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Économie de Montréal


Normand Hamel

Messages recommendés

Il y a 14 heures, andre md a dit :

Ici on a moins cette pratique de le faire.

Les enfants de parents sont tolérés à la maison des parents en Europe beaucoup plus longtemps en général qu'ici. C'est pas rare pour les parents du Canada de faire la grosse pression à leurs enfants pour qu'ils quittent dès l'âge de 18 ans, sinon pas loin des 18 ans... vraiment une culture étrange et contre-productive.

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4 hours ago, Charlemagne said:

Les enfants de parents sont tolérés à la maison des parents en Europe beaucoup plus longtemps en général qu'ici. C'est pas rare pour les parents du Canada de faire la grosse pression à leurs enfants pour qu'ils quittent dès l'âge de 18 ans, sinon pas loin des 18 ans... vraiment une culture étrange et contre-productive.

Oui c'est vrai les jeunes d'ici quitte assez tot la maison. Ca explique aussi pourquoi on manque d'appartement ici a Montreal et ailleurs en province. 

J'avais des amis vietnamien de la meme age que moi. J'étais en appartement alors qu'eux ils habitaient encore chez leur parents. 

En Espagne c'est pres de 70% des jeune en bas de 30 ans qui habitent encore chez leur parents. En meme temps les parents agés vivent aussi plus avec leur enfants. 

 

 

 

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Il y a 1 heure, andre md a dit :

Oui c'est vrai les jeunes d'ici quitte assez tot la maison. Ca explique aussi pourquoi on manque d'appartement ici a Montreal et ailleurs en province. 

C'est vrai, mais de moins en moins, autrement dit on voit de plus en plus de jeunes qui restent dans la demeure parentale après leur 18 ans.  Principale raison: les loyers devenus trop chers.  Par ailleurs, beaucoup d'adultes de tout âge, vivant seuls ou en couples sans enfants, mais qui disposent de bons revenus, se sont accaparés de beaucoup de logements abritant jadis plusieurs personnes.  

Le résultat est le même que celui que tu décrits: le manque de logements. 

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3 hours ago, Né entre les rapides said:

C'est vrai, mais de moins en moins, autrement dit on voit de plus en plus de jeunes qui restent dans la demeure parentale après leur 18 ans.  Principale raison: les loyers devenus trop chers.  Par ailleurs, beaucoup d'adultes de tout âge, vivant seuls ou en couples sans enfants, mais qui disposent de bons revenus, se sont accaparés de beaucoup de logements abritant jadis plusieurs personnes.  

Le résultat est le même que celui que tu décrits: le manque de logements. 

Exemple moi meme j'habite seul dans un 5 1/2 de mon duplex.

 

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Laval

Cité de la Biotech : Moderna, c’est bien, mais les défis sont encore nombreux

Le géant pharmaceutique américain Moderna l’a choisie pour y bâtir une usine de production de vaccins, mais le développement de la Cité de la Biotech ne s’arrêtera pas là. « Nous sommes très heureux de la venue de Moderna, mais nous aurons aussi à faire face à un enjeu important, celui de répondre à la croissance », affirme Jean-Marc Juteau, commissaire, sciences de la vie, à la Cité de la Biotech.

Moderna avait plusieurs bonnes raisons de choisir la Cité de la Biotech de Laval pour poursuivre son développement, explique le commissaire. D’abord, elle aura accès à un important groupe de travailleurs de talent pour les sciences de la vie. 

L’endroit idéal

Mais aussi, l’emplacement est idéal. « La Cité est un vrai parc industriel qui est le seul au Canada consacré entièrement aux sciences de la vie », dit Jean-Marc Juteau. Sans compter qu’elle est située près d’un aéroport, avec accès à une station de métro, et qu’elle est entourée d’un réseau routier bien développé. Et à cela s’ajoute la présence du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), où se développe le talent.

Les chiffres concernant l’industrie des biotechs à Laval sont certes impressionnants. L’industrie fournit 5000 emplois à l’intérieur d’un rayon de trois kilomètres. On y compte près de 130 entreprises en biotechnologie et sciences de la vie et 11 centres de recherche et organisations. Plus de quatre milliards de dollars ont été investis depuis la création de la Cité en 2001, et elle s’étend sur 1 200 000 mètres carrés entièrement voués à la science et à la haute technologie. 

Répondre à la croissance

À la Cité de la Biotech, on s’enorgueillit de cette croissance phénoménale. Mais pour répondre à l’enjeu de la croissance que rencontre toute l’industrie de la biotechnologie et des sciences de la vie, il en fallait plus. Et à ce compte, on annonçait en avril 2021 le lancement de la deuxième phase. Le projet porte sur plus de 100 000 mètres carrés d’espace à développer. Moderna devrait en être le premier résidant en 2024, si tout se passe comme prévu. 

Cette deuxième phase consiste en une offre de terrains à l’industrie privée afin que les entreprises puissent y bâtir leurs installations. 

On a le terrain pour les recevoir, et nous sommes à la recherche de compagnies autant nationales qu’internationales. - Jean-Marc Juteau, commissaire, sciences de la vie, à la Cité de la Biotech

Faciliter la venue de PME

Mais un autre enjeu de croissance se situe sur le plan des PME, explique le commissaire. Tout l’espace disponible dans les installations déjà existantes est occupé. Les coûts de construction de ces installations – souvent très sophistiquées – sont très élevés, ce qui les rend souvent inaccessibles aux PME dont les activités se situent pour la plupart au stade de la recherche. « Il nous faut ces installations physiques afin de pouvoir les recevoir, et à cette fin, nous discutons avec des promoteurs immobiliers qui pourraient construire des édifices multi-locatifs permettant d’accueillir ces PME », dit Jean-Marc Juteau. 
Bien qu’il s’agisse du plus grand enjeu auquel fait face la Cité de la Biotech de Laval, ce n’est pas le seul. « Un autre tout aussi important est d’attirer les chercheurs de talent et de leur offrir tous les outils nécessaires à leur développement », dit le commissaire. « Et tout cela dans un contexte extrêmement concurrentiel », conclut-il.

https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2022-08-30/laval/cite-de-la-biotech-moderna-c-est-bien-mais-les-defis-sont-encore-nombreux.php

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Moderna aurait pu choisir Montréal pour sa nouvelle usine

Moderna est passé à deux doigts de s’installer sur un terrain détenu par le géant immobilier Broccolini dans l’arrondissement de Saint-Laurent, avant d’annoncer jeudi, le jour même où les démarches administratives aboutissaient à Montréal, qu’elle s’installera plutôt à Laval, a appris Le Devoir. 

Zacharie Goudreault - Le Devoir

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, ne s’était pas égarée dans ses propos lorsqu’elle avait déclaré, à la fin du mois d’avril, que le géant pharmaceutique établirait son usine « à Montréal » — et non pas dans la région métropolitaine.

Plusieurs sources proches du dossier confirment au Devoir que l’unique option qui était alors étudiée par Moderna était est un immense terrain appartenant à Broccolini sur le site du Technoparc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. « Pour nous, la région de Montréal, c’était le Technoparc », illustre au Devoir le responsable du développement économique à la Ville de Montréal, Luc Rabouin.

Ce terrain vacant à vocation industrielle est situé près d’une future station du Réseau express métropolitain, d’un hôtel du secteur et de l’autoroute 40. « Tout ça faisait en sorte que le site répondait aux objectifs de Moderna », indique en entrevue le président du groupe immobilier Broccolini, Roger Plamondon.

Des inquiétudes avaient alors été soulevées par Montréal International, l’arrondissement et Moderna, comme quoi ce projet d’usine pourrait nécessiter des modifications au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal, impliquant un délai pouvant s’élever à six mois, indiquent nos sources.

Or, cette option n’était pas envisageable pour le géant pharmaceutique, qui voulait commencer la construction de cette usine le 1er septembre. Le chantier aurait été mené par Broccolini après que ce dernier aurait vendu son terrain à Moderna, a-t-on appris.

La Ville a alors fait des pieds et des mains afin que le service de l’urbanisme étudie ce dossier de manière accélérée. Résultat : 48 heures plus tard, le projet était jugé conforme au plan d’urbanisme et pouvait passer aux étapes suivantes. « Il n’y avait plus d’enjeu », se rappelle M. Rabouin.

« Tout le monde était très content qu’on ait débloqué ça et que le projet avançait très très bien pour le Technoparc », souligne-t-il.

Course contre la montre

 Le dossier a ensuite été transféré à l’arrondissement, qui s’occupe des demandes de permis et des dossiers reliés au zonage. Celui-ci s’est d’ailleurs affairé dans les dernières semaines à faire adopter rapidement le projet de Moderna par ses élus.

Un avis de motion avait d’abord été approuvé le 28 juin par les élus locaux. Le projet a ensuite été soumis en juillet au Comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement, qui a soumis ses recommandations aux élus locaux, avant que ces derniers approuvent à l’unanimité en deuxième lecture le projet d’usine de Moderna, le 3 août.

« On a assuré au client non seulement qu’on est intéressé, mais que, deuxièmement, on va faire des efforts pour que les questions de réglementation et d’architecture ne soient pas un enjeu » pour l’installation de Moderna, affirme le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa, qui a travaillé « tout l’été » en ce sens.

La dernière étape d’adoption réglementaire, après quoi un permis de construction aurait pu être délivré dans ce dossier, était d’ailleurs prévue ce jeudi, en soirée. Cette séance extraordinaire du conseil d’arrondissement a toutefois été annulée lorsque ses membres ont appris, dans les médias, que Moderna avait finalement choisi Laval pour construire son usine de fabrication de vaccins. « Côté réglementaire, on était prêt aussi tôt qu’hier pour s’assurer que tous les aspects réglementaires aient été tous atteints », relève M. DeSousa.

Mais il était trop tard, se désole Luc Rabouin, qui blâme l’arrondissement de Saint-Laurent d’avoir tardé, selon lui, à approuver le projet de Moderna tel quel après avoir d’abord tenté d’y imposer des modifications.

Or, le géant pharmaceutique a l’habitude de faire construire un modèle générique d’usine partout où il s’installe et n’était pas ouvert à ces modifications, selon nos informations. « S’il y a une raison qui fait que Moderna n’est pas à Montréal, c’est parce que l’arrondissement, tout seul, sans jamais nous consulter ou nous aviser, a mis des exigences pour le projet de Moderna dans le Technoparc », lance M. Rabouin, visiblement irrité.

Des propos que rejette Alan DeSousa. « À toutes fins de pratiques, tant dans l’acceptation du projet que dans les changements réglementaires, les élus du conseil [d’arrondissement] se sont prononcés par des votes unanimes et dans un délai record » d’un mois et demi, réplique le maire de Saint-Laurent.

Roger Plamondon, de Broccolini, assure pour sa part que le prix de vente du terrain à Moderna dans le secteur du Technoparc — qui fait l’objet d’ententes confidentielles — ne représentait « pas un enjeu » pour la multinationale. « Ce qui était nécessaire, c’était l’obtention des permis et des autorisations nécessaires au projet », ajoute le promoteur. Ce dernier estime ainsi qu’une réflexion s’impose pour améliorer la communication entre la Ville et ses arrondissements pour éviter que d’autres grands projets glissent des mains de la métropole.

Le promoteur Broccolini entend d’ailleurs prendre part à l’appel de propositions dans l’espoir de devenir responsable de la construction de l’usine de Moderna à Laval, a appris Le Devoir. Le géant pharmaceutique n’a pas répondu à nos questions, vendredi.

https://www.ledevoir.com/economie/744663/moderna-aurait-pu-choisir-montreal

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  • Administrateur

Tesla Canada lists high-volume recruiter opening in Montreal hinting at a new facility is in the works

 

 

ByMaria Merano

Posted on September 1, 2022

Tesla’s Careers page has a new job listing, hinting that the electric vehicle maker is hiring a high-volume recruiter for Montréal, Quebec. The job listing has inspired speculations that Tesla may be planning a new Canada facility in the area.

Tesla’s potential new Canada facility has attracted a lot of interest since Elon Musk responded positively to the idea of a potential Gigafactory in the country during the 2022 Cyber Roundup. During the meeting, Musk was discussing future Gigafactory sites when the audience suggested Canada as a location. Musk responded with, “I’m half Canadian. Maybe I should.”

 

While Musk’s comments then seemed like they were done in jest, a July lobbyist registration from Tesla suggested that the company may indeed be looking at Canada as a potential factory site. More recent reports revealed that Tesla has seemingly communicated with the Canadian government four times in the last six months. Canada’s Science and Economic Development Minister François-Philippe Champagne reportedly even toured a Tesla site in August.

Tesla hasn’t confirmed that its next gigafactory would be in Canada. However, the recent job listing on the company’s Careers page does give the impression that the EV maker may really be building a new Canada facility. As noted in observations from the online electric vehicle community, Tesla’s job description for a Recruiter post in Montréal, Quebec, mirrors the wording of High-Volume Recruiter job listings.

Tesla’s Careers page shows that “High-Volume Recruiters” are being hired in areas where a gigafactory has been built, such as Austin, Texas and Grünheide (Mark), Brandenburg. Granted, this is not confirmation that Giga Canada is really happening, but it does suggest that Tesla has intentions to ramp the headcount of its Canada team.

Information from Tesla has so far not revealed if the company is actually interested in building a vehicle or battery manufacturing facility in Canada, though the company’s filings and job listings do suggest that there’s a lot of interest in the country. It should be noted, however, that Tesla is no stranger to establishing facilities in Canada, as the company finances lithium-ion battery research in Nova Scotia. The EV maker also owns Hibar Tesla Toronto Automation.

https://www.teslarati.com/tesla-new-canada-facility-high-volume-recruiter-montreal/

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il y a 11 minutes, mtlurb a dit :

Tesla Canada lists high-volume recruiter opening in Montreal hinting at a new facility is in the works

 

 

ByMaria Merano

Posted on September 1, 2022

Tesla’s Careers page has a new job listing, hinting that the electric vehicle maker is hiring a high-volume recruiter for Montréal, Quebec. The job listing has inspired speculations that Tesla may be planning a new Canada facility in the area.

Tesla’s potential new Canada facility has attracted a lot of interest since Elon Musk responded positively to the idea of a potential Gigafactory in the country during the 2022 Cyber Roundup. During the meeting, Musk was discussing future Gigafactory sites when the audience suggested Canada as a location. Musk responded with, “I’m half Canadian. Maybe I should.”

 

While Musk’s comments then seemed like they were done in jest, a July lobbyist registration from Tesla suggested that the company may indeed be looking at Canada as a potential factory site. More recent reports revealed that Tesla has seemingly communicated with the Canadian government four times in the last six months. Canada’s Science and Economic Development Minister François-Philippe Champagne reportedly even toured a Tesla site in August.

Tesla hasn’t confirmed that its next gigafactory would be in Canada. However, the recent job listing on the company’s Careers page does give the impression that the EV maker may really be building a new Canada facility. As noted in observations from the online electric vehicle community, Tesla’s job description for a Recruiter post in Montréal, Quebec, mirrors the wording of High-Volume Recruiter job listings.

Tesla’s Careers page shows that “High-Volume Recruiters” are being hired in areas where a gigafactory has been built, such as Austin, Texas and Grünheide (Mark), Brandenburg. Granted, this is not confirmation that Giga Canada is really happening, but it does suggest that Tesla has intentions to ramp the headcount of its Canada team.

Information from Tesla has so far not revealed if the company is actually interested in building a vehicle or battery manufacturing facility in Canada, though the company’s filings and job listings do suggest that there’s a lot of interest in the country. It should be noted, however, that Tesla is no stranger to establishing facilities in Canada, as the company finances lithium-ion battery research in Nova Scotia. The EV maker also owns Hibar Tesla Toronto Automation.

https://www.teslarati.com/tesla-new-canada-facility-high-volume-recruiter-montreal/

Ce serait énorme pour Montréal de gagner Tesla face au Grand Toronto. Pour l'instant je ne m'excite pas trop.

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