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Marc90

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Tout ce qui a été posté par Marc90

  1. Non seulement c'est très limité comme critique, mais j'aimerais rappeler qu'au Québec, il faut un baccalauréat ET une maîtrise + 3700 heures de stage en milieu professionnel ET passer les 4 examens de l'Ordre des Architectes, avant de pouvoir se dire architecte et d'avoir son sceau, sans parler de la formation continue et du contrôle qu'effectue l'Ordre tout au long de la pratique. De plus, contrairement à la croyance générale qui vient d'on ne sait où, les perspectives salariales ne sont vraiment pas impressionantes dans le domaine, si on compare à des disciplines exigeant un parcours académique et pré-professionnel équivalent en temps, en effort demandé et en investissement. Ce qui fait que, contrairement à bien des métiers où on va pour le chèque de paie, celui d'architecte en est réellement un de passion. Jeter la pierre aux architectes, quand on a les promoteurs avares, la réglementation publique désuète et l'ignorance populaire de l'autre côté, c'est vraiment se tromper entre la cause et l'effet.
  2. Les architectes de Montréal (et du Québec) sont en situation de frustration constante, à cause de plusieurs politiques urbanistiques et réglementaires absurdes conçues pour que le plus idiot des idiots puisse survivre dans les situations les plus improbables (notamment les exigences des pompiers), à cause d'un désintérêt par les villes à faire des vrais milieux de vie urbains contemporains et à penser le bâti de façon intelligente, innovante, ambitieuse et durable en faisant appel aux professionnels en la matière, à cause d'un manque d'éducation flagrant des élues et élus quant à la discipline de l'architecture et à son histoire, à cause de l'absence totale d'ambition et d'intérêt de la grande majorité des promoteurs envers la qualité, et à cause de la mentalité générale québécoise de type Walmart, aka du "Tant que ça coûte pas cher". Et à travers tout cet univers de limites, d'ignorance collective et de barrières à la créativité, où même les rares éclaircies finissent par devenir des sous-produits bureaucrates frileux et allergiques au risque excluant d'office une foule de bureaux pourtant très compétents (comme par exemple les "concours" en architecture depuis quelques années déjà), il y a biensur des mauvais architectes aussi. Qui souvent finissent par faire les plus gros projets, parmis les plus visibles, mais parmis les moins aboutis, les plus cheap. Comme en produisent Geiger Huot et Béïque Legault Thuot par exemple. Mais le commun des mortels s'en fout et même, pire, ne veut pas payer collectivement pour l'architecture, donc au final, on mérite ce qu'on a, il faut croire. Du moins, on finit par se rabattre sur ce constat castrant. Et le privé n'élève que peu ou pas du tout la barre, sauf en de très rares occasions (souvent à très petite échelle, aussi, et en ne commandant presque qu'exclusivement des produits de luxe qui contribuent à renforcer l'idée selon laquelle l'architecture et les architectes sont déconnectés du réel, et que le luxe qu'ils vendent définit aussi leur discipline). Remarque, les architectes sont artisans de leur malheur dans l'optique où ils ne sont que très peu présents pour dénoncer tout ça, et les plus gros acteurs du milieu continuent de s'en mettre plein les poches. Édito du jour.
  3. That means construction start around end of 2020, I guess.
  4. Si on se fie aux images disponibles, on aura droit à une tour au design très contemporain, avec un fin jeu de proportions et de rythme d'ouvertures, qui lui donneront un air plus filiforme et élancé, plus épuré et noble. Sans patente de couronnement ridicule, sans "faux-random-pattern" de fenêtres alternées de hideuses plaques de fibro-ciment, sans faux volume absurde, sans balcon en porte-à-faux inélégant, sans surface infiniment vitrée et infiniment ennuyante, sans basilaire monstrueux et hors propos. Bref, si c'est bien fait, ça pourrait bien être la tour la plus aboutie et réussie du nouveau skyline montréalais.
  5. Il y a déjà une pelle mécanique sur le site depuis quelques jours, en tout cas.
  6. Selon les informations que j'ai, la station est le long de la promenade Smith. Il y aurait aussi une autre station sur la table à dessins en ce moment, non dévoilée, entre celle du bassin Peel et celle de l'île des Soeurs. Par contre, ma source parlait d'une proximité avec la rue Marc Cantin. Bonne semaine!
  7. Voir commentaires dans citation.
  8. J'ai beaucoup aimé ce que j'ai lu, et je crois que la plupart des recommandations sont très on point. Comme d'autres l'ont également dit plus haut, cet endroit NEEDS FIXING, avec ou sans projet Royalmount, et il serait temps qu'on s'y attarde. Par contre, je vais m'attarder sur ce point "positif" qui n'en est pas un, puisqu'il n'existe pas. J'ai appris de sources sûres que le promoteur ne veut absolument rien savoir de l'habitation et bien que la firme d'architecte qui a repris le projet (les premiers impliqués l'ont fui parce que le client était trop désagréable, apparemment) a présenté plusieurs versions et tente de faire bouger et d'améliorer le projet vers un environnement plus complet, plus "quartier" et plus humain, le client ne cesse de vouloir revenir à l'arrière et de chercher éviter les transformations de la proposition initiale, qui est paradoxalement la version la plus décriée et la plus critiquée d'autre part... mais qui est pour lui la version la plus rentable pour son porte-feuille personnel. Si tant d'informations dans les médias semblent contradictoires à ce moment ci, c'est parce que les parties ne s'entendent pas du tout sur des points majeurs. De la manière que je l'ai compris - et j'aimerais bien qu'on me démontre le contraire éventuellement - le client / promoteur n'a démontré de positif dans les discussions et l'avancement du projet, tant auprès de la ville que des architectes, à peu près rien qui soit différent du comportement d'un enfant de 4 ans. Lorsque j'entend ça d'une part de gens à l'interne, puis que je lis les contradictions dans les médias, et que je vois les experts se prononcer tous contre la version actuelle, je me dis qu'il faut vraiment avoir des lunettes roses pour croire que ce projet est un "investissement" privé de grande valeur offert généreusement à la ville qu'on n'a pas le droit de refuser, comme certains pensent le croire sur ce forum. Un promoteur, ce n'est pas le Père Noël. Même si plusieurs millions de dollars sont en jeu, je crois qu'il serait temps qu'on réalise ici que ce qui est rentable pour l'un (le promoteur) n'est pas nécessairement un cadeau rentable et un investissement durable pour l'autre (l'écosystème urbain dans lequel on vit). Ça peut l'être / le devenir! Mais ça peut aussi être le contraire... comme quand le premier se fout complètement du second comme ça semble être le cas ici.
  9. À mon sens, ce n'est pas la limite de 232m qui a un impact quelconque sur le "punch" qu'a le cadre bâti du centre-ville de Montréal, c'est le manque de souci et de vision qu'ont les promoteurs envers la qualité architecturale de ce qu'ils construisent, sauf quelques exceptions dont fait heureusement partie le Victoria sur le Parc. Je suis bien d'accord pour avoir un débat sur la limite du 232m (pas ici, biensur), qui je crois pourrait être repoussée à 275/300m dans des zones plus au sud du Centre-ville, sans avoir un grand impact sur la prédominance du Mont-Royal, mais la qualité doit primer sur la quantité. Construire haut for the sake of construire haut, ça n'amènera strictement rien à la ville. Fin de l'éditorial! Retour au chantier Que j'ai très hâte de voir monter.
  10. Par contre, ce qui est encore plus facile, c'est de faire des raccourcis douteux entre deux écosystèmes complètement différents, à grand coup de sophismes et de comparaisons bien fragiles faisant des amalgames qui font étrangement abstraction, tout d'abord, de plein de programmes et de projets complétés ou qui sont en cours pour, au contraire, justement, améliorer l'expérience commerciale sur les artères, comme par exemple St-Hubert, Ste-Catherine, Jarry, Jean-Talon, Notre-Dame... Si St-Denis a des problèmes encore aujourd'hui, c'est d'ailleurs entre autre parce que l'administration précédente a complètement raté une occasion en or, lors de sa réfection complète récente il y a 3-4 ans, pour repenser la rue de façon contemporaine au lieu de la refaire à l'identique pour ne pas supprimer de places de parking. C'est aussi parce qu'il y a eu un transfert des activités vers une revitalisation de St-Laurent, entre autre, qui revit un mini-boom commercial. C'est aussi parce que les commerces de proximité meurent; les logements du coeur du Plateau sont gangrainés par les hausses de tarifs et la airbnbisation, et on ne pourra certainement pas accuser la ville et le gouvernement d'inaction dans ce dossier. C'est aussi parce que c'est moins intéressant d'y aller désormais que la ligne orange déborde de partout dans ce secteur pendant de longues périodes qui sont les heures d'affluence commerciale. C'est aussi parce qu'à l'ère du online, le commerce n'est plus ce qu'il était, et que les analyses qui s'appliquent à ce domaine expliquent la baisse d'affluence des artères mais deviennent aussi des critiques envers des projets comme le Royalmount, qui deviennent encore plus absurdes de construire si ils ne sont pas des milieux de vie complets. Bref, je trouve qu'on choisi de mettre de l'avant certaines données et qu'on choisi d'en ignorer d'autre de façon bien pernicieuse quand on se lance dans ce genre de raccourcis.
  11. Voilà. Je ne comprend toujours pas pourquoi La Presse n'a pas mieux vérifié ses informations avant-hier avant de publier sa fausse nouvelle. Auraient-ils pu avoir un faux scoop de la part des promoteurs pour presser le jeu et mettre le gouvernement et la ville sur la défensive?
  12. J'ai une minute d'avance nananana haha
  13. "On ne peut plus développer notre territoire en silo, sans vision d’ensemble. On ne peut plus approuver des projets privés, sans réfléchir à leur impact sur le domaine public et sur leur milieu d’insertion. Le secteur Namur-de la Savane, situé au coin des autoroutes 15 et 40 et par où transitent des milliers de citoyens de Montréal, de Laval et des couronnes, s’étend en partie sur deux arrondissements et deux villes liées. Il est déjà lourdement congestionné, et malgré tout, il pourrait accueillir des dizaines de milliers de nouveaux habitants d’ici dix ans. C’est pourquoi je suis très heureuse de la création de ce groupe de travail en collaboration avec le Gouvernement du Québec. Son mandat est important parce qu’il est urgent de trouver des solutions pour une meilleure mobilité à court, moyen et long terme. Et il est important que tous les partenaires soient autour de la même table. En plus des travaux de ce comité, nous poursuivons les négociations avec le promoteur de Royalmount et avec Ville Mont-Royal pour que le projet soit mieux aligné avec les attentes de la population et qu'il réponde aux préoccupations émises par plusieurs acteurs des milieux commercial, culturel et urbanistique. Aucune décision n’est prise et aucun recours n’est exclus tant que les discussions ne sont pas terminées. Je suis satisfaite d’avoir rassemblé ces acteurs autour de la table, travaillant de bonne foi à trouver des solutions. Morceau par morceau, projet par projet, nous mettons en place les conditions d’un développement urbain plus cohérent et d’une mobilité connectée au 21e siècle. Je vais toujours travailler avec acharnement pour bâtir de meilleurs quartiers et une ville verte, sécuritaire, inclusive et innovante." - Valérie Plante https://www.newswire.ca/fr/news-releases/creation-d-un-groupe-de-travail-sur-la-mobilite-du-secteur-namur-de-la-savane-897024192.html?fbclid=IwAR3ZRfXRSeyFfJVtSczRModkLv-U1hwyWyMl_j_OkOuY3O5IK7V6xr5uz-M
  14. Des sources à la ville de Montréal me font part que l'article est faux. Vraisemblablement, ce serait du spin en provenance de parties concernées qui ne sont ni la ville ni le gouvernement. Il y a toujours des négociations et rien ne serait arrêté comme décision. Par ailleurs, Mme Junca-Adenot qui présidera le comité était il me semble une grande détractrice du projet initial. Même dans cette optique, ça laisse présager des exigences de modifications au projet plutôt fondamentales.
  15. J'ai pu admirer le nouveau bâtiment à la tombée du jour, alors que j'étais en voiture sur Jacques-Cartier. J'ai souvent décrié le design générique du projet et le manque de vision qu'a eu Radio-Canada de ne pas faire appel à un concours d'architecture pour ses nouvelles installations, et bien que je maintienne ce point de vue, le résultat a quand même une élégance et une finesse surprenante... du moins au premier coup d'oeil. Je vais devoir aller l'examiner de plus près, mais il semble que malgré tout, on évite (et de loin) la catastrophe.
  16. Well in the end, we only have to oppose your general impressions with the informations I've got from the people behind the project who tell me completely otherwise. I'm sorry, but I will have to put a much bigger share of responsibility on the developer.
  17. You seem to be thinking, correct me if I'm wrong, that a render could be composed of elements not discussed or requested by a client, and then go directly from an architecture office to a real estate sale website owned by this very client without any prior aproval by him... I work in architecture. Unless the architect IS the developer, let me tell you that cannot happen. Clients review everything, and specifically ask for everything to look as luxurious as possible. Finishes can be suggested, proposed, researched and tested by architects or designers, but decisions sleep with money.
  18. Je vais attirer le downvote comme un pot de miel attire les abeilles mais bon je me lance, à mes risques et périls : Je pense que plusieurs d'entre nous ici ont un regard sur ce projet particulièrement voilé et rendu trop subjectif par un enthousiasme trop gros envers n'importe quel "projets d'envergure". Cet enthousiasme est louable et très rafraîchissant, à la base, et je suis toujours heureux de lire des commentaires remplis d'optimisme: ce n'est vraiment pas ça que je critique, puisque je m'efforce d'avoir le même optimisme que vous partagez. Ce qui arrive par contre cest que quelque fois, ça devient de l'idéologie. Du YESisme. Dans le genre de "whatever big thing you want to build, I'M FOR IT and all against it are against progress and against prosperity". C'est très manichéen comme dérive, et c'est un peu navrant, à mon avis. Peu importe le projet, il faut savoir l'analyser intelligemment et la meilleure manière de le faire c'est de faire appel à des experts divers, de plusieurs domaines, qui savent de quoi ils parlent. Ingénieurs, Économistes, Architectes, Sociologues, Expert en santé publique, etc. Qui ne sont pas simplement des amateurs "de salon" comme je suis aussi. C'est comme pour le sport : On ne permettrait jamais aux amateurs de décider des échanges de joueurs, des stratégies, etc. Les amateurs sont trop émotifs, trop subjectifs, et manquent de données pour bien saisir la situation. Même chose dans le cadre d'un procès : on ne permettrait jamais à la population at large de prononcer un jugement sur un accusé ; ça finirait en lynchage constant. C'est pour ça qu'il y a procès, qu'il y a des experts, des avocats, un jury dont on informe des tenants et aboutissants, et qu'on essaie de rendre objectif au meilleure de notre capacité pour prendre des décisions justes, éclairées, équitables. Même chose pour la santé : on ne devrait jamais se fier à des recherches individuelles sur internet par exemple pour juger de la validité d'un médicament, d'un vaccin, ou pour prononcer un diagnostic sur soi-même ou autrui. Dans le cadre du Royalmount, un nombre assez impressionnant d'experts se sont prononcés, une commission a été mise sur pied pour tenter de faire la lumière sur tous les enjeux, et malgré tous les millions promis en investissement, on en arrive quand même à la conclusion que ce projet est néfaste. Ça en dit long sur le poids des éléments négatifs sur le projet, pour être ainsi capable de contrebalancer ses apports économiques positifs au point où la quasi totalité des gens non financièrement intéressés par le projet y sont grandement réfractaires, et sont capables de produire des argumentaires sensés et intelligibles pour exprimer leurs doutes et leurs craintes sur ce projet, qu'on juge non-complémentaire à la ville. Bref, au final, je vois très mal comment on peut continuer à défendre ce projet dans la forme qu'il a en ce moment. Pardon à ceux que j'ai offensé.
  19. http://plus.lapresse.ca/screens/5fb81982-ff31-495e-a8b3-d333406247d6__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen&fbclid=IwAR1-CYAUpZyb0JBybDmPTTj89Vfy0W4Dr9SrDWynHLsbzX68PJDGOlGdkgM Royalement Non, dans La Presse d'aujourd'hui. Auteurs : ÉMILE ROUX ET CORALIE DENY, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE DESTINATION CENTRE-VILLE, ET DIRECTRICE GÉNÉRALE DU CONSEIL RÉGIONAL DE L’ENVIRONNEMENT DE MONTRÉAL Signataires : Signataires : Gérard Beaudet, codirecteur de l’Observatoire de la mobilité durable, Université de Montréal ; Glenn Castanheira, conseiller principal, Brique & Mortier ; Linda Centomo, directrice du développement des affaires, Les Conseillers BCA Consultants Inc. ; Catherine Champoux, directrice administrative, Emballages Creopack ; Sarah V. Doyon, directrice, Trajectoire Québec ; Raphaël Fischler, professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage, Université de Montréal ; Antonin Labossière, architecte et associé principal, Rayside Labossière ; André Lavallée, ancien élu responsable de l’urbanisme, de l’aménagement et du transport à la Ville de Montréal ; Jean-Claude Marsan, architecte, urbaniste et professeur émérite, Université de Montréal ; Karel Mayrand, directeur général pour le Québec et l’Atlantique, Fondation David Suzuki ; Paula Negron-Poblete, codirectrice de l’Observatoire de la mobilité durable, Université de Montréal ; Jean Paré, urbaniste émérite et ancien commissaire, Office de consultation publique de Montréal ; Jacques K. Primeau, président, Partenariat du Quartier des spectacles ; Ron Rayside, architecte et associé principal, Rayside Labossière ; Sidney Ribaux, directeur général, Équiterre ; Christian Savard, directeur général, Vivre en Ville ; Caroline Tessier, directrice générale, Association des sociétés de développement commercial de Montréal ; et Claude Vaillancourt, président, ATTAC-Québec ; Christian Yaccarini, président et chef de la direction, Société de développement Angus
  20. Ces surfaces aveugles sont exigées par le code du bâtiment en raison des distances limitatives exigées et des calculs de % d'ouverture possible qui s'y appliquent pour éviter la propagation de la flamme. Sur la ligne mitoyenne, ce % d'ouverture possible est de zéro. Au pire, ça donnera une belle surface pour une murale.
  21. Difficile d'exprimer en mots le dégoût que j'ai pour ce genre de projet.
  22. Je n'invente pas mes infos, btw. Ce n'est pas une question d'opinion personnelle; c'est du factuel qui provient d'employés de Lemay qui sont en charge du projet et qui voient le projet se déteriorer constamment depuis l'émission du permis et le début du chantier, et qui ont à faire constamment avec un client très peu enclin à débourser pour assurer la qualité promise. Shoutout aux downvoters professionnels qui sont fâchés dès que quelqu'un ose une mini-critique, fondée de surcroit, sur leurs projets préférés.
  23. Ce serait en effet une question de coûts. Le client, apparemment, est particulièrement cheap et ne veut que son profit. À peu près toutes les composantes du projet ont perdu en qualité entre la proposition / marketing de vente et le produit livré.
  24. C'est en effet un escalier temporaire qui doit servir de seconde issue pour les gens qui habiteront dans la phase 1 sans que la phase 2 ne soit encore terminée.
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