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Marc90

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Tout ce qui a été posté par Marc90

  1. Ça a commencé à creuser, et la pieuteuse est là. Jpense qu'on peut aller vers "En construction"
  2. Le revêtement va pouvoir commencer à être posé bientôt! La fenestration achève.
  3. Marc90

    Fabrik8 - 6 étages (2021)

    9 août - on continue de couler les fondations. Y'a pas mal de mode sur ce chantier.
  4. Je crois que la meilleure solution réside dans une réinterprétation contemporaine du Plex de 4, ou 5 étages par endroit, mitoyen. Ça crée 100% de logements traversants et avec balcons, alors que seulement environ 10 à 20% des logements de ce projet sont traversants. Grâce aux cours au RDC, ça permet à 25% des unités d'avoir des jardins extérieurs privés personnalisables, contre 0% ici. Ça permet au quart des unités d'avoir des terrasses privées en toiture, contre (visiblement) 0% ici, et on peut imaginer certaines cours ou terrasses communes à tous, pour que les autres aient aussi un accès. L'implantation peut s'adapter à des espaces publics un peu plus grands à certains noeuds de la trame circulatoire, pour créer des placettes ou petits parcs qui, par leur taille réduite, ont l'air plein de vie même s'il n'y a que quelques individus présent. Cette typologie permet aussi une densité importante, et une implantation au sol plus grande que ce projet, comme on le voit dans les quartiers montréalais, mais tout en permettant une canopée généreuse puisqu'elle peut s'étendre au-dessus d'une portion du bâti, puisque sa hauteur est réduite. C'est aussi un langage vernaculaire de Montréal qui peut être réinventé. La faible hauteur permet un rapprochement de la rue tout en gardant une zone tampon pouvant être plantée et créant un léger recul de privauté pour les habitants. C'est aussi du bâti facile à adapter dans le temps, qui peut évoluer avec les familles, chose beaucoup plus difficile à faire dans un bloc de condos.
  5. Voilà. Ce n'est pas parce que c'est relativement impossible dans certains secteurs 1/4 de l'année que le projet devient entièrement impossible et/ou ridicule, au contraire. C'est une initiative très louable, très prometteuse, durable et qui peut s'adapter lorsqu'il faut que ce soit adapté, comme tout le reste.
  6. Et les Montréalais qui haissent l'hiver oublient qu'il n'y a pas de neige au sol pendant 9 mois, soit le 3/4 de l'année, et que les chaussées sont libres de neiges encore davantage de jours dans l'année. Il est carrément aisé de faire du vélo de la mi-avril à la mi-novembre. Pour la mi-novembre à la mi-décembre, ça dépend des années, et même chose pour mi-mars à mi-avril. Pour un vélo, seule un couvert de neige peut poser un obstacle réel, pas le froid. Le froid n'est un obstacle que si on y est mal préparé. On peut être une ville de vélo et une ville d'hiver.
  7. Les reculs importants de la rue tendent à créer une forte rupture sensorielle entre les habitations et l'espace public, en plus de mettre entre les deux un espace désert, inapproprié et inappropriable, puisqu'il est trop grand et impersonnel, tout l'inverse d'une véritable cour-jardin. Ça le rend moins sécuritaire à toute heure du jour. D'une part, parce qu'on perd les "yeux sur la rue", comme dirait Jane Jacobs, qui reste à ce jour un moyen très efficace de sécuriser un quartier résidentiel, et le manque de proximité des balcons, des entrées et autres de l'espace public rend aussi les occasions de croisement fortuits avec d'autres personnes beaucoup plus rares, et ce sont ces rencontres qui font la vie urbaine, qui permettent de connaître le voisinnage, de l'apprivoiser, et éventuellement de ni le craindre, ni l'honnir, comme c'est souvent le réflexe dans des milieux où les gens, pourtant voisins, ni ne se voient ni ne se connaissent. Cet évitement de la vie publique est source de conflit et de repli. Quand on parle de l'aménagement de l'espace où un individu va passer la majorité de son temps, et dans notre contexte contemporain où on a de moins en moins de lieux de rencontre avec nos pairs, c'est quand même crucial à considérer, ce rapport visuel et physique à l'espace public depuis le domicile, à l'échelle de la société. C'est d'autant plus dramatique dans des projets où tu peux accéder directement à ton auto, en sous-sol, à partir de l'intérieur du bâtiment, sans devoir avoir un quelconque rapport avec l'espace public. À mon sens, c'est un problème, et c'est un problème qui a des conséquences plutôt profondes et insoupçonnées. C'est une manière de faire la ville qui nous vient de l'idéologie "moderniste" que les urbanistes, architectes et autres ont appris à rejeter en raison de ses failles majeures, qui est banlieusarde, qui a un fond très individualiste, anti-citadin, et qui endommage le tissus social à long terme, en plus de casser le tissus urbain et sa continuité bâtie. C'est beaucoup de philosophie urbaine pour un simple projet dans Ville St-Laurent, mais c'est une question de cohérence et de voir plus loin. Même si on préfère le vert et la quiétude, il faut être conscient des enjeux en présence, quand on construit la ville, et il ne faut pas faire la ville en souhaitant éviter ce qu'est, fondamentalement, une ville. Que ce soit à Ville St-Laurent ou à Laval ou dans Rosemont, je jugerai toujours que ce genre de mégaprojet de type "campus+pelouse+on s'éloigne de tout en prétendant créer un milieu de vie animé avec des beaux rendus plein de monde" par la négative.
  8. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/ensemble-montreal-demande-au-gouvernement-de-prolonger-la-ligne-orange-jusqu-a-la-gare-bois-franc-du-rem-857141892.html?fbclid=IwAR1vrDh4zDAu4QquhkF0mGeug-V-Y-RT9-yMsx5fN1UEMbOrb3YUgn56M4Y C'est en effet assez nécessaire.
  9. Y'a moyen d'être hyperdense avec du bâti à 6-7 étages. Y'a moyen d'être peu dense avec du bâti à 20+ étages. Tout dépend du rapport qu'on octroie à l'espace public et à la trame bâtie. Ce projet me semble trop haut pour l'implantation utilisée, trop petite. La hauteur force les designer à reculer les bâtiments par rapport au bâti existant voisin. Le résultat est qu'il y a des retraits beaucoup trop grands par rapport à la rue et entre chacun des blocs prévus du projet. Ça va créer des pelouses inutilisées et ennuyantes, des espaces pseudo publics, un faux parc gigantesque dont personne ne veut ni n'a besoin, qui est trop grand pour être personnalisable par les gens, et qui devient un désert que les habitants ne voudront pas traverser à la noirceur. Les rues ne gagneront pas en convivialité. On y a mis plein d'axes pour traverser, mais traverser où? On a l'impression que personne ne s'est posé la question. C'est ben l'fun des axes, mais quand t'es dans un no man's land parsemé de boulevard large comme des autoroutes et des grandes surfaces entourées d'énormes stationnements, c'est franchement ridicule de penser qu'il y a un flot de piétons suffisant pour justifier un tel aménagement. C'est du wishful thinking couplé à du green washing.
  10. Y'a moyen d'être hyperdense avec du bâti à 6-7 étages. Y'a moyen d'être peu dense avec du bâti à 20+ étages. Tout dépend du rapport qu'on octroie à l'espace public et à la trame bâtie. Ce projet me semble trop haut pour l'implantation utilisée, trop petite. La hauteur force les designer à reculer les bâtiments par rapport au bâti existant voisin. Le résultat est qu'il y a des retraits beaucoup trop grands par rapport à la rue et entre chacun des blocs prévus du projet. Ça va créer des pelouses inutilisées et ennuyantes, des espaces pseudo publics, un faux parc gigantesque dont personne ne veut ni n'a besoin, qui est trop grand pour être personnalisable par les gens, et qui devient un désert que les habitants ne voudront pas traverser à la noirceur. Les rues ne gagneront pas en convivialité. On y a mis plein d'axes pour traverser, mais traverser où? On a l'impression que personne ne s'est posé la question. C'est ben l'fun des axes, mais quand t'es dans un no man's land parsemé de boulevard large comme des autoroutes et des grandes surfaces entourées d'énormes stationnements, c'est franchement ridicule de penser qu'il y a un flot de piétons suffisant pour justifier un tel aménagement. C'est du wishful thinking couplé à du green washing.
  11. C'est pour ça que la ville doit imposer des normes de qualité architecturale, des paramètres volumétriques, des paramètres de matériaux et de rapport au contexte. Parce qu'il y a des promoteurs de merde. Il y en a des très bons! Qui se soucient réellement de la ville et de ses habitants. Mais ceux qui font de la merde font de la merde beaucoup trop visible. Cela dit, les espaces communs dans les projets de condos sont souvent trop gros pour les résidents eux-mêmes. Les halls d'entrée inutilement vastes et show-off, les terrasses inutilisées, les racoins de verdures impersonnels et sans âme... il s'en fait aussi beaucoup. Alors qu'il manque cruellement dans ces mêmes projets d'espaces semi-publics personnalisables : entrées individuelles sur rue, terrasses privées, petites cours, etc.
  12. Ont-ils précisé les vacances de la construction de quelle année?
  13. C'est difficile à voir en ce moment en effet, mais le problème réside dans les puits d'issues de secours. Il en faut deux par étage. Donc si on fait deux tours, il faut 4 puits. Ça enlève considérablement de superficie de plancher pour les unités, donc beaucoup moins de revenus possibles. C'est cependant faisable et même souhaitable sur le plan urbanistique et architectural, mais sur le plan économique, c'est peu intéressant pour le promoteur. Cependant, il pourrait opter pour un "faux" deux-tours, liées par une mince zone corridor sur la pleine hauteur du bâtiment, qui pourrait être vitrée des deux côtés, permettant de maintenir un seul bâtiment mais d'avoir un "silence" architectural vertical qui pourrait aussi laisser filtrer la lumière sur RL.
  14. Une superbe addition à échelle raisonnable pour ce secteur, respectueuse du contexte et qui conserve lumière et aération sur la rue. Le genre de projet de densification intelligente qu'on devrait voir résolument plus souvent.
  15. Projet correct! Il va être bien visible à cause du petit décoché sur RL. La façade sur la rue semble intéressante. Le problème de RL dans ce secteur, c'est le boulevard lui-même. Il est très peu convivial. Vivement un tramway, un jour, et un embellissement de l'espace public, et l'ajout de verdissement aussi.
  16. Ne vous fiez pas non plus aux oiseaux de malheur.
  17. Un rendu n'est pas un gage de matériaux finaux. Aucun rendu, d'aucun projet, n'est "contractuel". C'est normal, et ça va arriver, qu'entre le rendu produit en phase préliminaire d'un projet et le produit fini, avec toutes les décisions prises post-CCU et pendant le chantier lui-même, que certains détails ou finis seront différents. Un rendu, c'est un produit de marketing. Et la loi sur la protection du consommateur ne semble pas s'appliquer avec autant de rigueur que sur une boîte de céréales. Et la résolution des images proposées est tellement basse... c'est vraiment difficile à dire. Cela dit, si je me fie à la zone de jonction entre le mur et le vide du niveau "passerelle", les fines lignes sur le revêtement, en prolongation des lignes dans les portions "fenêtres", et le délavé de couleur entre l'extrémité ouest et Est du mur, me laisse penser qu'il s'agit d'un mur rideau en verre et non un parement préfab opaque. Mais il se pourrait bien qu'on se ramasse avec du préfab au final quand même. Bref, No sé José.
  18. Un revêtement de mur rideau en verre peut très bien couvrir un portion de mur "plein", opaque. Ça n'a pas nécessairement à être une fenêtre. Ça n'aura qu'un effet miroir. Il ne faut pas se fier à un plan, d'autant plus que ceux-ci sont graphiquement simplifiés pour la compréhension des futurs acheteurs, pour interpréter les matériaux de revêtement.
  19. "Appartenir à l'ensemble des citoyens" c'est exactement l'idée contraire de ce à quoi vous l'avez assimilé et donc perverti, c'est à dire "La ville M'appartient". Quand on dit que quelque chose appartient à tous, c'est qu'on dit justement que ça ne vous appartient pas à vous. Du moins, pas seulement. Et que donc on doit vous offrir l'opportunité, à de nombreux moments, d'émettre votre opinion, mais que celle-ci doit également être prise en compte à l'aune d'une pluralité, et doit être mesurée et filtrée dans des critères qui assurent le respect des droits et la sécurité de chacune et chacun. C'est pourquoi cette mentalité "me myself and I and My Car" n'a plus d'écho dans les décisions publiques, puisqu'on s'est rendu compte qu'il s'agissait d'un obstacle, d'une prise en otage de l'espace public, et qu'elle posait ultimement un danger, une menace et/ou un frein au vivre-ensemble qu'il fallait réduire, contrôler, voire éliminer à certains endroits. Déclarer que la ville est à ses citoyens, ce n'est pas le chaos. Cette adéquation me semble vraiment sensationnaliste et infondée. En fait, une ville qui est à ses citoyennes et citoyens, c'est ni plus ni moins ce qui est, à peu de choses près, le cas aujourd'hui, à Montréal; du moins considérablement davantage ici que n'importe où ailleurs dans le monde des métropoles occidentales. Et qu'est-ce que ça donne une ville à ses citoyens? Bah pour le moment, ça semble donner une ville heureuse, prospère, équilibrée, animée, sécuritaire, consciente des enjeux, encore un peu lente à réagir sur certains mais ça, c'est aussi le lot de la démocratie, qui vient avec un appareil bureaucratique, qui semble lourde et qu'on aime critiquer, mais qui conserve mémoire institutionnelle, stabilité et expertise alors que les administrations passent. Quand un bien est collectif, commun, public, c'est qu'il n'appartient justement pas à un individu, ni à vous personnellement, ni à aucune autre personne seule, qu'il soit Maire ou citoyen X. Il n'appartient pas non plus à un groupe particulier, tel un groupement de gens d'affaires, de promoteurs ou de lobby, et il n'appartient pas non plus à la majorité démocratique d'ailleurs (dire que la majorité a tous les droits sur un bien commun relève de la tyrannie de la majorité). Quand un bien est collectif, c'est qu'il doit être également géré dans l'intérêt collectif et dans l'intérêt de son partage équitable dans le temps et dans l'espace, tant en matière d'usage qu'en matière de processus de création et de prise de décision, et non suivant les ambitions impulsives subjectives d'un seul homme. Un bien collectif, ça se gère de façon consensuelle et non par l'imposition de la volonté de la majorité, ni d'une minorité - donc dans l'intérêt de trouver un terrain d'entente pour des gens de valeurs quelquefois opposées sur certains thèmes, selon certaines idéologies, mais dont les intérêts en matière de sécurité, de respect mutuel, de bien-être, d'épanouissement et de quête du bonheur sont similaires, et devraient tendre à cohabiter. Et ça existe, c'est littéralement ce qui se passe ici! On est capable d'avoir une ville harmonieuse qui investit dans le logement social et dans l'art public. Coderre criait qu'il fallait savoir mâcher de la gomme et marcher en même temps - il ne l'a pas nécessairement mis en pratique à mon sens, ayant négligé nombre de dossiers d'importance sociale fondamentale pour se concentrer sur du superficiel mal ficelé - mais l'expression est quand même le reflet de ce que la ville fait tous les jours, sans que Valérie Plante ait à employer cette expression ad nauseam pour nous en convaincre. P.S.: Pas besoin non plus de tomber dans de vieux clichés ridicules anti-rouge digne du Maccarthysme de 1950 que certaines têtes blanches en mal d'attention vomissent encore aujourd'hui, pour avoir une discussion sensée sur la société.
  20. Marc90

    Westcliff big surprise

    La caisse de dépôt a été construite bien après l'autoroute, en plein dessus. Le palais des Congrès aussi. En ce moment même, on est en train de construire un volume de près de 10 étages, en pont, dans le Humaniti, et l'espace dégagé au-dessous a une largeur considérable. Peut-être pas autant que l'autoroute, mais pas loin. À mon sens, il n'y a aucun problème à construire sur ces terrains, et ce sont des prime spot avec une très grande valeur aussi. Tout dépend de la stratégie structurale, mais c'est définitivement possible sur le plan technique, et même assez envisageable en contexte montréalais, sur le plan financier.
  21. Marc90

    Westcliff big surprise

    Le Square Victoria est amplement grand pour voir le ciel et pour avoir ce recul architectural. Par contre, c'est une Place publique qui est incomplète. Ces deux terrains sont des terrains vagues. Ils nuisent à la forme urbaine du Square, en le privant d'une façade bâtie importante, et à sa présence dans la ville. Ils sont plein de gazon, une espèce végétale très peu utile pour lutter contre les îlots de chaleur et pour favoriser la porosité des sols, en plus d'être très aquavore et non indigène. C'est littéralement la pire plante possible. À mon avis, ces deux terrains vagues sont des trous qui devraient être remplis, et le premier bénéficiaire de cette construction sera l'espace public qui gagnera en cohérence et en harmonie.
  22. Marc90

    Westcliff big surprise

    Un ptit Zaha dans le centre-ville! Pour remplir le trou le plus flagrant de notre trame urbaine. Pour le fun. Credits : Morpheus Hotel, Macau.
  23. Oui, mais l'esprit dans le temps n'a pas mené à nommer la rue Urbain-Tessier-Lavigne. L'esprit, selon moi, a autant de valeur historique que le reste, et on ne devrait pas chercher à l'effacer ou à le "corriger" en fonction de nos valeurs actuelles. On ne "corrige" pas l'Histoire. Elle a ses imperfections et ses anecdotes propres, et tenter de corriger l'Histoire ne mène rarement à de bons résultats. Ça n'aide certainement pas à la compréhension d'où nous venons réellement. En fait, ça donne des anachronismes. Puisque manifestement, si on revivait ce moment à la lumière de notre époque, on ne nommerait tout simplement pas une rue du nom du propriétaire terrien qui possède le site. Donc si Urbain Tessier Lavigne était vivant aujourd'hui et qu'on faisait passer une rue par ses terre pour développer un nouveau quartier, il n'aurait aucune rue à son nom. Le choix du nom de St-Urbain pour nommer cette rue est ancré dans son Histoire, et le fait qu'on ait opté à l'époque pour le sanctifier est également ancré dans l'histoire, à valeur égale. L'idée, la manière et le résultat sont indissociables de leur contexte. En enlever un seul nie la réalité historique. Aucun hommage n'a été escamoté : il a été fait de la manière dont on les faisait, que ça nous plaise ou non. Son identité n'est camouflée que lorsqu'on ne fait pas ses recherches pour savoir d'où vient le nom. Dès lors qu'on s'y intéresse, la réponse est facile à trouver et très accessible. S'il faut absolument ajuster la nomenclature, la chose intelligente et sensible à faire à à mon avis, serait comme j'ai dit de mettre une courte note explicative visible qui dit d'où vient le nom. Ça maintient l'histoire de façon cohérente tout en permettant de la mettre en perspective avec le présent.
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