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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Montreal is like one giant head with ADD. Constantly needs to be entertained. Try a night in ! 😂
  2. Je ne sais pas ce qu'il en est exactement mais moi je lui conseillerais plutôt de prendre des antidépresseurs. 😜
  3. Il faut également garder à l'esprit l'arrivée du REM et l'éventuel réaménagement de l'avenue McGill College, un secteur appelé à devenir une extension naturelle du Quartier des spectacles avec entre les deux le nouveau square Phillips et son imposante tour. J'anticipe donc un effet d'entraînement pour tout le secteur comme on voit présentement autour de la place des Festivals et de l'esplanade Tranquille.
  4. D'abord mon commentaire se voulait courtois et respectueux . Mais liberté ou pas je ne pouvais m'en empêcher au nom de la rigueur.
  5. C'est exactement ce que je voulais dire. Pour ce qui est de l'aspect esthétique, qui au demeurant ne concerne pas autant que nous le passant ordinaire, il est encore trop tôt pour se faire une opinion. Pour l'instant c'est plutôt inquiétant je dois le dire, mais il faudra voir quel traitement ils appliqueront sur la façade. Une chose à souligner cependant c'est que ce basilaire s'intègre très bien avec ceux de son environnement immédiat: le WSP à l'ouest et le YUL à l'est (d'ailleurs la tour elle-même s'intègre à merveille avec le YUL). Mais ce n'est pas ce qui est le plus important, du moins pas à mes yeux. C'est que j'attache une importance primordiale à l'interaction d'un édifice avec la rue. Il faut comprendre que le QuinzeCent occupe un coin de rue très important dans l'ouest de la ville. Il est donc appelé à changer dramatiquement l'atmosphère du secteur car les piétons se sentiront déjà interpelés à partir de la rue Sainte-Catherine. De sorte que la rue Guy deviendra beaucoup plus intéressante. De même que la section ouest de René-Lévesque où l'on retrouve depuis peu le Dorchester et le Enticy, précédés par le YUL. Ce secteur de la ville s'en trouvera ainsi complètement transformé et sera beaucoup plus vivant qu'il ne l'a jamais été. Voici deux autres exemples de ce que je veux dire par interaction avec la rue et l'environnement: D'abord le Mansfield, qui selon moi est appelé à dynamiser la rue où il est situé, surtout qu'il se trouvera entre Sainte-Catherine et la Place Ville-Marie où un escalier à l'ouest de l'esplanade fera le lien entre celle-ci et la rue Mansfield, en plus de la rue Cathcart. On sait que depuis l'arrivée de l'Anneau ce coin-là est plus visité que jamais, et ce de jour comme de soir. De plus au rez de chaussée du Mansfield on retrouvera un restaurant et possiblement aussi des commerces qui offriront une interaction directe avec la rue. Par conséquent l'arrivée du Mansfield devrait avoir un impact majeur parce qu'il aura un effet synergique dans l'un des secteurs les plus névralgiques de Montréal. L'autre exemple est celui du VSLP, où l'on retrouvera à la fois des résidences et des espaces à bureau. Le 700 sera très animé le jour tandis que le VSLP lui-même prendra la relève le soir. De plus il y aura une interaction synergique avec le parc Michel-Bélanger de la Banque Nationale, sans oublier le parc Bonaventure tout près de là. Il n'y a pas si longtemps encore ce secteur-là était complètement mort. Pour moi l'humain passe avant le béton, où même le marbre. Mais tant mieux si on peut avoir les deux, c'est à dire de l'animation dans un cadre esthétique. Dans le cas du QuinzeCent on saura ce qui en est exactement lorsque la construction sera terminée et que l'édifice sera occupé. Ce ne sera certainement pas au niveau du VSLP ni du Mansfield mais une chose est certaine c'est que ce sera beaucoup mieux que c'était avant.
  6. La désignation Maestria Sud porte à confusion. Il serait plus juste de dire Tour 2 sur Jeanne-Mance, dont la façade principale est à l'est de l'édifice. Pour ce qui est de la Tour 1 sur Sainte-Catherine sa façade principale est au nord de l'édifice.
  7. D'abord le Grand Quai est sous la responsabilité de Port de Montréal et non pas de la Ville. Ensuite il ne faut pas oublier la tenue du Triathlon international de Montréal au mois de juin dernier. D'ailleurs j'étais sur les lieux (première photo) deux jours avant alors qu'ils se préparaient à accueillir les athlètes. Même que la place des Commencements était inaccessible. L'épreuve masculine a cependant dû être annulée en raison de la fumée. Cet évènement a laissé des traces et j'espère qu'ils effectueront les réparations du terrain avant... la fin de l'été.
  8. Merci pour ce remarquable article extrêmement étoffé où jai appris plusieurs choses que j'ignorais. Je constate que plusieurs des réalisations de Pierre Bourque avaient été initiées sous le règne de Jean Doré. Cela dit, les deux ont été en poste pendant l'une des périodes les plus difficiles de l'histoire de Montréal et leurs accomplissements respectifs sont d'autant plus admirables. Incidemment, je constate que son décès en 2015 coincide avec la renaissance de Montréal. Voici quelques extraits de l'article: L’héritage du RCM et de Jean Doré est énorme et a donné un souffle durable à Montréal. Mieux encore, le projet de ville du RCM est encore très actuel. Il a littéralement ouvert les portes de l'Hôtel de ville aux citoyens. Il a donné naissance au Quartier international et fait disparaître une portion de la tranchée de l’autoroute Ville-Marie. Les projets des faubourgs Québec, Saint-Laurent et des Récollets ont amorcé le retour d’une population résidente au centre-ville, une tendance qui se maintient. Le dépotoir Miron, sis au milieu des quartiers les plus denses, a fait place à un centre environnemental renommé qui deviendra le deuxième plus grand espace vert de Montréal. Plusieurs anciens sites industriels, dont les Ateliers Angus, sont aujourd’hui des quartiers réputés en terme de mixité fonctionnelle et sociale et de qualité de vie. L’installation de l’École de technologie supérieure (ETS) dans les locaux de l’ancienne brasserie Dow a tracé la voie au développement du Quartier de l’innovation. Au plan de la stratégie de développement et de l’aménagement, cette vision se décline en fonction des axes suivants: un centre moderne, vivant et habité, attractif, et fort de ses grandes institutions, et une attention particulière à la rue Sainte-Catherine ; des quartiers résidentiels mixtes, offrant des logements de qualité et à prix abordables pour les familles et les nouveaux arrivants ; des rues commerciales locales dynamiques ; un réseau de transport en commun des plus performants ; des quartiers anciens désenclavés et ouverts aux projets ; un patrimoine bâti protégé et mis en valeur ; un réseau d’institutions sportives et culturelles et d’œuvres d’art public partout sur le territoire; une ville verte, dotée d’espaces publics, de parcs et d’aires de jeux accessibles à tous. Dès 1987, l'administration élabore un plan directeur du centre-ville, adopte des règlements pour le contrôle des démolitions et met en place des programmes de protection et de mise en valeur du patrimoine. Montréal adopte en 1992 son premier plan d'urbanisme, fruit d’une concertation sans précédent des acteurs du développement et d’une mobilisation remarquable de l’appareil municipal. Les ententes conclues en 1994 vont permettre la réalisation de plusieurs projets majeurs, tels que la construction du pont Wellington et du boulevard Henri-Bourassa pour désenclaver le nord-est montréalais ainsi que des projets urbains structurants comme la renaturalisation du Mont-Royal, l'implantation du Cirque du Soleil dans Saint-Michel et la réfection de la portion ouest de la rue Sainte-Catherine. Montréal, Westmount et Outremont s'entendent avec les grandes institutions sur un premier plan de mise en valeur du Mont-Royal. Le service d’urbanisme élabore avec les arrondissements des plans directeurs des secteurs à revitaliser: le Vieux-Montréal, les abords des voies du CP, les abords du Canal Lachine, la rue Sainte-Catherine et l'axe Peel-Bonaventure d'expansion du centre-ville. La consolidation du centre-ville et notamment le déménagement de l'OACI dans le futur quartier international; les projets du Faubourg Québec, du Faubourg Saint-Laurent et du Faubourg des Récollets pour repeupler le centre de Montréal, la revitalisation des anciennes usines Angus, le désenclavement du Sud-Ouest et le développement des abords du canal Lachine ou du Quartier des Musées. Sans oublier la construction du Centre de commerce mondial, la mise en valeur du Vieux-Port, de la rue de la Commune et du Champ- de-Mars, la construction du Musée d’archéologie et d’histoire de la Pointe-à-Callière et la rénovation du Marché Bonsecours, autant de projets qui contribueront à la renaissance du Vieux-Montréal. Au cours des années 1986-1994, l’administration Doré multiplie les initiatives, malgré le désengagement de l’État: crédit-proprio, coopératives, logements sociaux, rénovation de logements et de maisons de chambres ; plus de 25,000 nouveaux ménages profitent des programmes mis en place. Montréal met également en œuvre un plan de renaturalisation de la montagne ; son entretien a été négligé depuis plusieurs décennies. La Communauté urbaine de Montréal crée plusieurs nouveaux grands parcs d’une superficie de plus de 500 hectares. Sur son territoire, la Ville modernise les aires de jeux, inaugure des parcs-école et procède à la création de 60 nouveaux parcs et au réaménagement de la moitié des parcs existants. Elle crée le premier tronçon du réseau vert, le long de la voie du CP. L’ancien dépotoir à neige dans l’Est de devient la promenade Bellerive, une fenêtre de quatre kilomètres sur le fleuve, et un service de navettes est mis en place entre Montréal, les îles, Longueuil, la promenade et le parc des îles de Boucherville. Deux plages sont créées dans le but de redonner accès aux eaux qui baignent Montréal : la plage de l’île Notre-Dame, rebaptisée « la plage Doré » par les citoyens, et la plage du parc régional du Cap St-Jacques. Les rues, les trottoirs, la sécurité autour des écoles, le développement des artères commerciales locales, la sécurité des piétons, la performance du transport en commun, la propreté et l’embellissement, la plantation d’arbres et la reconstruction des trottoirs, le développement économique local, l’accès aux bibliothèques et aux équipements de loisirs et de sports, l’accueil et l’intégration des nouveaux arrivants et l’égalité en emploi seront au cœur des préoccupations et de l’action des membres du Conseil. Les célébrations de 1992 auront été l’occasion pour la métropole de se doter, avec l’aide des gouvernements, de nouveaux équipements dont le site du Vieux- Port, le Biodôme, le Musée de la Pointe-à-Callière, l’île Sainte-Hélène réaménagée, le nouveau Musée McCord, le Musée des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu, plusieurs grandes places publiques, le belvédère du Mont-Royal, le Champ-de-Mars et le parc Émilie-Gamelin, d’abord dénommée Place du 350e, qui fut au cœur des activités. Jean Doré reconnaît d’emblée que la culture est un levier majeur de l’économie montréalaise. Il crée dès 1987 un service de la Culture, encourage la restauration ou l’installation d’œuvres d’art sur le domaine public, positionne Montréal comme ville de cinéma et amorce l’informatisation des collections des bibliothèques. Il accorde aussi un soutien financier et logistique majeur aux organisateurs des grands événements culturels – en 1986, il était quasi impensable d’envisager la fermeture d’une portion de rue pour leur tenue. Le RCM mise beaucoup sur le développement du transport en commun pour assurer la vitalité du centre-ville, la protection de l’environnement et la quiétude des quartiers résidentiels. Son plan de relance est un succès. La STM déploie le premier réseau de voies rapides sur Pie IX, René-Lévesque, l'avenue du Parc, Côte-des-Neiges, Crémazie, Sauvé et Henri-Bourassa. Pour le transport des personnes, le RCM mise aussi sur le vélo : en huit ans, il aménage un réseau de près de 150 km de voies cyclables. Jean Doré admet qu’on lui a reproché de ne pas avoir suffisamment priorisé et d’avoir multiplié les chantiers. Il répondra : «Il y avait tellement à faire!»
  9. L'aménagement extérieur du MEM est enfin terminé. Photos: @Claude Deschênes
  10. Le cône orange comme oeuvre d'art. Photo: @Eric Branover
  11. Montréal et sa montagne. Photo: FM guide MTL
  12. Vue sur l'Odea à partir du toit du Rodier.
  13. Hier ils semblent avoir aménagé une nouvelle voie pour accéder au stationnement intérieur, et ce matin ils y ont installé une cloture temporaire de part et d'autre. Ils sont en train également de couler une nouvelle dalle de béton par dessus le tunnel.
  14. Personnellement je m'attends à ce que le résultat final soit assez semblable à ce que les rendus nous permettent d'anticiper.
  15. On reconnait ici la signature d'Anik Shooner dont j'admire beaucoup l'oeuvre.
  16. Le verdissement et la plantation d'arbres se poursuivent, mais la pose des pavés ne semble cependant pas progresser aussi rapidement, surtout près du monument Copernic. Remarquez les nouvelles tables à piquenique pour profiter du nouveau parc lorsque les travaux seront terminés.
  17. Une chose est certaine c'est qu'avec l'arrivée du Mansfield cet édifice a pris énormément de valeur et ne devrait pas demeurer à l'abandon bien longtemps encore.
  18. Je ne sais pas, si c'est bien le cas je n'étais pas au courant.
  19. Cet édifice a en effet beaucoup de potentiel, mais il devra d'abord être restauré pour lui redonner sa pleine valeur et le rendre encore plus attractif. Il faudra aussi des investisseurs avec les poches profondes et un projet adapté aux besoins du secteur. En plus d'une boutique chic je verrais bien aussi comme locataire potentiel une SAQ Signature. Ce serait l'endroit idéal pour offrir du haut de gamme et des marques associées au luxe.
  20. Exactement! Cela aurait très mal commencé en effet. Pour ce qui est du mot typhon son usage s'applique spécifiquement à la région du Pacifique nord-ouest, mer de Chine et océan Indien.
  21. Pour ma part je suis davantage préoccupé par les graffitis car la structure s'y prête bien en effet. Cependant je ne crois pas que l'endroit attirera les sans-abris, du moins pas au niveau de la rue, car j'étais sur les lieux le mois dernier pour prendre des photos et j'ai remarqué que la circulation était particulièrement intense. Par contre le dessus de la dalle me parait très invitant pour ceux qui se cherchent un petit coin tranquille, particulièrement la nuit. La Ville devra donc se montrer particulièrement vigilante, d'autant plus qu'il s'agit d'un futur endroit hyper touristique.
  22. En fait oui c'est rassurant. Le sachant d'avance cela pourrait prévenir qu'un incident ne survienne en cas de vents violents. Vaut mieux prévenir que guérir.
  23. Excellente entrevue à Radio-Canada avec Catherine Morency de Polytechnique. https://ici.radio-canada.ca/info/videos/1-8799342/entrevue-avec-catherine-morency
  24. Désolé! Je le fais habituellement sauf lorsque j'altère l'original comme j'ai fait ici. Mais dorénavant je vais citer même si l'image a été altérée. J'ai maintenant fait la correction.
  25. Évolution du concept initial autour du piler, avec entre autres l'ajout d'un puits de lumière afin de réduire les zones d'ombre sous la dalle.
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