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hockey19

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Tout ce qui a été posté par hockey19

  1. That lot and the parking diagonally across desperately need to go!
  2. Their Facebook page says they should be doing 1 floor per 6-8 days now. It also says they are on the 6th and have 34 to go. 6+34 < > 42
  3. That piece of machinery was not there last night.
  4. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201603/16/01-4961225-immobilier-commercial-montreal-inspire-confiance.php Immobilier commercial: Montréal inspire confiance Canderel caressait depuis 2008 l'idée de construire une imposante tour de bureaux au square Phillips, en plein centre-ville de Montréal. Faute de locataires, le promoteur souhaite maintenant y bâtir... un stationnement à étage. Et peut-être aussi des résidences étudiantes, si le marché le permet. Beaucoup d'autres projets d'immeubles commerciaux sont coincés sur les tables à dessin des architectes, comme la Tour Quartier des spectacles, à quelques coins de rue de là. La raison est simple*: la demande pour des bureaux n'a jamais été aussi faible depuis au moins une dizaine d'années à Montréal. Selon la firme Newmark Knight Frank Devencore (NKFD), le taux d'inoccupation des immeubles de catégorie A et B s'élevait à 10,3*% à la fin de*2015 au centre-ville. En incluant les bureaux offerts en sous-location, le taux de disponibilité atteint 16,4*%. «*C'est un sommet depuis 2006*», résume Jean Laurin, président et chef de la direction du groupe immobilier. La hausse a été rapide*- et brutale*- depuis trois ans. Le taux de disponibilité est passé de 10,9*% en 2012 à 13,6*% l'année suivante et à 16,2*% en 2014. Le taux actuel semble toutefois en voie de se stabiliser, et Jean Laurin s'attend à une baisse de 1*% à 2*% au cours de la prochaine année.  REGAIN DE CONFIANCE Le président de NKFD n'est pas le seul à croire au marché montréalais. Dans son vaste rapport intitulé*Emerging Trends in Real Estate, publié il y a quelques mois, le géant mondial PricewaterhouseCoopers (PWC) suscite l'espoir. En fait, Montréal s'y positionne dans le peloton de tête des marchés canadiens à suivre en 2016. PWC a mené son enquête auprès de plus de 1400 personnes de l'industrie immobilière, dont des promoteurs, des propriétaires fonciers et des institutions bancaires. Leurs conclusions font état du fort ralentissement économique dans l'Ouest canadien*- et du rebond dans l'Est. «*Alors que le pouvoir économique retourne à l'est, les investisseurs et promoteurs déplacent leur attention vers de nouvelles occasions d'affaires dans les marchés à croissance plus rapide de Toronto et dans certains secteurs de Montréal, souligne le rapport. Vancouver est l'exception dans l'Ouest, puisqu'il reste en première position pour l'investissement immobilier.*» Dans son étude, PWC souligne que le produit intérieur brut (PIB) montréalais devrait grimper de 2,7*% cette année, sa plus forte progression depuis*2002. Les investissements en infrastructure devraient profiter à l'industrie de la construction, tandis que la baisse du cours des hydrocarbures et du dollar canadien devrait stimuler le secteur manufacturier montréalais. CINQ ANS POUR REMPLIR*? Sur le plan immobilier, PWC met en lumière un certain ralentissement de la construction de condos et quelques inquiétudes dans le commerce de détail au centre-ville de Montréal. L'étude souligne aussi le taux d'inoccupation «*très élevé*» des bureaux. «*Certains croient que cela pourrait prendre cinq ans pour remplir tous ces espaces*», peut-on lire. S'il estime que la tendance «*reste quand même positive pour Montréal*», Sébastien Jean, évaluateur agréé et directeur conseils et transactions, immobilier, chez PWC, reconnaît aussi qu'une certaine «*incertitude*» plane en ce moment sur le marché du bureau. «*Sans nécessairement se lancer dans la panique, je dirais que les gens sont quand même beaucoup plus prudents. Je dirais que c'est plus réfléchi. Il y a plus d'analyses qui sont faites avant de faire un investissement.*» - Sébastien Jean, directeur conseils et transactions, immobilier, chez PWC Même son de cloche chez Jean Laurin, de NKFD. «*Je ne sens pas, de la part des propriétaires, une panique. La raison pour laquelle on ne la sent pas, c'est que la plupart des investisseurs qu'on retrouve aujourd'hui dans le marché ont une vision à long terme. Ils sont habitués de vivre avec des soubresauts, et même si le taux de disponibilité de 16*% est assez important, ils en ont vu d'autres.*» M. Laurin remarque que le degré d'activité demeure élevé dans le marché, qui a vu de nombreuses transactions d'importance se conclure récemment. «*Par la force des choses, quand il y a autant de disponibilité que ça, ça incite les propriétaires à être plus agressifs, et ça incite les locataires à regarder et voir comment ils vont pouvoir tirer leur épingle du jeu.*»
  5. I lived in both places and it's way more mild in Toronto. Way less snow and less intense wind chill. Dunno why people trip either. It is what it is.
  6. The province has retention issues right? And we all agree that's a big problem. If we intensify the "francisation" process, don't you think that'll further lower the probability of retention? Safe to say that most people here agree that bilingualism is our biggest asset. Shouldn't we be enforcing that type of rhetoric instead? Immersion programs sound like a better marketing pitch to new comers. This is a tough puzzle to solve that's for sure.
  7. The Jews that are leaving France because they feel their freedom of expression is being threatened are refugees? No confusion here. Trying to illustrate that our model has imperfections and accommodation might be a better approach than assimilation. As shown with the example I provided.
  8. I don't speak for mark. When people immigrate, do you really think they're primary concern is language? For the most part these people are leaving poverty and oppression. They are seeking freedom. Freedom of speech, expression, etc. There should be more leniency towards accommodation and less emphasis on assimilation i.e. loosen the language laws on new immigrants and their children. Look at the Italians that fled Italy after world world 2. They had the choice of sending their kids to English or French school. Some chose English and others French. Freedom of education was key in their integration. My parents went to English and now they both work in both languages everyday. http://www.panoramitalia.com/en/arts-culture/history/italians-montreal-successful-model-integration/1573/ The influence of Italian culture in Montreal is strong, undeniable and pervasive. And according to University of Montreal history professor Bruno Ramirez, Italian immigrants to North America couldn’t have done it without one major tool: education. “Education was the main springboard that propelled (Italian immigrants) into the mainstream of Canadian culture,” Ramirez explained. While education was critical, property ownership, strong family and community ties, as well as favourable immigration policies by the Canadian government, were all important ingredients that made the success of Montreal’s Italian immigrants so sweet.
  9. You can work in Montreal without knowing French. There are many roles such as back office or manufacturing that are language independent.
  10. 2 x 19 on that lot would be great.
  11. http://montrealgazette.com/news/local-news/campaign-against-cavendish-blvd-extension-gets-underway-in-n-d-g Two Notre-Dame-de-Grâce councillors are lobbying for the city to drop the proposed plan to extend Cavendish Blvd. In the planning books for more than a half century, the city has pledged to extend Cavendish Blvd. from Côte-St-Luc, through to St-Laurent, to create a new north-south artery linking N.D.G and St-Laurent. Construction of the $175 million project is due to start in 2019, but that could be delayed, since the city has to negotiate with CN and CP for the right to build on their land, and with the province to help fund the project. Last week, Loyola district councillor Jeremy Searle sent leaflets to his constituents, calling on them to voice their displeasure about the project. “We could expect drastically increased levels of air and noise pollution,” the leaflet said. “It would also enable the Décarie expressway to be shut down entirely at night for roadworks, and the diversion of all truck and car traffic through N.D.G. residential streets.” In a telephone interview on Monday, Searle was more blunt. “Basically, they’re going to kill the community if it goes ahead,” Searle said. He added if the extension is built, it would link to the Trans-Canada Highway, and he believes it would also extend south to Highway 20, creating a link between both highways that would be frequented by thousands of motorists. Peter McQueen, the councillor for the neighbouring Notre-Dame-de-Grâce district, agreed that the Cavendish extension was bad for the neighbourhood, but for different reasons. “I’m concerned it will hurt the local commercial streets around here: Monkland, Van Horne and Sherbrooke,” McQueen said. He said the extension would lead to a new massive shopping complex, expected to be built by real estate company Carbonleo over the next few years. “If you suddenly build this overpass into this massive parking lot, all the traffic will go there, instead of commercial streets.” He added the money for the Cavendish link would be better spent on important public transit projects, like extending the métro’s Blue Line. Russell Copeman, the borough mayor of Côte-des-Neiges — Notre-Dame-de-Grâce, dismissed opposition against the link as hysteria. “It’s not a link between (Highway 20) and the Trans-Canada, it’s an urban boulevard that in my view should have been built decades ago,” Copeman said. “It will, among other things, permit us to develop the site of the (now abandoned Blue Bonnets racetrack at the western extremity of Jean-Talon St.)” Also, with road design, the city can control the speed of the cars on it, and the type of vehicles, he said. “We’re not talking about heavy vehicles,” he said, adding that the new link would have a dedicated bicycle path, and could also have a reserved bus lane.
  12. Non je ne pense pas ça non plus. Par contre, un building vert est un excellent compromis pour les taxes générés par un édifice d'envergure. Non? Maybe I'm the crazy one.
  13. Not sure if you appreciated the nuance of my comment. Barring the recent construction boom, the city was starved for development. I get the whole color logic thing, but sometimes that logic could be changed, it shouldn't be set in stone. Especially not with a massive tax revenue stream associated with a building of that magnitude.
  14. Don't know about you, but if I drop 100M on a building, I should be able to do rainbow patterns if I wanted to.
  15. Pardon my ignorance, but wtf does it matter to the city what color a building is?
  16. http://m.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/03/09/002-centre-sud-organismes-vente-maison-radio-canada-accord-montreal-urbanisme.shtml Des organismes du Centre-Sud s'inquiètent de la vente de la Maison de Radio-Canada La perspective que la maison de Radio-Canada soit mise en vente suscite l'inquiétude d'une douzaine d'organismes préoccupés du développement de l'arrondissement de Ville-Marie et en particulier du quartier Centre-Sud, où est située la société d'État.
  17. http://www.journaldemontreal.com/2016/03/08/entente-de-16-milliard--couche-tard-achete-279-stations-service-a-limperiale Alimentation Couche-Tard a conclu une entente de 1,6 milliard $ avec la pétrolière impériale pour acheter 279 stations-service situées au Québec et en Ontario. Parmi les magasins d’accommodation acquis, 50 sont situés au Québec, dans la grande région métropolitaine de Montréal, a annoncé l’entreprise dans un communiqué mardi. Les 229 stations-service ontariennes se trouvent dans la grande région métropolitaine de Toronto.
  18. http://www.newswire.ca/fr/news-releases/appartements-a-lilot-voyageur--lutile-interpelle-les-gouvernements-sur-le-besoin-en-logement-etudiant-571499591.html MONTRÉAL, le 9 mars 2016 /CNW Telbec/ - L'affichage récent du prix des logements à louer dans l'îlot Voyageur amène l'UTILE à rappeler le besoin en logement étudiant qui demeure plein et entier. Les résidences prévues à l'îlot et jamais réalisées étaient déjà insuffisantes face au besoin de plus de 4000 chambres identifié par une étude de marché indépendante réalisée pour le compte de l'UTILE en 2014. Pour répondre en partie à ce besoin immédiat en logement étudiant, l'UTILE travaille sur des solutions originales qui feront l'objet d'une annonce la semaine prochaine. À titre de rappel, l'îlot Voyageur devait offrir 1200 chambres de résidences dans le cadre de la Cité universitaire internationale de Montréal. Or, depuis l'initiation de ce projet en 2005, aucune unité de logement étudiant abordable n'a été construite à Montréal. De plus, le projet de Cité universitaire n'a jamais vu le jour ni à l'îlot Voyageur ni ailleurs. « Lorsque l'îlot Voyageur a été vendu, la Société d'habitation du Québec a mis en place un programme de financement du logement étudiant communautaire, et le gouvernement s'est engagé à y verser 2 M$. Avec 0$ depuis sa création, ce programme est complètement sous-financé, tout comme le programme AccèsLogis d'ailleurs, rappelle Laurent Levesque, coordonnateur général de l'UTILE. Le maire Denis Coderre est en avance avec son idée de Politique d'habitation étudiante pour Montréal. Ça montre qu'il faut une volonté politique pour que ça bouge! », renchérit-il.
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