Aller au contenu
publicité

Brick

Membre premium
  • Compteur de contenus

    7 170
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    92

Tout ce qui a été posté par Brick

  1. J'aime le haut de la façade sud.
  2. ©️@Looklike Je crois que nous allons voir se dessiner le logo des affiches.
  3. Trains reçus d’une société chinoise Flambant neufs et inutilisés Le transporteur exo a reçu 24 voitures de la société d’État chinoise CRRC. Le transporteur exo n’utilise toujours pas son parc de nouveaux trains de banlieue chinois, plus de deux ans après avoir commencé à les recevoir, en raison de problèmes techniques, a appris La Presse. Le transporteur a reçu 24 voitures de la société d’État CRRC, de Pékin, et en attend 20 autres identiques. Facture totale : plus de 200 millions. Les livraisons se sont faites avec un important retard sur l’échéancier initial. Au moment des premières livraisons, en février 2022, exo indiquait que la mise en service commencerait « début 2023 », après un an d’intégration. L’échéance a ensuite été régulièrement repoussée. Selon nos informations, les équipes d’experts ont notamment détecté des problèmes de communication entre les voitures. Exo affirme qu’ils ont maintenant été solutionnés. Le 13 mars dernier, le patron d’exo annonçait dans une rencontre publique que les trains commenceraient à être mis en service « dans les prochaines semaines ». L’organisation dit maintenant espérer pouvoir y accueillir ses premiers passagers « d’ici l’été ». « Ce sont des problématiques normales que l’on rencontre quand on intègre un nouvel équipement à une flotte déjà existante », a assuré Catherine Maurice, porte-parole d’exo. « On a mal évalué le temps supplémentaire que ça nécessiterait de faire ces tests d’intégration. » Elle a fait valoir qu’une partie de l’intégration aurait dû être faite en Chine, ce qui a été rendu difficile par la pandémie. Train d’exo à la gare de triage de Pointe-Saint-Charles Initialement, les voitures devaient être mises en service à partir de juin 2019. Selon le tableau de bord des infrastructures du Conseil du trésor, la mise en service complète des 24 premières voitures est prévue pour septembre 2027, ce qui représente un retard de sept ans sur les plans initiaux. Chez exo, on fait valoir qu’il s’agit seulement d’une échéance technique, qui marque la fin de ses investissements dans le programme d’acquisition. CRRC n’a pas rappelé La Presse. « Problèmes systémiques » Les trains d’exo sont loin d’être les seuls produits de CRRC à faire la manchette : des sociétés de transports en commun nord-américaines ont connu des problèmes majeurs avec leurs commandes auprès de la société chinoise. L’entreprise avait battu Bombardier Transport (maintenant Alstom) dans beaucoup d’appels d’offres dans les années qui ont précédé la pandémie. « Il y a des problèmes systémiques », a expliqué Bob Cantwell, spécialiste américain de l’industrie du matériel ferroviaire, qui contribue au média en ligne Railway Age. Ils ont pris beaucoup trop de contrats, alors qu’ils n’avaient jamais fait des affaires en Amérique du Nord avant. Bob Cantwell, spécialiste américain de l’industrie du matériel ferroviaire Le mois dernier, Philadelphie a annulé un contrat de 185 millions US datant de 2017 et pour lequel elle n’avait reçu aucun train. En mars, Boston a accepté d’accorder 275 millions US de plus que prévu à l’entreprise chinoise, en paiements et en annulations de pénalités, dans l’espoir de recevoir ses 404 voitures de métro. Les premières voitures livrées avaient connu des problèmes mécaniques importants, notamment des boulons de frein mal installés et des portes qui pouvaient s’ouvrir en plein déplacement, selon la société de transport local. Vue aérienne de la gare de triage d’exo dans Pointe-Saint-Charles « Ça devient un scénario qui se répète : CRRC fait une soumission avec des prix très bas, mais ils ne sont pas capables de livrer un produit de qualité », a continué M. Cantwell. « Les concurrents ont été sortis du jeu, Bombardier en particulier. » « Satisfaits de la qualité du produit » Chez exo, on assure toutefois ne pas être dans le même bateau que les sociétés de transport américaines. « On est satisfait de la qualité du produit qu’on a en main », a affirmé la porte-parole Catherine Maurice, en entrevue téléphonique. « Il faut quand même rappeler que tout l’équipement critique, entre autres l’équipement de communication, est de l’équipement canadien. » Les trains de CRRC sont destinés à la ligne reliant Montréal à Saint-Jérôme. Les trains sont destinés à la ligne de train de banlieue qui relie Montréal à Saint-Jérôme. L’expérience client va vraiment être renouvelée. Il y a un confort qui est vraiment à la fine pointe de ce qui se fait dans le monde ferroviaire. Catherine Maurice, porte-parole d’exo Cette commande de train a fait l’objet d’un premier appel d’offres en 2015. Bombardier Transport en avait été le seul soumissionnaire, mais son prix était trop élevé au goût de l’Agence métropolitaine de transport (AMT), l’ancêtre d’exo. Le processus avait été redémarré en abaissant le quota minimal de contenu canadien, ce qui avait permis à CRRC de proposer ses trains bien en deçà des estimations des fonctionnaires. Exo attend encore 20 voitures de CRRC. Depuis, CRRC a été montré du doigt par le Pentagone pour ses liens avec l’armée chinoise et pour son utilisation de matériaux possiblement issus du travail des enfants, selon Le Journal de Montréal. En 2019, le Congrès américain a adopté une loi qui empêche presque systématiquement le recours à CRRC pour des contrats d’infrastructure financés par des fonds fédéraux. « Il y a des enjeux crédibles de sécurité et d’espionnage liés à l’acquisition de voitures de train d’une compagnie contrôlée par le gouvernement chinois », faisait valoir à l’époque le sénateur Mark R. Warner, qui a proposé le projet de loi. La décision a été prise alors que CRRC se préparait à soumissionner pour obtenir un important contrat pour le métro de Washington. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-05-03/trains-recus-d-une-societe-chinoise/flambant-neufs-et-inutilises.php
  4. Brick

    Vidéos sur Montréal

    ⬆️ Bon, un peu fou...
  5. Brick

    Expos de Montréal

    Je suis d'accord. Depuis un bout, Bronfman parlait de ces maquettes avec émotions. Imaginez.
  6. Brick

    Expos de Montréal

    Dans le Devoir aujourd'hui: «Nos Amours. La saga des Expos de Montréal»: entre espoir et nostalgie Le réalisateur Robbie Hart sur l’Esplanade du Parc olympique à Montréal Le documentaire commence par une citation du poète britannique Alfred Tennyson qui campe bien l’état d’esprit dans lequel baigne tout le film : « Mieux vaut avoir aimé et perdu que de n’avoir jamais aimé du tout. » Au tournant des années 2000, le cinéaste montréalais Robbie Hart avait déjà consacré cinq années à la réalisation d’un premier documentaire intitulé simplement Nos Amours, qui suivait les efforts qui avaient alors été déployés en vain pour garder les Expos à Montréal. Vingt ans après le déménagement de l’équipe de baseball à Washington, il récidive aujourd’hui avec un autre documentaire, intitulé cette fois Nos Amours. La saga des Expos de Montréal. Il y suit dix autres années d’efforts, tout aussi infructueux, visant à ramener au bercail ne serait-ce qu’une demi-équipe. L’espoir Cette nouvelle histoire commence lorsqu’un ancien joueur vedette de l’équipe, Warren Cromartie, se fait le porte-étendard du retour des Expos à partir de 2012. L’expressif ex-voltigeur passera un jour le relais à un groupe de gens d’affaires dirigé par Stephen Bronfman, le fils de Charles, qui avait établi à Montréal en 1969 la première équipe des ligues majeures de baseball hors des États-Unis. On y montre de quoi aurait eu l’air le nouveau stade dont ils rêvaient au centre-ville, au bassin Peel. On y voit comment le projet de retour a semblé gagner de l’allant avec la tenue à Montréal de matchs présaison dans un Stade olympique plein à craquer. Je ne pense pas qu’il y ait eu une équipe plus malchanceuse que les Expos — Philippe Cantin On y rappelle aussi comment on avait fini par se laisser convaincre par l’idée d’une équipe en garde partagée avec la ville de Tampa Bay, en Floride, jusqu’à ce que les bonzes du baseball majeur la tuent en 2022. Et enterrent, encore une fois, les espoirs des partisans québécois. L’amour Le film de 90 minutes passe en revue quelques-uns des grands moments des 36 saisons de l’équipe. On y revoit en action Rusty Staub, Gary Carter, l’incroyable équipe dirigée par Felipe Alou, et Youppi. On retrouve aussi plusieurs anciens joueurs étoiles, comme Andre Dawson, Bill « Spaceman » Lee, John Wetteland, Larry Walker, Moise Alou et Cliff Floyd, qui ont vieilli, comme le souvenir de leurs exploits. Ils sont accompagnés par d’autres acteurs du drame, journalistes, élus et simples partisans, qui ont tous à raconter au moins un souvenir d’enfance, un moment précieux ou une anecdote qui les lie personnellement à l’ancienne équipe de baseball. Une image tirée du documentaire «Nos amours. La saga des Expos de Montréal» de Robbie Hart C’est aussi l’occasion de raviver les anciennes blessures. Le funeste coup de circuit en neuvième manche du joueur des Dodgers, Rick Monday, qui a claqué la porte de la Série mondiale de baseball au nez des Expos lors d’un match décisif en octobre 1981. La grève qui a forcé la première annulation de l’histoire de cette même Série mondiale lors d’une saison 1994 jusque-là dominée par Montréal. L’incompréhensible braderie des joueurs de cette équipe de rêve dès le lendemain de ce terrible coup du sort. Le système de partage des revenus qui est arrivé trop tard dans le baseball majeur. La duplicité de l’homme d’affaires américain Jeffrey Loria et la naïveté de ses partenaires québécois qui ont conduit au départ du club. « Je ne pense pas qu’il y ait eu une équipe plus malchanceuse que les Expos », dit dans le documentaire le journaliste sportif Philippe Cantin. Notre ancien collègue au Devoir Jean Dion parlait quant à lui d’une équipe apparemment « condamnée à passer proche ». La nostalgie On aurait pu s’attendre à voir, dans le film, beaucoup plus d’extraits de matchs et de jeux spectaculaires. À la place, on a souvent droit à des images de différents coins de la ville et à une multitude de témoignages, en anglais comme en français. « J’ai voulu rendre un hommage cinématographique à Montréal. Parce que l’histoire que je voulais raconter était surtout sociale », raconte Robbie Hart, qui a plus de 60 films documentaires à son actif. « C’est une histoire d’amour qui couvre presque 40 ans et qui montre l’incroyable pouvoir fédérateur du sport. Et comme, lorsque tu as aimé, tu peux continuer d’aimer éternellement, il est normal qu’encore plein de gens restent attachés aux Expos. » Une image tirée du documentaire «Nos amours. La saga des Expos de Montréal» de Robbie Hart Peut-être que le souvenir de leurs exploits et l’espoir de leur retour s’atténuent petit à petit pour désormais ne plus laisser que de la nostalgie. Mais ça ne fait rien. « C’est quelque chose qui continuera quand même longtemps de nous habiter. » Le sexagénaire ne s’explique pas que les Expos n’aient toujours pas « un parc, ou une place, ou une rue à leur nom à Montréal ». « Ils auront au moins mon film. » Encore l’espoir Le documentaire doit notamment prendre l’affiche dans les prochains jours dans la région de Montréal, dans des cinémas Guzzo ainsi qu’aux cinémas du Musée et Beaubien. Son auteur compte bien aussi pouvoir le montrer ailleurs au Québec. Ce n’est pas la première fois que le documentariste décide de faire un second film sur le même sujet plusieurs années plus tard pour voir ce qu’il est advenu de ses personnages principaux. « Vous me direz que, dans le cas de mes histoires sur les Expos, j’en suis déjà rendu à deux prises. Mais qui sait ? Je ferai peut-être un jour un troisième film, qui racontera la venue à Montréal d’une nouvelle équipe de baseball professionnelle des ligues mineures, comme l’étaient les Royaux de Montréal au temps de Jackie Robinson ou comme l’est le Rocket de Montréal au hockey aujourd’hui ? Qui sait ce qui peut arriver ? Ce n’est pas fini tant que ce n’est pas fini. » Nos Amours. La saga des Expos de Montréal Documentaire de Robbie Hart, Québec, 2024, 92 minutes. En salle dès le 3 mai. http://url4076.ledevoir.com/ls/click?upn=u001.u5fP6CjschWVz-2B-2BJCjMy2d0DbLyoi6nGyDdbkcYjJF49pMIoZNvxMQSP2XeV4HsFhvxL084voYkLayNOxMFCDetSgYTW6VIRTGrQc6p5ibGHQjnawpfKWdtIMlkD2v19-2B20np5dx3VWBaLwf8iQoeg-3D-3DHTts_Xtt4-2FBpONRcUua7JLxmdyMhJQ-2B85d-2FEXCpPPJUB024mfwNrZK9Qh69rbLOgr11DEZEHC5bs8DDNZtLdZ18cXEKLUYGV8sRxt2bSQ3mxDOJRwGa8BDtRFoOjcaPHqFuISwfzmwlxCA44JVXxG0Anmt5DmK5EbWA7ujEbOEQZFAUX5FzWxUkDpCRToNd0oXzD6kEOWWk2BMpj2-2BdGagDZRPw-3D-3D
  7. ⬆️ Je ne sais pas comment j'ai réussi à liker deux fois la même publication. 😈
  8. Le Natatorium de Verdun sera démoli Montréal recommande officiellement la démolition du pavillon du Natatorium de Verdun. Le bâtiment patrimonial souffre de problèmes structurels critiques. « Le scénario recommandé en est un de reconstruction du pavillon des baigneurs », a déclaré la mairesse de l’arrondissement, Marie-Andrée Mauger, lors d’une soirée d’information mardi soir. « Quand on m’a proposé un scénario de reconstruction, je ne l’ai pas accepté », a-t-elle mentionné. Son premier choix était plutôt la restauration. Or, il était impossible de conserver la majorité des composantes du bâtiment. « Le scénario de reconstruction, c’est le scénario de dernier recours. » Le coût de la reconstruction est estimé à environ 30 millions. Rénover le bâtiment est plutôt évalué à 40 millions. Le pavillon des baigneurs, où se trouvent les vestiaires et les douches, sera démoli, mais le site du Natatorium va demeurer. « La piscine publique extérieure et l’expérience de la baignade, ce n’est aucunement remis en question », précise la mairesse. Des citoyens se sont toutefois opposés à la destruction du bâtiment, se désolant de la perte du patrimoine. « Je suis très concerné par le fait que généralement on privilégie toujours au Québec de détruire et refaire quelque chose de nouveau, alors qu’on ne garde pas l’historique fondamental d’une ville ou d’un endroit », a déclaré un résidant lors de la soirée. Le Natatorium de Verdun a été inauguré en 1940 et était alors la plus grande piscine extérieure du Canada. Elle accueillait entre 50 000 et 70 000 baigneurs chaque été. Plusieurs générations de Montréalais ont des souvenirs d’enfance liés à ces lieux. Le pavillon Art déco a été construit en même temps que l’Auditorium de Verdun. En 2017, des travaux ont été entamés sur le bâtiment par la Ville de Montréal, afin de le rendre accessible aux nageurs à mobilité réduite. Le chantier a toutefois été rapidement stoppé, la même année : d’inquiétantes fissures ont été découvertes dans la structure de béton, notamment dans les vestiaires et dans le plafond du rez-de-chaussée. Des supports ont dû être installés. Le bâtiment est fermé depuis. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-04-30/le-natatorium-de-verdun-sera-demoli.php
  9. Es-tu en train de nous dire que les employés de Drummondville utilisent la technique Boeing pour faire fitter des pièces ensemble?
  10. Brick

    Kodak d'Or 2024

    Je vais accepter un autobus! 😂😂😂 Deux de la ligne 15 en attente hier, merci! 😇
  11. Most people from the west, maybe. Most people from Eastern Townships take the REM, the 10, oops the Boulevard Bonaventure... Il ne faut pas oublier que la ville a voulu en faire une entrée «prestigieuse»... Haleco, prestige et PM ne vont pas ensemble.
  12. Comme ils sont beaux! 😁 Remarquez le York à droite.
  13. Parc Canada a osé dire que les endroits où les poubelles avaient été enlevées n'étaient pas plus sales que les endroits où il en restait. Mensonge.
  14. Entendu à Radio-Canada, Parc Canada réinstalle les poubelles...
  15. ⬆️ La mairesse à vélo pour faire le ménage... Ensuite, les SDF, quel lien! 😁
  16. Je crois qu'il ne s'est pas bu que de la bière à ton arrivée au meet! 😂
×
×
  • Créer...