Aller au contenu

COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

Messages recommendés

Il y a 8 heures, santana99 a dit :

Le plus important dans ce dossier des vaccins, tous ces vaccins préviennent fortement les formes sévères de la maladie et les hospitalisations !

Pour l'économie mondiale, de Montréal, du Québec et du Canada, c'est ce qui va nous permettre un retour à la normale dans un délai raisonnable.

Réjouissons-nous ! Le printemps sera bientôt-là, et ce cauchemar sera bientôt terminé 

OK.  Procédons selon ce scénario.  L'économie ne serait plus entravée par le COVID et les restrictions en tous genres qu'il impose.  Ce serait un "retour à la normale".  On peut se permettre d'imaginer vaguement que cette normale serait quelque peu différente de celle qui prévalait avant 2020, mais on voudrait en savoir davantage: dans quelle mesure  certains des changements qui s'étaient produits durant la pandémie seraient-ils transitoires/réversibles, et d'autres plus permanents/ "durables"?

A) Ce qui a changé.

- L'endettement des gouvernements se sera considérablement alourdi.

- Certains secteurs d'activités ont été gravement touchés; de nombreuses entreprises participantes se sont affaiblies et endettées.  A l'opposé, quelques secteurs en ont profité, et ont investi pour accroître leurs capacités dans ce contexte de crise.

- Les personnes/ménages s'en seront tirés d'une façon très variable; plusieurs ont maintenu leurs revenus et ont amélioré leurs situations financières (du fait que leur consommation, surtout de services discrétionnaires, a été réduite); d'autres par contre ont souffert durement, notamment les travailleurs autonomes et probablement plus encore les personnes fraîchement diplômées qui n'ont pas trouvé d'emplois).

- Le marché immobilier résidentiel a globalement connu une période faste, surtout pour les résidences situées en périphérie, tandis que le taux d'inoccupation des logements locatifs au centre a sensiblement augmenté.  La construction résidentielle a accéléré son mouvement, accompagné de hausses de prix parfois spectaculaires.

- Les activités dans les centre-villes ont été fortement réduites, et avec elles les déplacements (surtout en TEC) vers ces destinations.   En dépit de cela, la construction (surtout résidentielle) au centre a poursuivi son élan.  

B) Les retournements prévisibles post-COVID.

-  Un retour significatif (pas nécessairement 100%) des activités exercées au centre-ville (emplois, commerces et services) accompagné d'une reprise proportionnelle des déplacements par TEC.

- L'attrait renouvellé des lieux de résidence au centre.

- Un bond dans la consommation, surtout des services, qui avait été refoulée durant la pandémie.

C) Ce qui demeure incertain (pour un temps, pas pour cent ans)

- La politique fiscale des gouvernements: les dettes accumulées forceront-elles les gouvernements à adopter des budgets restrictifs (l'opposé des budgets déficitaires visant à stimuler l'économie)?

- Les personnes/ménages qui avaient choisi de s'établir en périphérie (ou même plus loin) voudront-ils/pourront-ils "revenir en ville" sans encourir de pertes?   Et parmi ceux qui devront ou choisiront de rester loin du centre,  que feront-ils si leurs emplois doivent dorénavant être exercés au centre-ville?  -- De longs trajets en automobile, ou bien trouver de nouveaux emplois en périphérie? (douteux pour la majorité, selon moi)

- Des étudiants qui en sont à reconsidérer leurs orientations privilégieront-ils l'horizon à court terme, ou un horizon plus lointain dont les signes ne sont pas encore apparents?

- Les entreprises qui avaient investi pour s'adapter au mode de consommation qui dominait durant la pandémie feront-elles marche arrière?

- Les entreprises dont la situation financière s'est gravement affaiblie durant la pandémie seront-elles capables de retrouver leur niveau antérieur  --même quand la demande aura repris? 

- L'expérience forcée du télétravail aura-elle laissé des traces (enseignements) durables? -- Pour les entreprises; et pour les particuliers?

- Généralement, les prix de certains biens (dont l'immobilier résidentiel) qui avaient fortement augmenté durant la pandémie retourneront-ils à leurs niveaux antérieurs, ou bien resteront-ils à ce niveau élevé?  -- Des conséquences à examiner, dans l'un et l'autre cas.

- Le pétrole, dont le prix avait très fortement baissé au début de la pandémie, s'est mis à remonter et a déjà presque rejoint son niveau pré-pandémie; le bas prix avait fourni une bouée d'air frais à l'économie québécoise en 2020.  Un prix plus élevé agirait comme frein, mais en même temps, il améliorerait les perspectives de rentabilité des projets d'énergie renouvelable.

- Les projets de nouvelles infrastructures de TEC "lourd" seront-ils réexaminés en fonction des modes de déplacements dont le réajustement post-COVID prendra peut-être un certain temps avant de se préciser? (A l'heure actuelle, on ne voit aucun signe tangible de réexamen, mais on peut observer que des décisions fermes tardent à venir).

- L'immigration internationale retournera-t-elle à son niveau antérieur (ou plus encore)?  -- On connait les intentions du gouvernement fédéral à ce sujet, mais on ne sait pas vraiment quel sera l'état du marché de l'emploi à court terme.

Et... tous les autres éléments imaginables!

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, Né entre les rapides a dit :

OK.  Procédons selon ce scénario.  L'économie ne serait plus entravée par le COVID et les restrictions en tous genres qu'il impose.  Ce serait un "retour à la normale".  On peut se permettre d'imaginer vaguement que cette normale serait quelque peu différente de celle qui prévalait avant 2020, mais on voudrait en savoir davantage: dans quelle mesure  certains des changements qui s'étaient produits durant la pandémie seraient-ils transitoires/réversibles, et d'autres plus permanents/ "durables"?

A) Ce qui a changé.

- L'endettement des gouvernements se sera considérablement alourdi.

- Certains secteurs d'activités ont été gravement touchés; de nombreuses entreprises participantes se sont affaiblies et endettées.  A l'opposé, quelques secteurs en ont profité, et ont investi pour accroître leurs capacités dans ce contexte de crise.

- Les personnes/ménages s'en seront tirés d'une façon très variable; plusieurs ont maintenu leurs revenus et ont amélioré leurs situations financières (du fait que leur consommation, surtout de services discrétionnaires, a été réduite); d'autres par contre ont souffert durement, notamment les travailleurs autonomes et probablement plus encore les personnes fraîchement diplômées qui n'ont pas trouvé d'emplois).

- Le marché immobilier résidentiel a globalement connu une période faste, surtout pour les résidences situées en périphérie, tandis que le taux d'inoccupation des logements locatifs au centre a sensiblement augmenté.  La construction résidentielle a accéléré son mouvement, accompagné de hausses de prix parfois spectaculaires.

- Les activités dans les centre-villes ont été fortement réduites, et avec elles les déplacements (surtout en TEC) vers ces destinations.   En dépit de cela, la construction (surtout résidentielle) au centre a poursuivi son élan.  

B) Les retournements prévisibles post-COVID.

-  Un retour significatif (pas nécessairement 100%) des activités exercées au centre-ville (emplois, commerces et services) accompagné d'une reprise proportionnelle des déplacements par TEC.

- L'attrait renouvellé des lieux de résidence au centre.

- Un bond dans la consommation, surtout des services, qui avait été refoulée durant la pandémie.

C) Ce qui demeure incertain (pour un temps, pas pour cent ans)

- La politique fiscale des gouvernements: les dettes accumulées forceront-elles les gouvernements à adopter des budgets restrictifs (l'opposé des budgets déficitaires visant à stimuler l'économie)?

- Les personnes/ménages qui avaient choisi de s'établir en périphérie (ou même plus loin) voudront-ils/pourront-ils "revenir en ville" sans encourir de pertes?   Et parmi ceux qui devront ou choisiront de rester loin du centre,  que feront-ils si leurs emplois doivent dorénavant être exercés au centre-ville?  -- De longs trajets en automobile, ou bien trouver de nouveaux emplois en périphérie? (douteux pour la majorité, selon moi)

- Des étudiants qui en sont à reconsidérer leurs orientations privilégieront-ils l'horizon à court terme, ou un horizon plus lointain dont les signes ne sont pas encore apparents?

- Les entreprises qui avaient investi pour s'adapter au mode de consommation qui dominait durant la pandémie feront-elles marche arrière?

- Les entreprises dont la situation financière s'est gravement affaiblie durant la pandémie seront-elles capables de retrouver leur niveau antérieur  --même quand la demande aura repris? 

- L'expérience forcée du télétravail aura-elle laissé des traces (enseignements) durables? -- Pour les entreprises; et pour les particuliers?

- Généralement, les prix de certains biens (dont l'immobilier résidentiel) qui avaient fortement augmenté durant la pandémie retourneront-ils à leurs niveaux antérieurs, ou bien resteront-ils à ce niveau élevé?  -- Des conséquences à examiner, dans l'un et l'autre cas.

- Le pétrole, dont le prix avait très fortement baissé au début de la pandémie, s'est mis à remonter et a déjà presque rejoint son niveau pré-pandémie; le bas prix avait fourni une bouée d'air frais à l'économie québécoise en 2020.  Un prix plus élevé agirait comme frein, mais en même temps, il améliorerait les perspectives de rentabilité des projets d'énergie renouvelable.

- Les projets de nouvelles infrastructures de TEC "lourd" seront-ils réexaminés en fonction des modes de déplacements dont le réajustement post-COVID prendra peut-être un certain temps avant de se préciser? (A l'heure actuelle, on ne voit aucun signe tangible de réexamen, mais on peut observer que des décisions fermes tardent à venir).

- L'immigration internationale retournera-t-elle à son niveau antérieur (ou plus encore)?  -- On connait les intentions du gouvernement fédéral à ce sujet, mais on ne sait pas vraiment quel sera l'état du marché de l'emploi à court terme.

Et... tous les autres éléments imaginables!

Excellente analyse. Pour l'instant, je ne citerai que deux exemples concrets pour illustrer ton propos et les difficultés pour certains d'un retour à la normale.

1- L'annonce par François Legault du déplacement de 5000 fonctionnaires de Québec en régions "grâce" au télétravail. Je l'ai déjà écrit, j'aime François Legault, mais je le trouve parfois léger et/ou inconscient dans ses déclarations. Ok, 5000 fonctionnaires. Si on compte les familles, on est peut-être à 10 000, 12 000 personnes. C'est une perte nette pour la région de Québec et son économie ! Qui va les remplacer et en combien de temps ?

2- La situation des centres d'achat et de certains magasins qui seront appelés à changer de vocation après la pandémie. Legault nous vante les technologies de l'information, souligne le manque criant de main d'oeuvre dans ce secteur, et affirme que les travailleurs de la vente qui perdront ou auront déjà perdu leurs emplois en raison de la pandémie pourront se reconvertir dans les TI. Minute papillon ! Il faut d'abord que tous ces gens-là le veuillent et ensuite qu'ils en aient les capacités. Un certain nombre de ces travailleurs ne se dirigeront pas vers le TI pour les raisons que je viens d'évoquer.

Cette crise fera évidemment des gagnants et des perdants.  Ce qui me dégoûte le plus pendant cette pandémie c'est de voir des Bill Gates et des Jeff Bezos s'enrichir de façon exponentielle. Je n'ai rien contre le fait que les individus s'enrichissent, mais le niveau d'enrichissement de certains individus et de certaines entreprises pendant cette crise alors que d'autres sont en train de crever est tout simplement indécent. Je pense aussi à une banque comme Morgan Stanley qui n'est pas un modèle sur le plan éthique. Le capitalisme a ses côtés sombres, et je ne suis pas son plus ardent défenseur, disons-le. Oui, le système fonctionne sur le plan économique, c'est le seul semble-t-il, l'autre a fini au musée, mais à quel prix !

Il y aura un retour à la normale après la pandémie, si j'ose dire, l'économie va s'en remettre, mais cette pandémie aura causé de sales dégâts sur le plan sanitaire, économique, et dans la vie de millions d'individus. Ça, il ne faut jamais l'oublier. Ça laissera des traces !

 

 

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En avril, quand il y aura moins de 2000 cas à Montréal, et moins de 5000 cas au Québec, il ne faudra pas nous dire qu'il faut laisser encore les restaurants fermés dans le Grand Montréal à cause d'un nouveau variant en provenance du Lesotho. Les restaurateurs ont "donné", les tenanciers de bars ont "donné", les effets sur certains pans de l'économie sont dévastateurs. Ce qu'on vous demande, c'est de vous bouger le c..., de vacciner au plus sacrant et de ROUVRIR AU PRINTEMPS.

C'est du donnant-donnant, la population a fait suffisamment de sacrifices. Accélérez la campagne de vaccination. Accélérez ! Et ROUVREZ !

Comme l'OMS l'a déja déclaré, le confinement n'est pas la solution, c'est une mesure de dernier recours pour une pandémie dont le taux de mortalité est de 0,05 % ramené a la mortalité générale annuelle.

 

 

  • Like 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, Rocco a dit :

Ce fil commence à ressembler à l'autre qui a été fermé. On n'est pas pantoute dans l'effet sur l'économie et l'immobilier....

On est exactement dans l'effet du covid sur l'économie et l'immobilier. Des restaurants et des bars fermés ce sont des locaux commerciaux vides et possiblement inutilisés. Ne commence pas ! On est exactement dans le sujet ! Right on the target !

Même chose pour les centres commerciaux appelés dans certains cas dans la région de Montréal a changer possiblement de vocation en raison de la pandémie. On est en plein ici dans l'immobilier !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On pourrait dire que l'économie de Montréal se déplacera en banlieue pour quelques temps. Les étudiants sont revenir pour l'automne 2021 mais la migration négative va continuer. On pourrait dire que les étudiants auront le centre-ville à eux seuls.

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonsoir Anonyme,

 Si vous avez un problème avec l'intervention d'un membre, vous devez procéder de la façon suivante pour signaler et expliquer pourquoi cette intervention contrevient aux règles de MTLURB afin que tous les modérateurs puissent en juger:

Screenshot 2021-03-01 225209.png..

 

Toutes les interventions sur ce fil doivent désormais avoir un effet très directe et très étroit sur ce sujet: 

COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal.

https://mtlurb.com/guidelines/

PréambulesMTLURB est un forum de discussion sur le développement immobilier du Grand Montréal.

Respect: les membres doivent user de décorum et utiliser le respect dans tous leurs échanges et discussions.  Les messages qui seraient sciemment faux et/ou diffamatoires, imprécis, abusifs, vulgaires, haineux, harcelants, obscènes, profanes, sexuellement orientés, menaçants, envahissants pour la vie privée d’une personne ou contraires à la loi sont interdits sur MTLURB.

Pondération et mesure dans les échanges: les membres doivent user de jugement pour différencier une opinion d'une attaque ou d'un jugement d'un autre membre. Nous demandons à nos membres d'user de pondération et de retenue lorsque les débats deviennent trop émotifs. En cas de doute, prenez une pause-café.

Attaques personnelles: les attaques personnelles ne seront pas tolérées sous aucune forme.

Bien à vous,

Nadie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand on traite des questions économiques en général, les perspectives d'avenir occupent l'avant-plan.  Le passé jusqu'au moment présent sert essentiellement à établir le contexte de l'analyse.  Les valorisations boursières en constituent un bel exemple: ce qui compte, ce sont les perspectives de rentabilité.  

Dès lors, une discussion de l'effet de la COVID-19 sur l'économie doit obligatoirement inclure une appréciation (une prévision) de l'évolution de la pandémie au cours des prochains mois/(années?) -- ce qui implique une référence à la vaccination et aux autres mesures prises pour l'enrayer-- en d'autres mots des éléments relevant de la santé.  C'est incontournable.  

Quelques membres sur ce forum sont plus à même d'apporter des informations pertinentes sur les progrès dans le combat contre la COVID.  Ces informations sont précieuses pour ceux qui se consacrent à l'analyse des effets sur l'économie.   

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Né entre les rapides a dit :

Quand on traite des questions économiques en général, les perspectives d'avenir occupent l'avant-plan.  Le passé jusqu'au moment présent sert essentiellement à établir le contexte de l'analyse.  Les valorisations boursières en constituent un bel exemple: ce qui compte, ce sont les perspectives de rentabilité.  

Dès lors, une discussion de l'effet de la COVID-19 sur l'économie doit obligatoirement inclure une appréciation (une prévision) de l'évolution de la pandémie au cours des prochains mois/(années?) -- ce qui implique une référence à la vaccination et aux autres mesures prises pour l'enrayer-- en d'autres mots des éléments relevant de la santé.  C'est incontournable.  

Quelques membres sur ce forum sont plus à même d'apporter des informations pertinentes sur les progrès dans le combat contre la COVID.  Ces informations sont précieuses pour ceux qui se consacrent à l'analyse des effets sur l'économie.   

Merci pour ton intervention.

Il faut contextualiser. Tu me passeras le jeu de mots, mais on ne peut pas faire l'économie sur ce fil de nouvelles sur la pandémie et les vaccins, par exemple.

L'économie ne pourra récupérer sans la campagne de vaccination ! Le succès de cette campagne, c'est la garantie que l'économie de la région de Montréal et que l'immobilier au centre-ville en termes d'occupation notamment, retrouveront un niveau normal, à plus ou moins brève échéance.

Deux éléments à ce propos. Les grandes entreprises d'abord, dont celles de la grande région de Montréal, qui sont prêtes à mettre l'épaule à la roue pour non seulement permettre à leurs employés de se faire vacciner massivement mais aussi à la population qui habite à proximité de l'être. François Legault l'a annoncé il y a quelques jours. Ne pas oublier que bon nombre de ces entreprises disposent déjà in situ de personnels médicaux et de médecins d'entreprise qui peuvent administrer les vaccins. Sur le plan économique c'est un moyen puissant de retrouver plus rapidement une certaine normalité.

Et aujourd'hui, on apprend de façon plus claire que les pharmacies seront aussi mises à contribution pour vacciner. Les pharmaciens peuvent aussi vacciner. Ils sont prêts à le faire et ils vont le faire ! En France, ils le feront très bientôt. Daniel Paré, le responsable de la vaccination au Québec, l'avait déjà dit, mais les contours de cette initiative se précise de plus en plus, ainsi que le calendrier. Dès le 15 mars, les vaccins seront en pharmacie dans une cinquantaine de pharmacies de Montréal. RECTIFICATIF : 350 pharmacies dans la région de Montréal à la mi-mars. C'est une course contre la montre contre la montée du variant anglais. La courbe de la première souche descend, celle de la deuxième souche monte rapidement. Il faut vacciner au plus sacrant. Pas de temps à perdre ! Dubé : dans la region de Montreal on craint que ce soit le calme avant la tempete. Le vaccin, c est notre arme de diminution massive !

https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-03-02/la-vaccination-en-pharmacie-des-le-15-mars.php

"La Fédération des pharmaciens du Québec estime que ses établissements auraient la capacité d’injecter 100 000 à 125 000 doses de vaccin par semaine dans la province."  C'EST ÉNORME COMME CONTRIBUTION ! D'ici juin, si les pharmaciens ont suffisamment de vaccins, ils pourraient administrer jusqu'à 2 millions de doses, de quoi épauler sérieusement les centres de vaccination mis en place par le ministère de la Santé !

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1774350/coronavirus-covid-19-quebec-pharmaciens

Un peu partout au Canada et dans le monde, les pharmaciens sont aujourd'hui appelés à la rescousse pour vacciner.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1773879/pharmacies-pretes-vaccins-quebec-covid19

Des excellentes nouvelles qui nous rapprochent d'un retour à "une vie normale".

 

 

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On 2021-02-25 at 9:45 AM, biggybee said:

Analyse du prix médian au pi2 des copropriétés dans l’agglomération de Montréal: 2021-02_JLR-Rapport-Coproprietes-pi2-Mon

A6AC0080-2063-40D9-8636-8EC7C028182C.jpeg

Interesting to see Pierrefonds is second cheapest place per sq.ft on the island.

Any reason why Kirkland, Beaconsfield and other cities in the West Island are not on the list?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...