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  1. Enfin un peu de densification dans ce secteur de la rue Sherbrooke Est! À proximité du métro Cadillac, en remplacement du Roasters. Un projet d'une grande densité si on le compare aux petits restos ou centres d'achat de banlieue autours. On m'a indiqué que le site internet serait ouvert dans une semaine environ. La soirée de lancement à lieu demain, sur place (29 octobre). Un rendu est affiché à l'entrée du bâtiment actuel. On m'a aussi donné une affiche. En résumé : Disparition d'un commerce pavillonnaire pour un bâtiment de 6 étages Commerces au RDC Faible marge de recul Revêtement rouge (probablement de la brique) et blanc (impossible de voir s'il s'agit de brique ou d'alu) Bref, un excellent projet pour le coin.
  2. Saignée des sièges sociaux: le Québec perd le contrôle 15 septembre 2011 | 06h54 Plusieurs prises de contrôle d’entreprises québécoises ont été désastreuses pour le Québec au cours des dernières décennies. (Photo: Agence QMI) Les ventes et les fusions de fleurons comme Provigo, Canstar, le fabricant des patins Bauer, ou Microcell, l’ancien propriétaire de Fido, ont entraîné la délocalisation d’importants centres de décisions et de milliers d’emplois hors de la province. Le nombre de sièges sociaux établis à Montréal a fondu de 16 % en deux décennies, selon le dernier classement de l’Institut Fraser, obtenu en exclusivité par Argent. La métropole abritait le cœur administratif de seulement 81 grandes entreprises en 2010 alors qu’elle en comptait 96 en 1990. Les entreprises recensées par l’Institut se retrouvent dans le palmarès des 500 plus grandes compagnies canadiennes du «Financial Post». Des données compilées par Argent montrent par ailleurs que les effectifs montréalais ou québécois des sociétés qui ont changé de mains ont dans plusieurs cas fondu de plus de 50 % en quelques années seulement. L’achat de Canstar par Nike en 1994 a par exemple provoqué la disparition de près de 1200 emplois dans les bureaux montréalais de l’entreprise et à son usine de Saint-Jérôme. RioTinto s’est départi de 1000 employés d’Alcan à la suite de l’acquisition de la multinationale en 2007 (NDLR : certaines filiales ont été vendues). L’ontarien Rogers a aussi sabré près de 1000 emplois au siège social de Microcell après avoir acheté le créateur de Fido. Chez Provigo ce sont au moins 600 postes qui ont été abolis, uniquement au siège social. La moitié de l’équipe de gestion en place lors de la prise de contrôle de Loblaw. Mais la purge serait encore plus importante selon des sources. «C’est un désastre ce que Loblaw a fait», a commenté Gaétan Frigon, l’ancien président de la SAQ et Loto-Québec qui a aussi occupé des postes de direction chez Metro. Il y a quelques semaines, l’homme d’affaires a dénoncé sur son blogue le transfert de la gestion de Provigo de Montréal à Toronto. Il estime que l’élimination de nombreux postes de direction a provoqué le déclin de la bannière au Québec. «Les décideurs de Toronto ne peuvent pas voir et comprendre comment ça se passe dans le marché québécois», a ajouté M. Frigon. Plusieurs experts estiment que les Québécois doivent s’empresser de reprendre le contrôle de leur économie et de leurs entreprises pour éviter qu’elles se transforment en succursales. «Si nous continuons d’agir comme nous le faisons actuellement, il est évident que notre économie va subir un déclin», a expliqué Oona Stock, associée chez Secor. Dans le contexte actuel, certains observateurs surveillent de près la situation de Bell Canada. Ils craignent une perte d’influence de Montréal au profit de Toronto, car la majorité des dirigeants travaillent dans le Ville Reine même si le siège de la compagnie demeure dans la métropole. L’érosion des sièges sociaux n’atteint pas seulement Montréal. La vente du fabricant de sandales Crocs à des investisseurs américains s’est soldée par la disparition de près de 1000 emplois à Québec. Exit le pouvoir et le talent L’impact de la disparition d’un siège social ne se mesure pas uniquement en termes de pertes d’emplois. «Ça entraîne aussi des répercussions directes sur l’activité économique», a indiqué Niels Veldhuis de l’Institut Fraser. Chaque fois qu’une entreprise délocalise des postes de direction, ce sont des emplois prestigieux et bien rémunérés qui s’envolent. La disparition de ces fonctions de haut niveau entraîne l’exode de talents et la perte de retombées économiques. «Certains choisissent de déménager pour poursuivre leur carrière. Mais ceux qui ne veulent pas s’établir à Toronto ou ailleurs deviennent consultants et ont beaucoup moins d’argent à dépenser», a indiqué un ancien vice-président qui préfère conserver son anonymat. «La perte d’un siège social provoque toujours de graves conséquences dans une économie parce que ces entreprises-là génèrent de la plus value. Elles donnent des contrats à des firmes d’avocats ou de comptables», a ajouté Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc croit par contre que la situation s’améliore puisque le nombre de sièges sociaux montréalais a progressé l’an dernier. Il est passé de 76 à 81 de 2009 et 2010, selon le classement de l’Institut Fraser. L’Institut Fraser recommande d’éviter les conclusions hâtives, car des compagnies québécoises peuvent s’être retrouvées au palmarès parce que d’autres en ont été éliminées. «On doit mettre les pertes de côté et s’intéresser aux compagnies qui vont prendre de l’expansion», a prôné Michel Leblanc, précisant que Couche-Tard et MegaBrands sont en croissance. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110915-065432.html
  3. La banque n'a toujours pas éclairci le mystère entourant la disparition possible de renseignements personnels au sujet de près d'un demi-million de ses clients, deux ans après l'incident. Pour en lire plus...
  4. La banque n'a pas annoncé l'adossement espéré à un partenaire stratégique solide, relançant les craintes récurrentes sur sa survie sur un marché échaudé par la disparition. Pour en lire plus...
  5. Tant qu'à moi c'est un plus pour un moins. Dommage pour Quebecor, mais tant mieux pour l'environnement. ---------------------------- Disparition du catalogue annuel Canadian Tire * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 28 mars 2008 Canadian Tire ne précise pas combien elle économisera en coûts d'impression, mais précise que l'argent économisé servira à la publicité. Photo: Bloomberg Autre tuile pour l’imprimeur Quebecor World puisque le détaillant Canadian Tire a décidé de ne plus faire imprimer ses catalogues qui sont envoyés à des millions de foyers canadiens chaque année. Le gant du commerce de détail affirme avoir fait plusieurs analyses d’habitudes de magasinage de ses clients pour conclure que les consommateurs passent maintenant beaucoup plus de temps en ligne pour obtenir des informations. D’autres études confirmant que le lectorat et la conservation des catalogues annuels diminuent ont convaincu Canadian Tire de mettre un terme à l’impression annuelle d’un catalogue qui sera maintenant disponible en ligne. Canadian Tire ne précise pas combien elle économisera en coûts d'impression, mais précise que l'argent économisé servira à améliorer la présentation en ligne, de même qu’en publicité. La décision de Canadian Tire est un autre coup dur pour Quebecor qui avait fait savoir la semaine dernière qu'il ne s'opposerait pas aux efforts du magazine The Economist pour préserver son droit de mettre fin à son contrat plus tard cette année. The Economist a demandé à un juge américain la permission de fournir un avis formel à Quebecor World, avis qu'il dit être nécessaire parce que l'imprimeur poursuit ses activités en bénéficiant de la protection de la loi sur les faillites pendant qu'il tente de se dépêtrer de ses difficultés. Avec Canadian Press http://www.lesaffaires.com/article/0/commerce-et-produits-de-consommation/2008-03-28/474790/disparition-du-catalogue-annuel-canadian-tire.fr.html
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