The Most Horrific Traffic in the Entire World

[MtlMan]

Un ami à moi m'a refilé ce lien. Il nous lit parfois mais n'est pas membre. Il m'a dit que ça nous intéresserait. En effet!! Bien qu'il faille toujours demeurer prudent avec ce genre d'exercice, ça détonne tout de même dans le paysage médiatique actuel concernant la circulation à Montréal!

 

Enjoy!

 

http://gizmodo.com/5838333/the-most-horrific-traffic-in-the-entire-world

 

 

 

The Most Horrific Traffic in the Entire World

LA and New York must have the worst commutes known to mankind, right? Totally wrong. It gets, much, much worse—according to IBM's recent global survey of automotive horror, those two cities are among the best. What're the worst?

 

IBM's aptly-titled 2011 Commuter Pain Study polled drivers around the planet to find whose life sucks the most behind the wheel, based on the following factors:

 

1) Commuting time

2) Time stuck in traffic, agreement that:

3) Price of gas is already too high

4) Traffic has gotten worse

5) Start/stop traffic is a problem

6) Driving causes stress

7) Driving causes anger

8) Traffic affects work

9) Traffic so bad driving stopped and

10) Decided not to make trip due to traffic.

 

The results might surprise you, unless you live in Mexico City, whose traffic is appallingly three times as bad as New York's. Mexico City napped the #1 worst spot, with China claiming the next two, rounding out the three worst cities to operate a motor vehicle. The total list, ranked by worst to best of cities polled, is as follows:

 

Mexico City: 108

Shenzhen: 95

Beijing: 95

Nairobi: 88

Johannesburg: 83

Bangalore: 75

New Delhi: 72

Moscow: 65

Milan: 53

Singapore: 44

Buenos Aires: 42

Los Angeles: 34

Paris: 31

Madrid: 28

New York City: 28

Toronto: 27

Stockholm: 26

Chicago: 25

London: 23

Montreal: 21

 

But this isn't just an exercise in schadenfreude (although it can certainly be used for that)! Rather, IBM thinks the sort of data should prompt us to actually do something about it—because it's actually hurting our brains:

 

12 of the 15 cities surveyed in both 2010 and 2011 reported year-over-year increases in respondents who said that roadway traffic has increased their stress levels, with several cities posting substantial increases. For example, New York (45% in 2011 vs. 13% in 2010), Los Angeles (44% in 2011 vs. 21% in 2010), Toronto (40% in 2011 vs. 14% in 2010), London (33% in 2011 vs. 19% in 2010), Milan (61% in 2011 vs. 38% in 2010), and Johannesburg (52% in 2011 vs. 30% in 2010).

 

So how do we fix gridlock? IBM says building more (or wider) roads won't help—not enough space or money. The answer lies in data. Which makes sense, as IBM makes money by processing and selling data. But it does make sense—taking the roads we have already and routing traffic through them more efficiently. This means collecting data via road sensors and vehicle GPS, and sending it to drivers and municipalities in a way that lets you avoid congestion. That might mean taking an earlier or later exit. It might mean staying at work 20 minutes later, or leaving 15 minutes earlier.

 

These slight adjustments could make an enormous difference, because IBM wants this data to be way more than realtime—realtime doesn't cut it. Traffic data has to predict the roads, day after day. Once computers can tell us how bad cars are going to behave before they even do it, we can work backwards and correct problems before they arrive. It's a pretty science fiction take on the daily commute, but predicting the future might be the surest way of keeping you from taking that baseball bat out of your trunk. [iBM]

[Invité]

Et l'économie de toutes ces villes est en train de mourrir, c'est connu.

[Davidbourque]

Pour Paris par exemple, j'ai lu que les villes extérieur c'était beaucoup développées sur le dos de paris qui était trop congestionné. Personne ne dit que Montréal meurt, mais sa croissance est ralentit par le manque de transport (autant routier que transport en commun.)

 

Le transport, c'est le système sanguin d'une ville. Une meilleur circulation égalera une meilleur croissance. Si une compagnie ou un organisme ne peux avoir assez de ressource à un endroit elle ira ou les ressources sont disponible. Si un individus à une mauvaise circulation dans les jambes, elles seront moins forte sans nécessairement le tuer.

 

Bon après les villes demeures et les humains meurt, mais c'est quand même un peu l'analogie a y avoir. Il n'y a qu'a aller sur la rive sud et rive nord pour voir à quel point sa s'est développer dans les dernières années. Et je parle des commerces, industries et bureau, pas des maisons. Le nier c'est se mettre la tête dans le sable. Il est probable qu'avec un meilleur système sanguin vers la ville centre, c'est la que le dévellopement ce serait fait.

 

Il faut aussi prendre en compte la capacité total des réseaux de chaque ville. Si une ville à une congestion infernal mais peux amené 1 000 000 de personne/jours à l'heure de pointe vers sa ville centre, elle aura un avantage sur une ville qui ne peux qu'en amené 250 000, même si cette dernière est moins congestionné.

 

C'est pour ça qui faut s'assurer que le transport vers la ville centre soit le plus fluide et le plus efficace possible. Et ce, que ça soit en Transport en commun ou en autos.

[Fortier]

Pour Paris par exemple, j'ai lu que les villes extérieur c'était beaucoup développées sur le dos de paris qui était trop congestionné. Personne ne dit que Montréal meurt, mais sa croissance est ralentit par le manque de transport (autant routier que transport en commun.)

 

C'est dure de comparer Paris à Montréal puisque la Ville de Paris est très petite et excessivement cher. Aussi c'est dure de comparer les problèmes de Montréal aux autres villes, car notre gros bug ici c'est que Montréal est une île.

[Davidbourque]

C'est sur, mais toutes villes qui a du succès devient très concentré et extrêmement cher. Manhattan en est un exemple. Son agglomération et sa banlieue sont très étendu et ont connu un énorme essor. Dans le reportage sur la chine à Découverte, il parlait des gens qui fuyait Beijing et les autres villes côtière pour aller s'établir vers le centre du pays.

 

Si on ne peut pas s'y rendre ou y rester soit par manque de transport ou par manque de moyen, il ne reste pas 32 milles solutions.