Normand Hamel

Je me demande c'est combien pour un penthouse? 🤔 Cela me ferait un joli pied-à-terre au centre-ville. 😛

De par sa taille et l'originalité de son architecture le Mansfield est en train de devenir l'Odea du centre-ville. Je suis ce projet avec beaucoup d'intérêt car de par sa localisation son impact sera majeur.

Sur la photo de Brick la principale caractéristique du Mansfield commence à apparaître.

Je connais un gars qui habite dans le Faubourg des Récollets qui n'arrête pas de se plaindre du bruit du REM. 😜

C'est déjà commencé!

Imagine si le projet de la Société du Havre avait vu le jour!

Une centaine de logements étudiants dans le Quartier des spectacles Isabelle Chénier - Journal Métro L’immeuble tout noir situé au coin de la rue Ontario et du boulevard Saint-Laurent, qui semble avoir été laissé à l’abandon depuis la fermeture du bar iconique Katacombes, disparaîtra bientôt du paysage urbain. De ses cendres renaîtra un immeuble à logements étudiants. L’organisme Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) travaille actuellement à la conception d’un immeuble de 13 étages comptant 170 logements de taille variée (studio, 4 1/2, 5 1/2 et 6 1/2). Le directeur général de l’organisme UTILE, Laurent Levesque, prévoit que les loyers seront 20 à 30% plus bas que ceux du marché locatif. Cette abordabilité permettra à environ 280 étudiants à faible revenu de l’Université McGill de s’y loger. En effet, l’Association des étudiants de l’Université McGill est le principal partenaire financier du projet avec un investissement de 1,5 M$, un montant provenant du Fonds Communautaire de logement étudiant (CLÉ). Il s’agit d’un fonds d’investissement rotatif à but non lucratif conçu pour financer des projets de logement étudiant. Hormis la généreuse contribution de l’association étudiante, Laurent Levesque s’attend à un coup de pouce des différents paliers de gouvernement ainsi que de partenaires privés comme le Fonds immobilier de solidarité FTQ. Les coûts de construction sont pour l’instant estimés à 35 M$. M. Levesque ajoute que l’autofinancement représente généralement 75% du montage financier des projets de l’organisme, une proportion qu’il croit pouvoir appliquer pour la construction de l’immeuble situé dans le Quartier des spectacles. Une communauté étudiante bénéfique pour le quartier Le centre-ville de Montréal fait face à de nombreux enjeux: mixité sociale, dévitalisation, commerces vacants. Pour UTILE, l’intégration plus permanente d’une communauté étudiante dans le secteur par la construction de logement étudiant pourrait contribuer à le revitaliser sans déplacer des populations vulnérables. Celui-ci souligne également que le milieu choisi est «très adapté à la vie étudiante au niveau de la diversité culturelle, de l’offre d’activités et de commerces.» C’est d’ailleurs pourquoi UTILE compte répliquer ce genre de projets dans tous les quartiers de Montréal habités par les étudiants pour améliorer la capacité d’accueil de cette communauté. L’organisme compte d’ailleurs participer à l’appel de projets de la Ville de Montréal pour l’Îlot Voyageur qui est, selon M. Levesque, «un très bon site pour installer la population étudiante de l’UQAM». https://journalmetro.com/local/ville-marie/3112741/une-centaine-de-logements-etudiants-dans-le-quartier-des-spectacles/

Je suis un simple agriculteur à la recherche de subventions.

On dirait une cuisine du Christin.

Avec une douche dans le bain, comme dans l'ancien temps.

C'est comme ça aujourd'hui mais pas dans ce temps-là. Il faut comprendre qu'à l'époque le budget du gouvernement était très petit car l'impôt provincial sur le revenu n'a été crée qu'en 1954. Aujourd'hui le gros du budget s'en va à la santé et à l'éducation mais avant la Révolution tranquille c'était les religieux qui se chargeaient de soigner les malades et d'éduquer les enfants. Donc pour que le gouvernement accorde des fonds à Marie-Victorin pour construire un jardin botanique il fallait que ce dernier soit très persuasif.

C'est grâce à son amitié avec Maurice Duplessis si le Jardin botanique de Montréal a pu voir le jour car seul le gouvernement pouvait financer une telle entreprise. Ce qui est le plus remarquable c'est que le projet est allé de l'avant malgré la Grande Dépression. D'ailleurs les travaux ont permis de garder plusieurs personnes au travail durant la crise.

L'entête devrait être Le Sac à dos qui est le nom de ce projet de 32 logements.

Quelques points clés: L’ajout de murs antibruit, l’installation de pièces le long de la voie ferrée pour absorber les vibrations et des travaux de meulage sur les rails afin de les rendre plus lisses. Pour le moment, des murs antibruit sont aménagés sur seulement 0,9 des 16 kilomètres du tronçon de la première phase du REM entre la Rive-Sud et le centre-ville de Montréal. Il y en aura finalement davantage. « Pour être sûr que l’on respecte vraiment nos engagements et qu’on fait de la qualité, on a lancé la conception préliminaire de murs antibruit », annonce Jean-Marc Arbaud. CDPQ Infra procédera également à l’installation d’« absorbeurs dynamiques » sur les rails, des pièces qui servent à diminuer les vibrations et donc le bruit. Enfin, CDPQ Infra achètera les machines nécessaires pour procéder au meulage des rails. « C’est pour rendre la surface la plus lisse possible pour diminuer les bruits qui sont liés à des rugosités », explique-t-il. Le crissement du train sera ainsi réduit. Ces mesures ne seront pas toutes en place au moment de la mise en service du REM. Elles feront l’objet d’une annonce lors de laquelle l’échéancier sera précisé. CDPQ Infra n’entend pas modifier le nombre de trains ni la fréquence de leurs passages afin de réduire le bruit à certains moments de la journée. Le REM sera en service 20 heures sur 24. Il passera toutes les deux minutes et demie aux heures de pointe avec quatre wagons ; toutes les cinq minutes le reste de la journée (deux wagons la nuit).

La future porte d'entrée de Griffintown. Photo: @Fleurdelys

J'étais sur les lieux la semaine dernière et j'ai été impressionné par la beauté et l'harmonie de ce bâtiment, et ce indépendamment de sa fonction qui au demeurant est assez surprenante. Un bel ajout au secteur avec le pavillon Sanguinet tout près de là qui promet de rehausser (dans tous les sens du terme) l'offre architecturale du Quartier latin et auquel on pourrait également ajouter le Eli sur Sainte-Catherine qui est lui aussi une totale réussite. En espérant que l'on fera la même chose autour de la place Émilie-Gamelin qui comme on le sait en aurait bien besoin présentement.

L'intérêt deviendra immense lorsque le REM se rendra à l'aéroport en 2027.

Lorsqu'elle sera complètement terminée tu vas tomber sur le Bassin en la découvrant dans toute sa splendeur.

Elle est presqu'aussi belle que la mienne.

Les travaux sur le toit du mât du stade captés aujourd'hui par la caméra de chantier. Remarquez que l'ancien funiculaire est encore en service, vraisemblablement pour transporter les travailleurs jusqu'au toit du mât.

Rocco est à boutte, il n'en peut plus.

C'est ce que je crois aussi. J'ai moi-même été surpris d'aimer le coin sud-ouest de la Tour 1 et j'espère aimer tout autant la passerelle blanche. Je me garde cependant une petite gêne car il est encore trop tôt pour en juger, surtout que cette partie du chantier demeure voilée pour l'instant. Là où j'ai un problème c'est avec le marketing de Devimco qui nous a vendu une passerelle au design extrêmement audacieux et hyper futuriste (voir les deux clichés ci-joint) qui malheureusement ne verra jamais le jour. Pour ce qui est du Laurent & Clark et du Union sur le parc je trouve les deux très réussis et comme je l'ai indiqué précédemment c'est dans cette direction (quoique de manière moins affirmée) que semble se diriger le Maestria. Ce qui au niveau de la passerelle demeure cependant très loin des tout premiers rendus où là il y a de ma part une immense déception aujourd'hui.

Ni Jean Charest d'ailleurs, car c'est lui qui a décidé de partir de l'édifice Jean-Lesage qu'il trouvait inapproprié (dans le sens d'incestueux) pour le chef de l'État. Par contre sa successeure Pauline Marois ne tenait pas en très haute estime la Place Mercantile car il s'agissait à ses yeux d'un endroit indigne de la fonction. Elle avait même honte de recevoir des dignitaires dans ces lieux qu'elle trouvait épouvantables. Pour ce qui est de Philippe Couillard il fréquentait rarement cet endroit et préférait opérer à partir de ses bureaux de l'édifice Honoré-Mercier à Québec. On pouvait le comprendre car son lieu de résidence privé était (et est toujours) Saint-Félicien, tandis que François Legault habite à Montréal, à l'Île-des-Soeurs plus précisément.