Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le secteur du Maestria en 1963. On reconnait les maisons devant le Maestria, mais pour le reste il ne subsiste pas grand chose. La salle Wilfrid-Pelletier venait tout juste d'être terminée, le Quartier des spectacles étant né en même temps sans le savoir.
  2. Est-ce que l'on parle ici de l'emplacement où se trouve le bâtiment que l'on aperçoit sur la photo ci-jointe?
  3. Aérospatiale Régler des problèmes terriens depuis l’espace Le Canada et le Québec sont très actifs dans l’industrie spatiale, et les entreprises du secteur concentré dans le Grand Montréal brassent des affaires dans différents pays pour s’attaquer à toutes sortes d’enjeux. Survol. Martine Letarte - La Presse Canicules, ouragans, incendies de forêt : alors que les impacts des changements climatiques commencent à être de plus en plus visibles et préoccupants, les entreprises ressentent la pression de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour les aider à réaliser ce défi, l’entreprise montréalaise GHGSat a développé un système de détection et de mesure de leurs émissions de GES grâce à des satellites. « Les grandes entreprises promettent à leurs actionnaires qu’elles réduiront leurs émissions de GES, même qu’elles deviendront des entreprises à zéro émission en 2030 ou en 2050, alors elles doivent faire le suivi de leurs progrès », explique Stéphane Germain, président-directeur général de GHGSat. L’entreprise se concentre sur le méthane. Nous pourrions aussi mesurer le dioxyde de carbone, mais la demande commerciale est vraiment pour mesurer le méthane qui, à court terme, a un effet entre 80 et 85 fois plus grand sur les changements climatiques. - Stéphane Germain, président-directeur général de GHGSat L’entreprise fondée en 2011, qui compte environ 100 employés dans le monde, dont les deux tiers sont au Québec, a parmi ses clients plusieurs acteurs industriels importants. « Nous en avons en Europe, aux États-Unis, en Asie et dans l’Ouest canadien, indique Stéphane Germain. Nous n’en avons pas encore au Québec, mais il y a des occasions d’affaires, notamment avec les sites d’enfouissement et les raffineries. » Pour réaliser cette surveillance, GHGSat a cinq satellites commerciaux actuellement en orbite, en plus du premier qui avait été lancé en 2016 à des fins de démonstration. L’entreprise prévoit avoir 10 satellites commerciaux en orbite d’ici la fin de 2023. « Nos satellites sont en haute résolution pour nous permettre d’attribuer les émissions à la bonne source et non à l’entreprise voisine, explique-t-il. Pour voir aussi en largeur, nous avons besoin de plusieurs satellites. » Un écosystème d’entreprises GHGSat est un exemple parmi de nombreuses entreprises québécoises actives dans l’industrie spatiale. Récemment, Aéro Montréal, la grappe aérospatiale du Québec, a réalisé une cartographie des entreprises du secteur spatial et elle en a recensé 178, soit 62 qui sont des PME de moins de 100 employés et 116 institutions, centres de recherche ou organismes à but non lucratif. « Parmi ces entreprises, 57 % travaillent en amont, donc réalisent de la recherche, de l’ingénierie, ou fabriquent des systèmes terrestres ou spatiaux », indique Suzanne Benoit, présidente-directrice générale d’Aéro Montréal. Les autres entreprises travaillent en aval. « Elles réalisent des opérations satellitaires, offrent des applications, des produits ou des services à valeur ajoutée, notamment dans les domaines de l’observation terrestre et des télécommunications », ajoute-t-elle. Les entreprises du secteur spatial au Québec sont concentrées à 72 % dans le Grand Montréal. « Cela permet d’avoir une collaboration étroite entre les entreprises, les universités et les centres de recherche », indique Suzanne Benoit. La présence de l’Agence spatiale canadienne à Longueuil insuffle aussi du dynamisme à l’industrie. Par exemple, près de 40 ans après que le bras spatial canadien, le Canadarm, a fait la réputation du Canada, elle a donné à l’entreprise canadienne MDA le contrat de construction du Canadarm3, un système robotique de deux bras pour la station spatiale lunaire internationale Gateway. Dans la région de Québec, on a aussi développé une grande force en optique-photonique, notamment grâce à la présence de l’Institut national d’optique. « Le Canada et le Québec continuent de montrer leur savoir-faire dans le domaine spatial, indique Suzanne Benoit. C’est une bonne chose, parce que c’est un secteur en forte ébullition dans le monde, puisqu’il permet de trouver des solutions à nos enjeux actuels. » https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2022-06-07/aerospatiale/regler-des-problemes-terriens-depuis-l-espace.php
  4. Vue du toit du Rodier. Photo: @La Piscine
  5. Normand Hamel

    Fillière batteries

    Usine de batteries Le Québec dans l’œil de Panasonic Le Québec figure sur le radar de Panasonic, qui scrute l’Amérique du Nord pour y construire une usine de batteries. L’opération charme d’Ottawa et de Québec auprès du géant japonais n’est pas terminée, selon les informations recueillies par La Presse. Plus important encore, ce n’est plus qu’une question de temps avant de voir un fabricant de batteries s’implanter au Québec, d’après deux sources au cœur de la filière batterie qui ne sont pas autorisées à parler publiquement à ce stade-ci. Cette affirmation détonne avec le discours récent du gouvernement Legault selon lequel les fabricants de batteries préféraient s’installer à proximité des constructeurs automobiles. Attirer Panasonic, fournisseur privilégié de Tesla, représenterait toute une réussite pour l’écosystème québécois. Québec n’a pas encore réussi à convaincre un fabricant de batteries de s’implanter sur son territoire, contrairement à l’Ontario avec Stellantis et LG. Ce n’est pas encore dans la poche avec Panasonic, qui regarde également aux États-Unis, d’après le site indépendant Electric Autonomy Canada. La multinationale chinoise CATL aurait la même approche. https://www.lapresse.ca/affaires/2022-06-06/usine-de-batteries/le-quebec-dans-l-oeil-de-panasonic.php
  6. This montage is an absolute masterpiece! Your best work ever I would say. I especially appreciate its extra length, which allows us to go much deeper into this most extraordinary event that was. And not just for Montréal but for the whole world also. What amazes me Chris, and correct me if I am wrong, is that you were not even born at that time. Yet, you caught perfectly here the essence of Expo 67. I am amazed just like I was back then. ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
  7. On peut certes critiquer des chiffres pris isolément dans un article mais dans le cas de Montréal les articles publiés vont à peu près tous dans la même direction, et ce depuis plusieurs années maintenant. Les données montrent en effet que Montréal est sur une trajectoire remarquable qui a commencé lentement il y a une vingtaine d'années et qui s'est accélérée significativement dans la dernière décennie. Et si on a l'impression que tout arrive en même temps c'est parce que tout a été arrêté pendant longtemps dans les décennies qui ont précédé le tournant des années 2000.
  8. Nouveau rapport La cote de crédit de Montréal en hausse Trois semaines après la présentation de son cadre financier, la Ville de Montréal annonce vendredi que sa cote de crédit a été révisée à la hausse par l’agence S&P Global. La mairesse Valérie Plante parle d’une « marque de confiance » majeure pour son administration. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-06-03/nouveau-rapport/la-cote-de-credit-de-montreal-en-hausse.php
  9. Hier, j'ai eu la plaisir de rencontrer l'équipe de direction de Morgan Stanley pour discuter de la croissance de leur centre technologique à Montréal, entre autres. Et l'entreprise a profité de notre visite pour mettre MTL en valeur sur Broadway! https://twitter.com/Val_Plante/status/1527696792703352832
  10. ICCA ranks Montréal first (once again) in the Americas! Since its founding in 1963, the International Congress and Convention Association (ICCA) has kept tabs on and formed connections between top meeting venues and host cities around the world. And once again, Montréal ranks first in international association meetings in the Americas. This is our sixth consecutive year ranked as #1. Once again, our city’s unique blend of innovation and joie de vivre outpaced other leading cities like New York, Chicago, Toronto, and Vancouver. Over the course of 2021, 68 international associations chose Montréal, filling the calendar at venues like the trend-setting Palais des congrès de Montréal, the city’s universities, and other unique and innovative venue spaces. Those events brought thousands of attendees who experienced Montréal’s cozy hotels and patented hospitality. https://blog.mtl.org/en/icca-ranks-montreal-first-once-again-north-america
  11. Je crois que cet exemple a déjà été donné dans le fil dédié au bâtiment-pont ici:
  12. C'est d'ailleurs l'objectif du gouvernement Legault.
  13. Productivité Le Québec poursuit son net rattrapage S’agirait-il d’un tournant pour le Québec ? D’une tendance concernant un indicateur fondamental de notre économie, soit la productivité du travail ? C’est ce que laissent penser les données publiées vendredi par Statistique Canada, qui comparent la productivité des entreprises par province. Essentiellement, le Québec continue de rattraper les autres grandes provinces canadiennes. Depuis trois ans, la productivité de nos entreprises a même crû deux fois plus vite que la moyenne canadienne et presque quatre fois plus vite qu’en Ontario. La nouvelle est majeure, sachant que le Québec a un retard à combler depuis plusieurs années. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2022-05-25/productivite/le-quebec-poursuit-son-net-rattrapage.php
  14. Les ventes de maisons neuves s’écroulent aux États-Unis Les ventes de maisons neuves se sont effondrées en avril aux États-Unis, plombées par la hausse des taux d’intérêt et des prix records qui dissuadent de nombreux acheteurs de poursuivre leurs recherches de logements flambant neuf. https://www.lapresse.ca/affaires/marche-immobilier/2022-05-24/les-ventes-de-maisons-neuves-s-ecroulent-aux-etats-unis.php
  15. Le sommet de Lamontagne André Lamontagne assure les fonctions de ministre de l’Agriculture au Québec et il le fait avec brio. En comparant la performance du secteur agroalimentaire québécois avec celle des autres provinces canadiennes, on s’aperçoit que le Québec a une longueur d’avance. Sylvain Charlebois - Université Dalhousie Ce jeudi se tient à Drummondville la troisième grande rencontre annuelle des partenaires bioalimentaires. C’est la grand-messe de l’agroalimentaire qui rassemble les grands dirigeants du secteur afin de faire le point sur l’état de l’industrie. La rencontre est présidée, bien sûr, par le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne. Pas facile d’assumer le rôle de ministre de l’Agriculture, surtout au Québec. Le consensus s’obtient difficilement dans la Belle Province à cause des divergences d’intérêts et d’opinions. La passion qui anime la province depuis des années n’a pas d’égale au sein de la fédération. Depuis ses débuts en tant que ministre de l’Agriculture, André Lamontagne a su faire ce que ses nombreux prédécesseurs n’ont pas réussi à accomplir. D’abord, le ministre a su se doter d’une gouvernance lui permettant de faire ses devoirs au sein de l’industrie. Très peu de provinces peuvent se vanter que leur ministère de l’Agriculture fait partie du groupe des grands ministères d’un gouvernement ; c’est pourtant le cas au Québec. L’influence que le MAPAQ obtient par l’entremise d’une nouvelle équipe économique bioalimentaire apporte une approche cohérente, multidisciplinaire et coordonnée au sein du gouvernement tout en gardant le secteur agroalimentaire au cœur des préoccupations. Son homologue fédérale, Marie-Claude Bibeau, semble souvent dépassée par les évènements puisqu’elle s’entoure de gens qui pensent tous de la même façon. Elle rencontre toujours le même monde et choisit assurément l’option la moins audacieuse. Elle acquiesce aux demandes de tout un chacun, sans vraiment savoir pourquoi. De nombreuses autres provinces agissent de manière similaire. Lamontagne a compris que, pour bien maîtriser ses dossiers en agroalimentaire, il doit porter aussi souvent que possible une attention particulière aux voix divergentes. La représentation ministérielle d’Ottawa en agriculture ainsi que celle des autres provinces n’ont jamais eu l’intention de le faire ; la tâche serait trop difficile, trop exigeante. La plus grande contribution du MAPAQ sous la gouverne de son ministre se traduit par son chantier sur l’autonomie alimentaire qui favorise l’achat local au sein d’une économie ouverte, priorise la culture en serre et augmente la productivité tout en adoptant un virage écologique. Pas facile d’arrimer l’ensemble de ces objectifs, mais certaines mesures de performance démontrent clairement que le Québec se démarque. L’achat local institutionnel progresse. Selon des données du MAPAQ, un peu plus de 47 % des institutions ciblées des réseaux de l’éducation, de l’enseignement supérieur ainsi que de la santé et des services sociaux ont des cibles d’achat d’aliments québécois. L’objectif de 100 % s’atteindra probablement d’ici 2025. La production serriste pour un approvisionnement fiable durant l’hiver évolue bien. La province comptera 61 hectares de nouvelles serres de fruits et légumes d’ici quelques années. Le Québec a encore du chemin à parcourir, mais l’objectif d’atteindre 246 hectares dans quelques années s’avère bien possible. Selon Statistique Canada, seul le Québec a vu son nombre de fermes diminuer d’à peine 1 % depuis 2006. La moyenne canadienne, depuis 2006, est de - 17 %. Mais depuis quatre ans, le nombre d’entreprises agroalimentaires a aussi augmenté de presque 2 % pendant que l’ensemble des provinces observait une diminution. Le territoire agricole exploité au Canada a quant à lui diminué de 8 % depuis 2006, mais pas au Québec. Depuis 2016, la superficie des terres de culture a augmenté de 0,2 %. Un autre tour de force. Autrement dit, le Québec va à contre-courant d’une tendance nationale qui mine le secteur agroalimentaire. Tout cela n’est certes pas le fruit du hasard. Pendant que le Canada se cherche encore, le Québec exerce une vision cohérente appuyée d’un leadership sectoriel impressionnant. Les dirigeants du secteur qui sont réunis à Drummondville méritent de célébrer les belles réalisations des dernières années. Lamontagne n’a fait que tracer un chemin stratégique qui fait du Québec un cas exceptionnel et un modèle à suivre pour l’ensemble du Canada. Le ministre copréside aussi le comité fédéral sur le code de conduite avec son homologue du fédéral. Son empreinte est d’autant plus impressionnante, puisqu’il est tout simplement le meilleur ministre de l’Agriculture au pays. Il s’implique et sait reconnaître le moment où il faut laisser toute la place à l’industrie pour qu’elle puisse faire son travail. Pour le Québec, il faut reculer à Jean Garon pour trouver un ministre qui a exercé autant d’influence au sein de son propre gouvernement. Osons croire qu’un jour, les autres provinces et le fédéral auront les mêmes ambitions. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2022-05-19/le-sommet-de-lamontagne.php
  16. Merci pour le partage, mais il aurait peut-être été préférable de l'inscrire dans le fil Économie de Montréal car cette nouvelle concerne d'abord et avant tout Montréal.
  17. Extraits de l'article référé par Kool: Silverstein Properties, le promoteur immobilier des tours du World Trade Center, installera ses pénates à Montréal. L’entreprise souhaite y implanter un important centre de recherche et développement, Inspire Labs, ce qui va contribuer à la création de 30 emplois dans la métropole. À Montréal, le centre travaillera à la transformation d’une application de gestion des 50 000 locataires du promoteur en une solution numérique personnalisée. Un autre projet intitulé RTSP, s'adresse aux entreprises qui cherchent à offrir à leur personnel des espaces lors de voyages professionnels. Le dirigeant de la firme n’a pas voulu détailler l’ampleur de l’investissement, mais il s’agira d’un actif stratégique pour le promoteur. « Il s’agira de notre plus grand centre de recherche et développement », a souligné M. Weisman.
  18. Il existe divers programmes d'aide aux PME afin de faciliter et d'accélérer l'automatisation et la robotisation, et ce tant au fédéral qu'au provincial. Le but étant d'augmenter la productivité des PME tout en réduisant les besoins de main-d'oeuvre.
  19. Des profits historiques pour Hydro-Québec Les profits d’Hydro-Québec ont franchi la barre des 2 milliards pour le seul premier trimestre, alors que plusieurs records de consommation d’électricité ont été battus à cause du froid et que l’économie roule à fond. Le bénéfice net des trois premiers mois de l’année a atteint 2,06 milliards, en hausse de 421 millions comparativement à la même période l’an dernier. « Nous amorçons l’année avec une performance financière digne de mention », a commenté Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière d’Hydro-Québec. Le volume des ventes sur l’ensemble de nos marchés a atteint un sommet historique pour les trois premiers mois de l’année ». La demande d’électricité a dépassé à plusieurs reprises cet hiver un record qui remontait à 2004 en raison du froid. La température moyenne du mois de janvier a été de -14 C, comparativement à -7 C en janvier 2021. Plusieurs autres facteurs ont aussi joué en faveur d’Hydro-Québec. La consommation d’énergie a augmenté dans les secteurs commercial et industriel en raison de la solide croissance de l’économie québécoise. Aussi, le prix de l’aluminium a atteint des records sur le marché international, ce qui a fait gonfler les profits générés par les contrats spéciaux avec les alumineries qui sont liés au prix du métal. Au total, les revenus provenant des ventes d’électricité au Québec sont en hausse de 546 millions comparativement à l’an dernier. La société d’État a obtenu un prix moyen de 7,4 cents le kilowattheure comparativement à 5,1 cents pour le premier trimestre l’an dernier. Le volume des exportations a toutefois diminué par rapport à l’an dernier, à cause du froid qui a mobilisé plus d’électricité pour les besoins du Québec. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-05-13/des-profits-historiques-pour-hydro-quebec.php
×
×
  • Créer...