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_mtler_

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  1. Would anyone here sincerely be opposed to a 300m VSLP? It's a beauty.
  2. NOUVELLE TOUR DE 58 ÉTAGES BROCCOLINI POURSUIT LA MÉTAMORPHOSE DU CENTRE-VILLE ANDRÉ DUBUC LA PRESSE Le promoteur immobilier à qui l’on doit la tour à vocation multiple L’Avenue, face au Centre Bell, refait le coup avec le projet Victoria sur le Parc, au Square Victoria. Les 400 unités de copropriété seront mises en vente le mois prochain. La tour Victoria sur le Parc/700, Saint-Jacques comptera 58 étages et culminera à 200 mètres, la hauteur maximale permise par le zonage. Elle comprendra 400 condos, des bureaux et des commerces. « Ce sera quasiment comme L’Avenue », reconnaît Anthony Broccolini, chef de l’exploitation de l’entreprise familiale. La Presse a rencontré Anthony Broccolini et son père John, chef des opérations, au siège social de la société, route Transcanadienne, à Kirkland, hier matin. Victoria sur le Parc fait partie d’un ensemble de trois tours placées côte à côte qui s’élèveront rue Saint-Jacques, tout juste à l’est du boulevard Robert-Bourassa. Les trois composantes sont la tour mixte Victoria sur le Parc, le futur siège social de la Banque Nationale et la tour résidentielle de 35 étages du 628, rue Saint-Jacques. « Le 628 s’est très bien vendu avec seulement 8 logements invendus sur 250, dit Anthony Broccolini, 36 ans. Ça fait environ un an qu’on a lancé les ventes au 628. L’accueil avait été bon au lancement, l’automne passé. C’est notre intention de faire la même chose avec Victoria sur le Parc. » Le marché des acheteurs devrait se montrer aussi réceptif pour les condos de Victoria, selon lui. « On n’a jamais vu l’économie montréalaise aussi forte que maintenant. Beaucoup de gens déménagent à Montréal. Ensuite, quand on regarde le nombre de projets de copropriétés, il n’y a plus beaucoup de grands projets qui sont actuellement à l’étape de la mise en vente. » VERS UN AUTRE FONDS D’INVESTISSEMENT Broccolini est une entreprise familiale fondée il y a près de 70 ans par Donato Broccolini, grand-père d’Anthony. D’abord actif dans la construction comme entrepreneur général, le groupe a ajouté la corde de la promotion immobilière en 1998. Les affaires se sont envolées à partir de 2007 quand la famille a créé un premier fonds d’investissement. « On a eu un très bon succès, dit John Broccolini, 60 ans. Le fonds nous a donné l’opportunité d’acheter des terrains et de réaliser des projets de plus grande envergure. On est rendus à notre quatrième fonds. On est en train de discuter le cinquième fonds d’investissement. » L’argent des fonds a notamment accéléré l’implantation de la famille en Ontario, permettant à cette dernière de se constituer rapidement une banque de terrains dans la région de Toronto. Aujourd’hui, le groupe emploie 300 personnes dans ses bureaux de Montréal, Toronto et Ottawa. Ces dernières années, les revenus ont tourné autour de 500 millions par an, chiffre qui montera à 600 millions au cours des prochains exercices financiers. Le groupe possède des terrains d’une superficie de 8 millions de pieds carrés à Toronto et de 7 millions de pieds carrés dans la région montréalaise, avec une concentration dans l’île. En fait, le nom Broccolini est omniprésent le long de la Transcanadienne dans le West Island. À Kirkland, par exemple, la société est copropriétaire avec Magil Laurentienne des anciens laboratoires de Merck, qu’elle a renommés quartier Évolution. Elle détient aussi depuis l’an dernier 50 % du Centre RioCan, où le Réseau express métropolitain (REM) installera une gare. S’ADAPTER À LA DYNAMIQUE Mais, et le déménagement de la brasserie Molson à Longueuil en constitue une preuve récente, l’avenir des usines et des centres de distribution se trouve clairement hors de l’île. On a d’ailleurs vu le promoteur concurrent Divco acquérir plus tôt cette année de vastes terrains à Varennes, sur la Rive-Sud. Broccolini s’adapte lui aussi à la dynamique. Il a signé des partenariats avec Triovest, à Vaudreuil-Dorion, pour le parc d’affaires Quarante30 (3 millions de pieds carrés) et avec Alta pour le parc industriel éponyme à Coteau-du-Lac (environ 20 millions de pieds carrés). Quant à son portefeuille d’immeubles, qui s’élève à presque 6 millions de pieds carrés, il aura bientôt comme joyau la nouvelle Maison de Radio-Canada, actuellement en construction. Le télédiffuseur public sera en effet locataire à long terme chez Broccolini. Outre la Maison de Radio-Canada, les Broccolini mènent de front pas moins d’une douzaine de chantiers cet automne, parmi lesquels la fusion du Centre Eaton et du Complexe Les Ailes au centre-ville, le centre de distribution d’Amazon, dans la région d’Ottawa, et celui d’IKEA, à Beauharnois. « Celui-là est très spécial, glisse John Broccolini. La charpente est supportée par les étagères, ce qui donne une hauteur de 115 pieds comparativement à une moyenne autour de 40 pieds [dans le monde des entrepôts]. » Que ce soit avec ses gratte-ciel de condos et bureaux ou ses centres de distribution gigantesques, Broccolini redessine le paysage de la région montréalaise.
  3. Good news for 2 reasons: 1) they have credibility which means that an actual project will come to fruition 2) have you seen 21e? It's a mix of condos, rental and commercial.
  4. http://www.lelezard.com/communique-18060872.html Avis aux médias - La Tour des Canadiens 2 et 3, le projet résidentiel le plus prisé de Montréal, célèbre le début des travaux de construction de sa remarquable passerelle En lire plus: http://www.lelezard.com/communique-18060872.html Visite privée du site de construction de la Tour des Canadiens 2 et annonce de plusieurs offres exclusives pour la Tour des Canadiens 3 MONTRÉAL, 10 sept. 2018 /CNW Telbec/ - Cadillac Fairview, Canderel, le Fonds immobilier de solidarité FTQ et le Club de hockey Canadien invitent les représentants des médias à un événement exclusif pour marquer le début des travaux de construction de la Passerelle et annoncer les nouveautés de la Tour des Canadiens 3 (TDC3). Vous découvrirez en primeur le concept architectural de la future Passerelle, un passage aérien accessible au public qui relie Ville-Marie et les arrondissements du sud-ouest, en plus d'obtenir un accès exclusif aux nouveaux penthouses et maisons de ville de la TDC3. L'événement se tiendra le mercredi 12 septembre à 11 h à l'atrium de la Tour des Canadiens 2 (site en construction). Les annonces porteront sur ce qui suit : L'unique Passerelle : accessible au public, elle reliera la Tour des Canadiens 2 et 3 à la Tour Deloitte et au Centre Bell, en plus d'offrir un accès direct à l'ensemble du réseau souterrain de Montréal (RÉSO) et au futur REM (Réseau express métropolitain) La nouvelle collection de penthouses CH, qui propose trois unités au design exclusif inspiré des Canadiens de Montréal, un concept unique se démarquant de tous les autres projets résidentiels La collection de maisons de ville, un joyau du centre-ville construit dans le nouveau quartier Quad Windsor et offrant un accès piétonnier au parc Ville-Marie, à la gare Windsor et au Centre Bell ainsi qu'un accès direct à tous les secteurs de la ville Les médias seront également invités à une visite privilégiée du 53e étage de la Tour des Canadiens 2, qui offre une vue panoramique à couper le souffle sur Montréal. Les partenaires du projet seront disponibles pour des entrevues. AIDE-MÉMOIRE : ÉVÉNEMENT : Dévoilement de la future Passerelle : dans les coulisses de la Tour des Canadiens 2 et 3 (occasion photo/vidéo) DATE : Mercredi 12 septembre à 11 h Des rafraîchissements seront servis. LIEU : Point de rencontre au Bureau d'accueil, situé au : 750, rue Peel, angle Saint-Antoine Ouest Des casques de construction seront remis. INVITÉS : Brian Salpeter, vice-président principal, Développement, Est du Canada, Cadillac Fairview Daniel Peritz, vice-président principal, Canderel Carole Handfield, vice-présidente, Investissements, Fonds immobilier de solidarité FTQ Yvan Cournoyer, représentant du Club de hockey Canadien Louis T. Lemay, président, Lemay (architecture de la Passerelle) Andrew King, associé principal, Lemay (architecture de la Passerelle) Aussi présents pour les demandes d'entrevues : Olivier Legault, architecte, associé principal, BLTA (architecture du projet TDC3) Karine Bannon, chargée de projets, CAMDI (design intérieur des penthouses et des maisons de ville) Alexander Slim, artiste peintre En lire plus: http://www.lelezard.com/communique-18060872.html
  5. _mtler_

    Canadiens de Montréal

    I wouldn't qualify Tatar as "flippable" - he's locked in until 2020-2021 @ 5.3M per season.
  6. _mtler_

    Canadiens de Montréal

    Decent return. On another note, the Habs have traded Subban Sergachev Eller Pacioretty Galchenyuk and still do not have a NHL #1 center.
  7. C'est relativement "pas cher"...les maisons de ville à Bois-Franc sont les même prix.
  8. https://www.theglobeandmail.com/business/article-montreal-founded-hotel-business-disruptor-sonder-canada-raises-us8/ Montreal-founded hotel business disruptor Sonder Canada raises $85-million SEAN SILCOFF PUBLISHED AUGUST 23, 2018UPDATED 2 DAYS AGO Sonder Canada Inc., a Montreal-based startup aiming to disrupt the travel accommodation business by renting out hotel-quality apartments through Airbnb and other websites, said Thursday it has raised US$85-million in a financing led by San Francisco venture capital firm Greenoaks Capital. Sonder, both an alternative to Airbnb-like services and an emerging rival to the traditional hotel business, generates US$100-million in annualized revenue through a unique model that 25-year-old founder and chief executive Francis Davidson began building when he was a student at McGill University. The company rents 2,200 apartments from real estate owners in 14 cities in the United States, Canada and Europe and, in turn, offers them up online for short-term rentals to business travellers and vacationing families. Sonder positions itself as a better quality experience than a typical rental through Airbnb – and a more distinctive stay than a typical hotel offers. Compared with individual Airbnb accommodation providers, where amenities on offer can vary widely, Sonder’s properties offer standard mattresses, regularly stocked hotel toiletries and full sets of dishes and cutlery. The company offers a round-the-clock concierge and regular cleaning service. Sonder also offers an alternative to a downtown or suburban Marriott or Holiday Inn, with larger spaces – often with two bedrooms – in hip neighbourhoods and with more distinctive furniture and art, which vary from location to location. The company lists its rooms through a range of channels, including its own website and Airbnb. “Airbnb built a version of Expedia, and we’ve built a version of Marriott for the evolving needs and preferences of consumers," Mr. Davidson said. Mr. Davidson, a native of Gatineau, Que., started the business six years ago after his freshman year at McGill, where he studied economics and philosophy. That summer he rented his Montreal apartment to travellers to earn extra money, valeting cars and providing guests with bottles of wine. The following year he managed vacant apartments for several other students who had left for the summer, and a year later he hit $1-million in revenue, dropped out of school and raised $5-million in seed money from Canadian investors including Business Development Bank of Canada (BDC) and Real Ventures in 2015. “Canadian investors took a big bet on this one,” said Matt Roberts, who led the investment for BDC and continued to invest in Sonder after becoming a partner with Toronto-based venture capital firm ScaleUP Ventures. Sonder soon moved away from student apartments and began leasing directly from real estate companies, giving it more control over the spaces it offered. “It takes a lot of effort to scale a business like this,” Mr. Roberts said. “It’s the most complicated business I’ve ever been involved with as an investor” because of the long list of steps the company goes through to secure each new property. In 2016 early Twitter financier Spark Capital led a US$10-million financing and Sonder moved its main operations to San Francisco, largely to improve access to talent needed to scale the business, Mr. Davidson said. Sonder has grown rapidly and served more than 200,000 guests. The company is still technically Canadian though just a few dozen out of its 350 employees remain in Montreal. Mr. Davidson said Sonder will expand operations and staff in Canada in the coming months, including an impending expansion into Vancouver.
  9. http://www.lapresse.ca/actualites/201808/21/01-5193817-lupa-salarme-de-letalement-urbain.php Publié le 22 août 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'UPA s'alarme de l'étalement urbain (Québec) Inquiète de voir les projets immobiliers se multiplier sur des terres cultivables près des villes, l'Union des producteurs agricoles (UPA) veut faire de l'étalement urbain un véritable enjeu durant la campagne électorale. En entrevue, le président du syndicat d'agriculteurs indique qu'il va demander aux différents partis de s'engager en faveur d'un resserrement de la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles. L'UPA veut que Québec accorde plus de pouvoirs à la Commission du territoire agricole (CPTAQ) pour protéger les terres autour des grands centres urbains, comme à Montréal. « À Montréal, ça continue de se développer, ça continue de se dézoner, ça continue de construire, constate le président de l'UPA, Marcel Groleau. On doit renforcer la Loi autour de Montréal, autour des centres urbains, parce que c'est vraiment là que la pression est exercée. Et peut-être qu'on pourrait trouver le moyen de donner un peu d'air dans les municipalités en région. » « C'est sûr qu'on va entendre les chefs de parti lors de leur passage au Conseil général de l'UPA les 5 et 6 septembre », ajoute M. Groleau. Le Conseil canadien d'urbanisme a publié lundi une étude qui constate la croissance soutenue de l'étalement urbain au pays. De plus en plus de Canadiens vivent dans des banlieues où règne l'automobile, toujours plus loin des services de transports en commun. Cette croissance démographique dans des zones très peu densifiées augmente la pression sur les terres agricoles. L'étude d'une centaine de pages conclut que l'étalement urbain progresse partout au pays, malgré les politiques en faveur de la densification mises en place par les villes. Lundi, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a demandé à Québec et à Ottawa d'agir pour contrer le phénomène. « Je trouve ça très intéressant, la position de Valérie Plante, parce que nous, on a cette réflexion-là depuis un certain temps. » - Marcel Groleau La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) s'est dotée en 2012 d'un plan d'aménagement notamment pour contrer l'étalement. Mais l'UPA estime que 1000 hectares de terres agricoles sont visées par des projets sur le territoire de la CMM ou juste à l'extérieur. À Québec, la Ville veut faire dézoner 567 hectares pour éventuellement permettre la construction de 8220 maisons. La CPTAQ est responsable d'accorder ou de refuser les demandes de dézonage des terres agricoles. Mais selon l'UPA, la Commission est assaillie de demandes dans les zones suburbaines et périurbaines. « C'est très difficile pour la Commission de résister autour des grands centres urbains. La pression est énorme. Il faut un frein. Le problème est réellement là », dit Marcel Groleau. Au Québec, seulement 4,7 % du territoire est propice à l'agriculture. MENACES DE DÉZONAGE PRÈS DE MONTRÉAL Dans la région de Montréal, l'UPA s'oppose notamment à un dézonage de 25 hectares pour faire place à un nouvel hôpital à Vaudreuil-Dorion. La CPTAQ, dans un avis au gouvernement, s'est dite défavorable au dézonage. Elle a suggéré d'autres endroits, sur des terres qui ne sont pas agricoles, où l'hôpital pourrait être érigé. Le gouvernement sortant a toutefois déclaré qu'il allait aller de l'avant sur des terres agricoles malgré l'avis de la CPTAQ. Dans son rapport, la Commission se disait inquiète que la construction de l'hôpital en territoire agricole ne mène à d'autres projets commerciaux autour, comme ç'a été le cas à l'hôpital Pierre-Le Gardeur, à Terrebonne. L'UPA dénonce aussi le prolongement de l'autoroute 19 à Laval, ainsi que le dézonage envisagé à Mirabel pour construire une gare. Selon le syndicat, il s'agit de mesures qui vont favoriser l'étalement urbain. « Pour nous, la gare de Mirabel ne fait pas partie d'un plan pour résoudre les problèmes d'engorgement du réseau. C'est un plan pour Mirabel. Le prolongement de la 19, c'est un projet, mais ça ne fait pas partie d'un plan, se désole Marcel Groleau. Il faut limiter l'étalement urbain, il faut vraiment le limiter. Sinon, on ne règle rien. »
  10. http://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201808/12/01-5192786-une-rare-situation-de-guerres-dencheres-immobilieres-a-montreal.php Publié le 12 août 2018 à 12h27 | Mis à jour à 12h32 Une rare situation de guerres d'enchères immobilières à Montréal Le marché de l'immobilier en plein essor à Montréal a engendré des guerres d'enchères, un phénomène courant au cours des dernières années sur les marchés frénétiques de Toronto et de Vancouver, mais un phénomène rare dans la deuxième plus grande ville du Canada. Un mélange d'un haut taux d'occupation, d'une économie québécoise solide et d'un afflux d'acheteurs étrangers a fait en sorte que les prix des propriétés dans le Grand Montréal ont dépassé la moyenne nationale pour la première fois en sept ans. Contrairement aux performances mitigées des marchés de Toronto et de Vancouver, qui ont tendance à dominer les manchettes, le marché montréalais est sur une trajectoire solidement à la hausse. La Chambre immobilière du Grand Montréal a déclaré que les ventes de propriétés avaient augmenté en juillet pour un 41e mois consécutif, atteignant un sommet de huit ans pour le mois. Le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de 6 pour cent par rapport au même mois de l'an dernier à 336 250 $, ce qui demeure beaucoup moins élevé qu'à Toronto, le plus grand marché canadien, où le prix moyen des maisons était de 782 129 $ en juillet. La situation de guerre des enchères - dans laquelle l'intérêt pour une propriété est si fort que les vendeurs peuvent solliciter des prix supérieurs au prix demandé de plusieurs acheteurs et choisir la meilleure offre - est particulièrement forte dans l'ouest de l'île de Montréal, où près du quart des maisons ont été vendues à un niveau supérieur au prix affiché au deuxième trimestre, selon Royal LePage. Les vendeurs sur l'île de Montréal ont reçu des offres d'environ 15 000 $ ou 3,5 pour cent de plus que le prix demandé, a indiqué Dominic St-Pierre, directeur principal de Royal LePage au Québec. « La situation va probablement s'aggraver avant de s'améliorer, la demande est toujours forte et l'inventaire continue de baisser et il va probablement continuer de baisser durant six à neuf mois avant de se stabiliser », at-il soutenu. La perspective de nouvelles hausses des taux d'intérêt, de nouvelles inscriptions et de la construction de nouvelles habitations finira par équilibrer le marché et allégera la pression sur les acheteurs, a-t-il ajouté. Il faut remonter à dix ans pour un tel marché des vendeurs à Montréal, avant la crise financière. Pour les acheteurs, la guerre aux enchères peut être un processus extrêmement stressant et coûteux, mais pour les vendeurs, cela présente d'énormes occasions de gagner de l'argent. Elena Trigiani et son mari, Thomas Poirier, ont récemment été forcés de payer 15 pour cent de plus afin d'avoir le dessus sur six autres soumissionnaires. « Le prix en toute honnêteté a été établi à cause d'une guerre d'enchères », a confié la future mère de 29 ans. La maison de deux étages à Pointe-Claire, une banlieue insulaire, a été vendue 60 000 $ au-dessus du prix demandé de 400 000 $. Le couple s'est préparé à la bataille après avoir vu beaucoup d'amis rater une occasion en hésitant à trop accentuer leur offre. « Nous savions que nous devions pouvoir réagir rapidement si nous trouvions la maison recherchée, et c'est ce que nous avons fait », a-t-elle indiqué. Vendeurs, Megan Mallette-Di Liello et Patrick Vena ont profité des avantages de l'autre versant en recevant 20 000 $ supplémentaires lorsqu'ils ont vendu leur maison inscrite à 735 000 $ à Beaconsfield, à proximité. Les parents de deux jeunes enfants savaient, grâce à leurs amis, qu'il y avait une possibilité de multiples offres, mais ils ne voulaient pas trop s'emballer. « Nous sommes vraiment satisfaits. Nous ne nous attendions pas à cela », a-t-elle déclaré. Mme Di Liello avait entendu parler de vendeurs qui s'étaient délibérément inscrits à bas prix pour créer une guerre d'enchères. « Ce n'était pas notre intention. Nous estimions que ce que nous avions affiché était juste, et nous avons été surpris d'obtenir plus », a-t-elle confié. Bien que le marché immobilier montréalais soit solide, le nombre de surenchères est faible par rapport à Toronto et à Vancouver, où certaines maisons ont attiré de nombreuses offres au cours de leur période faste et ont été vendues pour 100 000 $ de plus que ce qui était demandé. Cette dynamique a ajouté à la frénésie des acheteurs et a encouragé les enchérisseurs perdants à payer plus lors des ventes ultérieures, a souligné Brad Henderson, chef de la direction de Sotheby's International. « À la guerre d'enchères suivante, ils étaient beaucoup plus déterminés et c'est l'une des causes de la hausse des prix », a-t-il affirmé en entrevue. M. Henderson croit également qu'il y a plus de marge de manoeuvre pour les guerres d'enchères pour les maisons dont le prix est inférieur à 1 million $, en raison des prix plus bas des maisons à Montréal. Des agents immobiliers de Montréal affirment que l'afflux d'acheteurs étrangers ayant suivi l'imposition de taxes à Toronto et à Vancouver a fait une différence même si leur nombre est relativement faible. L'absence d'options de logement pour les personnes âgées est un autre facteur dans l'Ouest de l'Île. Cela a convaincu les baby-boomers de s'accrocher à leurs grandes maisons, a déclaré Jay Deakin, propriétaire de Deakin Realty. La volatilité a rendu difficile la tarification des maisons et crée des incertitudes pour les mois à venir, a-t-il indiqué. « Je voudrais dire que nous avons tous vu cela arriver, mais la plupart des courtiers à qui j'ai parlé n'ont pas vu les 18 derniers mois arriver. Nous ne nous attendions pas à ce type d'augmentation », a-t-il ajouté.
  11. Refresh ma mémoire svp?
  12. Rien de nouveau: http://journalmetro.com/plus/immobilier/1705745/le-luxe-dest-en-ouest/ Le luxe d’est en ouest Le Square Children’s, aménagé sur l’ancien site de l’Hôpital de Montréal pour enfants, accueille à un projet immobilier haut de gamme: les tours EstWest. Visite guidée de la deuxième phase du complexe fort attendu. «Les gens se sont longtemps demandé ce qu’il allait y avoir sur le site de l’Hôpital pour enfants», explique Marco Fontaine, président de Premius Conseil et conseiller spécial pour le projet. La réponse, en partie, c’est le complexe EstWest, composé de deux tours d’habitation multi-usage situées au cœur du nouveau Square Children’s développé par Devimco Immobilier. Elles côtoieront d’ailleurs des logements sociaux, ainsi que plusieurs aires communes. La deuxième phase, qui devrait être livrée neuf mois après sa sœur, au début de 2021, sera composée de 323 condos de tailles et de configurations variables. Des plus petites unités – des studios d’au moins 250pi2 –, aux logements de deux ou trois chambres, jusqu’aux penthouses d’une superficie moyenne 2400pi2. La tour comptera, entre autres, un chalet urbain sur le toit – une valeur ajoutée qu’affectionnent les développeurs ces dernières années –, qui offrira une vue à 360 degrés sur Montréal, ainsi qu’une piscine et d’un gym. «On a été surpris de voir à quel point les gens étaient motivés à acheter dans notre projet», lance Marco Fontaine. Tous les logements de la première tour se sont en effet vendus en quelques semaines seulement. L’Orient et l’Occident Le terrain de l’ancien hôpital est à cheval entre les quartiers Ville-Marie et Westmount, et les habitants des tours EstWest pourront donc profiter de deux vues bien différentes: sur l’est ou sur l’ouest de l’île. Un détail qui, en plus d’inspirer le nom du projet, aura déterminé sa signature visuelle. Le design intérieur de la tour située à l’ouest (phase 2), inspiré de la côte ouest américaine, jouera donc avec les tons chauds et le contraste du béton brut et du bois. Et si la tour ouest rappelle la Californie, sa sœur se veut plutôt un clin d’oeil à New York. «La phase 1 est plus contemporaine.» «Bien sûr, [l’intérieur] restera au choix des acheteurs», précise M. Fontaine. Les propriétaires auront droit à une séance de quatre heures avec un designer. Ils pourront ainsi personnaliser les planchers, la cuisine, et mettre la touche finale à diverses choses. Où c’est situé? Métro Atwater Marché Atwater Nouveau centre Peter-McGill Tout près des universités McGill et Concordia Les prix De 180 000$* (studio) à 1,25M$*(penthouse) Garage: 53 000$* *Avant les taxes. Les prix pourraient changer avant la livraison du projet.
  13. Courtesy of @nephersir7 http://architecte2000.wixsite.com/alfred?lightbox=dataItem-jduel8m42 This has to be the most recent picture, with MaryRobert included?
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