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ToxiK

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Tout ce qui a été posté par ToxiK

  1. ToxiK

    Gardenia Quartier Vert

    Et si elle est réélue pour un 4e et 5e mandat ?
  2. ToxiK

    Gardenia Quartier Vert

    J'aivais presque prédit la pandémie un an avant (à la blague, mais quand même), j'avais prévu l'insurrection des supporteurs de Donald Trump avant l'élection de 2020. En fait, j'avais même prévu le climat de guerre civile 2.0 aux États-Unis il y a 20 ans. Pourtant, je suis incapable de prédire les prochains numéros du 6/49, ce qui veut dire que je suis seulement capable de prédire des malheurs. Quand je prédis un malheur, il devient réel, tu ne vas quand même pas m'enpêcher d'utiliser mon seul pouvoir? C'est mon droit le plus strict de prédire un 3e mandat à Valérie Plante et Projet Montréal, de même qu'un 4e et 5e mandat !!! EDIT: OH NON, que viens-je de faire ?????????
  3. Incendie au Parc olympique Montréal perd les Essais olympiques de natation PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE Les piscines du Parc olympique, le centre sportif, l’Institut national du sport du Québec et les étages locatifs de la tour seront fermés de quatre à six mois pour le nettoyage et la décontamination des lieux à la suite de l’incendie survenu dans la nuit du 20 au 21 mars. Les Essais olympiques et paralympiques de natation, prévus à Montréal du 13 au 19 mai, se tiendront finalement à Toronto aux mêmes dates, a appris La Presse. Le changement de lieu a été confirmé lundi soir par Natation Canada (SNC). Publié à 18h15 Mis à jour à 18h38 SIMON DROUINLa Presse Natation Québec, qui avait obtenu le mandat d’organiser cette compétition majeure pour la première fois depuis 2012, souhaitait conserver l’évènement dans la région de Montréal, possiblement au complexe sportif Claude-Robillard, au moment de l’annonce, mercredi dernier, de son déplacement en raison d’un incendie au Parc olympique. Les piscines du Parc olympique, le centre sportif, l’Institut national du sport du Québec et les étages locatifs de la tour seront fermés de quatre à six mois pour le nettoyage et la décontamination des lieux à la suite de l’incendie survenu dans la nuit du 20 au 21 mars. Quelque 300 travailleurs s’y affairent quotidiennement. Une épaisse fumée et de la suie ont pénétré dans le système de ventilation après que les fenêtres du gymnase de l’INS Québec ont éclaté en raison de la chaleur de l’incendie, qui s’est déclaré à l’extérieur à la suite d’une action humaine. Le module des incendies du Service de police de la Ville de Montréal mène une enquête. Selon les informations de La Presse, un itinérant en serait à l’origine. Natation Québec, en collaboration avec la Ville et Tourisme Montréal, a envisagé l’utilisation d’une autre piscine d’entraînement pour tenir les Essais à Claude-Robillard, qui ne compte qu’un bassin olympique de 50 mètres et 10 couloirs. Selon nos sources, l’érection d’un bassin temporaire de 50 m a été envisagée, de même que la tenue de la compétition au PEPS de l’Université Laval, à Québec, qui compte deux piscines de 50 mètres. Finalement, le conseil d’administration de Natation Canada a tranché en faveur du Centre sportif panaméricain de Toronto (TPASC) pour favoriser la performance des athlètes. Les deux derniers Essais olympiques ont eu lieu à cet endroit qui compte deux bassins de 50 mètres et 10 couloirs. En 2021, la compétition s’était déroulée sans spectateurs en raison des restrictions imposées par la pandémie de COVID-19. « Ce ne fut pas une décision facile et ce ne sera pas parfait, mais nous croyons, en prenant tout en considération, que c’est la meilleure décision à seulement cinq semaines de la compétition », a dit la directrice générale par intérim de Natation Canada, Suzanne Paulins, dans un communiqué. « Le comité organisateur local mis sur pied par la Fédération de natation du Québec a fait un travail incroyable pour nous aider à évaluer toutes les éventualités possibles. Nous avons également reçu du soutien de la Ville de Montréal, de Tourisme Montréal, du Centre Sportif du Parc Olympique et du Complexe sportif Claude-Robillard. Leur partenariat, leur collaboration et leur volonté d’aider sont grandement appréciés. Personne ne l’avait prévu, mais tout le monde a fait de son mieux pour trouver des solutions viables. » La Fédération de natation du Québec (FNQ) a exprimé sa déception, tout en soutenant le choix de son homologue national. « Bien que nous soyons déçus que les Essais ne se tiennent pas à Montréal ou au Québec, nous comprenons le besoin d’un environnement qui favorise la préparation des athlètes et leurs performances, a précisé le DG Francis Ménard, dans le même communiqué. Nous soutenons Natation Canada dans ce choix. En même temps, cette situation met en lumière la vulnérabilité de notre sport pour la tenue d’un évènement de classe mondiale au Québec. « Le directeur de la haute performance de Natation Canada, John Atkinson, a pour sa part souligné l’importance des standards de qualification : « Nous avons dû minimiser les compromis pour nos athlètes afin qu’ils puissent, avec leurs entraîneurs, maximiser leurs performances. Cela a joué un rôle essentiel dans la prise de décision. Considérant qu’un centième de seconde est très important dans notre sport lorsque l’on s’efforce d’atteindre des normes, cette décision est la bonne pour protéger la performance. » Selon SNC, la « voix des athlètes » a pesé le plus fort dans la décision. « Le TPASC est une installation formidable », a déclaré la nageuse Mary-Sophie Harvey, du club CAMO. « Summer McIntosh a abaissé deux records du monde aux Essais l’an dernier. Cette piscine est le théâtre de nombreuses courses rapides et a une riche histoire, je suis certaine que nous en verrons plus encore. » Air Canada, commanditaire des Essais, a offert de renoncer à « tous les frais » encourus par les personnes qui avaient déjà réservé un vol pour Montréal. SNC organisera aussi un programme d’aide pour ceux qui cherchent un hébergement dans la région de Toronto. Les modalités de remboursement ou de remplacement pour les détenteurs de billets à Montréal seront annoncées sous peu. https://www.lapresse.ca/sports/2024-04-08/incendie-au-parc-olympique/montreal-perd-les-essais-olympiques-de-natation.php
  4. Euh, je crains que tu n'aies besoin de cours de biologie; on voit par les yeux, pas par le c.. 👁️👁️
  5. ToxiK

    Gardenia Quartier Vert

    Après le 3e mandat de Projet Montréal, ce sera une piste cyclable...
  6. Conclusion: tu as été kidnappé !!! Es-tu retenu contre ton gré ?
  7. Ce sera selon le principe woke de la hiérarchisation des victimes. Voici un exemple: Femme monoparentale pauvre > femme célibataire pauvre ≥ homme monoparental pauvre > homme célibataire pauvre Ajoutons à cela toutes les autres caractéristiques identitaires comme la race, la religion, l'orientation sexuelle et les handicaps, et on a notre algorithme. Évidement, voter du bon bord et avoir des contacts aidera le processus (sans compter les enveloppes brunes...), mais au moins ce n'est pas du méchant capitalisme... ✉️
  8. Euh, I think there was a lot of sarcasms in his comment.
  9. "Ne soyons pas si difficiles : Les plus accommodants ce sont les plus habiles : On hasarde de perdre en voulant trop gagner. Gardez-vous de rien dédaigner ; Surtout quand vous avez à peu près votre compte. Bien des gens y sont pris ; ce n'est pas aux Hérons Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ; Vous verrez que chez vous j'ai puisé ces leçons." Le Héron Jean de La Fontaine https://www.bonjourpoesie.fr/lesgrandsclassiques/poemes/jean_de_la_fontaine/le_heron
  10. Verticalités PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE « Il faudra, dans cette velléité politique de densification, protéger l’aspect distinctif de nos villes », affirme notre chroniqueuse. MARIE-FRANCE BAZZOProductrice et animatrice, collaboration spéciale Je suis Montréalaise. J’aime ma ville. Je la trouve attachante. Parfois même carrément belle, d’une beauté imparfaite, mais pleine de charme. Publié à 0h48 Mis à jour à 7h00 Depuis la pandémie, elle est, je l’admets, plus difficile à aimer : abandonnée de plusieurs de ses habitants, pleine de trous, mal entretenue, défigurée par les chantiers, son patrimoine en péril, sale et négligée. En particulier, comme chaque année, au début du printemps. Son âme est poquée, mais je sais que malgré ceux qui ne l’aiment pas à Québec, ou qui l’aiment mal à l’hôtel de ville, elle survivra. Bref, si je l’aime, c’est qu’elle demeure à échelle humaine. Ses quartiers sont des villages uniques, vibrants. Son architecture, malgré des pertes patrimoniales et des constructions discutables, se tient. Le centre-ville est juste assez électrique, le mont Royal lui confère son caractère si particulier. Les populations diversifiées y palpitent côte à côte, et même si le français y est en constant recul, elle est encore inimitable. J’arpente Montréal, m’en nourris les yeux, car son intégrité et son unicité pourraient changer rapidement. La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) veut, dans le contexte pressant de la crise du logement, densifier Montréal et ses banlieues. Elle propose d’exiger une densité de 450 logements par hectare au centre-ville, contre 150 jusqu’à présent. Pour les quartiers de banlieue dotés d’une gare de REM, le seuil passerait de 80 à 200 logements. L’objectif est de tripler, voire quintupler la densification de la grande région métropolitaine. Concrètement, le nombre de tours d’habitation explosera le long de la ligne orange, et en banlieue. Une intéressante modélisation effectuée par la Ville montre une trame urbaine transfigurée, ses quartiers résidentiels piqués de tours écrasant les triplex. Ce plan d’aménagement doit être adopté dès l’an prochain, et les municipalités du Grand Montréal devront s’y conformer. Oui, il faut densifier pour concentrer les services, limiter l’empiétement sur le territoire. On doit et on peut développer de nouveaux quartiers à l’intérieur de la ville. Pensons à Griffintown, qui après des débuts anarchiques est maintenant un quartier à hauteur raisonnable, homogène, relativement agréable. On peut, dans les quartiers résidentiels de Montréal, densifier ou bâtir de nouvelles constructions de quatre, cinq ou six étages qui n’écraseraient pas le bâti actuel. Une densification douce, en quelque sorte. Les tours le long de la ligne orange suscitent l’inquiétude, à juste titre. Je suis pragmatique. La crise du logement et la pression de l’immigration sont criantes. Il faut un toit pour chacun. Il faudra manifestement construire en hauteur, mais aussi explorer d’autres pistes d’aménagement. On pourrait également remettre en question la vision d’un Canada à 100 millions d’habitants que certains ont mis de l’avant à Ottawa. Cette vision démographique délirante a des implications jusque dans les infrastructures. Les villes, premières au front, ont-elles été impliquées ? On ne parle pas ici de la croissance optimiste d’une ville, mais de transfiguration majeure engendrée par une volonté politique. Notre façon d’occuper l’espace, en Amérique du Nord, a été traditionnellement marquée par l’abondance. Par l’automobile, bien sûr, qui a conduit à l’expansion horizontale des villes. Mais d’abord, par la générosité de l’espace où, depuis longtemps, les villages s’étalent – pensons aux Éboulements, dans Charlevoix. Cette organisation spatiale si singulière fait le caractère distinctif de notre habitat, sa personnalité, son charme particulier. Peut-on en tenir compte ? L’horizontalité n’a jamais empêché la densité : le Plateau Mont-Royal, avec ses plex à trois étages, a longtemps été l’un des quartiers les plus densément peuplés au pays. Il faudra, dans cette velléité politique de densification, protéger l’aspect distinctif de nos villes. La manière cool et relax dont les gens occupent leur espace. Car les villes sont aussi les humains qui les animent. Ici, notre échelle est encore humaine, et originale. On s’apprête à vivre – et pas qu’à Montréal – un virage topographique, social et démographique majeur. En a-t-on discuté ? Nous en a-t-on expliqué les implications ? Quelle est la vision ? Comment envisage-t-on le développement urbanistique de nos habitats ? Sommes-nous soudainement tombés dans un Far West immobilier, où le nombre de portes l’emporte sur le bien-être durable, la vision cohérente et le sentiment d’appartenance à un lieu ? La politique du fait accompli est du vieil urbanisme, et de la politique de bureaucrates. L’Ordre des urbanistes du Québec se questionne à juste titre sur ces enjeux d’expansion verticale. Densifions. Mais comment ? Avec des tours de 25 étages entre deux duplex de Villeray ? Ou en ajoutant quelques étages au bâti existant ? Comment les quartiers et municipalités les plus riches accueilleront-ils le plan de la CMM ? Se dirige-t-on vers une ségrégation accrue basée sur la richesse ? Nous avons besoin d’une discussion. La culpabilisation, l’idéologie et la précipitation ne font pas un plan d’urbanisme. Les Montréalais sont relax, mais pas stupides… https://www.lapresse.ca/dialogue/chroniques/2024-04-02/verticalites.php
  11. Oui, mais le 20-20-20 sera calculé sur 40 étages. Donc on aura 15 étage avec un minimum de 24 étages réservés aux logements abordables. Sans oublier un étage pour les stationnements de vélos et l'écurie pour les licornes... 🚲🦄
  12. Je ne suis pas 100 % certain d'être dans le bon fil, mais comme personne ne me reprochera mon manque de rigueur, je me risque: Premier feu vert pour un nouveau gratte-ciel de 200 mètres PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Le terrain de l’ancien terminus d’autobus Mansfield, au pied de la Place Bonaventure, devenu un stationnement L’ancien terminus d’autobus Mansfield, au pied de la Place Bonaventure, pourrait accueillir l’une des plus hautes tours de Montréal. Publié à 2h01 Mis à jour à 5h00 PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARDÉquipe d’enquête, La Presse Le Comité consultatif d’urbanisme (CCU) de Ville-Marie a récemment donné un feu vert préliminaire au promoteur Broccolini pour y ériger un gratte-ciel de 200 mètres, près du maximum absolu permis à Montréal. Au total, 664 logements pourraient y être intégrés. Une tour de la même taille est déjà en construction juste de l’autre côté de la rue Saint-Jacques. Ce secteur du centre-ville, balafré par une voie ferrée, des stationnements de surface et de multiples bretelles d’accès au tunnel Ville-Marie, est jusqu’à maintenant peu invitant. Les membres du CCU ont noté dans leur décision unanime que « le projet permet de densifier un site à proximité de plusieurs stations de métro et de REM », « d’animer un secteur largement dédié à l’automobile et [...] de rendre les déplacements piétons plus agréables ». Le gratte-ciel inclurait une cavité sur quelques dizaines de mètres (du 32e étage au 42e étage) pour dégager une vue protégée à partir du belvédère du mont Royal. « Une large portion du site n’étant pas constructible étant donnée la présence souterraine de l’autoroute Ville-Marie au sud, cette surface sera aménagée, verdie et accessible au public », ont ajouté les membres du CCU. « Par ailleurs, les membres expriment leur préoccupation quant aux nuisances sonores potentielles que pourraient subir les futurs occupants en raison de la proximité du Réseau express métropolitain (REM). » Deux phases « Le projet en est encore à ses débuts et nous évaluons la faisabilité d’un développement », a commenté le porte-parole de Broccolini, Corry Kelahear. La configuration est en cours d’élaboration et nous ne pouvons pas faire plus de commentaires, car de nombreuses autorisations supplémentaires sont encore nécessaires. Nous travaillons avec diligence avec les représentants de la Ville et du gouvernement pour continuer à avancer le projet. Corry Kelahear, porte-parole de Broccolini Le terrain est collé sur le bâtiment-pont ferroviaire sur lequel roulent les trains en quittant la gare Centrale de Montréal. La description du projet par le CCU évoque une deuxième phase dans laquelle une passerelle pourrait être construite au-dessus des rails, puisqu’une seconde partie du même terrain se trouve de l’autre côté. Il s’agit actuellement d’un stationnement. Le terminus Mansfield, qui recevait des autobus en provenance de la Rive-Sud par le pont Champlain, a été fermé dans la foulée de la mise en service du REM. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Le 900, rue Saint-Jacques, une tour de la même taille déjà en construction, témoigne de l’activité
du secteur. Un secteur en explosion Ce secteur de Montréal – au carrefour du centre-ville, du Vieux-Montréal et de Griffintown – connaît un développement rapide depuis cinq ans. Sur le boulevard Robert-Bourassa ou à proximité, le Duke (25 étages), le nouveau siège social de la Banque Nationale (40 étages), le Victoria sur le Parc (58 étages) et l’Odéa (26 étages) sont tous sortis de terre dans les trois dernières années. L’attention des promoteurs semble désormais se porter aussi de l’autre côté du boulevard Robert-Bourassa. Le 900, rue Saint-Jacques, un gratte-ciel en construction qui devrait atteindre 200 mètres, gagne des étages chaque mois. Il s’agirait du voisin immédiat de l’éventuelle tour de Broccolini détaillée plus haut. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-03-25/premier-feu-vert-pour-un-nouveau-gratte-ciel-de-200-metres.php
  13. Il faut bien remplir le vide laissé par Rocco...
  14. Les gens veulent de la basse densité mais se plaignent du manque de logement. De plus, cette basse densité engendre des coûts plus élevés par logement et ces mêmes gens vont se plaindre que les logements coûtent trop chers. Ensuite, on se plaint que les gens ne viennent plus au centre-ville parce qu'ils logent trop loin de celui-ci, et quand on a finalement un terrain re-développable à côté du centre-ville (à proximité de TEC), on veut y loger le moins de gens possibles. Finalement, si tout va mal, ce sera à cause du capitalisme...
  15. Ça avance, ça avance... (Avis, c'était du sarcasme).
  16. If it was really real, there would be graffiti too (and orange cones, but that goes without saying)...
  17. RESTAURANTS Centre Eaton Derek Dammann et Liam Hopkins au 9e PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Marco Gucciardi (directeur des opérations), Liam Hopkins (chef exécutif du restaurant Île de France) et Derek Dammann (directeur de la restauration) sont dans la spectaculaire salle des évènements du 9e. Les rumeurs de réouverture du mythique 9e étage du Centre Eaton couraient depuis des années et elles ont été confirmées il y a un an. Mais quel chef oserait prendre les commandes du restaurant Île de France ? On peut aujourd’hui vous révéler que Derek Dammann sera le directeur de la restauration de l’ensemble du projet, qui comprend un important volet événementiel dès avril, et que Liam Hopkins sera le chef exécutif de la table d’une centaine de places, qui ouvrira au public à la mi-mai. Publié hier à 9h49 ÈVE DUMASLa Presse « J’assiste à des réunions autour de ce projet depuis huit ans, nous révélait Derek Dammann cette semaine, lors de notre deuxième visite du grandiose espace magnifiquement restauré. Le chef, qui a fermé son restaurant Maison publique en septembre 2023 puis qui a vendu ses parts du McKiernan, se consacre maintenant à temps plein à l’implantation de menus qui uniront le passé et le présent de ce lieu historique cher aux Montréalais. 2/3 Liam Hopkins, lui, fait partie de l’équipe depuis plus d’un an. Dans le passé récent, il a travaillé au McKiernan puis au bistro La Franquette, après avoir fermé son propre restaurant du quartier Notre-Dame-de-Grâce, Hopkins. Auparavant, il avait cuisiné sous Antonio Park. Les deux chefs se sont beaucoup amusés à étudier les vieux menus du restaurant Île de France (dont un retrouvé dans les murs de l’établissement !), ouvert de 1931 à 1999, puis à éplucher de vieux livres de recettes. Le mot d’ordre du moment : proposer une cuisine et des prix accessibles pour que le plus grand nombre de Montréalais puissent fréquenter ce joyau architectural. On a eu vent d’un « pâté au poulet » décadent et de plats empreints de nostalgie, mais toujours remis au goût du jour. « Ceci est la lettre d’amour que nous offrons à la ville de Montréal », déclare Jeff Baikowitz, l’homme d’affaires qui s’est battu dans l’ombre pendant des années pour ressusciter le 9e. Rappelons que l’étage mythique et une partie de son mobilier ont été classés monument historique par le ministère de la Culture, en août 2000. Avec son plafond de 10 mètres de haut et ses lignes épurées, Le 9e fut une des premières réalisations de style Art déco au Québec. Il a été conçu par l’architecte français Jacques Carlu à la demande de Lady Eaton, veuve de Sir John Craig Eaton, et de son fils Timothy Eaton. L’architecte, qui est également l’auteur du Trocadéro et du palais de Chaillot, à Paris, a notamment été inspiré par les paquebots transatlantiques de l’époque. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Les fresques originales ont été restaurées. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le 9e recevra ses premiers évènements privés en avril et le grand public à compter de la mi-mai. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Détail du 9e, au Centre Eaton PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Les fresques originales ont été restaurées. https://www.lapresse.ca/gourmand/restaurants/2024-03-15/centre-eaton/derek-dammann-et-liam-hopkins-au-9e.php
  18. Ils ont quand même construit le plus beau garage d'autobus au monde sur Bellechasse. Ils connaissent leurs priorités et savent exactement ce que veulent vraiment les usagers... 🚌
  19. D'un autre côté, en train les pauses pipis ne forcent pas à s'arrêter en chemin (ou à porter des couches...). C'est pratique avec des enfants ou si (et je dis ça sans sexisme et par expérience) on voyage avec, comment dire, avec des personnes qui ne sont pas biologiquement des hommes (prouvez-moi que j'ai tort !!!)... 🚽
  20. D'un autre côté, si Montréal parait trop gros, ça va faire peur aux régions...
  21. Je ne suis donc pas aussi subtil que je le croyais...
  22. Je suis outré !!! Il est 100 % clair que je ne visais absolument personne... Comment peut-on même imaginer le contraire ???
  23. Ça va faire beaucoup de Tatas à Montréal...
  24. Et après ça, une fois que la basse densité est confirmée et difficile à changer, ces mêmes personnes vont se plaindre que tous les services sont trop loins et exiger qu'on leur paye des services pour une population plus grande que ce que leur quartier possède. Ils veulent les avantages d'une plus grande population tout en vivant pratiquement seuls...
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