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  1. Dans la Presse ce matin. Désolé incapable de copier autre chose que le texte par mobile : ------'---------------- En dépit des mises en garde du service des affaires juridiques de la Ville de Montréal, l'administration de l'ancien maire Denis Coderre a contourné les règles d'attribution de contrats pour confier l'organisation de la course de Formule E à evenko, par l'entremise d'un organisme à but non lucratif (OBNL). Résultat : le cabinet Coderre a gardé le contrôle sur l'événement qu'il savait largement déficitaire et n'a respecté ni l'indépendance ni l'autonomie de l'organisme, conclut le Bureau de l'inspecteur général (BIG) de Montréal. Dans un rapport accablant déposé lundi après-midi au conseil municipal, le BIG souligne que les interventions du maire Coderre et de son cabinet ont été nombreuses dans ce dossier. Surtout, il note que tout a été mis en place pour que le maire atteigne «son objectif, soit qu'evenko organise sa course». Ainsi, la création d'un OBNL baptisé Montréal c'est électrique (MCE) a servi de courroie de transmission pour permettre de subventionner le promoteur evenko, note le BIG. Le service des affaires juridiques avait pourtant mis en garde l'administration Coderre et lui avait recommandé de lancer un appel d'offres pour dénicher un promoteur. Mais Denis Coderre a plutôt «personnellement contacté» evenko pour l'aider à faire de la Formule E «un grand succès». Or, l'événement, qui s'est déroulé les 29 et 30 juillet 2017 dans le cadre des célébrations du 375e anniversaire de Montréal, n'a pas été la réussite escomptée. Il est rapidement devenu un poids politique pour la campagne électorale de Denis Coderre. «Dans les règles de l'art», selon Coderre Lundi, ce dernier s'est dit en désaccord avec «l'interprétation» de l'inspecteur général. Il a affirmé que l'OBNL avait également un mandat de promotion de l'électrification des transports. «On a tiré la plogue rapidement, alors c'est sûr qu'on a l'impression que c'est juste ça [la course] qu'a fait Montréal c'est électrique», a-t-il dit en entrevue au 98,5 FM. M. Coderre insiste pour dire que les contrats ont été signés «dans les règles de l'art» et que l'OBNL n'était pas contrôlé directement par son bureau. «On avait un droit de regard dans le sens qu'on a mis de l'argent. [...] Avoir un droit de regard, on le fait dans toutes les OBNL!» a-t-il protesté. La mairesse Valérie Plante n'en démord toutefois pas. «La Formule E a coûté des millions de dollars aux contribuables. C'est inacceptable et ce n'est pas digne de la fonction d'élu.» Au passage, elle a pointé en direction des membres de l'équipe Coderre qui siègent toujours au conseil municipal et qui, selon elle, «ont fermé les yeux». Mais si Denis Coderre croyait, comme le relate le rapport du BIG, qu'«il fallait sauter sur l'opportunité», toutes les estimations laissaient entrevoir de grandes difficultés financières. Dès 2015, evenko, une filiale du Groupe CH qui est propriétaire du Canadien de Montréal, a analysé que l'aventure ne serait pas profitable. Même les têtes dirigeantes de Formula E Opérations (FEO) croyaient que l'événement ne pourrait générer de profits. «Plusieurs analyses financières sont donc effectuées par evenko et il en résulte que peu importe le scénario retenu, la Formule E sera largement déficitaire. Les chiffres avancés varient entre 11 millions et 20 millions de dollars de déficit pour chacune des 3 années», peut-on lire dans le rapport du BIG. L'analyse d'evenko était basée sur la vente de billets et les commandites, mais ne tenait pas compte des subventions gouvernementales espérées par le cabinet du maire Coderre. Devant la situation, evenko a décidé de ne pas agir comme promoteur. La course de Formule E s'est déroulée les 29 et 30 juillet 2017 dans le cadre des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. LA PRESSE Ingérence dans l'OBNL C'est dans ce contexte que l'idée de créer un OBNL est née. Ce serait Montréal c'est électrique qui agirait comme promoteur et confierait les opérations à evenko. La structure permettait ainsi de bénéficier de subventions gouvernementales. L'administration Coderre aurait dû créer un mur entre elle et l'OBNL pour éviter toute ingérence, observe le BIG. Mais dans les faits, «le cabinet du maire n'a pas gardé ses distances par rapport à MCE». «Le dossier révèle également que le dossier a, dès le début, été entièrement géré par le cabinet du maire», peut-on lire. Lundi, evenko a souligné dans un communiqué être «le seul fournisseur local à ne pas avoir été payé en totalité pour ses services». «Nous apparaissons donc sur la liste des créanciers dans la procédure de faillite de MCE, le promoteur.» En février dernier, la nouvelle administration montréalaise a annulé la course de Formule E prévue en 2018. Ce «fiasco financier», comme elle l'a qualifiée, aura coûté, de façon préliminaire, quelque 25 millions de fonds publics. Au total, les créanciers réclament 32,4 millions. La question financière de la Formule E est actuellement sous la loupe de la Vérificatrice générale de Montréal. - Avec Vincent Larouche, La Presse *** QUELQUES RÉACTIONS La mairesse Valérie Plante : «C'est une responsabilité d'être élu!», a rappelé la mairesse Valérie Plante, qui n'a pas caché sa colère. «Les gens nous donnent leur confiance et leur vote. Et on se retrouve dans une situation où le maire a décidé de faire fi des lois pour arriver à ses fins», et sans que ses collègues du cabinet et du comité exécutif ne réagissent. «C'est inacceptable», a-t-elle soutenu. L'ex-maire Denis Coderre : La Formule E était d'abord et avant tout une vision devant permettre un «rayonnement maximum de Montréal», a souligné l'ex-maire Denis Coderre à TVA. Selon lui, la dette qui découle de l'événement est liée au choix politique de l'administration Plante de mettre fin au projet qui aurait pu se révéler profitable après quelques années. «Ç'a toujours été basé sur une vision. On a fait les choses dans les règles de l'art», a-t-il affirmé malgré la controverse. Lionel Perez, chef de l'opposition : Selon le chef de l'opposition officielle Lionel Perez, les mises en garde du contentieux de la Ville face au projet de la Formule E n'ont jamais été présentées au comité exécutif où il siégeait. La vision politique ainsi que les estimations financières étaient toutefois connues. «Les avocats ont des obligations de partager les informations. On va devoir se pencher là-dessus à la Ville de Montréal», a commenté M. Perez, qui a toutefois refusé de qualifier le travail de gestion du maire Coderre. evenko : Dans un communiqué, evenko a souligné avoir prédit dès le départ que l'événement serait «risqué financièrement» et ferait des «déficits importants». Mais le maire et la Ville avaient partagé avec l'entreprise une «vision à long terme» de l'événement comme «un outil dynamique pour l'image de Montréal, la promotion de l'électrification des transports et un événement qui pourrait, à terme, s'inscrire dans la trame événementielle montréalaise». «Nous avons choisi de participer au processus sachant que parfois, il est nécessaire d'investir pendant quelques années afin de réussir de grands projets», précise le communiqué.
  2. Si elles ne match pas, c'est parce que les tiennes ne sont pas à jour. Il s'agit d'anciens rendus de l'ensemble du développement. Au moins 2 promoteurs font evoluer leur projet indépendamment de l'autre. On n'aura plus de rendu global. Il s'agit de plusieurs projets dorénavant. EDIT : simple recherche sur google : 2017 http://m.portailconstructo.com/actualites/devimco_choisit_square_childrens
  3. T'es pourtant très actif et ancien sur le forum. T'as même ajouté ton "confused" après ma mise à jour assez exhaustive. ?
  4. De vieilles images qui ont plus d'un an. Elles ne sont plus à jour depuis plusieurs mois déjà. EDIT : @vincethewipet, pour éviter que d'autres se trompent, peut on ajouter ces liens en tête de fil stp?
  5. Incroyable. ? http://www.tvanouvelles.ca/2018/05/28/formule-e--la-ville-a-contourne-les-regles Formule E : la Ville a contourné les règles Éric Yvan Lemay et Félix Séguin | Bureau d'enquête | Publié le 28 mai 2018 à 12:45 - Mis à jour à 12:51 La Ville de Montréal a contourné les règles pour donner le contrat d’organisation de la course de Formule E à Evenko malgré les mises en garde de ses propres avocats, selon un rapport dévastateur du Bureau de l’inspecteur général (BIG). Selon l’enquête du BIG, la firme Evenko, une filiale du Goupe CH qui est aussi propriétaire du Canadien de Montréal, a bénéficié des largesses de l’ex-administration Coderre pour cet événement qui s’est avéré un fiasco. L’ancien maire et des membres de son cabinet ont voyagé à deux reprises avec des dirigeants d’Evenko pour assister à des grands prix de Formule E avant même l’octroi du contrat. La ville et Evenko ont également été impliqués dans les négociations avec les dirigeants du championnat de Formule électrique avant même que la course soit officialisée. Le rapport déposé aujourd'hui souligne les liens de proximité entre Denis Coderre et le vice-président d’Evenko, Jacques Aubé. «Le maire a personnellement appelé le président d’Evenko pour lui demander de faire partie du projet FE à Montréal et de l’aider à en faire un grand succès», peut-on lire dans le document. C’est d’ailleurs le maire qui a présenté Evenko aux grands patrons du circuit de Formule E en septembre 2015, deux ans avant la course. Déficits anticipés de 11 à 20 M$ À l’époque, Evenko était considéré comme le promoteur potentiel de la course. Or, en 2016, la firme a refusé de jouer ce rôle. Selon les différents scénarios financiers qu’elle a formulés, elle aurait essuyé des pertes entre 11 et 20 millions $ par année pour les trois premières éditions. Refusant de prendre un tel risque financier, Evenko a plutôt offert ses services comme sous-traitant pour l’organisation de la course. Malgré les pertes financières anticipées, la Ville a tout de même poursuivi ses démarches pour obtenir la course. L’administration Coderre a alors opté pour la création d’un organisme à but non lucratif, Montréal c’est électrique (MCE) qui agirait comme promoteur. Le service d’assistance juridique de la Ville a toutefois averti le cabinet du maire de ne pas utiliser l’OBNL comme courroie de transmission entre la ville et Evenko. «Créature de la Ville» «Le Service d’assistance juridique craignait que l’OBNL soit créé pour contourner les règles et octroyer le contrat à Evenko, et que c’est d’ailleurs pour cette raison que les mises en garde ont été émises plusieurs fois», lit-on dans le rapport. Même si les avocats de la Ville l’incitaient à garder ses distances de l’OBNL, le cabinet a continué de s’impliquer directement dans l’organisation. Interrogé parle BIG, le président du conseil de MCE, Sylvain Vincent, a qualifié lui-même son organisme de «créature de la Ville de Montréal». La course de FE de Montréal n’aura connu qu’une édition. Montréal c’est électrique a déclaré faillite en début d’année. L’organisme a presque entièrement épuisé les 10 millions $ de la marge de crédit garantie par la ville de Montréal. Ses créanciers dont Evenko et la Formula E Operations lui réclament maintenant plus de 32 millions $. Les principaux acteurs Le maire omniprésent Le maire Denis Coderre s’est rendu en personne en juin 2016 à Monaco pour négocier certains aspects du contrat avec les dirigeants de la Formule E et le futur organisme Montréal, c’est électrique. C’est également lui qui a négocié personnellement la commandite de 850 000 $ versée par Hydro-Québec. Le maire a aussi imposé le choix d’une piste au centre-ville. La « chef d’orchestre » Au quotidien, celle qui tirait «beaucoup de ficelles» pour l’organisation de la FE était «la conseillère principale du maire», Marie-Josée Reid. Selon le BIG, elle était impliquée dans les négociations pour le contrat avec la Formule E et Evenko. Elle a même sollicité des conseils juridiques aux avocats d’Evenko. Elle a également participé au choix des membres du CA et du directeur général de Montréal, c’est électrique. C’est également elle qui a rempli les demandes de subvention aux gouvernements provincial et fédéral. La marionnette Le directeur général de l’organisme Montréal, c’est électrique semblait être une marionnette aux mains du cabinet du maire et d’Evenko. Simon Pillarella ne connaissait rien à l’organisation d’une course lorsqu’il a été embauché comme dg. «Il fallait que je fasse ce que le monde demande, parce qu’il y avait des forces beaucoup plus grandes que moi là-dedans», a-t-il dit aux enquêteurs du BIG. Le sous-traitant très impliqué Le vice-président d’Evenko, Jacques Aubé, a été impliqué dès 2015 pour prendre part à la course de FE. La firme était d’abord pressentie pour être promoteur. Après une analyse financière montrant que l’événement occasionnerait des déficits de 11 à 20 M$, les dirigeants d’Evenko ont refusé d’être promoteurs. L’entreprise a quand même participé aux négociations du contrat et obtenu un rôle de sous-traitant pour l’organisation de la course, facturé 2 M$ par année. Pour un simple sous-traitant, Evenko avait de grandes responsabilités. Elle a touché 20 % des commandites, en plus d’embaucher trois employés dont le salaire a été facturé à Montréal, c’est électrique. C’est également Evenko qui s’occupait de la comptabilité de MCE et approuvait des factures au nom de l’OBNL. «L’inspecteur général conclut que l’OBNL “Montréal, c’est électrique” a été utilisé afin de contourner les règles d’octroi de contrats prévues par la loi.» – Extrait du rapport du BIG L’échec de la Formule E en quelques chiffres 13 M$ Déficit enregistré par Montréal, c’est électrique (MCE), l’organisme créé par la Ville de Montréal pour agir comme promoteur de la course. 16 M$ Somme engloutie par la Ville de Montréal pour aménager une piste au centre-ville et diverses autres dépenses. 2 M$ Le contrat entre MCE et Evenko prévoit des frais de gestion annuels de 2 millions $, un boni de 500 000 $ et un pourcentage de 20 % sur les commandites 11,5 M$ Montant en subvention promis par le cabinet du maire à MCE. La Ville a versé 3,5 M$, mais le provincial et le fédéral ont refusé de verser les huit millions demandés.
  6. UrbMtl

    Bāss 1 - 8 étages (2019)

    Probablement ici :
  7. Visiblement un montage amateur. Si ce n'est pas le cas, Geiger Huot devrait changer sa firme 3D!
  8. Tout est là. http://ocpm.qc.ca/fr/consultation-publique/ancienne-gare-hotel-viger
  9. Beaucoup plus que deux volumes si on considère les panneaux suspendus, les "escaliers" et les excroissances les certains côtés. Quant à la "sobriété" de la façade, je suis convaincu que les architectes ne seraient pas d'accord avec toi. On tout fait pour éviter la sobriété. On a conçu des facades "dynamiques" à l'aide de fenêtres décalées, de panneaux irréguliers, des volumes décalés et 3 teintes de rouge. As tu vu l'édifice en personne? Les lignes des panneaux ne sont pas alignées à certains endroits et le contraste entre le béton et les pierres de la base est apparent mais pas assez important pour être un geste architectural désiré, comme sur le Saint-M. "Un véritable spectacle pour les yeux." Belle poésie dans ta réponse. Bravo. Ceci dit, elle ne me convainc pas. Pour moi, il s'agit de l'un des pires édifices construits dans les dernières années. Vraiment unique à Montréal, et c'est certain que si on se compare à nous même, c'est un chef d'oeuvre. Objectivement, ce sont les architectes les plus actifs pour les projets bas de gamme à Montréal. Tant mieux s'ils plaisent à certains, et sincèrement désolé si je choque.
  10. Un gros ramassis de volumes, de couleurs et de textures sans grande harmonie. Je ne suis pas déçu du résultat puisque je m'y attendais. Geiger Huot nous pondent toujours la même formule aux matériaux similaires. Vivement Laurent&Clark pour nous rappeler qu'il y a d'autres architectes dans le paysage montréalais.
  11. Oui! Mais ce que je veux dire, c'est que La Traversée n'est pas une coop mais une OBNL (comme Portage II). Habitations La Traversée est un organisme à but non lucratif qui a pour mission d’offrir des logements à prix abordables à des personnes ayant des besoins particuliers et à des personnes âgées autonomes ou en légère perte d’autonomie,
  12. Merci pour la trouvaille! Ceci dit, je ne crois pas que "Habitations La Traversée" soit une coop, bien qu'une se joint parfois à leurs projets. http://centrelatraversee.org/
  13. Est-ce qu'un l'un des résidents peut prendre une photo de l'espace intérieur (les dimensions) sil vous plait? Je suis curieux.
  14. Ah tiens donc! Eux ils cachent leur boite mécanique!
  15. UrbMtl

    Noca - 8, 8, 8 étages

    Finalement, on a l'air de creuser la phase 2 également!
  16. Davantage un terrain de jeux? Et le reste du parc et du site? Et le parc Paul Dozois au sud? De toute façon, tu peux bien picosser comme tu veux, mais le point était qu'il y a déjà un parc à 50m du terrain du métro Saint-Laurent. Ce n'est pas ce secteur qui a besoin de ce genre d'espace vert. Je ne suggère pas nécessairement d'aménager un parc sur le site convoité par McCord, mais en aménager un sur site du métro Saint-Laurent n'est pas aussi pertinent.
  17. Le parc Toussaint-Louverture (terrain de soccer/patinoire, modules d'exercices, modules de jeux pour enfants, tables à pique-nique, terrains de basket, jeux d'eau) est à 50m de là.
  18. Si tu t'adresses à moi, j'ai retiré mon image parce que je la trouvais inutile. Je sais pour Beaver Hall. Le traitement de ce bout de rue me dérange autant que la disparition du parc d'ailleurs. L'image servait surtout à montrer l'empreinte de l'édifice du côté du parc. Rien de précis.
  19. Tant mieux. C'est la première fois qu'on en parle je crois. Peu importe ce qu'en dit Rocco et même si ça ne lui plait pas, ce parc est fortement utilisé par les nouveaux résidents du secteur. Un espace programmé comme un parc, il n'y en a pas dans le coin (et au centre-ville, byebye Domtar) malgré la densification résidentielle récente. La quantité d'usagers peut également s'évaluer par le nombre de propriétaires de chiens qui s'y promènent : on promène son chien près de chez soi. Une place publique comme le Square Victoria n'est pas conçue pour des résidents, mais essentiellement pour une clientèle de visiteurs qui l'utilisent comme des visiteurs. Comme on prévoit finalement le faire, un bon compromis serait le réaménagement du stationnement devant l'église comme un parc. On ne perdrait pas une très grande superficie en fin de compte. La Ville devrait acquérir cet espace si elle a comme objectif de rendre le centre-ville plus attractif pour de futurs résidents. J'espère qu'on a appris notre leçon avec les parcs sur des espaces privés... Je fais mon NormandHamel un peu ( ) On peut facilement imaginer : - des espaces gazonnés libres et multifonctionnels en bas ou en haut de la pente pouvant servir à promener son chien, installer du mobilier urbain amovible comme c'est déjà le cas, se lancer la balle ou faire n'importe quoi d'autre. - des espaces gazonnés avec tables pour s'installer en groupe ou manger comme pour d'autres parcs et espaces verts. Il n'y en a pas présentement sur le site. - une allée centrale plus large avec fontaines à même le sol devant l'église. Fraicheur et divertissement pour les plus jeunes. L'idée de déborder sur de la Gauchetière n'est pas mauvaise non plus. En retirant le stationnement sur rue et en élégissant les trottoirs, on peut le programmer avec du mobilier urbain et le séparer de la section parc . Rue actuelle : Possibilité :
  20. Je n'ai pas lu ça nul part. Et même sur le rendu, on distingue l'allée , l'espace de stationnement devant l'église et les sentiers existants. EDIT : et sur ce rendu également.
  21. Dans tous les cas, vous discutez ici de l'aspect financier du développement urbain. C'est parfaitement correct d'en jaser et d'expliquer certaines choses à d'autres. Ceci dit, ça n'a rien à voir avec l'aspect architectural ou urbanistique du développement urbain. On peut bien critiquer l'architecture et l'impact urbanistique d'un projet sans remettre en question l'investissement ou sans avoir nous même 100M à investir. Si vous voulez qu'on respecte vos champs de compétence, respectez ceux des autres.
  22. Nouveau rendu sur la Page de Solar. C'est le bâtiment central qui a changé de forme. Pas mal plus patate. Remarquez le bâtiment déjà connu de IA, le Marriott, le RL12 au fond à droite. Avant : Maintenant :
  23. Sauf que le spot zoning, ou "zonage parcellaire" est illégal lorsqu'il privilégie un individu sur d'autres plutôt que de servir l'intérêt public. Permettre la construction d'une tour ne me semble pas d'intérêt public. Un règlement sur les PPCMOI (projet particulier de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble) permet d'octroyer des permis à des projets qui dérogent à la règlementation sous certaines conditions (dont l'étude par le CCU). Un promoteur de Griffintown pourrait très bien en faire usage, mais ce n'est pas le cas. Bref, tous les outils sont existants, mais le privé n'en a pas fait usage ici. Quelques lectures sur le sujet : https://www.mamrot.gouv.qc.ca/amenagement-du-territoire/guide-la-prise-de-decision-en-urbanisme/reglementation/reglement-de-zonage/ https://www.fqm.ca/wp-content/uploads/2016/09/RDV-Reglements_projets_particuliers_Comment_developper_avec_souplesse_sa_municipalite_JOLICOEUR.pdf http://www.duntonrainvilleblogue.com/publications-specialisees/quebec-municipal/la-legalite-du-zonage-parcellaire https://www.lenouvelliste.ca/actualites/centre-du-quebec/un-cas-flagrant-de-spot-zoning-illegal-df93ca6a1533e04750b44cebfb8f29b8
  24. C'est un peu le fonctionnement de la Stratégie d'inclusion de logements abordables. Quand tu demandes une dérogation sur la hauteur, la densité ou l'usage, on négocie avec toi pour que tu fournisses un % d'unités abordables (ou équivalent en argent) sur ton gain suite à l'adoption de ta dérogation. La Ville vient d'obtenir le droit de l'imposer sous forme de règlement, mais elle ne disposait pas de ce pouvoir avant.
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