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yarabundi

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Tout ce qui a été posté par yarabundi

  1. C'est subtil mais c'est bien le 445 boulevard René-Lévesque ouest qu'on voit sur cette photo -avec en prime le Humaniti au loin.
  2. Il y a désormais une grue sur ce chantier. je ne sais pas depuis combien de temps elle s'y trouve.
  3. Je vais me faire un plaisir de répondre à votre demande !! Je suis retourné au centre-ville hier (deuxième dose du vaccin au Palais des Congrès) et j'ai fait des photos d'autres chantier -dont quelques effets miroir évidement. À suivre... Ici c'est la tour VSLP qui se reflète dans la tour de la BN qui se reflète à son tour dans le 740 !!
  4. Tu en veux plus ?? Y'a qu'à demander !!
  5. Je n'étais pas retourné au centre-ville depuis le mois de mars. Je suis d'accord avec ceux qui affirment que ce projet est tellement plus impressionnant dans la réalité que ce que les photos peuvent projeter !! J'aurais pu mettre cette photo autant dans cette discussion que dans celle du VSLP ou du 628 !!
  6. Ce projet dépasse largement mes attentes. Je ne suis pas déçu !! Les évocations promettaient un édifice d'une laideur rarement atteinte à Montréal et ce projet est encore plus laid que promis !!
  7. Wow !! Tu as travaillé fort pour faire concorder les lignes du pont de la Concorde avec la pente de l'édifice Deloitte !! (C'est intentionnel n'est-ce pas ? ) Respect !! Magnifique !!
  8. Si on se fie aux évocations -et comme je l'ai déjà écrit auparavant- l'édifice planifié risque au mieux d'être insipide et au pire plutôt laid mais au bout du compte il vaut ça qu'un terrain vague.
  9. Intégration d’œuvres d’art L’art contemporain illumine Humaniti Humaniti, le nouvel établissement hôtelier du centre-ville de Montréal, a été inauguré mercredi par le groupe immobilier Cogir. Tout comme les œuvres d’art contemporain qui en font un édifice de prestige et une grande galerie d’art. Voici 11 de ces œuvres, acquises par le PDG de Cogir, Mathieu Duguay, et choisies par Jo-Ann Kane, conservatrice de la collection de la Banque Nationale, qui signe la scénographie de ce projet d’intégration d’art dans les espaces d’Humaniti et de Cogir. La sculpture H Anima de Marc Séguin — H pour Humaniti — évoque aussi le Palais des congrès de Montréal (et sa façade vitrée multicolore) et la verdure montréalaise. Mais H Anima ne perdra jamais ses feuilles, en aluminium, qui ont donné du fil à retordre à l’artiste. Car elles ne doivent ni se détacher ni faire trop de bruit en s’entrechoquant… la nuit ! La sculpture de Marc Séguin se situe dans un espace en voie d’aménagement paysager qui sépare Humaniti (l’hôtel et l’édifice d’appartements) des bureaux de Cogir, le promoteur du projet immobilier. Dans ces bureaux, on peut admirer nombre d’œuvres d’art sur les murs, notamment cette huile de Kim Dorland, Westside, réalisée en 2017. Epiphonic Womb, œuvre de 2016 de l’artiste ontarien Derrick Piens, située dans l’espace d’accueil de l’hôtel Humaniti. Bien visible de la rue De Bleury, la sculpture en plâtre polychrome très suggestive a été placée près d’une aire de relaxation où les canapés sont flanqués de livres d’art inspirants. De Toulouse-Lautrec jusqu’au street art… En pénétrant dans la partie condos et appartements en location de l’édifice d’Humaniti, on tombe sur cette acrylique et huile sur toile de l’artiste montréalaise Janet Werner. Exposée dans l’ancienne galerie Parisian Laundry en 2017, VO Mars, qui fait partie de la collection Humaniti Montréal, a été installée près d’un « feu » purement décoratif. Rassurez-vous ! Green In, peinture de l’artiste Elizabeth McIntosh (née en Ontario et vivant à Vancouver), se trouve dans les bureaux de Cogir. « Jeux de pouvoir, jeux de ficelle », suggère Jo-Ann Kane, conservatrice de la collection de la Banque Nationale, qui a joué le rôle de directrice artistique du projet Humaniti, ayant suggéré les œuvres d’art contemporain canadien et américain pour tous les espaces. Près du lounge de l’hôtel Humaniti, une installation de l’artiste canadienne Kapwani Kiwanga a été accrochée au mur. Créée en 2018, Nations, for Palm Tree Hill, 1845 est constituée d’un drapeau en sequin, de perles et de tissus cousus. Elle fait partie de la collection Cogir Immobilier. Lauréate du prix Sobey en 2018 et du prix Marcel-Duchamp en 2020, Kapwani Kiwanga vit à Paris. Berry Garden, grande acrylique sur filet d’aluminium réalisée en 2018 par l’artiste visuelle new-yorkaise Summer Wheat. « Elle peint par-derrière en poussant la peinture à travers le maillage métallique », explique Jo-Ann Kane. Une œuvre magnifiquement mise en valeur dans les bureaux montréalais de Cogir. Dans le salon feutré de l’hôtel Humaniti, Jo-Ann Kane a placé deux œuvres du photographe et vidéaste américain Arthur Jafa. Notamment son célèbre autoportrait Monster (1988), épreuve argentique dont le titre fait référence au racisme récurrent envers les Noirs aux États-Unis. Des photographies de l’artiste visuelle québécoise Éliane Excoffier ont été placées dans plusieurs chambres de l’hôtel, mais aussi dans les couloirs. Il n’y a pas de cartels sur les murs. Les clients peuvent obtenir des informations sur les œuvres en ouvrant leur téléviseur et en choisissant la chaîne de l’hôtel. https://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/2021-06-10/integration-d-oeuvres-d-art/l-art-contemporain-illumine-humaniti.php
  10. Je confirme. Le 22 juin, j'aurai mon premier contrat professionnel depuis mars 2020 (avec des touristes québécois puisque les frontières sont encore fermées aux touristes étrangers) et je vais les rencontrer à cet hôtel.
  11. Mine de rien, j'entrevois déjà le jour où cet édifice sera détruit pour faire place à une tour plus haute.
  12. Pour ma part, je crois que l'édifice qui, à Montréal se rapproche le plus du Chrysler Building est l'Aldred.
  13. Petite digression : je remarque que les drapeaux sur le toit de l'édifice de la Sun Life sont en berne. Il peut y avoir deux raisons : la découverte de la fosse commune à Kamloops et/ou l'attentat terroriste à London dimanche dernier.
  14. Bien vu !! Site officiel : http://hus-montroyal.com/?fbclid=IwAR18I5vBOQyHfoSMVYXXzNPedKKAx8kuELzgXAxGw4KH9z9xDhQDkY-Xuhs#Architectes Lancement (des ventes ? ou de la construction ?) le 21 juin.
  15. L'origine du nom de cette municipalité : Jean-Baptiste Bouchard d'Orval qui acquit le domaine de La Présentation, propriété de Pierre Le Gardeur de Repentigny. (wikipédia) Sur le site de la Commission de Toponymie du Québec il est écrit : «Les Dorvalois doivent leur nom à Jean-Baptiste Bouchard Dorval ou d'Orval (vers 1658-1724) qui achète, en 1691, des terres à Fort Gentilly, dénommé par la suite Fort La Présentation, lequel avait été bâti par les Sulpiciens en 1670, sur le territoire où se situe Dorval. L'élément Orval – nom d'une commune du Cher aujourd'hui – que Jean-Baptiste Bouchard rajoute à son patronyme pour le distinguer des autres Bouchard de la Côte-de-Beaupré n'a pas encore livré son secret, même si on a avancé qu'il pourrait s'agir du lieu de naissance de Bouchard, qui a pourtant vu le jour à Château-Richer! Son ancêtre, Claude Bouchart, aurait été chirurgien des missions huronnes de 1639 à 1650.» Voilà un bel exemple d'un promoteur qui a respecté l'histoire. Cela ne lui apportera probablement pas plus de clients -ni moins de clients d'ailleurs- mais c'est tout de même un petit geste que me plait personnellement.
  16. L'édifice Les appartements Dorchester est suffisamment avancé pour que nous puissions nous faire un opinion et ce n'est guère réjouissant !! Cet édifice fait mal aux yeux !! Et l'Enticy risque d'être encore pire. Pas besoin d'être devin pour imaginer le résultat final.
  17. Imagine !! Faut-il que la qualité esthétique de ce qui se construit à Montréal soit si bas qu'on se pâme devant un projet comme celui-ci. Je dois avouer qu'il me plait à moi aussi mais je suis tout de même conscient que nous ne sommes pas devant une œuvre de génie.
  18. Trouvé dans un bazar : deux photos sur plaques laminées. Au départ j'avais un doute sur la provenance -doute qui s'est dissipé avec l'observation de la plaque émaillé pour l'adresse civique si typique de Montréal. Malheureusement au moment d'acheter les deux plaques, je n'avais qu'une adresse mais pas de rue. En arrivant chez moi j'ai fait des recherches. Pas facile car il n'y a pas beaucoup d'information disponible. Il y a bien une boutique de lingerie A. Courval au 4861 Sherbrooke Ouest à Westmount mais c'est la seule qui existe aujourd'hui et en contactant la propriétaire actuelle, je n'ai pas pu avoir d'informations supplémentaires. Finalement j'ai trouvé une publicité pour cette entreprise qui, en 1941 possédait plusieurs magasin, le plus récent et probablement la nouvelle maison-mère étant celle de la rue Sherbrooke qui venait d'ouvrir ses portes cette année-là. La pub indiquait les adresses des autres succursales dont deux sur le boulevard Saint-Laurent. L'une de ces deux boutiques portait l'adresse 4235 (troisième image -extraite d'une pub dans le journal à potin «Radio-Monde» (qui deviendra plus tard «Télé-Radio-Monde»). La troisième photo est extraite de la collection numérique de la BaNQ.
  19. Il ne faudrait pas exagérer non plus. C'est tout au plus décent -certes un peu plus que plusieurs projets qu'on nous propose de nos jours à Montréal mais ce n'est pas si beau que ça !!
  20. C'est Chapleau qui en est l'auteur. Étonnant n'est-ce pas ? Cela étant dit, même avec des piliers aussi léger que l'ingénierie le permettra, ce sera laid. En effet et ce couloir de métro aérien n'aidera certes pas à le rendre plus attrayant. Eh bien permets-moi de ne pas être d'accord. Nous n'avons vraiment pas besoin d'une horreur de plus dans notre centre-ville.
  21. Je l'attendais avec impatience celle-là !! C'était prévisible. Étonnement cela a tout de même pris du temps avant de venir !!
  22. Rien de bien nouveau dans cet article mais tout de même, ça vaut la peine de le publier. C'est dans Le Devoir. Quand les gratte-ciel menacent le patrimoine montréalais Jeanne Corriveau 25 mai 2021 La pandémie a beau avoir fait fuir les employés des bureaux du centre-ville de Montréal, elle n’a pas ralenti les projets de construction. Parmi eux, celui rattaché à l’emblématique magasin La Baie d’Hudson qui pourrait faire l’objet, au cours des prochaines années, d’une importante métamorphose. La Ville de Montréal sera appelée à approuver (ou non) une dérogation au plan d’urbanisme pour autoriser la construction d’une tour de 120 mètres sur le site. Ces autorisations « à la pièce » inquiètent les défenseurs du patrimoine. Le projet soumis par son propriétaire, la Compagnie de la Baie d’Hudson (HBC), prévoit la restauration du bâtiment patrimonial de La Baie d’Hudson, situé au 585, rue Sainte-Catherine Ouest, construit en 1891 par la compagnie Henry Morgan et connu sous le nom de « Colonial House ». En revanche, il propose la démolition de la partie arrière du bâtiment, ajoutée en 1966, et la construction, en retrait, d’une tour de bureaux de 25 étages comportant des terrasses et dessinée par la firme d’architectes Menkes Shooner Dagenais LeTourneux. Le projet a franchi une première étape d’approbation lors de l’assemblée du conseil municipal du 23 février dernier, mais les élus devront à terme se prononcer sur une dérogation au Plan d’urbanisme, puisque la hauteur autorisée est de 65 mètres dans ce secteur, alors que la tour projetée fait 120 mètres. Toujours plus haut Pour le Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), une entité consultative de la Ville, cette modification au plan d’urbanisme n’a rien d’anodin et témoigne de ce phénomène grandissant. « On est en présence d’un bâtiment patrimonial dont on fait valoir que la seule façon de rentabiliser les investissements inhérents à sa conservation est de construire une tour sur le même site », écrivait le CPM dans son avis remis à la Ville en novembre dernier. « Le comité s’inquiète de cette tendance de plus en plus présente dans le centre-ville, qui a pour effet, tout comme le façadisme, de fragiliser le patrimoine bâti dans ce secteur de la ville. » Le CPM revient sur ce dossier dans son rapport annuel déposé au conseil municipal la semaine dernière et déplore ces demandes de dérogation « à la pièce ». Héritage Montréal partage les inquiétudes du CPM. « La Baie est un cas, mais il y en a plusieurs en même temps. Pourrait-on prendre un peu de recul et ne pas donner des autorisations à la pièce qui créent des précédents ? » se demande Taika Baillargeon, directrice adjointe des politiques chez Héritage Montréal. Selon elle, il y a un lien à faire avec le débat des derniers mois sur la hauteur des immeubles au centre-ville. Dans son livre Retrouver Montréal paru au mois de mars, le candidat à la mairie de Montréal Denis Coderre avait remis dans l’actualité cet enjeu en suggérant que la métropole réévalue la possibilité de permettre des constructions plus hautes que le mont Royal. Taika Baillargeon craint qu’à coups de projets dérogatoires comme celui de La Baie d’Hudson, on finisse par créer une barrière visuelle entre la montagne et le fleuve. « On le dit et on le répète, Montréal sans sa montagne perd beaucoup de son unicité. » Elle comprend toutefois que le propriétaire veuille construire en hauteur pour financer la restauration du bâtiment historique. « Dans le cas de La Baie, on a un bel exercice de restauration des façades. Mais ce qui est dommage, c’est que les intérieurs sont laissés de côté. » L’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) mène d’ailleurs des consultations sur le projet de La Baie d’Hudson ces jours-ci. Mercredi dernier, Héritage Montréal et la fondatrice du Centre canadien d’architecture, Phyllis Lambert, ont fait part de leurs préoccupations auprès des commissaires. En entrevue, le président du CPM et professeur à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal, Peter Jacobs, refuse de s’aventurer sur la question des hauteurs au centre-ville, un dossier qu’il juge « politique ». Sa position est toutefois claire : « Montréal est reconnue comme une ville située entre une montagne et un fleuve. Je pense qu’il y a des valeurs sociétales qui dépassent la valeur économique. Sur le plan historique, culturel et patrimonial, le mont Royal est une borne de référence aussi forte que le fleuve Saint-Laurent et il mérite d’être respecté. » Le Conseil estime toutefois que la question des hauteurs au centre-ville devrait être prise en considération lors de la révision du Plan d’urbanisme en cours. Il demande aussi à la Ville de mieux protéger le secteur en accordant une citation au square Phillips qui inclurait le magasin La Baie d’Hudson, ce que réclame aussi l’opposition à l’Hôtel de Ville. La responsable du patrimoine au comité exécutif, Émilie Thuillier, rappelle que la Ville n’a pas donné son accord final au projet de La Baie d’Hudson et qu’elle tiendra compte des recommandations de l’OCPM afin « d’avoir le meilleur projet possible ». « C’est vrai qu’il y a des dérogations qui sont permises, mais elles passent devant un processus de participation publique très étoffé, celui de l’OCPM », dit-elle en confirmant que la question des hauteurs fera partie des travaux de révision du plan d’urbanisme. FAÇADISME ET AUTRES MAUX La pression immobilière et les hauteurs ne sont pas les seules menaces qui planent sur le patrimoine bâti. Le CPM s’inquiète notamment de la croissance du phénomène de façadisme qui consiste à vider ou à démolir un immeuble historique pour n’en conserver que la façade. Au cours de l’année 2020, le CPM a dû se pencher sur sept dossiers s’apparentant au façadisme, dont celui d’une série de maisons en rangée situées au 350-372, rue Sherbrooke Ouest, et celui de l’ancienne école Alexandra. Des conversions harmonieuses sont toutefois possibles, comme en témoignent des projets tels que les maisons en rangée William-D.-Stroud, rue Pierce, la Maison Alcan et le Centre du commerce mondial. Bien qu’il soit encore difficile de juger des effets réels, la pandémie pourrait aussi mettre en péril certains éléments du patrimoine montréalais. « La pandémie soulève une question terriblement importante, celle de l’inoccupation des bâtiments en général. Pour nous, l’inoccupation signifie un manque d’entretien et un manque de surveillance. Surtout pour les édifices de bureaux historiques », explique M. Jacobs. À cet égard, il voit l’« urbanisme transitoire » comme une stratégie qui permet de protéger les bâtiments patrimoniaux en attente d’une nouvelle vocation. Il cite à ce sujet le cas de l’Hôtel-Dieu, utilisé comme site de dépistage pendant la pandémie, et l’ancien hôpital Royal-Victoria, transformé en centre d’hébergement pour les itinérants. La conversion des lieux de culte est un enjeu qui pourrait prendre de l’ampleur dans les prochaines années, et le CPM croit qu’il faudrait simplifier le processus d’autorisation visant leur conversion. Responsable du patrimoine au comité exécutif, Émilie Thuillier évoque la possibilité de demander à Québec des mesures fiscales pour alléger la facture des propriétaires de bâtiments patrimoniaux. « Au Québec, il n’y a pas vraiment de programmes pour les propriétaires privés. Il nous manque des outils fiscaux qui existent ailleurs en Amérique du Nord », dit-elle. https://www.ledevoir.com/societe/transports-urbanisme/604040/urbanisme-quand-les-gratte-ciel-menacent-le-patrimoine?fbclid=IwAR0vBYYK2q_xmnZGOkWR6ilk3vazPQCjmW2DnIWjIOHv3Rj2j_RQSZozEhE
  23. On devrait plutôt parler de noblesse plutôt que de monarchie !! Rigueur !! Rigueur !!
  24. Tu as le droit de ne pas aimer mon commentaire -tout comme moi d'ailleurs à propos du tien. Je ne veux pas partir un débat ici mais je n'en pense pas moins.
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