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  1. Journal de Montréal: MONTRÉAL – Ivanhoé Cambridge s’apprête à donner une cure de jeunesse au Reine Elizabeth, son hôtel emblématique, situé dans le centre-ville de Montréal. Les rénovations que subira l’établissement, affilié à Fairmont, font partie d’un plan d’ensemble qui touche l’ensemble des propriétés de l’entreprise, située dans le centre-ville de la métropole. C’est ce qu’a indiqué Daniel Fournier, le chef de la direction de la filiale immobilière, lors de la publication des résultats annuels, mercredi. ---- Je ne sais pas si il y s'agit de réfection ou de rénovations intérieures, mais voilà, c'est déjà ça!
  2. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200908/25/01-895773-george-w-bush-donnera-une-conference-a-montreal.php http://montreal.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20090825/mtl_bush_090825/20090825/?hub=MontrealHome Damn! I hope I can get in some how. I wonder who does the inviting? I just hope that a bunch of leftists don't try and storm the place or something. It will make the city look terrible.
  3. Valeurs mobilières : compétence fédérale ou provinciale? Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement 09:56 Est-ce que la réglementation des valeurs mobilières est une compétence dont héritent les provinces ou peut-elle être ramenée sous le giron fédéral en cas de besoin selon la constitution? La réponse n'est ni simple ni absolue, c'est que les deux argumentations pourraient très bien être défendues devant un tribunal. Si l'on se fie à la constitution, la réglementation des valeurs mobilières tomberait dans le giron des provinces, mais pourrait aussi être d'intérêt national donc de compétence fédérale, selon Elizabeth Lamarre, coordonnatrice à la maîtrise notariale à l'Université d'Ottawa et auteure d'un mémoire de maîtrise sur le sujet. « À la base, c'est une compétence provinciale, mais ça peut être contesté, explique celle qui a travaillé à la Commission des valeurs mobilières du Québec de 1999 à 2004. L'article 92 (16) de la constitution dit que c'est de nature purement locale ou privée dans la province ou même pourrait aussi se justifier sous l'article 92 (13) en évoquant le concept de propriété et des droits civils dans la province. Il pourrait aussi être d'intérêt national et devenir une compétence fédérale, selon l'article 91 de cette même Loi. Les deux côtés se défendent. » Elle ajoute que « les deux côtés pourraient être plaidés devant la Cour Suprême. C'est une question très politique et est-ce que les investisseurs seraient mieux servis avec une seule grosse commission? Je n'en suis pas certaine, mais ça dépend du rôle que la Commission nationale aurait. » Même si la réglementation a été largement uniformisée avec l'arrivée du passeport et que la fusion de la Bourse de Toronto avec la Bourse de Montréal a contribué à aplanir les différences entre les divers marchés provinciaux, il n'en reste pas moins que des particularités demeurent. « Par exemple, pour un émetteur québécois qui fait un placement au Québec, avoir accès à une commission qui parle dans sa langue et qui connaît le droit civil, comme la loi des compagnies du Québec, sera plus facile que d'aller devant une commission nationale qui serait basée à Toronto », souligne-t-elle. Si en valeurs mobilières, les lois se ressemblent entre les provinces, les différences persistent toutefois dans les diverses lois corporatives. Des bureaux provinciaux où la réglementation pourrait être adaptée au marché constitueraient une solution possible dans le cadre de la mise en place d'une commission unique. « Prenons l'exemple d'une commission nationale qui ferait dans le minier, alors n'y a presque que l'Alberta qui en fait, indique Elizabeth Lamarre. Je ne sais pas si une commission provinciale albertaine ne serait pas mieux placée pour réglementer son marché qu'une grande commission nationale basée en Ontario. » Quant au passeport, il jouait jusqu'ici le rôle d'harmonisateur que le gouvernement Harper semble vouloir faire jouer à une commission unique. Elizabeth Lamarre suggère qu'on laisse sa chance au système que les provinces ont mis en place, car il est très récent. « La majorité des commissions ont harmonisé leurs lois et le passeport a amené beaucoup d'avantages, est-ce qu'une commission nationale aiderait davantage? Je n'en suis pas certaine, conclut
  4. L'hôtel Reine Élizabeth fête ses 50 ans 5 avril 2008 - 18h08 La Presse Simon Diotte Lors de sa construction, l'hôtel Reine Elizabeth n'avait pas uniquement comme fonction d'accueillir l'élite économique du Québec. Il devait aussi combler un trou béant laissé par les voies ferrées de la gare Centrale. Son avènement, combiné à l'ouverture de la Place Ville-Marie quelques années plus tard, marqua le déménagement définitif du centre-ville du Vieux-Montréal vers les lieux actuels. Cinquante ans plus tard, le Reine Elizabeth, avec ses 1039 chambres, ce qui lui confère le titre du plus grand hôtel canadien à l'est de Toronto, demeure d'une importance capitale pour Montréal. «Depuis son ouverture, il a toujours été le bateau amiral de l'industrie hôtelière montréalaise en raison de son emplacement exceptionnel et de ses grands espaces dévolus aux congrès», affirme Gilles Larivière, président de la division montréalaise Horwath HTL, importante firme de consultants en hôtellerie. Ce grand hôtel a pourtant failli ne jamais voir le jour. Les premiers plans été tracés en 1911, mais son promoteur, Canadien Nord, a fait faillite. Le projet est repris en 1929, avec l'ajout d'une gare souterraine et d'édifices à bureau. Les travaux débutent, mais la crise économique fait tout arrêter. Il subsiste alors un énorme trou au coeur de la métropole pendant des années. «Il a fallu construire un pont sur René-Lévesque (anciennement Dorchester) pour enjamber cette excavation, que les Montréalais avaient en horreur», rappelle David Hanna, directeur des programmes d'études supérieures au département des études urbaines de l'UQAM. Ce n'est qu'en 1938 que les travaux reprennent avec la construction de la gare Centrale, complétée en 1943. Quant à la construction du «Queeny», elle ne commence que dans les années 50. Ça représente alors tout un défi technique. Pour le soutenir au-dessus des voies ferrées de la gare Centrale et amortir les vibrations du passage des trains, le bâtiment de 21 étages en forme de "L" repose sur 160 piliers de béton. À son ouverture, il est le deuxième plus grand hôtel du Commonwealth et devient l'un des premiers hôtels américains dotés d'escaliers roulants et d'une climatisation centrale. Son promoteur est le Canadien National, une société d'État. Son président, Donald Gordon, Écossais d'origine au tempérament fougueux, choisit de le baptiser Le Reine Elizabeth, en l'honneur de la jeune reine qui vient d'accéder au trône en 1952. Toutefois, cette décision est perçue comme une insulte par les francophones. Une pétition, qui recueille 250 000 signatures, réclame qu'on lui accole le nom de Château Maisonneuve, en l'honneur du fondateur de Montréal. En vain. Donald Gordon persiste et signe. Si les francophones semblent avoir passé l'éponge sur cette vieille controverse, un autre aspect du Reine Elizabeth ne fait toujours pas l'unanimité: son style architectural, qui adopte le courant du fonctionnalisme. Richard Payette, directeur général de cet hôtel de la chaîne Fairmount, en est parfaitement conscient. «Il existe deux écoles de pensée à ce sujet: certains ne trouvent aucune vertu architecturale à ce bâtiment, alors que d'autres apprécient son style épuré, symbole d'une époque», dit-il. M. Payette invite les gens à visiter l'intérieur de l'hôtel. «C'est là où on est vraiment sexy», dit-il à la rigolade. L'établissement vient d'ailleurs de subir une cure de rajeunissement de 40 M$ au début des années 2000. Le plus remarquable, c'est le hall, aussi long qu'un terrain de football canadien. Autrefois sombre et austère, il est maintenant inondé de lumière, grâce à l'aménagement du salon de thé en façade. Depuis son ouverture, le Reine Elizabeth accorde une importance continue aux oeuvres d'art et les dernières rénovations n'ont pas fait exception à la règle. Dans les corridors, les chambres et les salles communes, on retrouve des oeuvres originales et des lithographies d'artistes renommés, la plupart originaires de Montréal. «Il a fallu que je me batte avec les designers pour inclure des tableaux originaux dans notre décor, car il est davantage courant d'insérer des reproductions», raconte M. Payette en m'invitant à faire le tour du propriétaire. Se balader dans cet hôtel permet de saisir une partie de ce qu'est l'art actuel québécois et canadien. Si le Reine Elizabeth a conservé son prestige au fil des décennies, c'est aussi grâce au Beaver Club, l'une des meilleures tables à Montréal. Il tire son nom d'un prestigieux club privé qui était situé autrefois sur Beaver Hall et qui regroupait les puissants marchands de fourrure. À ce titre, son décor était encore constitué de vieux panaches jusqu'à tout récemment. Ils viennent d'être mis au rancart. On ne peut évidemment parler du Reine Elizabeth sans glisser un mot sur les célébrités qui l'ont fréquenté. Outre la reine d'Angleterre elle-même, Charles de Gaulle, Mikhaïl Gorbatchev, Nelson Mandela y ont séjourné. Son épisode le plus célèbre: le bed-in de John Lennon et Yoko Ono, dans la suite 1742, afin de protester comme la guerre du Vietnam. C'est dans cette chambre, en 1969, qu'ils enregistrèrent Give Peace A Chance, un hymne qui marqua une époque.
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