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Métro de Montréal - Discussion générale


Chuck-A

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Station de métro Atwater fermée ce soir, on sait maintenant pourquoi. Les astic de caves qui règlent leurs comptes avec des armes à feu à tout bout de champ à Montréal. Ça va faire le bordel. On entend jamais rien de Valérie, de la police ou bedon des groupes d'intervention. Totalement clueless, totalement dépassés, sans aucune solution. Pis pendant ce temps là, ça continue. On est même pu safe dans le métro.

https://lp.ca/algfMP?sharing=true

Screenshot_20221205_003938.jpg

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Oeuvres d'art du métro Montmorency

Les fluides (2007) Hélène Rochette

Aluminium. Emplacement : escaliers

À l’intérieur de la station Montmorency, les fluides entraînent les voyageurs dans leur sillon. Circulant dans les espaces aériens de la station, ces quatre sculptures ponctuent en couleur le trajet d’entrée et de sortie du métro.

art_montmorency_rochette.jpg

 

 

art_montmorency_rochette_b.jpg

art_montmorency_rochette_c.jpg

 

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source -STM

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  • 1 mois plus tard...
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Happy Birthday to a Montreal icon: The metro logo turns 60 today

by Lorraine CarpenterJanuary 16, 2023
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“This visual of great simplicity — an arrow symbolizing movement, in a circle symbolizing the tunnel — is now part of Montreal’s heritage.”

As tweeted by the STM in a celebratory message this morning, the logo for the Montreal metro was unveiled 60 years ago today, making this the anniversary of an iconic local image.

Montreal Mayor Valérie Plante commented on the occasion, commending the simplicity of the graphic that has become part of the city’s heritage.

“Already 60 years of the metro logo! This visual of great simplicity — an arrow symbolizing movement, in a circle symbolizing the tunnel — is now part of Montreal’s heritage.”

—Valérie Plante

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https://cultmtl.com/2023/01/happy-birthday-to-a-montreal-icon-the-metro-logo-turns-60-today-stm-valerie-plante/
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Québec, Montréal Governments to Invest C$565MM in STM Train Control

January 24, 2023
Written by Marybeth Luczak, Executive Editor “The new train control system brings our metro network into the modern age,” Montréal Mayor Valérie Plante said during the governments of Québec and Montréal’s announcement for system funding on Jan. 23. (Photo: Julien Perron-Gagné)

“The new train control system brings our metro network into the modern age,” Montréal Mayor Valérie Plante said during the governments of Québec and Montréal’s announcement for system funding on Jan. 23. (Photo: Julien Perron-Gagné)

The governments of Québec and Montréal on Jan. 23 committed to investing more than C$565 million in a new train control system for Société de transport de Montréal’s (STM) metro.

The project, beginning with implementation on the Blue Line, will be financed primarily by Québec (C$296.6 million), according to the announcement by Deputy Premier and Minister of Transport and Sustainable Mobility Geneviève Guilbault and Montréal Mayor Valérie Plante. STM will contribute C$65.6 million, and a request for funding will be submitted to the federal government, they reported.

STM has issued a call for tenders for the new system, which it said would be based “on a more efficient CBTC (communications-based train control) type technology, used by the vast majority of metro network operators around the world.”

The new train control system is slated for completion in 2028 for the existing Blue Line and in 2029 for Blue Line extension project now under way. It will be added to the Green, Orange and Yellow lines at a later date.

The Blue Line extension will run approximately 3.7 miles (6 kilometers) east from the Saint-Michel station to the borough of Anjou and include five new stations. It is expected to open by 2029. In December, STM launched the call for tenders for tunnel construction and site preparation for some of the future stations and auxiliary structures.

“The new train control system brings our metro network into the modern age,” Valérie Plante said. “This essential element of the extension of the Blue Line will also allow us to develop an ever-more efficient network at the cutting edge of technology. This investment demonstrates the government of Québec’s commitment to the development of Montréal’s public transit network.”

“This project will ensure the technological viability of the metro network for decades to come, in addition to allowing more flexibility in the positioning of trains,” said STM Director General Marie-Claude Léonard, who was promoted to lead the agency in summer 2022. “The Blue Line will thus be equipped with state-of-the-art technologies, for the benefit of customers and the teams that operate it.”

In related developments, STM in April 2022 exercised a contract option with Thales for eight additional computer-based interlocking systems, bringing the total to 16. Additionally, Alstom in early 2022 completed delivery on a major rapid transit railcar order for STM, which, like RATP in Paris and Sistema de Transporte Colectivo (STC) in Mexico City, uses rubber-tired vehicles. The 639 MPM-10 cars, configured in 71 carsets of nine and named “AZUR” (“Sky Blue”) by the public in 2012, were ordered from Bombardier and completed by Alstom.

 

https://www.railwayage.com/cs/quebec-montreal-governments-to-invest-c565mm-in-stm-train-control/

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Why is everybody getting this wrong? The city is spending nothing and Quebec is putting in $360 million. Or am I missing something when some provincial junior minister suggests that they still have to ask the federal government to pony up?

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Le 2023-01-24 à 17:06, SameGuy a dit :

Why is everybody getting this wrong? The city is spending nothing and Quebec is putting in $360 million. Or am I missing something when some provincial junior minister suggests that they still have to ask the federal government to pony up?

Dans un autre article, on disait que ce projet pourrait être admissible au programme spécial fédéral qui se termine bientôt sur les projets structurants en transport en commun. 

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  • 2 semaines plus tard...
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Un chien-robot dans le métro de Montréal

 

 

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Terminus. Spot, le chien-robot de Boston Dynamics, a débarqué à la station Bonaventure cet été. Le quadrupède automatisé et autonome a été enrôlé par la Société de transport de Montréal (STM) pour repérer des anomalies dans les stations du métro. Et pour signaler lorsqu’il y rencontrait un os, pour ainsi dire.

Entre 1 h et 4 h durant une dizaine de nuits réparties entre mai et septembre, après la fermeture des stations, Spot a arpenté le quai Montmorency de la station de métro Bonaventure, au centre-ville de Montréal. Tous les dix mètres, il prenait des photos de la station. En arrière-plan, ces photos étaient regroupées pour produire un portrait à 360 degrés de la station. Un logiciel créé sur mesure repérait ensuite la présence d’indésirables : lumières brûlées au plafond, graffitis sur les murs, déchets au sol et autres éléments du décor qui ne devraient pas en faire partie.

Pour mettre le chien-robot réellement à l’épreuve, la STM a elle-même laissé traîner quelques déchets et esquissé quelques faux tags sur les murs de la station. L’objectif de la STM était de voir s’il serait possible d’automatiser une partie de la surveillance et de l’entretien de ses stations, pour que ses employés puissent se mettre plus rapidement à la tâche lorsqu’ils arrivent sur place le matin venu.

Presque parfait

Ce projet a vu le jour grâce à une aide financière provinciale appelée Soutien aux projets d’innovation. Ce programme a aidé la jeune pousse montréalaise Osedea, en quelque sorte le maître-chien de ce projet, à couvrir la moitié des frais de cette vitrine technologique. Osedea, qui a prêté « son » chien Spot à la STM, a reçu 48 000 $ de ce programme.

Surtout, Osedea a pu à travers cet exercice développer une plateforme logicielle qui lui permettra d’utiliser Spot avec d’autres partenaires, ailleurs en province. Son chien-robot est équipé d’une caméra et d’un bras articulé avec pince. Cette combinaison lui permet d’effectuer des tâches que des caméras de surveillance ne pourraient pas accomplir.

«En cas d’urgence, Spot pourrait couper un circuit électrique », explique Robin Kurtz, le développeur d’Osedea responsable du bon fonctionnement de Spot. « Spot peut aussi faire d’autres lectures que visuelles, comme détecter une présence importante de CO2, quelque chose d’utile pour les services d’incendie… »

Ce n’était cependant pas le rôle de Spot pendant ses rondes à la station Bonaventure, précise-t-on chez Osedea. En fait, certaines limites du robot, dont l’autonomie de sa batterie, ont affecté son utilité dans le projet de la STM. Le chien-robot ne pouvait pas ouvrir toutes les portes ni faire fonctionner les tourniquets, ce qui lui aurait permis de visiter la totalité de la station sans intervention humaine.

image.jpgPhoto: Osedea Pour mettre le chien-robot réellement à l'épreuve, la STM a elle-même laissé traîner quelques déchets et esquissé quelques faux tags sur les murs de la station.

Osedea estime que Spot a accompli l’équivalent de 83 % de ce qu’aurait fait un humain à sa place. Ce n’est pas si mal, mais ce n’est pas le gain de productivité qui rend les robots véritablement attrayants pour les entreprises, privées ou publiques. Surtout compte tenu du prix d’acquisition du robot, ajoute le président d’Osedea, Martin Coulombe.

«Si Spot coûtait quatre fois moins cher, ça ferait toute une différence », dit-il. Car forcément, le manque de travailleurs crée une demande pour des solutions automatisées et robotisées, mais toutes les organisations n’ont pas les moyens d’investir dans la technologie. Adopter son propre chien-robot Spot coûte, si on se fie à son fabricant Boston Dynamics, environ 75 000 $US (100 000 $CA).

Une menace pour des métiers risqués

Les dirigeants d’Osedea voient tout de même des cas où un tel robot peut, dès aujourd’hui, valoir son pesant d’or. En fait, on pourrait dire que les premiers emplois menacés par l’arrivée des robots sont les emplois les plus risqués, justement.

«Dans des situations où un humain ne peut pas accomplir des tâches pour des raisons de sécurité ou de difficulté d’accès, un robot peut être pratique, voire rentable », assure Martin Coulombe. « Par exemple, un robot comme Spot peut effectuer des relevés dans des zones d’une usine où les normes de sécurité du travail interdisent à un travailleur d’aller. »

Spot a aussi quelques avantages sur un simple système de caméras de surveillance. On compte déjà 2000 caméras réparties dans tout le métro de Montréal. Leur usage est toutefois encadré par des règles qui découragent l’intégration d’une vision par ordinateur capable d’identifier des gens ou des objets comme celle appelée AME et produite par Osedea dans le cadre de ce projet-pilote dans le métro.

Du côté de la STM, ce test a surtout permis de lancer la réflexion sur des applications futures où un robot comme Spot simplifierait la vie de ses quelque 11 000 employés. Sans citer de cas précis, le porte-parole Philippe Déry a indiqué au Devoir qu’une inspection plus poussée des quelque 71 kilomètres de voies sur lesquelles le métro repose pourrait être confiée à un robot-chien au flair bien aiguisé.

«Si Spot peut effectuer des tâches plus dangereuses, pendant qu’il les fait, l’humain peut faire autre chose », conclut Philippe Déry.

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il y a 53 minutes, mtlurb a dit :

Un chien-robot dans le métro de Montréal

 

 

 

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Terminus. Spot, le chien-robot de Boston Dynamics, a débarqué à la station Bonaventure cet été. Le quadrupède automatisé et autonome a été enrôlé par la Société de transport de Montréal (STM) pour repérer des anomalies dans les stations du métro. Et pour signaler lorsqu’il y rencontrait un os, pour ainsi dire.

Entre 1 h et 4 h durant une dizaine de nuits réparties entre mai et septembre, après la fermeture des stations, Spot a arpenté le quai Montmorency de la station de métro Bonaventure, au centre-ville de Montréal. Tous les dix mètres, il prenait des photos de la station. En arrière-plan, ces photos étaient regroupées pour produire un portrait à 360 degrés de la station. Un logiciel créé sur mesure repérait ensuite la présence d’indésirables : lumières brûlées au plafond, graffitis sur les murs, déchets au sol et autres éléments du décor qui ne devraient pas en faire partie.

Pour mettre le chien-robot réellement à l’épreuve, la STM a elle-même laissé traîner quelques déchets et esquissé quelques faux tags sur les murs de la station. L’objectif de la STM était de voir s’il serait possible d’automatiser une partie de la surveillance et de l’entretien de ses stations, pour que ses employés puissent se mettre plus rapidement à la tâche lorsqu’ils arrivent sur place le matin venu.

Presque parfait

Ce projet a vu le jour grâce à une aide financière provinciale appelée Soutien aux projets d’innovation. Ce programme a aidé la jeune pousse montréalaise Osedea, en quelque sorte le maître-chien de ce projet, à couvrir la moitié des frais de cette vitrine technologique. Osedea, qui a prêté « son » chien Spot à la STM, a reçu 48 000 $ de ce programme.

Surtout, Osedea a pu à travers cet exercice développer une plateforme logicielle qui lui permettra d’utiliser Spot avec d’autres partenaires, ailleurs en province. Son chien-robot est équipé d’une caméra et d’un bras articulé avec pince. Cette combinaison lui permet d’effectuer des tâches que des caméras de surveillance ne pourraient pas accomplir.

«En cas d’urgence, Spot pourrait couper un circuit électrique », explique Robin Kurtz, le développeur d’Osedea responsable du bon fonctionnement de Spot. « Spot peut aussi faire d’autres lectures que visuelles, comme détecter une présence importante de CO2, quelque chose d’utile pour les services d’incendie… »

Ce n’était cependant pas le rôle de Spot pendant ses rondes à la station Bonaventure, précise-t-on chez Osedea. En fait, certaines limites du robot, dont l’autonomie de sa batterie, ont affecté son utilité dans le projet de la STM. Le chien-robot ne pouvait pas ouvrir toutes les portes ni faire fonctionner les tourniquets, ce qui lui aurait permis de visiter la totalité de la station sans intervention humaine.

image.jpgPhoto: Osedea Pour mettre le chien-robot réellement à l'épreuve, la STM a elle-même laissé traîner quelques déchets et esquissé quelques faux tags sur les murs de la station.

Osedea estime que Spot a accompli l’équivalent de 83 % de ce qu’aurait fait un humain à sa place. Ce n’est pas si mal, mais ce n’est pas le gain de productivité qui rend les robots véritablement attrayants pour les entreprises, privées ou publiques. Surtout compte tenu du prix d’acquisition du robot, ajoute le président d’Osedea, Martin Coulombe.

«Si Spot coûtait quatre fois moins cher, ça ferait toute une différence », dit-il. Car forcément, le manque de travailleurs crée une demande pour des solutions automatisées et robotisées, mais toutes les organisations n’ont pas les moyens d’investir dans la technologie. Adopter son propre chien-robot Spot coûte, si on se fie à son fabricant Boston Dynamics, environ 75 000 $US (100 000 $CA).

Une menace pour des métiers risqués

Les dirigeants d’Osedea voient tout de même des cas où un tel robot peut, dès aujourd’hui, valoir son pesant d’or. En fait, on pourrait dire que les premiers emplois menacés par l’arrivée des robots sont les emplois les plus risqués, justement.

«Dans des situations où un humain ne peut pas accomplir des tâches pour des raisons de sécurité ou de difficulté d’accès, un robot peut être pratique, voire rentable », assure Martin Coulombe. « Par exemple, un robot comme Spot peut effectuer des relevés dans des zones d’une usine où les normes de sécurité du travail interdisent à un travailleur d’aller. »

Spot a aussi quelques avantages sur un simple système de caméras de surveillance. On compte déjà 2000 caméras réparties dans tout le métro de Montréal. Leur usage est toutefois encadré par des règles qui découragent l’intégration d’une vision par ordinateur capable d’identifier des gens ou des objets comme celle appelée AME et produite par Osedea dans le cadre de ce projet-pilote dans le métro.

Du côté de la STM, ce test a surtout permis de lancer la réflexion sur des applications futures où un robot comme Spot simplifierait la vie de ses quelque 11 000 employés. Sans citer de cas précis, le porte-parole Philippe Déry a indiqué au Devoir qu’une inspection plus poussée des quelque 71 kilomètres de voies sur lesquelles le métro repose pourrait être confiée à un robot-chien au flair bien aiguisé.

«Si Spot peut effectuer des tâches plus dangereuses, pendant qu’il les fait, l’humain peut faire autre chose », conclut Philippe Déry.

Est-ce qu'ils ne pourraient le dresser pour faire le ménage à Berri-de Montigny?😈

Modifié par Brick
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il y a une heure, Brick a dit :

Est-ce qu'ils ne pourraient le dresser pour faire le ménage à Berri-de Montigny?😈

Que cette station en aurait donc besoin! Et même propre, elle est laide à faire mal aux yeux. Il est difficile de comprendre que la station la plus achalandée du réseau soit l'une des plus laides.  Les rénovations qui ont duré 10 ans n'ont rien amélioré. Il me semble que la STM aurait dû y penser avant de rénover. 

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il y a 1 minute, Weka 29 a dit :

Que cette station en aurait donc besoin! Et même propre, elle est laide à faire mal aux yeux. Il est difficile de comprendre que la station la plus achalandée du réseau soit l'une des plus laides.  Les rénovations qui ont duré 10 ans n'ont rien amélioré. Il me semble que la STM aurait dû y penser avant de rénover. 

Je suis d'accord. Maintenant, c'est devenu un problème majeur de sécurité. Ça fait peur. Les policiers devraient la patrouiller constamment.

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