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slanctot

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Tout ce qui a été posté par slanctot

  1. Le lancement VIP du 23 novembre à déjà été précédé d'un lancement VIP le 19 novembre et aussi d'autres évènements pré-ventes antérieurement.
  2. Réalisation Chambord Inc. 1295, de Carrières (entre de Normanville et Chambord) https://www.google.ca/maps/@45.5360678,-73.5914923,3a,75y,275.53h,81.95t/data=!3m6!1e1!3m4!1sTU7SC_ZzGGVm7OTRRqbrjw!2e0!7i13312!8i6656
  3. http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201711/16/01-5143863-un-juge-se-penchera-sur-le-dossier-mardi.php Un juge se penchera sur le dossier mardi Le Réseau électrique métropolitain (REM) pourrait-il dérailler avant même la première pelletée de terre ? C'est ce que devra trancher un juge de la Cour supérieure, la semaine prochaine, alors que les avocats de la Caisse de dépôt et placement et du gouvernement du Québec tenteront de faire déclarer « irrecevable » une requête déposée par des opposants au superprojet. Comme La Presse le révélait en mars dernier, une coalition de groupes environnementaux et de citoyens s'est adressée aux tribunaux dans l'espoir de freiner le REM. Ces détracteurs estiment que les consultations publiques autour du système léger sur rail de 6,1 milliards de dollars ont été truffées d'irrégularités et que tout le processus devrait être repris depuis le début. « Il s'agit de ramener le projet à une vraie consultation, car il faut comprendre que ce projet-là n'a fait l'objet d'aucune consultation effective », a fait valoir hier l'avocat Ricardo Hrtschan, qui représente les plaignants dans ce dossier. Selon la Coalition Climat Montréal et un groupe de citoyens qui ont lancé la procédure judiciaire, le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) a été privé de plusieurs renseignements cruciaux lorsqu'il a étudié le dossier du REM en 2016. Les opposants dénoncent aussi la portée de la loi 137, adoptée cet automne à l'Assemblée nationale, qui donne de vastes pouvoirs à CDPQ Infra - la filiale de la Caisse qui pilote le projet. Ils soutiennent que « le projet de REM est purement commercial » et vise « principalement à favoriser les actifs immobiliers de la Caisse de dépôt », peut-on lire dans leur demande introductive pour jugement déclaratoire et en nullité. REQUÊTE IRRECEVABLE ? Les avocats du gouvernement québécois et de CDPQ Infra feront valoir leurs arguments devant un juge de la Cour supérieure à partir de mardi prochain. Les audiences devraient durer au moins trois jours. Au terme de ces représentations, le magistrat pourrait déclarer irrecevable le recours entamé par les opposants au REM ou encore lui permettre de suivre son cours. Lisa Mintz, porte-parole de l'organisme Trainsparence, a dit avoir confiance de voir la Cour trancher en faveur des citoyens mécontents. « CDPQ Infra a dépensé beaucoup de temps et de ressources pour tenter de stopper cette procédure, ce qui signifie qu'ils sont effrayés, a-t-elle affirmé. Ils n'ont presque pas de chances d'arrêter cette procédure. » « ALLER DE L'AVANT » CDPQ Infra n'a pas souhaité commenter cette cause puisque le recours judiciaire est toujours en cours. « Toutefois, notre intention est bien entendu de s'assurer que ce grand projet de transport collectif pour le Grand Montréal puisse continuer à aller de l'avant », a indiqué à La Presse Jean-Vincent Lacroix, directeur des relations avec les médias. Le cabinet de la ministre de la Justice Stéphanie Vallée a lui aussi réservé ses commentaires puisque le dossier n'a pas encore été entendu par le tribunal. Le dossier relève du ministère de l'Environnement, a-t-on précisé. Le REM, un système automatisé de 67 kilomètres, doit relier la Rive-Sud, la banlieue nord, l'Ouest-de-l'Île et l'aéroport au centre-ville de Montréal. CDPQ Infra vise toujours une entrée en service en 2020, même si le processus d'octroi des contrats affiche un certain retard. Le projet a reçu de nombreux appuis ainsi qu'un financement combiné de 2,6 milliards de Québec et d'Ottawa.
  4. "info du site facebook" Première journée de notre lancement ; 35 unités réservées!
  5. http://www.tvanouvelles.ca/2017/11/10/la-caisse-reporterait-sa-decision-sur-le-choix-des-batisseurs-du-rem-1 La Caisse reporterait sa décision sur le choix des bâtisseurs du REM La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) reporte à une date indéterminée le choix des consortiums qui bâtiront le Réseau électrique métropolitain (REM), a appris «Le Journal de Montréal». L’annonce était pourtant prévue pour aujourd’hui. Ils sont au nombre de cinq et tous attendaient impatiemment un appel de CPDQ Infra, le bras immobilier de la Caisse. Cinq consortiums d’entreprises québécoises et étrangères en lice pour réaliser le train de la Caisse, un projet d’infrastructure majeur évalué à 8 milliards $. Mais il n’en sera finalement rien : la quinzaine d’entreprises qui espèrent construire le REM se sont fait dire hier qu’elles ne recevraient pas d’appels vendredi, selon nos sources. Et que la décision serait reportée à une date «indéterminée». En coulisse, ce revirement aurait suscité la surprise. C’est que CDPQ Infra semble déterminée à entreprendre dès que possible la construction du REM, dont l’entrée en service semble toujours prévue pour 2020. Le président et chef de la direction de la CDPQ avait même appelé les parlementaires québécois à agir rapidement, au début de l’automne, pour que le projet ne soit pas retardé. Pourquoi ? Plusieurs motifs possibles pour ce report sont évoqués. D’une part, l’ontarienne Aecon, membre du consortium NouvLR, qui cherche à construire les infrastructures et les stations du réseau, vient tout juste d’être achetée par une société chinoise proche du gouvernement de Pékin. Cette transaction avait soulevé certaines inquiétudes à Ottawa. La Caisse avait toutefois affirmé que cela ne changeait rien au processus d’appel d’offres du REM. La possibilité que les deux consortiums sélectionnés par la Caisse, un organisme paragouvernemental, soient tous deux originaires de l’étranger aurait aussi le potentiel de susciter la grogne des Québécois, souligne-t-on. Québécois La Caisse a maintes fois fait valoir que plusieurs fournisseurs des consortiums sélectionnés, quels qu’ils soient, seront Québécois, même si elle a toujours refusé d’imposer un minimum de contenu québécois pour ce projet, comme c’est généralement la norme. Rappelons que cinq groupes se qualifient pour les deux volets du projet. Le Consortium NouvLR (SNC-Lavalin, Dragados, Aecon, Pomerleau et EBC) et le Partenariat Kiewit et Eurovia cherchent à construire les infrastructures et les stations, tandis que Bombardier et les consortiums Groupe des partenaires pour la mobilité des Montréalais (Alstom et SNC-Lavalin), Alliance Montréal Mobilité (Parsons, Hyundai Rotem et RATP Dev Canada) veulent fournir le matériel roulant et assurer l’exploitation du réseau.
  6. version beta: ibus http://beta.stm.info/fr Nous vous invitons à consulter les horaires de bus en temps réel nouvellement mis en ligne sur la version test de notre site web bêta. Accédez au site beta.stm.info à partir de votre téléphone mobile ou de votre ordinateur. Vous pourrez consulter notre meilleure prévision de l’heure de départ du bus à votre arrêt. Vous avez des observations ou constatez des anomalies? Écrivez-nous à beta@stm.info ou par texto au 514 613-5056. Votre participation nous permettra d’ajuster le site en développement avant de le rendre disponible à tous les clients. Nous vous enverrons un sondage au cours des prochaines semaines pour en savoir davantage sur votre expérience. Merci de votre participation! L’équipe de Ma voix ma STM
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