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L’activité économique du Québec s’accélère !


Ousb

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  • Administrateur

Tout ce que tu dis est vrai et je crois que la variable qui manque pour expliquer la conjoncture actuelle est la relative stabilité politique du Québec comparativement aux années post 70.

Ce que les investisseurs haïssent par dessus tout c'est bien l'inconnu.

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Il y a 7 heures, mtlurb a dit :

Tout ce que tu dis est vrai et je crois que la variable qui manque pour expliquer la conjoncture actuelle est la relative stabilité politique du Québec comparativement aux années post 70.

Ce que les investisseurs haïssent par dessus tout c'est bien l'inconnu.

En mettant l independence de coté ca Donne un serieux un coup de pouce. 

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Il y a 12 heures, andre md a dit :

En mettant l independence de coté ca Donne un serieux un coup de pouce.

Le pire c'est que la période de troubles politiques est survenue au moment où l'économie du Québec était en transition entre l'économie traditionnelle et l'économie du savoir. De plus les troubles se sont étalés sur une période d'environ 40 ans, soit de 1963 (nationalisation de l'électricité) à 2003 (reprise du pouvoir par les Libéraux). C'est quasiment un miracle que l'économie se porte aussi bien aujourd'hui.

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il y a 42 minutes, Normand Hamel a dit :

Le pire c'est que la période de troubles politiques est survenue au moment où l'économie du Québec était en transition entre l'économie traditionnelle et l'économie du savoir. De plus les troubles se sont étalés sur une période d'environ 40 ans, soit de 1963 (nationalisation de l'électricité) à 2003 (reprise du pouvoir par les Libéraux. C'est quasiment un miracle que l'économie se porte aussi bien aujourd'hui.

Si on rajoute l exode des capitaux avec le depart de milliers d anglophone. L economie de la province a subit un serieux  coup de matraque a l époque.
 

Peut etre que je me trompe mais le fait d avoir recu ces dernieres années beaucoup d immigrant francais et en certaine partie des immigrants du monde arabe de la clase des commercants et entrepreneure, plus particulierement de la Syrie mais aussi d autres pays arabe. Que se soit L Egypte et meme d arabie saoudite. Qui sont venuent chercher ici un endroit stable et securitaire. On voit surement un exode de capitaux mais en notre faveur.  J avais meme vu un reportage d une Augmentation d’immigration  juive vers Montreal.  Beaucoup d acheteur de condos dans le centre-ville sont du monde arabe. L université  Concordia d ailleurs est meme devenu un point d ancrage pour les arabophone et aussi les juifs. Ce n est pas seulement cela qui explique la resilience de Montreal mais ca aide en grande partie.

 

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il y a 36 minutes, andre md a dit :

On voit surement un exode de capitaux mais en notre faveur.  J avais meme vu un reportage d une Augmentation d’immigration  juive vers Montreal. 

En 1832 le Québec (qui s'appelait alors le Bas-Canada) a été la première juridiction de l'Empire britannique à adopter une loi favorable aux Juifs. Il s'en est suivi vers la fin du 19e siècle une immigration massive de la diaspora juive, surtout à Montréal.

Mais la communauté juive de Montréal est vieillissante. Cependant d'après ce que j'ai entendu dans la vidéo elle serait en train de se renouveler. Lorsque les Juifs de France (la plus grande communauté juive au monde en dehors d'Israël et des États-Unis) se sentent menacés ils ont tendance à se rendre en Israël le plus souvent, mais plusieurs reviennent éventuellement car la vie là-bas pose ses propres difficultés. Sembelerait qu'ils ont maintenant une autre alternative.

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Il y a 13 heures, andre md a dit :

En mettant l independence de coté ca Donne un serieux un coup de pouce. 

Les séparations politiques ne sont pas si coûteuses

Les résultats des élections fédérales ont dévoilé un Canada divisé.

VINCENT GELOSO
COLLABORATION SPÉCIALE

Étant donné qu’elles ont donné une majorité écrasante aux conservateurs, les provinces de l’Ouest, tout comme au début des années 90, se sentent différentes du reste du Canada. Il en va de même au Québec avec la remontée du Bloc québécois. Il est donc peu étonnant que le sujet de la souveraineté soit revenu dans les discussions (tant au Québec qu’en Alberta).

Sans me prononcer sur la désirabilité de la souveraineté du Québec ou de l’Alberta au moment présent, il y a là une occasion de casser un mythe quant aux séparations politiques. Chaque fois que l’idée de la séparation politique d’une province est lancée, le spectre d’un divorce coûteux est mis de l’avant. Il s’agit d’un argument récurrent lancé à ceux qui considèrent une séparation politique. Cet argument fédéraliste a pour but d’inviter à la sobriété politique.

Cependant, cet argument est l’un des plus faibles de l’arsenal rhétorique des fédéralistes.

Les études ne soutiennent pas vraiment l’idée d’un effet important de la menace souverainiste sur l’économie.

Par exemple, il existe deux études qui mesurent l’effet du mouvement souverainiste québécois sur la croissance économique du Québec.

La première, produite par Kim Somers et François Vaillancourt, a été publiée dans l’Oxford Review of Economic Policy. En utilisant des méthodes statistiques bien établies pour mesurer l’effet des règnes péquistes sur le rattrapage économique du Québec, Somers et Vaillancourt ne trouvent aucun effet statistiquement significatif. En d’autres mots, les différents règnes du Parti québécois n’ont pas influencé significativement le développement économique du Québec.

La seconde étude, que j’ai coécrite avec Kevin Grier de la Texas Tech University, fait usage d’une méthode relativement nouvelle en science économique. Cette méthode consiste à créer un « Québec sans le Parti québécois » après chacune des deux premières victoires du PQ : celles de 1976 et de 1994. Pour ce faire, il faut créer une combinaison des autres provinces canadiennes afin d’expliquer le mieux possible ce qui se produisait au Québec avant les victoires de 1976 et de 1994. Cette combinaison est projetée vers l’avant (après 1976 et 1994), et la différence entre ces projections et ce qui s’est vraiment produit constitue l’effet causal du Parti québécois sur la croissance économique. Tout comme Somers et Vaillancourt, Grier et moi-même ne trouvons aucun effet positif ou négatif sur la croissance économique. En pratique, la menace souverainiste n’a pas appauvri le Québec.

Séparations pacifiques

Un survol des séparations pacifiques confirme ce résultat. Par exemple, la Suède et la Norvège, au début du XXe siècle, démontrent une continuité économique prononcée. Les deux pays ont continué de croître à une vitesse constante. Il en va de même pour la République tchèque et la Slovaquie à la suite de la désintégration de la Tchécoslovaquie au début des années 90.

Les séparations politiques coûteuses sont celles qui se produisent sur fond de violence.

Il suffit de regarder les séparatistes basques en Espagne et les séparatistes kurdes en Turquie. Ces deux mouvements séparatistes ont fait usage de la violence pour atteindre leurs fins.

En utilisant une méthode similaire à celle que Grier et moi avons utilisée pour le cas québécois, les chercheurs qui ont étudié ces deux cas célèbres remarquent un ralentissement économique dans les régions touchées (égal à environ 10 % du revenu moyen par habitant). Et pourtant, ces mouvements n’ont pas réussi à accomplir leurs objectifs. C’est la violence qui accompagne le processus de séparation qui est coûteuse, et non pas la séparation elle-même.

Il est dur de croire que la séparation possible du Québec ou de l’Alberta produirait des épisodes de violence politique. Ainsi, il est difficile d’invoquer sérieusement le spectre d’un coût énorme à la séparation.

Ce résultat ne devrait pas surprendre. Il démontre, très simplement, l’idée que les désintégrations politiques pacifiques se produisent lorsqu’au moins une des deux parties perçoit des gains nets à la séparation. Rien de très sorcier.

Il existe d’excellents arguments en faveur de demeurer à l’intérieur du cadre fédéral canadien. Celui des coûts de la séparation n’en est pas un. Ceux qui s’inquiètent d’une possible résurgence du mouvement souverainiste au Québec et de l’émergence d’un mouvement similaire en Alberta devraient éviter cet argument. Il vaut mieux miser sur des arguments solides.

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il y a 8 minutes, ydg a dit :

Les séparations politiques ne sont pas si coûteuses

Les résultats des élections fédérales ont dévoilé un Canada divisé.

VINCENT GELOSO
COLLABORATION SPÉCIALE

Étant donné qu’elles ont donné une majorité écrasante aux conservateurs, les provinces de l’Ouest, tout comme au début des années 90, se sentent différentes du reste du Canada. Il en va de même au Québec avec la remontée du Bloc québécois. Il est donc peu étonnant que le sujet de la souveraineté soit revenu dans les discussions (tant au Québec qu’en Alberta).

Sans me prononcer sur la désirabilité de la souveraineté du Québec ou de l’Alberta au moment présent, il y a là une occasion de casser un mythe quant aux séparations politiques. Chaque fois que l’idée de la séparation politique d’une province est lancée, le spectre d’un divorce coûteux est mis de l’avant. Il s’agit d’un argument récurrent lancé à ceux qui considèrent une séparation politique. Cet argument fédéraliste a pour but d’inviter à la sobriété politique.

Cependant, cet argument est l’un des plus faibles de l’arsenal rhétorique des fédéralistes.

Les études ne soutiennent pas vraiment l’idée d’un effet important de la menace souverainiste sur l’économie.

Par exemple, il existe deux études qui mesurent l’effet du mouvement souverainiste québécois sur la croissance économique du Québec.

La première, produite par Kim Somers et François Vaillancourt, a été publiée dans l’Oxford Review of Economic Policy. En utilisant des méthodes statistiques bien établies pour mesurer l’effet des règnes péquistes sur le rattrapage économique du Québec, Somers et Vaillancourt ne trouvent aucun effet statistiquement significatif. En d’autres mots, les différents règnes du Parti québécois n’ont pas influencé significativement le développement économique du Québec.

La seconde étude, que j’ai coécrite avec Kevin Grier de la Texas Tech University, fait usage d’une méthode relativement nouvelle en science économique. Cette méthode consiste à créer un « Québec sans le Parti québécois » après chacune des deux premières victoires du PQ : celles de 1976 et de 1994. Pour ce faire, il faut créer une combinaison des autres provinces canadiennes afin d’expliquer le mieux possible ce qui se produisait au Québec avant les victoires de 1976 et de 1994. Cette combinaison est projetée vers l’avant (après 1976 et 1994), et la différence entre ces projections et ce qui s’est vraiment produit constitue l’effet causal du Parti québécois sur la croissance économique. Tout comme Somers et Vaillancourt, Grier et moi-même ne trouvons aucun effet positif ou négatif sur la croissance économique. En pratique, la menace souverainiste n’a pas appauvri le Québec.

Séparations pacifiques

Un survol des séparations pacifiques confirme ce résultat. Par exemple, la Suède et la Norvège, au début du XXe siècle, démontrent une continuité économique prononcée. Les deux pays ont continué de croître à une vitesse constante. Il en va de même pour la République tchèque et la Slovaquie à la suite de la désintégration de la Tchécoslovaquie au début des années 90.

Les séparations politiques coûteuses sont celles qui se produisent sur fond de violence.

Il suffit de regarder les séparatistes basques en Espagne et les séparatistes kurdes en Turquie. Ces deux mouvements séparatistes ont fait usage de la violence pour atteindre leurs fins.

En utilisant une méthode similaire à celle que Grier et moi avons utilisée pour le cas québécois, les chercheurs qui ont étudié ces deux cas célèbres remarquent un ralentissement économique dans les régions touchées (égal à environ 10 % du revenu moyen par habitant). Et pourtant, ces mouvements n’ont pas réussi à accomplir leurs objectifs. C’est la violence qui accompagne le processus de séparation qui est coûteuse, et non pas la séparation elle-même.

Il est dur de croire que la séparation possible du Québec ou de l’Alberta produirait des épisodes de violence politique. Ainsi, il est difficile d’invoquer sérieusement le spectre d’un coût énorme à la séparation.

Ce résultat ne devrait pas surprendre. Il démontre, très simplement, l’idée que les désintégrations politiques pacifiques se produisent lorsqu’au moins une des deux parties perçoit des gains nets à la séparation. Rien de très sorcier.

Il existe d’excellents arguments en faveur de demeurer à l’intérieur du cadre fédéral canadien. Celui des coûts de la séparation n’en est pas un. Ceux qui s’inquiètent d’une possible résurgence du mouvement souverainiste au Québec et de l’émergence d’un mouvement similaire en Alberta devraient éviter cet argument. Il vaut mieux miser sur des arguments solides.

Article biaisé. 

 Barcelona a subit une exode de siege sociaux a cause des volontés d indépendance de la Cataluña. La grande gagnante Madrid.  Et pourtant Barcelona est en majorité contre l indépendance.  
 

300 00 anglos qui quitte la province on va me dire que ca cause aucun tort a l economie???? Ca prend pas une maitrise en économie pour comprendre que ca aide pas du tout 

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https://www.journaldemontreal.com/2019/10/29/le-pq-ne-fait-pas-peur-aux-investisseurs-etrangers

Eh lala, les campagnes de peur, je comprends que c'est halloween mais quand même. Le seul effet libéral qui soit ce sont l'argent dans les poches des ti-zamis et la justice qui soudainement les relâche. La réalité c'est que pour plusieurs la haine du mouvement souverainiste est si grande qu'ils préfèrent fermer les yeux devant les magouilles de l'adversaire. Mais c'est vrai que de la corruption/collusion ça...ça doit en attirer des investissements. 

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il y a 2 minutes, Blitz a dit :

https://www.journaldemontreal.com/2019/10/29/le-pq-ne-fait-pas-peur-aux-investisseurs-etrangers

Eh lala, les campagnes de peur, je comprends que c'est halloween mais quand même. Le seul effet libéral qui soit ce sont l'argent dans les poches des ti-zamis et la justice qui soudainement les relâche.

Comme par hasard cet article est publié dans un journal qui appartient à l'ancien chef du Parti québécois. Ceci étant dit, ce n'est effectivement pas le PQ qui fait peur aux investisseurs mais plutôt l'instabilité politique. D'ailleurs Jacques Parizeau et Bernard Landry étaient d'excellents économistes.

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