin que cette technologie se développe au service et au bénéfice l'ensemble de la société », a déclaré Yoshua Bengio, directeur scientifique de Mila. À propos de Mila Le premier Laboratoire d'informatique des systèmes adaptatifs, appelé par la suite MILA, a été créé à l'Université de Montréal par le professeur Yoshua Bengio en 1993. Le nouveau Mila a été initié en 2017 par l'Université de Montréal et l'Université McGill, avec l'appui de HEC Montréal et Polytechnique Montréal. Il regroupe la plus forte concentration mondiale de recherche et développement en apprentissage profond et par renforcement. Dans ses nouveaux locaux au Complexe O Mile-Ex, Mila créera un territoire unique d'innovation et de transfert technologique en intelligence artificielle qui exploitera les interactions avec l'industrie et suscitera l'émergence de startups, tout en intégrant les impacts sociaux de l'intelligence artificielle dans ses projets. Pour obtenir plus de renseignements au sujet de Mila, visitez le site mila.quebec. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/mila-inaugure-ses-nouveaux-locaux-dans-le-mile-ex-809076693.html
  17. Cette partie de l'article concerne le O Mile-Ex. Le reste parle du Mila qui n'est qu'un locataire de ce centre d'excellence en intelligence artificielle qu'est le O Mile-Ex où la moitié des locataires oeuvrent en IA. Si l'auteur de l'article n'a pas fait la distinction entre les deux c'est sans doute parce que ce n'est pas clair dans son esprit. Ceci étant dit, Mila reste quand même une institution extrêmement importante qui joue un rôle primordial en AI en accueillant un très grand nombre de chercheurs (follows) à chaque année. Le plus souvent leurs recherches donneront naissance à de jeunes pousses en AI qui s'établiront soit à l'intérieur du O Mile-Ex ou dans les environs (comme Microsoft). Ce que plusieurs personnes ignorent c'est que le Mila est considéré mondialement comme le Deep Learning Ground Zero. Ce centre de recherche ayant été fondé par Yoshua Bengio de l'Université de Montréal, l'un des trois créateurs de l'apprentissage profond (deep learning), une des branches les plus importantes de l'intelligence artificielle. En invitant l'Université McGill à se joindre au Mila on a ajouté à son expertise une autre branche de l'IA qu'est l'apprentissage par renforcement (reinforcement learning). Montréal étant le seul endroit au monde où des spécialistes des deux principales branches de l'intelligence artificielle s'y trouvent en aussi grands nombres. Edit: merci @acpnc d'avoir partagé cette nouvelle sinon je l'aurais manquée. Cependant l'article qui suit est beaucoup mieux rédigé et enlève toute confusion que pourrait engendrer l'article de La Presse Canadienne qui a malheureusement été repris par plusieurs journaux.
  18. Et que pour la plupart nous suivons de près sur MTLURB! Surprenant! Tout aussi surprenant!
  19. Complexe des sciences : la bibliothèque se dévoile https://nouvelles.umontreal.ca/article/2019/01/21/la-bibliotheque-des-sciences-du-campus-mil-ouvrira-cet-automne/
  20. J'ai déjà partagé le même article hier dans la section "Urbanisme et architecture."
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