Aller au contenu

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le centre-ville de Montréal «renoue avec les chiffres de 2019» Le centre-ville de Montréal s’est presque complètement remis des effets de la pandémie, qui a durement affecté l’achalandage dans ses commerces dans les dernières années, en plus de changer les habitudes de travail et de consommation de la population. Mais cette reprise n’est pas uniforme, et des défis demeurent pour assurer sa vitalité à long terme. « On renoue avec les chiffres de 2019 », s’est réjoui mardi avant-midi le directeur général de la société de développement commercial Montréal centre-ville, Glenn Castanheira, dans le cadre d’une conférence de presse tenue au square Phillips. https://www.ledevoir.com/politique/796280/on-renoue-avec-les-chiffres-de-2019-au-centre-ville-de-montreal?
  2. Cet édifice avait un certain mérite en effet. Mais il fallait quelque chose pour répondre au 2-22 juste en face. Il fallait aussi effacer l'époque des péripatéticiennes.
  3. Oui il était vraiment charmant... Rien à voir avec ce qu'ont fait les débiles mentaux de Provencher_Roy. 😜
  4. Parlant de laideur et de douleur, on se console lorsqu'on compare la situation actuelle avec ce qu'il y avait à cet endroit il n'y a pas si longtemps encore. Montréal s'embellit de jour en jour.
  5. En fait il y a trois murs aveugles dans le secteur: 1- Carré Saint-Laurent 2- Édifice AECOM 3- Le petit Laurent Celui du Carré Saint-Laurent est plutôt joli pour un mur aveugle. Par contre le mur aveugle de l'Esplanade Tranquille (AECOM) est abominable et j'aimerais bien savoir pourquoi il n'a pas encore été couvert d'une murale digne du Quartier des spectacles, compte tenu de son emplacement ultra stratégique. Pour ce qui est de celui où anciennement était situé le Screaming Eagle (Le petit Laurent) il a été complété avant même l'édifice sur lequel il est venu magistralement s'apposer et qui en fait l'une de mes murales préférées. Cliché 1: @Jeangagnon Cliché 2: @Claude Cliché 3: @Claude
  6. Photo: @patriciabrochu
  7. You and your out-of-town friends probably see Montreal differently: study Most visitors find downtown accessible — as long as they’re not driving — and Montreal Centre-Ville believes: “To try downtown is to adopt it.” There’s a big disconnect between how out-of-town Quebecers view downtown Montreal and how their out-of-province peers experience it. https://montrealgazette.com/business/local-business/downtown-study
  8. Montréal retrouve son affluence touristique d’avant la pandémie Alors que la saison estivale bat toujours son plein, Montréal a déjà accueilli 100% des visiteurs ayant afflué durant la même période en 2019, c’est-à-dire avant la pandémie de COVID-19, selon un bilan de mi-saison de Tourisme Montréal. Si les touristes américains et français sont toujours majoritaires, la métropole a connu une hausse de 10% du nombre de visiteurs d’autres pays, dont les touristes du Royaume-Uni, du Mexique et du Brésil qui sont 30% plus nombreux à visiter Montréal cette année. https://www.tvanouvelles.ca/2023/08/14/montreal-retrouve-son-affluence-touristique-davant-la-pandemie
  9. 88 884 visiteurs au Parc olympique lors la journée du 13 août : le Parc olympique établit un nouveau record d’assistance avec le plus grand chiffre d’achalandage de son histoire. @tvanouvelles
  10. Extraits de l'article partagé ci-haut par @Le Roach Ce concept porte un nom : communauté verticale, ou vertical city, en anglais. Longtemps considéré comme un sujet d’étude futuriste, il est aujourd’hui au cœur de projets parfois spectaculaires menés par plusieurs bureaux d’architectes d’envergure mondiale à Milan, à Melbourne ou encore à New York. À Montréal, le projet Humaniti, situé tout près du Palais des congrès, a ouvert la voie en 2021 à ce nouveau genre de grands immeubles où se mélangent dorénavant les espaces de bureaux, de commerces et d’habitations. L’immeuble Odea Montréal, actuellement en construction dans le Vieux-Montréal, est également issu de cette ligne de pensée, affirme Jean-François Gagnon, associé principal au cabinet d’architectes Lemay. Ces immeubles sont en rupture avec la ville verticale telle qu’on la conçoit depuis plus d’un siècle, affirme M. Gagnon, qui signe le projet Odea Montréal avec l’architecte autochtone Douglas Cardinal. Cette évolution était nécessaire dans une volonté de densification urbaine, ajoute-t-il. « On assiste depuis quelques années à un retour vers les centres urbains », croit l’architecte. « Or, avec les immeubles traditionnels, on tente de densifier la ville pour amener le plus de monde possible à l’intérieur d’un lot vertical défini, mais à usage unique : on y travaille ou on y habite », rappelle Jean-François Gagnon, associé principal au cabinet d’architectes Lemay. Cette séparation traditionnelle des usages crée une ville composée d’espaces homogènes refermés sur eux-mêmes, dépourvus d’une vie collective enrichissante. La vie urbaine s’en trouve aussi réduite à des trajets pédestres strictement utilitaires, de lieu en lieu.
  11. Historiquement la Banque Nationale existe depuis 1859. Cependant elle a changé de nom en 1924 après sa fusion avec la Banque d'Hochelaga et est devenue la Banque canadienne nationale. Elle changera à nouveau de nom en 1979 après sa fusion avec la Banque Provinciale et porte aujourd'hui le nom de Banque Nationale du Canada. Mais pour faire court on dit Banque Nationale, comme elle s'appelait à l'origine.
  12. Sauf que pour vraiment mettre les choses en perspective il faudrait comparer des pommes avec des pommes. Un terawatt-heure éolien n'est pas l'équivalent d'un terawatt-heure nucléaire, loin de là. Car la production d'électricité éolienne est aléatoire tandis que l'énergie nucléaire produit de l'électricité en continue 24 heures par jour, 365 jours par année, sauf en cas de défaillance. De plus les centrales canadiennes de type CANDU ont la particularité d'offrir un rechargement automatique du combustible qui permet au réacteur de continuer d'opérer pendant le remplacement des piles usées.
  13. Ce n'est rien en comparaison de ce qu'il en coûte à un promoteur en Ontario. Ce qui ne les empêche pas de construire parce que la demande demeure très forte là-bas.
  14. Indépendamment des coûts de réfection (4G$+) les coûts de production sont en effet très élevés à cause de la main d'oeuvre requise pour opérer une centrale nucléaire. Cela dit, un des avantages du nucléaire est la production en continue de d'énergie 24/365. Ce qui n'est pas le cas d'un barrage par exemple qui doit arrêter de turbiner à certaines heures du jour afin de permettre au réservoir de se remplir. Pour ce qui est de l'éolien la disponibilité est très variable en fonction de l'intensité des vents, ce qui en fait une énergie d'appoint seulement. La fermeture de Gentilly-2 en 2012 a eu pour effet de déstabiliser le réseau et a nécessité la construction de la ligne de transport Micoua-Saguenay au coût de 1,1G$ afin de rétablir l'équilibre de l'approvisionnement. C'est que G-2 est située entre Québec et Montréal. À part quelques exceptions les barrages eux sont généralement situés en régions éloignées.
  15. Avant de partir en vacances ils avaient monté les façades de pierres devant le pavillon des pèlerins, et au retour ils ont commencé à installer un genre de tuiles en céramique de part et d'autre de l'escalier principal, en avale de la place de la Sainte-Famille, plutôt que de laisser les murs sur le ciment comme il était prévu à l'origine.
  16. Énergie nucléaire: Hydro-Québec pourrait réactiver Gentilly-2 Le nouveau PDG de la société d'État veut savoir si une remise en fonction de la centrale nucléaire de Bécancour est imaginable À la recherche d’une dose massive d’énergie, le nouveau patron d’Hydro-Québec Michael Sabia enclenche une étude de faisabilité sur la relance de la centrale nucléaire Gentilly-2, inactive depuis 2012. https://www.journaldemontreal.com/2023/08/10/energie-nucleaire--hydro-quebec-pourrait-reactiver-gentilly-2
×
×
  • Créer...