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yarabundi

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Tout ce qui a été posté par yarabundi

  1. yarabundi
    mtl_yul : tout le monde paie pour vivre quelque part. Je paie pour vivre sur le Plateau. cela veut-il dire qu'il ne devrait pas y avoir de HLM ici non plus ? Dans les quartiers Centre-Sud, Hochelaga, Maisonneuve, Petite-Bourgogne, verdun, etc...il y a aussi du monde qui remboursent des prêts hypothécaires pour payer leurs condos !! Là aussi, il faudrait abolir les HLM !! Euréka !! j'ai trouvé : au Nunavut, il n'y a pas de condos !! On pourrait envoyer les BS là-bas !! Ça ne dérangerais presque personne. "Ce petit merdier" ne gagne que $40K par année. C'est pas des masses !! On peut pas dire qu'il s'enrichit.
  2. yarabundi
    C'est juste qu'on est pas les spécialistes du juste milieu ici au Québec !! Ma 200ième intervention sur ce site !!
  3. yarabundi
    Pathétique !! Je veux bien qu'on retarde la construction d'un nouvelle équipement culturel mais là on parle de fermeture. C'est de la régression.
  4. yarabundi
    Un entrepreneur peut sauver quoi ? 18 mois de construction dans un cas comme celui-çi ?
  5. yarabundi
    Le Québec est la société par excellence pour le consensus. C'est ce qui fait uqe beaucoup de projet n'aboutissent jamais. Nous sommes tous d'accord pour une meilleure utilisation du terrain. Les Habitations Jeanne-Mance à la fin des années 1950 avaient du sens. Ça rappelle beaucoup ce qui s'est fait à New-York avec Alphabet City mais à une plus petite échelle. Le concept a veilli ; n'a pas nécéssairement fait ses preuve. Comme je le disais plus haut (il y a quelque jours) on pourrait tout densifier. D'abord, démolir les plus petites structures et les remplacer par des HLM d'au moins 25 étages. Il serait important de garder la végétation : il n'y en a pas beaucoup dans ce quartier. Par contre, on pourrait en profiter pour redessiner les espaces verts pour les rendre plus conviviaux. Par après, de nouveaux lots réservés au dévellopement spéculatif pourrait être offerts.
  6. yarabundi
    Je trouve cela acceptable également. Acceptable. Sans plus.
  7. yarabundi
    C'est pas demain la veille, non ?
  8. yarabundi
    Attendez !! Des Roc Fleury, Tours Lépine, Louis-Bohème ou 333 Sherbrooke est ne visent pas les retraités tout de même !! Tous les condos construits le long de Saint-Grégoire sur le Plateau ne visent pas les retraités. Le quartier Angus visent les familles !! Pour ce qui est des poussettes sur le Plateau : c'est vrai qu'il y en a plus mais l'avenir des écoles dans le quartier est encore incertain. J'ai pour preuve que beaucoup de couples quittent le Plateau assez rapidement pour aller en banlieue aussitôt qu'un enfant se pointe le bout du nez.
  9. yarabundi
    Je veux bien qu'on leur donne un coup de pied au derrière mais ça ne marchera pas avec tous. Je suis d'accord que nos gouvernments (pratiquement tous les gouvernements au Canada) ne font pas grand chose pour aider ces gens-là. Déjà, quand le PQ était au pouvoir, ce gouvernement a désinstitutionnalisé les malades en hopital psychiatrique. Parmi ces pauvres, il y a un bon nombre de ces malades-là. Je suis d'accord qu'il faut les aider mais ce n'est pas en crachant sur eux qu'on fera avancer les chose. Il faut harceler nos gouvernements jusqu'au jour où l'un d'entre eux se décidera à investir un peu plus d'argent dans l'intégration des marginaux à la société et un peu moins d'argent dans les infrastructures. Un peu moins dans le béton et un peu plus dans les gens. A court terme, assez coûteux ; à long terme, moins de citoyens dépendant de l'état. Les HLM en hauteur ? Pourquoi pas mais ce serait où en périphérie du centre-ville ? Des HLM il y en partout mais à part dans le centre-ville, plus personne ne veut de tours en hauteur dans son quartier !! Comme je l'ai dit précédemment, on pourrait construire quelques tours un peu plus haute sur le terrain des Habitations Jeanne-Mance qui remplacerait une majorité de celles qui existent déjà et qui sont assez vétustes. "Pas dans ma cour les riches" ? Si j'avais cette mentalité, je ne pourrais pas tolérer l'embourgeoisement du quartier où j'ai passé toute ma vie. En ce qui concerne les deux projet dont tu parles, on sait aujourd'hui que ces deux projets n'étaient pas sérieux. Autrement, leurs promoteurs auraient tout fait pour nous convaincre de leur nécéssité. "pas dans notre cour les pauvres" : c'est du haut de leur supériorité que les riches clament maintenant que ceux qui sont là depuis 50 ans n'ont plus leur place au centre-ville parce qu'on a besoin de la place. C'est cette mentalité qui a mené lentement à l'instinction presque complète des nations amérindiennes.
  10. yarabundi
    Alors, tous ces condos en construction et en vente sur le territoire de Montréal, c'est juste pour faire joli ?
  11. yarabundi
    Je suis d'accord. Avec l'aménagement de l'îlot Balmoral, les apparts qui donnent sur la rue de Bleury vont prendre de la valeur.
  12. yarabundi
    C'est drôle mais moi je ne suis pas riche ; je ne demande rien au gouvernement ; je travaille au centre-ville et dans le Vieux-Montréal ; pourtant je ne crache pas sur les plus démunis de notre société. Vous parlez des pauvres de notre société comme si ces gens-là choisissaient d'être pauvres et comme si c'était agréable d'être pauvre. Allez donc vous mettre à leur place : vous ne tiendriez pas une semaine dans ces conditions-là, trop habitué à votre haut niveau de vie. Je n'ai pas d'antenne satellite et je n'en veux pas. par contre je comprend que beaucoup des gens qui vivent dans ces conditions-là n'ont pas beaucoup d'espoir de voir un jour leur condition de vie changer. Bordel, laissez-les rêver !! La télévision est un échappatoire ; pendant qu'ils sont avachis devant leurs télé, ils ne sont pas dangeureux. Ils rêvent en regardant les riches à la télé. mtl_yul : je traduit ton commentaire. "Je suis riche. J'ai donc le droit d'exiger que les pauvres aillent vivre entre eux dans des quartiers misérables loin de ma vue et loin du centre-ville où je m'amuse. J'ai pas besoin de les voir. Je paie des impôts et de taxes. Pis j'en paie plus qu'eux autre !! Ça me donne un plus grand pouvoir sur ceux qui dirigent notre ville, notre province, notre pays. Conséquemment, je demande au gouvernement de me débarasser de cette pollution visuel. Pourquoi ils n'iraient pas vivre à Hochelaga-Maisonneuve avec d'autre pauvres ? J'vas-tu les faire chier moi dans Hochelaga-Maisonneuve, moi ? Bon !!!" Puis, dans 20 ans, Hochelaga-Maisonneuve s'embourgeoisera, comme le Plateau auparavant et on demandera aux pauvres d'aller vivre dans le quartier Mercier à l'est de l'île. En fait, on devrait faire des camps d'internements dans le Grand Nord pour les loger. Il y a plein de place et comme ça, il ne feront chier personne. Bon j'exagère un peu mais je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de compassion ici dans les commentaires que je lis. Que de la mesquinerie et de l'égoïsme poussé à l'extrème. Comme ça déjà été dit un peu plus tôt : on parle pour parler. À moins d'élire un gouvernement d'extrème-droite, ces HLM-là sont en effet là pour rester.
  13. yarabundi
    Eh bien d'après l'évocation à la page 1 de ce fil, le "basiliaire" se termine au 10ième étage. Le onzième étage fait partie de la tour. Le style architectural en fait avec le douzième une espèce de "transition" entre les deux différents volumes.
  14. yarabundi
    La technique utilisée pour construire les murs de soutènements est la même que pour le Westin.
  15. yarabundi
    C'est une assez grosse bête finalement !!
  16. yarabundi
    Quel idée d'aller vivre aussi loin. Si je vivais à Laval, je m'arrangerais pour avoir un job à Laval. Je travaille à Montréal, j'habite Montréal. C'est tellement plus simple !!
  17. yarabundi
    En fait, les petits HLM devraient être détruits, remplacés par quelques tours un peu plus haute. Je ne suis pas sûr que la mixité pourrait fonctionner : les habitants de la classe moyenne et les yuppies se transformeraient très rapidement en nimby's qui s'assûreraient de bien faire comprendre qu'il n'y aurait plus de place dans "leur" quartier pour la lie de la société. Ironiquement, le quartier était avant la construction mal famé -l'ancien red light. C'est afin de permettre au moins nantis de pouvoir habiter près du centre (dans les années 1950 ce quartier n'était pas considéré comme faisant partie du centre-ville) que ce projet a vu le jour. begratto : si je comprend bien, habiter le centre-ville devrait être un privilège !! Ce que vous prônez ici est de l'élitisme. begratto et malek : il y a certainement là-bas des gens qui travaillent et qui malgré les loyers très bas qu'ils payent n'arrivent pas à joindre les deux bouts !! J'ai une amie qui habitent Longueuil (par choix) et qui a deux emplois : un en garderie en milieu scolaire et l'autre en tant que journaliste sur la rive-sud et avec ces deux revenus, elles ne pourrait pas se payer un loyer décents si elle n'avait pas accès à un loyer en HLM !! Elle n'est sûrement pas la seule dans ce cas.
  18. yarabundi
    Si je vous comprend tous, le centre-ville ne devrait être réservé qu'au bien-nantis. Fuck les pauvres. Crissez-moi ça en dehors du centre-ville !! C'est laid, ça pue pis ça donne une mauvaise image de notre ville. Drapeau aurait pas fait mieux !!
  19. yarabundi
    Peut-être mais l'intention de ce projet est de construire une communauté à l'intérieur de laquelle le résidant n'aura pas besoin de son auto pour aller faires ses courses. De plus, si un résident n'a pas à marcher plus de dix minutes pour aller prendre le train, il peut très bien avoir envie de laisser sa voiture à la maison.
  20. yarabundi
    Je ne serais pas surpris que le projet s'étende dans un futur très rapproché au Quartier Latin. Comme vous le sous-entendez vous-même, c'est une suite logique au projet.
  21. yarabundi
    En fait, le prochain fera partie de la tour !!
  22. yarabundi
    De plus, le QIMTL était un projet qui couvrait une plus grande partie de la ville et qui en avait un très urgent besoin. Tout cela a permis de relier le Vieux-Montréal au centre-ville et avec la rue McGill, le Vieux-Port au centre-ville également. Cela a déjà un impact dans le Quartier du Multi-Média. Le territoire couvert par la réfection du Quartier des Spectacles est-il aussi étendu ? Chose certaine, cela permettra de refaire le tissu urbaine à l'est de La Baie jusqu'à la PDA.
  23. yarabundi
    Le "building rond", c'est la faculté de médecine de McGill !!
  24. yarabundi
    Dans La Presse aujourd'hui : François Cardinal La Presse Villes et gouvernements ont beau parler d'environnement sur toutes les tribunes, ils permettent encore aux banlieues de se développer autour de l'auto exactement comme il y a 100 ans. Du coup, c'est la santé de la population et de la planète qui en souffre. Voilà ce que conclut la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) dans son plus récent rapport sur les tendances en habitation, L'Observateur du logement au Canada 2007. Dressant un état des lieux national, l'organisme agite en quelque sorte un petit drapeau rouge. Au pays, la croissance démographique des dernières années s'est faite majoritairement en banlieue, une situation qui a grandement nui à l'environnement en raison d'un manque d'encadrement de la part des élus. «Le Recensement de 2006 a révélé que près des deux tiers de la croissance de la population métropolitaine a eu lieu à la périphérie des agglomérations, note-t-on. Dans le contexte de la décentralisation de la croissance et de l'emploi vers ces villes satellites de plus petite taille, le cycle de la dépendance à l'égard de l'automobile ne fait qu'augmenter.» Du coup, ce sont les émissions de gaz à effet de serre du pays qui en prennent pour leur rhume, de même que la santé des populations, la qualité de l'air, l'affluence des transports en commun, etc. Les promoteurs et ceux qui ont le mandat de les encadrer ne semblent donc pas avoir beaucoup changé leurs méthodes depuis l'avènement de l'automobile au début des années 1900. Les villes de périphérie, précise la SCHL, sont encore et toujours conçues de manière à offrir aux voitures et aux camions des routes qui leur permettent de circuler à une vitesse optimale. «Depuis près d'un siècle, ajoute-t-on, l'utilisation du territoire et le transport sont planifiés en fonction des véhicules. Cela a donné lieu à des rues plus larges, à des vitesses de circulation plus élevées, à des débits de circulation accrus et à des espaces de stationnement plus vastes qui, ensemble, ont eu une incidence négative sur la bicyclette, la marche et le recours aux transports en commun, de même que sur la santé des gens.» On souligne ainsi qu'en banlieue, les rues et les stationnements couvrent de 35 à 50% du territoire disponible. Que l'aménagement des quartiers s'y fait au détriment des piétons et des cyclistes. Que la Fondation des maladies du coeur a prouvé l'existence d'un lien entre la banlieue et l'obésité. Plus encore, on note qu'en 2001, «plus de la moitié des gaz à effet de serre émis par les ménages étaient attribuables au transport routier». Car les domiciles sont non seulement de plus en plus loin du noyau urbain, mais ils sont toujours plus éloignés des modes de transport collectif. «Les municipalités doivent consacrer davantage d'efforts d'aménagement le long des corridors empruntés par le transport en commun ainsi que dans les zones situées à proximité du centre urbain (au lieu d'aménager des terrains vierges en marge des villes)», souligne la SCHL. Proximité des transports en commun Appelé Transit Oriented Development en anglais, l'aménagement axé sur les transports en commun consiste à densifier l'occupation du territoire à une distance maximale de cinq minutes de marche (600 mètres) d'une station de transport en commun, d'une gare de train de banlieue ou de circuits d'autobus. «Il est nécessaire que les usagers potentiels demeurent à distance de marche des arrêts de transport en commun et que la densité de population soit suffisante, précise-t-on. Cette densité résidentielle minimale est de 37 logements par hectare pour le service d'autobus. Or, bon nombre des zones périphériques des villes sont construites à des densités s'approchant plutôt de 20 logements par hectare.» On cite en exemple un projet en cours de développement à Mont-Saint-Hilaire, le Village de la gare, où les services de proximité doivent être construits tout autour de la gare de train de banlieue. Lorsque le Village sera achevé en 2012, précise la SCHL, il comprendra 1000 habitations, environ 2300 mètres carrés d'espaces commerciaux, une école primaire, un espace vert aménagé, une piste cyclable et des sentiers piétonniers tous situés à moins de 750 mètres de la gare. http://www.cyberpresse.ca/article/20071105/CPACTUALITES/711050693/6108/CPENVIRONNEMENT
  25. yarabundi
    Avec une place piétonne bien structurée et structurante, il ne fait aucun doute qu'on peut s'attendre à un impact aussi grand que pour le Quartier International. Conséquemment, projeter de grandes tours dans ce secteurs n'est pas risqué.
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