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5 résultats trouvés

  1. Encore un coup dur pour le milieu de l'information au Canada. La direction du réseau généraliste est en train d'informer le personnel au sujet de ces coupes qui touchent la Ville Reine. Pour en lire plus...
  2. «C'est bien d'aller chercher des sociétés qui ont de l'encaisse, mais il faudra que ça rapporte à un moment donné.» Pour en lire plus...
  3. Celle qui a récemment été sacrée reine du détaillant de vêtements a mis la main sur plus de 69 000 actions de l'entreprise qu'elle dirige. Pour en lire plus...
  4. Un unifolié pour la Saint-Jean? Ottawa commence dès le 21 juin à distribuer des drapeaux en vue de la fête du Canada, soit quelques jours avant la fête de la Saint-Jean-Baptiste. Baptiste Ricard-Châtelain Le Soleil Le fédéral distribue gratuitement des millions de drapeaux, de photos de la reine, de disques de l'hymne national ainsi que des affiches, des épinglettes et des tatouages unifoliés chaque année. En 2007, le ministère du Patrimoine canadien a investi plus de 1,56 million de dollars dans les programmes de promotion du Canada. Et une attention particulière semble prêtée au Québec durant les semaines de la Saint-Jean-Baptiste et de la fête du Canada... À la fin des années 90, l'ex-ministre libérale du Patrimoine canadien, Sheila Copps, avait soulevé l'ire du clan souverainiste en semant des drapeaux à tout vent. Le citoyen n'avait qu'à téléphoner pour en obtenir un. Mme Copps espérait ainsi couvrir le pays d'unifoliés. Il est toujours aussi aisé de recevoir l'emblème rouge. Après un coup de fil, en moins d'une semaine, le bureau de Montréal du Ministère nous avait livré un drapeau de trois pieds sur six et une dizaine d'épinglettes. Un autre envoi, d'Ottawa, a été aussi rapide: photos de «Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada», armoiries, texte de l'Ô Canada et autres articles promotionnels. Nous aurions également obtenu la panoplie chez le député local. Au bureau de circonscription de la ministre du Patrimoine, Josée Verner, on offre des produits gratuits. Il suffit de se présenter. Nous aurions également pu brandir l'unifolié qui a flotté sur une tour du parlement. Mais la liste d'attente est de 20 ans... «Le drapeau de la Tour de la Paix est changé tous les jours, du lundi au vendredi, sauf les jours fériés et les jours où il est en berne», détaille le site web du Parlement. C'est donc dire que plus ou moins 5000 personnes l'accueilleront avant nous! Le Québec choyé? D'autres programmes du ministère du Patrimoine permettent de mettre la main sur les objets promotionnels. Et le Québec est choyé, selon des documents obtenus. Ainsi, dans la grille de distribution du matériel du programme Le Canada en fête! (21 juin au 1er juillet), le ministère du Patrimoine recense ses envois dans ses bureaux des provinces et territoires. Le Québec se démarque parce qu'il reçoit également des milliers d'articles livrés directement au Comité des célébrations du Canada. Un cas unique au pays, d'après un tableau du ministère fédéral. En compilant la double distribution, le Québec reçoit le tiers des grands drapeaux (2300), le quart des affiches unifoliées (1000), 160 000 drapeaux de papier, 150 000 épinglettes, 25 000 signets, 225 000 tatouages. Le service des communications du ministère du Patrimoine canadien explique que le Québec se distingue dans ce programme parce qu'une partie des articles sont directement livrés au Comité, une simple mesure administrative.
  5. L'hôtel Reine Élizabeth fête ses 50 ans 5 avril 2008 - 18h08 La Presse Simon Diotte Lors de sa construction, l'hôtel Reine Elizabeth n'avait pas uniquement comme fonction d'accueillir l'élite économique du Québec. Il devait aussi combler un trou béant laissé par les voies ferrées de la gare Centrale. Son avènement, combiné à l'ouverture de la Place Ville-Marie quelques années plus tard, marqua le déménagement définitif du centre-ville du Vieux-Montréal vers les lieux actuels. Cinquante ans plus tard, le Reine Elizabeth, avec ses 1039 chambres, ce qui lui confère le titre du plus grand hôtel canadien à l'est de Toronto, demeure d'une importance capitale pour Montréal. «Depuis son ouverture, il a toujours été le bateau amiral de l'industrie hôtelière montréalaise en raison de son emplacement exceptionnel et de ses grands espaces dévolus aux congrès», affirme Gilles Larivière, président de la division montréalaise Horwath HTL, importante firme de consultants en hôtellerie. Ce grand hôtel a pourtant failli ne jamais voir le jour. Les premiers plans été tracés en 1911, mais son promoteur, Canadien Nord, a fait faillite. Le projet est repris en 1929, avec l'ajout d'une gare souterraine et d'édifices à bureau. Les travaux débutent, mais la crise économique fait tout arrêter. Il subsiste alors un énorme trou au coeur de la métropole pendant des années. «Il a fallu construire un pont sur René-Lévesque (anciennement Dorchester) pour enjamber cette excavation, que les Montréalais avaient en horreur», rappelle David Hanna, directeur des programmes d'études supérieures au département des études urbaines de l'UQAM. Ce n'est qu'en 1938 que les travaux reprennent avec la construction de la gare Centrale, complétée en 1943. Quant à la construction du «Queeny», elle ne commence que dans les années 50. Ça représente alors tout un défi technique. Pour le soutenir au-dessus des voies ferrées de la gare Centrale et amortir les vibrations du passage des trains, le bâtiment de 21 étages en forme de "L" repose sur 160 piliers de béton. À son ouverture, il est le deuxième plus grand hôtel du Commonwealth et devient l'un des premiers hôtels américains dotés d'escaliers roulants et d'une climatisation centrale. Son promoteur est le Canadien National, une société d'État. Son président, Donald Gordon, Écossais d'origine au tempérament fougueux, choisit de le baptiser Le Reine Elizabeth, en l'honneur de la jeune reine qui vient d'accéder au trône en 1952. Toutefois, cette décision est perçue comme une insulte par les francophones. Une pétition, qui recueille 250 000 signatures, réclame qu'on lui accole le nom de Château Maisonneuve, en l'honneur du fondateur de Montréal. En vain. Donald Gordon persiste et signe. Si les francophones semblent avoir passé l'éponge sur cette vieille controverse, un autre aspect du Reine Elizabeth ne fait toujours pas l'unanimité: son style architectural, qui adopte le courant du fonctionnalisme. Richard Payette, directeur général de cet hôtel de la chaîne Fairmount, en est parfaitement conscient. «Il existe deux écoles de pensée à ce sujet: certains ne trouvent aucune vertu architecturale à ce bâtiment, alors que d'autres apprécient son style épuré, symbole d'une époque», dit-il. M. Payette invite les gens à visiter l'intérieur de l'hôtel. «C'est là où on est vraiment sexy», dit-il à la rigolade. L'établissement vient d'ailleurs de subir une cure de rajeunissement de 40 M$ au début des années 2000. Le plus remarquable, c'est le hall, aussi long qu'un terrain de football canadien. Autrefois sombre et austère, il est maintenant inondé de lumière, grâce à l'aménagement du salon de thé en façade. Depuis son ouverture, le Reine Elizabeth accorde une importance continue aux oeuvres d'art et les dernières rénovations n'ont pas fait exception à la règle. Dans les corridors, les chambres et les salles communes, on retrouve des oeuvres originales et des lithographies d'artistes renommés, la plupart originaires de Montréal. «Il a fallu que je me batte avec les designers pour inclure des tableaux originaux dans notre décor, car il est davantage courant d'insérer des reproductions», raconte M. Payette en m'invitant à faire le tour du propriétaire. Se balader dans cet hôtel permet de saisir une partie de ce qu'est l'art actuel québécois et canadien. Si le Reine Elizabeth a conservé son prestige au fil des décennies, c'est aussi grâce au Beaver Club, l'une des meilleures tables à Montréal. Il tire son nom d'un prestigieux club privé qui était situé autrefois sur Beaver Hall et qui regroupait les puissants marchands de fourrure. À ce titre, son décor était encore constitué de vieux panaches jusqu'à tout récemment. Ils viennent d'être mis au rancart. On ne peut évidemment parler du Reine Elizabeth sans glisser un mot sur les célébrités qui l'ont fréquenté. Outre la reine d'Angleterre elle-même, Charles de Gaulle, Mikhaïl Gorbatchev, Nelson Mandela y ont séjourné. Son épisode le plus célèbre: le bed-in de John Lennon et Yoko Ono, dans la suite 1742, afin de protester comme la guerre du Vietnam. C'est dans cette chambre, en 1969, qu'ils enregistrèrent Give Peace A Chance, un hymne qui marqua une époque.
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