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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

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  • Administrateur
31 minutes ago, jesseps said:

One thing I do not get, do restaurants have to close at 730 just like the grocery stores or they can stay open and do delivery (uber eats, door dash, skip the dish or their own service) until later?

They can do delivery... but some might not find this interesting if their main revenue are from walk ins...

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La construction va bon train malgré les plus récentes restrictions

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

(Montréal) L’industrie de la construction n’a pas ralenti ses activités malgré les nouvelles consignes émises la semaine dernière par le gouvernement Legault lorsque celui-ci a imposé un couvre-feu.

Publié le 15 janvier 2021 à 6h54

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-01-15/la-construction-va-bon-train-malgre-les-plus-recentes-restrictions.php

Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne

Québec demandait alors au secteur de réduire ses activités « au minimum nécessaire pour assurer la réalisation des engagements » et d’ajuster les quarts de travail « pour limiter les présences sur les sites […] de construction au même moment ».

Cette ouverture à la « réalisation des engagements » signifie, dans les faits, que tous les chantiers en cours sont demeurés actifs. Les vérifications de La Presse Canadienne auprès des trois grandes associations de la construction du Québec indiquent qu’on a maintenu le rythme.

« Tout ce qui est en cours est considéré comme étant essentiel », résume Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec (ACQ), qui représente les entrepreneurs des domaines institutionnel, commercial et industriel.

Livrer l’habitation à temps

Le respect des engagements est essentiel dans le domaine de l’habitation, fait valoir de son côté François Bernier, vice-président de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ).

« On a tous ces chantiers à livrer au cours des prochains mois », raconte-t-il en faisant état de 20 000 chantiers à livrer au premier semestre de 2021. 

Évidemment, s’il y avait retard, c’est toute la problématique de laisser du monde dans la rue. L’idée de respecter les engagements, c’est aussi de respecter ces gens qui sont là et qui attendent leurs unités à très court terme et on n’a pas beaucoup de marge de manœuvre si on ne respecte pas nos échéanciers.

François Bernier, vice-président de l’APCHQ

Pénalités et « clauses COVID »

Guillaume Houle rappelle également que les ententes contractuelles prévoient des pénalités pour les retards de livraison. « Plusieurs contrats mis en suspens au printemps [lors de la première vague de COVID-19] font actuellement les frais de débats en Cour », note-t-il.

Il ajoute que plusieurs nouveaux contrats contiennent désormais des « clauses COVID » qui font en sorte que « le donneur d’ouvrage, qu’il soit public ou privé, se déleste de la responsabilité et des retards de livraison dus à la COVID et aux mesures sanitaires supplémentaires à mettre en place. Tout le fardeau repose sur les entrepreneurs. »

La troisième association, celle des constructeurs de routes et grands travaux (ACRGTQ), n’est que marginalement concernée : « Le niveau d’activité des gens qu’on représente était déjà à son plus bas. À ce temps-ci de l’année, COVID pas COVID, on est au minimum », explique son porte-parole, Christian Croteau, qui signale tout de même certaines exceptions, comme le chantier du REM qui poursuit ses activités.

Jugement et difficultés d’approvisionnement

La décision de prendre de nouveaux engagements d’ici au 8 février, lorsque le couvre-feu sera levé, repose sur deux variables inhabituelles, le jugement et l’approvisionnement.

Ce que le premier ministre et ce que le décret nous disent, c’est d’user de notre gros bon sens pour déterminer la nature essentielle des travaux.

Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec

François Bernier souligne qu’il n’y a pas vraiment de problème à prendre un engagement, par exemple, pour la construction d’une maison en septembre. La restriction face aux nouveaux engagements vise le futur immédiat : « À ce moment-ci, pour diminuer l’intensité sur les chantiers, diminuer le nombre de chantiers, faut-il donner suite à une demande aujourd’hui ? Ta nouvelle salle de bains, peut-on la réaliser un peu plus tard ? »

De toute façon, ajoute-t-il, il est plus difficile qu’à l’habitude de prendre de nouveaux engagements : « Certains n’ont pas le choix que de refuser de nouvelles demandes parce que l’année s’ouvre sur une sérieuse difficulté d’approvisionnement en toutes sortes de matières : le bois, les fenêtres. La chaîne de production, bien qu’elle ait repris ses activités dans l’année, elle a des problèmes. Essayez aujourd’hui d’aller voir quelqu’un dans l’industrie des fenêtres pour vous faire un contrat. Il va vous dire oui, mais d’attendre quelques mois. »

Baisse forcée des éclosions

La décision du gouvernement de maintenir l’activité du secteur sans entrave s’explique entre autres par les données de l’Institut national de la santé publique (INSPQ) sur les éclosions et le nombre de cas actifs sur les chantiers en date du 2 janvier, la plus récente semaine où les données sont disponibles. Ainsi, on y rapporte 33 éclosions sur des chantiers, soit 4,5 % du total des éclosions dans l’ensemble des milieux de travail (excluant les milieux hospitaliers, les CHSLD, les écoles et services de garde). Le nombre de cas confirmés, lui, se situait à 134 personnes, soit 3,7 % du total.

Il s’agit d’une importante baisse par rapport aux semaines précédentes, où l’on avait dénombré jusqu’à 60 éclosions et près de 200 travailleurs infectés. Au 19 décembre, le secteur de la construction représentait alors 8,6 % des éclosions et 5,8 % des travailleurs infectés. Cette diminution s’explique par le fait que le gouvernement avait mis les chantiers en pause durant deux semaines pendant les Fêtes.

Les entrepreneurs sont cependant fort conscients qu’une augmentation marquée de cas et d’éclosions avec la reprise pourrait amener le gouvernement à changer d’idée et tous les porte-parole rejoints ont insisté sur le resserrement des mesures sanitaires : « Il n’y a personne qui puisse se vanter d’être parfait dans la gestion de la pandémie et le secteur de la construction ne fait pas exception. Par contre, on s’est pris en main, on a un guide avec des mesures sanitaires très strictes à respecter sur les chantiers et nous avons rappelé à nos membres la semaine dernière qu’il faut appliquer de la manière la plus stricte possible ces mesures sanitaires », plaide Guillaume Houle.

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  • 2 semaines plus tard...

 

Le taux d’inoccupation des logements a atteint 2,7 % à Montréal en 2020 (SCHL). Il était de 1,5 % l’année précédente.

Cette hausse s’explique par la diminution du solde migratoire international. La réintégration sur le marché locatif à long terme de logements loués à court terme à des touristes est aussi un facteur.

Néanmoins, À Montréal, le loyer moyen de deux chambres est passé de 855 $ à 903 $.

https://www.journaldemontreal.com/2021/01/28/les-taux-dinoccupation-des-logements-ont-bondi-a-27--en-2020-a-montreal

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il y a une heure, biggybee a dit :

 

Le taux d’inoccupation des logements a atteint 2,7 % à Montréal en 2020 (SCHL). Il était de 1,5 % l’année précédente.

Cette hausse s’explique par la diminution du solde migratoire international. La réintégration sur le marché locatif à long terme de logements loués à court terme à des touristes est aussi un facteur.

Néanmoins, À Montréal, le loyer moyen de deux chambres est passé de 855 $ à 903 $.

https://www.journaldemontreal.com/2021/01/28/les-taux-dinoccupation-des-logements-ont-bondi-a-27--en-2020-a-montreal

1) Passer de 1,5% à 2,7%, c'est une hausse de 1,2 point de pourcentage, ou de 80% par rapport au niveau précédent (2,7/1.5=1.8).  Vu sous cet angle, c'est une hausse importante, mais il faut prendre en considération le fait que les fluctuations procentuelles peuvent être très fortes quand le chiffre de base est minime.  En soi, un taux d'inoccupation de 2,7 % demeure modeste, encore légèrement en-deça du point d'équilibre notionnel.

2) Quant à la hausse du loyer moyen, de 855$ à 903$, cela correspond à une hausse de 5%.  Ça n'implique pas que chaque loyer a augmenté de 5%;  la composition du parc locatif en cause est aussi un facteur: en clair, les loyers des nouveaux logements sont typiquement plus élevés que ceux des logements existants dont une bonne part sont soumis à un contrôle.  Des données plus pertinentes ressortiraient d'une distinction entre les deux catégories.  Le nouveau locataire, qu'il provienne de l'étranger ou d'une autre région, voire même de la formation d'un nouveau ménage montréalais (e.g. jeunes qui quittent le foyer familial) fait face à des prix (loyer moyen) plus élevés que l'autre, celui qui reste dans son (même) logement depuis longtemps.

3) Les propriétaires se retrouvent dans des situations très variables.  Le petit propriétaire qui perd son unique locataire (ou un sur deux ou un sur trois) subit un dur coup.  L'investisseur qui avait privilégié des unités destinées principalement à la location à court terme est aussi très affecté.  Le grand propriétaire d'un parc diversifié de logements anciens et neufs s'en tire mieux.  Ceux qui sont en position de refinancer leurs hypothèques à des taux inférieurs (aux précédents) bénéficient d'une bouffée d'air frais  parfois suffisante pour compenser la détérioration des conditions du marché.

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Le 2021-01-15 à 07:39, acpnc a dit :

La construction va bon train malgré les plus récentes restrictions

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

(Montréal) L’industrie de la construction n’a pas ralenti ses activités malgré les nouvelles consignes émises la semaine dernière par le gouvernement Legault lorsque celui-ci a imposé un couvre-feu.

Publié le 15 janvier 2021 à 6h54

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-01-15/la-construction-va-bon-train-malgre-les-plus-recentes-restrictions.php

Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne

Québec demandait alors au secteur de réduire ses activités « au minimum nécessaire pour assurer la réalisation des engagements » et d’ajuster les quarts de travail « pour limiter les présences sur les sites […] de construction au même moment ».

Cette ouverture à la « réalisation des engagements » signifie, dans les faits, que tous les chantiers en cours sont demeurés actifs. Les vérifications de La Presse Canadienne auprès des trois grandes associations de la construction du Québec indiquent qu’on a maintenu le rythme.

« Tout ce qui est en cours est considéré comme étant essentiel », résume Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec (ACQ), qui représente les entrepreneurs des domaines institutionnel, commercial et industriel.

Livrer l’habitation à temps

Le respect des engagements est essentiel dans le domaine de l’habitation, fait valoir de son côté François Bernier, vice-président de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ).

« On a tous ces chantiers à livrer au cours des prochains mois », raconte-t-il en faisant état de 20 000 chantiers à livrer au premier semestre de 2021. 

Évidemment, s’il y avait retard, c’est toute la problématique de laisser du monde dans la rue. L’idée de respecter les engagements, c’est aussi de respecter ces gens qui sont là et qui attendent leurs unités à très court terme et on n’a pas beaucoup de marge de manœuvre si on ne respecte pas nos échéanciers.

François Bernier, vice-président de l’APCHQ

Pénalités et « clauses COVID »

Guillaume Houle rappelle également que les ententes contractuelles prévoient des pénalités pour les retards de livraison. « Plusieurs contrats mis en suspens au printemps [lors de la première vague de COVID-19] font actuellement les frais de débats en Cour », note-t-il.

Il ajoute que plusieurs nouveaux contrats contiennent désormais des « clauses COVID » qui font en sorte que « le donneur d’ouvrage, qu’il soit public ou privé, se déleste de la responsabilité et des retards de livraison dus à la COVID et aux mesures sanitaires supplémentaires à mettre en place. Tout le fardeau repose sur les entrepreneurs. »

La troisième association, celle des constructeurs de routes et grands travaux (ACRGTQ), n’est que marginalement concernée : « Le niveau d’activité des gens qu’on représente était déjà à son plus bas. À ce temps-ci de l’année, COVID pas COVID, on est au minimum », explique son porte-parole, Christian Croteau, qui signale tout de même certaines exceptions, comme le chantier du REM qui poursuit ses activités.

Jugement et difficultés d’approvisionnement

La décision de prendre de nouveaux engagements d’ici au 8 février, lorsque le couvre-feu sera levé, repose sur deux variables inhabituelles, le jugement et l’approvisionnement.

Ce que le premier ministre et ce que le décret nous disent, c’est d’user de notre gros bon sens pour déterminer la nature essentielle des travaux.

Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec

François Bernier souligne qu’il n’y a pas vraiment de problème à prendre un engagement, par exemple, pour la construction d’une maison en septembre. La restriction face aux nouveaux engagements vise le futur immédiat : « À ce moment-ci, pour diminuer l’intensité sur les chantiers, diminuer le nombre de chantiers, faut-il donner suite à une demande aujourd’hui ? Ta nouvelle salle de bains, peut-on la réaliser un peu plus tard ? »

De toute façon, ajoute-t-il, il est plus difficile qu’à l’habitude de prendre de nouveaux engagements : « Certains n’ont pas le choix que de refuser de nouvelles demandes parce que l’année s’ouvre sur une sérieuse difficulté d’approvisionnement en toutes sortes de matières : le bois, les fenêtres. La chaîne de production, bien qu’elle ait repris ses activités dans l’année, elle a des problèmes. Essayez aujourd’hui d’aller voir quelqu’un dans l’industrie des fenêtres pour vous faire un contrat. Il va vous dire oui, mais d’attendre quelques mois. »

Baisse forcée des éclosions

La décision du gouvernement de maintenir l’activité du secteur sans entrave s’explique entre autres par les données de l’Institut national de la santé publique (INSPQ) sur les éclosions et le nombre de cas actifs sur les chantiers en date du 2 janvier, la plus récente semaine où les données sont disponibles. Ainsi, on y rapporte 33 éclosions sur des chantiers, soit 4,5 % du total des éclosions dans l’ensemble des milieux de travail (excluant les milieux hospitaliers, les CHSLD, les écoles et services de garde). Le nombre de cas confirmés, lui, se situait à 134 personnes, soit 3,7 % du total.

Il s’agit d’une importante baisse par rapport aux semaines précédentes, où l’on avait dénombré jusqu’à 60 éclosions et près de 200 travailleurs infectés. Au 19 décembre, le secteur de la construction représentait alors 8,6 % des éclosions et 5,8 % des travailleurs infectés. Cette diminution s’explique par le fait que le gouvernement avait mis les chantiers en pause durant deux semaines pendant les Fêtes.

Les entrepreneurs sont cependant fort conscients qu’une augmentation marquée de cas et d’éclosions avec la reprise pourrait amener le gouvernement à changer d’idée et tous les porte-parole rejoints ont insisté sur le resserrement des mesures sanitaires : « Il n’y a personne qui puisse se vanter d’être parfait dans la gestion de la pandémie et le secteur de la construction ne fait pas exception. Par contre, on s’est pris en main, on a un guide avec des mesures sanitaires très strictes à respecter sur les chantiers et nous avons rappelé à nos membres la semaine dernière qu’il faut appliquer de la manière la plus stricte possible ces mesures sanitaires », plaide Guillaume Houle.

C'est ce que l'on disait. La façon dont le gouvernement Legault a présenté les choses pour le secteur de la construction et le secteur manufacturier pour la période du confinement en leur disant de se limiter aux activités essentielles, revenait à leur dire : business as usual. Et c'est ce que les entreprises de ces deux SECTEURS NÉVRALGIQUES ont COMPRIS ET FAIT ! Il n'y a pas eu de véritables ralentissement des activités dans ces deux secteurs ce dernier mois, sauf s'il y avait dans certains cas des problèmes d'approvisionnement, et c'est tant mieux !

Je trouve brillante et futée l'approche qu'a adoptée Legault dans ce dossier !

 

 

 

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"Selon la Chambre de commerce internationale, du fait d'une baisse des exportations ou de ruptures dans les chaînes de production, jusqu'à 7.500 milliards d'euros pourraient être perdus par les pays occidentaux si un programme de vaccination massif et mondial n'était pas mis en place rapidement." Slate.fr

https://korii.slate.fr/biz/vaccin-johnson-johnson-sortira-t-il-monde-crise-covid-19-dose-unique-efficacite-penurie

C'est aux gouvernements de prendre les choses en main, de mettre la pression sur les pharmas, de leur "tordre le bras" au besoin. Il n'y a pas de temps à perdre ! D'autant plus que les pharmas ont reçu des milliards en argent public pour accélérer la recherche !

 

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Pour notre ami acpnc, ancien agent de bord.

Les compagnies aériennes ne bénéficient d'aucune aide du fédéral.

Les agents de bord ne bénéficient d'aucune aide directe. Zéro ! Et maintenant, ces gens-là se retrouvent avec pratiquement rien !

https://www.journaldemontreal.com/2021/01/30/temps-durs-pour-les-agents-de-bord-1

Que proposes-tu à part clouer les avions au sol ?

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«En dépit des restrictions sanitaires plus sévères, le mois de janvier continue dans la foulée de 2020. Les copropriétés et les plex connaissent une activité record, y compris sur l’île de Montréal, avec un nombre de ventes jamais enregistré depuis le début des années 2000»

De fortes progressions ont été observées sur l’île de Montréal (+17 %), mais aussi dans les régions périphériques, telles que Vaudreuil-Soulanges (+33 %), la couronne nord (+29 %), puis la Rive-Sud (+17 %).

Les prix médians ont également connu une augmentation dans le Grand Montréal, avec une hausse de 23 % pour les unifamiliales, de 17 % pour les copropriétés et enfin de 14 % pour les plex.

https://www.journaldemontreal.com/2021/02/02/un-debut-dannee-prometteur-pour-les-ventes-immobilieres-a-montreal-et-quebec

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Il y a 4 heures, biggybee a dit :

«En dépit des restrictions sanitaires plus sévères, le mois de janvier continue dans la foulée de 2020. Les copropriétés et les plex connaissent une activité record, y compris sur l’île de Montréal, avec un nombre de ventes jamais enregistré depuis le début des années 2000»

De fortes progressions ont été observées sur l’île de Montréal (+17 %), mais aussi dans les régions périphériques, telles que Vaudreuil-Soulanges (+33 %), la couronne nord (+29 %), puis la Rive-Sud (+17 %).

Les prix médians ont également connu une augmentation dans le Grand Montréal, avec une hausse de 23 % pour les unifamiliales, de 17 % pour les copropriétés et enfin de 14 % pour les plex.

https://www.journaldemontreal.com/2021/02/02/un-debut-dannee-prometteur-pour-les-ventes-immobilieres-a-montreal-et-quebec

Mon petit doigt me dit que la reprise économique à partir du troisième trimestre de 2021 dont parlait le PM Legault il y a une semaine ou deux n'était pas que des voeux pieux. Quand la machine va repartir, attendez-vous à ce que ça reparte vite !

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