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Si on avait laissé faire l'ancien recteur jusqu'au bout, l'édifice serait au moins complété et tant pis pour la situation financière de l'UQAM elle aurait été précaire de toute façon, édifice complété ou non. Les vérificateurs comptables auraient dû attendre la fin du projet avant de sonner l'alarme, la situation aurait été beaucoup plus facile à contrôler qu'aujourd'hui avec un projet semi-complété et des poursuites à gauche et à droite.

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:thumbsdown: Le problème vient davantage de Busac que du gouvernement ou de l'UQUAM lui-même. C'est Busac qui a abusé de l'inexpérience des gens de l'UQUAM pour leur faire prendre tous les risques financiers en se gardant le beau rôle. Ils les ont piégés et aujourd'hui l'aBusac tente de retirer le maximum de profit de cet imbroglio incroyable.

 

L'aBusac n'en est pas à son premier dossier tordu, c'est elle qui devait développer la tour du stade en bureaux, elle s'est planté ou a-t-elle planté le gouvernement?

 

Elle a voulu présenter une soumission pour le projet de maison de l'OSM, le gouvernement a poliment refusé. Il y a parmi les promoteurs des gens responsables et d'autres du genre prédateurs.

 

Sans vouloir faire le procès de cette compagnie affiliée à une autre, celle là américaine de New York, qui est davantage gestionnaire que promoteur, elle n'a rien réalisé de concret à Montréal bien qu'elle se présente comme gestionnaire de projet. D'ailleurs sur son site internet elle présente toujours son unique projet en ''construction'', soit l'ilôt Voyageur, comme si c'était business as usual.

 

A vous de tirer vos conclusions...

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Busac a été fairplay dans tout ça. Il serait selon moi inapproprié de leur mettre le blâme sur le dos.

 

Si l'UQAM, une université capable de former des comptables à la pelletée, n'est pas capable de comprendre ce qu'elle signe, c'est son problème.

 

Busac a été très honnête, dès le début tout le monde savait que l'UQAM prenait tous les risques et c'est en partie pour cette raison que les étudiants chialaient dans ce dossier.

 

L'UQAM s'est pensée au-dessus de tout ça, la direction a pris des décisions unilatérales sans consulter personne, elle est la seule responsable.

 

On ne peut reprocher à Busac d'avoir tenté de faire de l'argent légalement.

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On ne peut reprocher à Busac d'avoir tenté de faire de l'argent légalement.

 

C'est clair qu'il y a eu négligence de la part de l'UQAM et qu'ils ont signé un contrat qui avantageait outrageseument le promoteur. Je pense qu'ils vont tenté de plaider la "mauvaise foi" du contrat pour le faire lever, celui-ci ne comportant aucun partage du risque il pourrait être jugé "déraisonnable".

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L'aBusac n'en est pas à son premier dossier tordu, c'est elle qui devait développer la tour du stade en bureaux, elle s'est planté ou a-t-elle planté le gouvernement?

 

BUsac n'as rien fait de croche dnas le dossier de la Tour de Montréal.

 

C'est un endroit défavorisé de la ville. Les compagnies ne veulent pas vraiment être situées là. C'était prèsque impossible de trouver assez de locataires pour remplir la tour.

 

Busac avait reçu de l'argent du Gouvernement pour la construction et la rénovation (intérieur) de la Tour. Ils ont dépensé environs 30% de l'argent reçu du Gouv. et le reste à été remboursé au Gouv. Le 30% qu'ils ont dépensé était pour remplacer les fenêtres de la Tour et quelques autre retouches(le système d'ascenseur et le funiculaire).

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Je suis sceptique. une entreprise qui fait signer un contrat ou le partenaire publique porte tout le risque doit être un peu de mauvaise foi... ou au moins profiteur.

 

Vous allez me dire que c'est le propre d'une entreprise privé. Alors pourquoi on fait des PPPs?

 

Justement pour éviter cela! L'idée à l'origine du PPP EST le transfert de risque. En mode conventionnel, le secteur public assumme tous les risques (avec les performances que l'on sait), alors qu'ils sont partagés en partenariat.

 

Il semble aussi qu'il y ait pas mal de confusion sur ce qu'on entend par "mode conventionnel", en effet beaucoup de gens semble croire que c'est le secteur public qui construit traditionnellement. Nous n'avons pas au Québec de société de la couronne faisant de la construction! En fait il s'agit toujours d'une entreprise privé qui assume la construction, ce n'est que la gestion du projet qui est déléguée au privé en PPP.

 

La deuxième idée, c'est de garantir la qualité. En effet, en conventionnel, le constracteur n'est plus responsable du site une fois qu'il est livré alors qu'en partenariat, il doit l'entretenir pendant 30 ans. Le partenaire est très fortement incité par ce biais à utiliser des matériaux de bonne qualité car il va vouloir minimiser les frais d'entretien durant le partenariat. En mode traditionnel, les constructeurs sont incités à ne pas penser à long terme et le public a tendance a retenir le soumissionaire offrant des couts de construction les moins cher sans tenir compte que cela va impliquer des frais d'entretien plus élevés à l'avenir.

 

De plus, les budgets d'entretien étant déterminé à l'avance, on élimine le risque "politique" du sous investissement en entretien (qui est extremement couteux à long terme, car un entretien insuffisant mène au viellissement prématuré des infrastructures). C'est en quelque sorte une assurance du gouvernement contre lui même!!

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Je suis sceptique. une entreprise qui fait signer un contrat ou le partenaire publique porte tout le risque doit être un peu de mauvaise foi... ou au moins profiteur.

 

Vous allez me dire que c'est le propre d'une entreprise privé. Alors pourquoi on fait des PPPs?

 

Elle n'est pas de mauvaise foi. Le but d'une entreprise privée c'est de maximiser le rendement des actionnaires. POINT.

Ce n'est pas de se demander si elle est équitable envers l'UQAM.

 

Si elle réalise qu'elle a affaire à des imbéciles, alors pourquoi ne pas en profiter ???? Si SNC-lavalin signait un contrat juteux avec une université en Alabama, est-ce que ça t'indignerait autant??

 

 

 

Si des milliers d'étudiants trouvaient le plan louche depuis le début, c'est surement que ça ne prenait pas la tête à Papineau pour voir qu'il y avait un problème majeur dans ce contrat.

Et le problème majeur était uniquement l'incompétence de l'UQAM.

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