Aller au contenu

Secteur Le Triangle (Projet global)


monctezuma

Messages recommendés

  • 3 mois plus tard...
I disagree that building more suburban type development in the city is a bad thing, it's actually one of the best way to bring people to live in Montreal, people are ready to go through long commutes to have more than a small balcony sandwiched between a street and an alley, and building this kind of dwellings it not what will bring them back.

 

There's a way to get some density yet still give it a more suburban feeling, with buildings surrounded by parcs, placed a bit further away from the street, and yet build taller structure and underground parkings.

 

I quite agree with you on this one, WestAust, Toronto having understood this for decades while few examples could be found right here in the city of Mtl, in spite of immese vacant lots! A few local examples of successful "suburban type" of developments surrounded by green spaces: Habitat '67 / Tropiques nord, ÎdS, Laval, Longueuil, and eventually les Bassins du nouveau-havre (although green spaces seems quite squished in between blgs if i judge from the renderings)... While Toronto has many dozens of such mini-cities.

 

The suburban type of developments we all-too-often see in Mtl are triplexes with almost no land on the front, little in the back, and usually exclusively private. So we get central old neighbourhoods (like the Plateau) where we feel "boxed in" in monotonous long triplex canyons, not much greenery to break the starkness of asphalt, concrete sidewalks & brick. This vision is in opposition to green spaces we may insert between highrises, all around many of them, while the bldgs could be varied in volumetry, shape, height, architecture and spacing.

 

We yet have to learn to densify intelligently in Mtl! :stirthepot:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 mois plus tard...
  • Administrateur

Secteur Namur-Jean-Talon Ouest (Côte-des-Neiges)

Arrondissement: Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce

 

307758.jpg

 

Secteur bordé par les rues Jean-Talon Ouest et Buchan et par l'avenue Mountain Sights, à l'est de l'autoroute Décarie

 

Potentiel: environ 3200 logements de divers types, dont 30% seront abordables et sociaux, avec des commerces et des espaces à bureaux

Prévu: la création d'un parc

 

L'arrondissement mise sur les stations de métro Namur et De la Savane, au nord de la rue Jean-Talon Ouest, pour revitaliser une vaste zone commerciale et industrielle en déclin.

 

Déjà, plusieurs promoteurs sont à l'oeuvre et contribuent à transformer le secteur. Divers types de logements pourront être construits. Certains des immeubles résidentiels auront trois ou quatre étages, tandis que d'autres en auront jusqu'à 10 ou 12.

 

Diverses mesures seront par ailleurs mises en place pour diminuer le recours à l'automobile et favoriser les déplacements à pied, en vélo et en transports en commun, dans un environnement beaucoup plus vert.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...
  • 3 mois plus tard...

Le 23 septembre 2011

Un grand parc au coeur du Triangle

 

380242-agence-catalyse-urbaine-propose-creer.jpg

L'agence Catalyse Urbaine propose de créer un vaste parc de forme arrondie au centre du quartier dorénavant appelé Le Triangle.

 

illustration fournie par catalyse urbaine, architecture et paysages

 

Danielle Bonneau

 

La Presse

 

Trois complexes immobiliers sont en construction à l'est du boulevard Décarie, au nord de la rue Jean-Talon Ouest, et le bureau des ventes d'un quatrième projet vient de s'installer. C'est prometteur pour cet ancien secteur industriel et commercial en déclin, en train d'être complètement redéfini. Pour en faire un véritable quartier résidentiel vert, favorisant les déplacements à pied, à vélo et en transports en commun, un concours de design urbain a été lancé en mai dernier. C'est la vision de l'agence Catalyse Urbaine, architecture et paysages qui a été retenue et qui guidera la métamorphose du secteur, dorénavant appelé Le Triangle (letrianglemontreal.com).

 

La grande force du quartier ? La proximité des stations de métro Namur et De la Savane. La construction d'environ 4000 logements de divers types étant prévue au cours des prochaines années, l'équipe lauréate recommande de créer des espaces publics de qualité et de placer un parc au centre de la vie des gens. Beaucoup de résidants auront peu d'accès à un espace extérieur, outre leur balcon, fait remarquer Juliette Patterson, à la fois architecte et architecte-paysagiste et cofondatrice de Catalyse Urbaine.

 

Ce parc, relié à d'autres aires vertes, aura une forme arrondie, puisqu'il s'insérera entre les rues Paré et Buchan, qui forment une courbe à la rencontre de l'avenue Victoria. « Ce grand espace vert mettra en valeur les vues vers l'oratoire Saint-Joseph et le mont Royal, précise Mme Patterson. Cela accélérera la croissance du secteur. »

 

L'avenue Victoria, au nord de la rue Jean-Talon Ouest, sera fermée à la circulation automobile pour devenir une allée piétonnière bordée d'arbres. Une nouvelle place publique, qui s'appuiera sur la courbe du parc, deviendra le point de rencontre de ceux qui se déplaceront aussi bien à pied, à vélo qu'en tramway.

 

« Rue Jean-Talon, à l'entrée de la place, il pourrait y avoir différents commerces d'alimentation au rez-de-chaussée d'un nouvel immeuble, précise Mme Patterson. Un espace extérieur pourrait être loué à des producteurs locaux, qui pourraient y être de façon plus temporaire. »

 

La rue Paré, empruntée par de nombreux écoliers, deviendra quant à elle plus étroite, sécuritaire et verte, avec ses arbres et ses arbustes fruitiers. Après les classes, les jeunes pourront s'arrêter dans le parc pour jouer au basketball ou au ping-pong dans les aires prévues à cette fin. Le parc de la Savane ? Il sera préservé en majeure partie. Seul le terrain de baseball, situé plus au nord et peu utilisé, pourrait être éliminé.

 

« Comme il y aura une augmentation importante de la population, il faut un espace public d'une certaine dimension, estime Ken Greenberg, architecte et designer urbain réputé de Toronto, qui était président du jury. Nous considérons qu'il est possible, par une opération immobilière, d'acheter et d'échanger certains terrains pour créer ce grand parc, qui sera un atout pour la vie du quartier. Nous croyons aussi que les résidants vont s'approprier les espaces qui seront conçus. »

 

Des logements abordables

 

Pour attirer des familles et offrir des logements abordables, des immeubles de brique et de bois de trois étages seront construits autour du parc, maintient Daniel Lafond, directeur de l'aménagement urbain et des services aux entreprises de l'arrondissement, qui siégeait au jury. « On densifiera beaucoup en périphérie, rue Jean-Talon par exemple, où sont construits des immeubles de 10 et 12 étages », dit-il.

 

La création de logements communautaires, par ailleurs, importe beaucoup. L'arrondissement a innové en instaurant un fonds auquel contribuent les promoteurs qui construisent des complexes immobiliers de moins de 200 unités. Ceux qui réalisent plus de 200 appartements doivent trouver un terrain à proximité et le céder, ce qu'ont fait les promoteurs de Condos Vue.

 

Le concours de design urbain est une initiative du Bureau de design de la Ville de Montréal et de la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça se bâtit vite dans ce coin-là, très prometteur!

 

Toutefois, je suis en total désaccord quant à piétoniser la rue Victoria au nord de J.-Talon, puis conserver Paré ouverte (ce devrait être l'inverse). Ça enclaverait entièrement le quartier, tout en créant des bouchons monstres pour ceux qui n'auraient plus le choix de prendre soit la voie de service de Décarie ou zigzaguer via de la Savanne, alors que Décarie et J.-Talon sont congestionnés 3-4 heures min. par jour!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Prenons garde de ne pas trop compromettre les activités commerciales, industrielles dans ce secteur de Montréal. Une gentrification du secteur est souhaitable mais ne doit pas se faire au détriment des autres secteurs de fréquentation de territoire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Prenons garde de ne pas trop compromettre les activités commerciales, industrielles dans ce secteur de Montréal. Une gentrification du secteur est souhaitable mais ne doit pas se faire au détriment des autres secteurs de fréquentation de territoire.

 

Absolument! Une partie des employés de ces firmes choisiront justement d'acheter une propriété plus rapprochée de leur boulot, au lieu de devoir se taper Décarie + Métropolitaine ou Champlain à pas de tortue.

 

Et quant aux urbains ou banlieusards qui opteraient pour ce futur quartier: ils le feront parce que c'est une solution moins coûteuse que les quartiers centraux, sans pour autant sacrifier une certaine vie de quartier avec espaces verts, tout en étant à proximité des transports collectifs vers le c-v. Un projet winner à plus d'un égard.

Modifié par FrancSoisD
oubli
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 années plus tard...

Dans The Gazette (voir vidéo sur le site)

 

Residents fear Le Triangle's promised green heart is in peril

René Bruemmer

Montreal Gazette

Published on: March 1, 2015

Last Updated: March 1, 2015 9:02 PM EST

 

It was the promise of an expansive oval park and pedestrian friendly community that convinced Jean Dermine to buy his two-bedroom condo in the new Le Triangle residential district in Côte-des-Neiges.

 

But years after the park was first proposed, it’s no closer to being built, and rush hour traffic still rushes by his home. And Dermine fears landowners holding out for a better price could be putting the dream of green space at risk for him and 7,000 neighbours in one of the largest residential development projects on the island.

 

Critics say it’s another example of Montreal’s inability to wrest control of major residential projects from developers to build the family-oriented communities the city needs.

 

Montreal set its sights on the 40-hectare triangular zone of low-rent office space, car dealerships and light industry just east of the Hippodrome as early as 2007.

 

To avoid the ills that beset Griffintown, where developers bought up land to build high-end condominiums at the expense of daycares, schools and thus families, the city sponsored a Canada-wide design competition in 2011.

 

Architecture firm Catalyse Urbaine won a $1.1-million contract to design the surroundings for the 3,500 condominium units expected to be built. The city promised a mixed-use neighbourhood featuring small businesses and services. Other promises include the possible creation of a suburban train station to add to the two métro stations in the neighbourhood, and a tramway linking the sector to downtown. And, of course, the park.

 

“The governing idea of the proposition developed by Catalyse Urbaine is to develop a park in the heart of the neighbourhood,” the city’s website reads. “This large green space will be ideal for outdoor activities, encourage social exchanges and create a strong identity for the neighbourhood.”

 

Developers used the park plans to sell Dermine and others on the site, and continue to do so. So far, 2,000 units have been built, mostly in eight- and nine-story buildings still surrounded by vacant lots.

 

But the refusal to budge by some landowners is putting the park’s existence at risk. And promises to close certain streets to stop drivers using the neighbourhood as a shortcut to the Décarie Expressway and Metropolitan Autoroute are also in doubt.

 

In November, Dermine and 967 condominium owners signed a petition and brought it to city hall to express their fear the park will not be built, and frustration that the building schedule has been postponed, including $60 million in city infrastructure work.

 

“Most people bought because they were promised a beautiful park and that the traffic would be lessened, because Victoria Ave. would be closed,” Dermine said. “People feel as though they have been swindled.”

 

Hardest hit are young families who bought years ago and whose children may be too old to use the park by the time it’s built, Dermine said. If it’s built.

 

“They are right to be upset,” said Magda Popeanu, city councillor for the Côte-des-Neiges district. “These people have bought condos, expensive condos, in a project that was supposed to be green and transit-oriented to keep families in the city.”

 

Popeanu and property owners acknowledge the borough had no control over anti-corruption background checks imposed on contractors in the wake of the Charbonneau commission that stalled the work by a year. But they say the borough’s main failing was not to put a reserve on the land it intended to acquire for park purposes sooner. Issuing a reserve indicates the city’s intent to purchase the property, and usually leads to expropriation. Once a reserve has been placed, the city is not responsible to pay for any upgrades property owners might make to extract a higher price.

 

Two high-end car dealerships occupy the land earmarked for the park.

 

The city waited until September 2013 to issue reserves. In the meanwhile, the dealerships have upgraded, Popeanu said.

 

“Every time a new condo building goes up, they say ‘Oh great, my property values just went up.’ ”

 

Some blame former borough mayor Michael Applebaum, who promised to handle the issue. Applebaum was arrested in 2013 on 14 charges including fraud and breach of trust in connection with two real estate projects.

 

What the city needs most is a better step-by-step process for acquiring property, Popeanu said.

 

Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce mayor Russell Copeman, who was elected in November 2013 and is also the city’s executive committee member responsible for urban affairs and real estate transactions, said the previous administration opted to try and negotiate a deal with landowners. History has shown negotiated settlements typically cost half as much as expropriations, in which the final cost is determined by Quebec’s Tribunal Administratif, Copeman said. Issuing reserves was complicated by the fact the land in question is the property of multiple owners.

 

“I understand (the residents’) frustration,” Copeman said. “But we have to balance a responsible use of public funds with a desire to create green space. Our objective is to, in as much as possible, balance what we believe is a reasonable price for these properties against the desire to satisfy the legitimate expectations of the residents.” Copeman would not give property values for risk of hampering the negotiations, but said they ran into the millions of dollars. Discussions are ongoing, he said, and planned infrastructure work is underway.

 

Residents like Marie-Hélène Bérubé say they trust in the good intentions of Copeman and the borough. But they worry it may be too late.

 

“All I want is that the park will be built where it was initially planned, and that the neighbourhood I chose to live in will be a secure, green, family-oriented place,” she said.

 

Rbruemmer@montrealgazette.com

 

 

twitter.com/renebruemmer

Modifié par ScarletCoral
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...