Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Avis aux intéressés: je suis en manque de photos du square Viger, Phase 1.
  2. Non je parlais précisément de la tour, dont on a discuté le sort il n'y a pas si longtemps ici même sur MTLURB.
  3. Il me semble qu'il a eu d'autres rénovations sur cet édifice il n'y a pas si longtemps?
  4. Hier on a fini de couler la dalle de béton: la première captation date de la journée d'avant tandis que la seconde est d'hier après-midi.
  5. Rater le Sud, miser sur le Nord Le CN vient de se casser les dents dans sa tentative de doubler le CP pour devenir le premier réseau ferroviaire nord-américain avec un ancrage continental reliant le Canada aux États-Unis et au Mexique, mais l’entreprise montréalaise a devant elle de belles occasions d’expansion dans le Nord québécois, avec le projet Qc Rail pour relier Dolbeau-Mistassini à Baie-Comeau et le projet de la Grande Alliance pour construire une voie ferrée le long de la route Billy-Diamond, de Matagami jusqu’au kilomètre 257, à la Baie-James. Jean-Philippe Décarie - La Presse Maintenant que la saga entourant l’acquisition du réseau de Kansas City Southern a pris fin avec le désistement du Canadien National (CN) et la conclusion d’une entente entre le transporteur ferroviaire américain et le Canadien Pacifique (CP), il est temps pour le CN de tourner la page et de passer à autre chose. Ça tombe bien, puisque deux projets de nouvelles lignes de chemin de fer dans le nord du Québec font justement l’objet d’études de faisabilité et pourraient très bien ouvrir de nouvelles occasions pour le transporteur ferroviaire montréalais. Mardi, les promoteurs du projet Qc Rail ont annoncé qu’ils avaient retenu la firme SNC-Lavalin pour réaliser une étude de faisabilité en vue de la construction d’un nouveau lien qui permettrait de compléter un corridor ferroviaire qui relierait le Canada central au port en eau profonde de Baie-Comeau, en ajoutant un tronçon de 370 kilomètres de voie ferrée entre Dolbeau-Mistassini et la Côte-Nord. L’idée est de créer une autoroute ferroviaire du Nord qui contournerait le réseau déjà fort engorgé du CN dans le Sud pour permettre aux producteurs de fertilisants, de blé, de produits miniers et forestiers de l’Ouest canadien d’acheminer plus rapidement et directement leurs chargements vers les marchés de l’Europe, via le port de Baie-Comeau. Au départ, les promoteurs de Qc Rail, essentiellement les intervenants économiques de la MRC de Manicouagan, voulaient construire un lien ferroviaire vers le Nord, pour favoriser l’exploitation de gisements miniers liés à la filière des batteries au lithium, notamment de zinc et de graphite. Mais on s’est vite rendu compte que ce nouveau corridor pourrait aussi devenir fort utile pour les producteurs et exportateurs de matières premières du Canada central tout en permettant la mise sur pied d’un centre de logistique portuaire à Baie-Comeau dans la baie des Anglais. La Côte-Nord a déjà deux liens ferroviaires nord-sud exploités par les sociétés IOC et ArcelorMittal pour leurs propres besoins. Les évaluations préliminaires du coût de construction d’un troisième lien multiusage sont de 2 milliards, un investissement qui pourrait être en partie absorbé par ses principaux utilisateurs. Développement de la Baie-James L’autre projet de lien ferroviaire nordique dans lequel le CN pourrait trouver son compte est celui que veulent implanter les partenaires de la Grande Alliance, soit la Nation crie et le gouvernement québécois, qui a établi un protocole d’entente visant à assurer un développement stratégique, prévisible et durable du territoire cri. Outre la mise à niveau de plusieurs routes d’accès de différentes communautés cries à la route Billy-Diamond, qui part de Matagami pour monter jusqu’à Radisson, à la Baie-James, la Grande Alliance prévoit la construction d’une voie ferrée reliant Matagami au kilomètre 257, situé plus au nord, pour donner accès aux nombreuses sociétés minières qui sont implantées dans la région. La Grande Alliance projette aussi un retour en service de la ligne de chemin de fer entre Lebel-sur-Quévillon et Chapais, un tronçon stratégique qui fait également partie du plan de développement du groupe Qc Rail. Dans les deux cas, la participation et le savoir-faire du CN sont évidemment souhaitables. L’ensemble du projet de la Grande Alliance, chapeauté par la Société de développement crie, est estimé à 4,7 milliards, un investissement qui doit s’échelonner jusqu’en 2050 et qui sera financé en partie par les entreprises qui profiteront des nouvelles infrastructures mises en place. Si le Sud n’a pas été le Pérou attendu pour le CN, le Nord pourrait très bien lui donner l’occasion de hausser son achalandage et son efficacité dans la gestion de son réseau pancanadien. On répète depuis des décennies maintenant, depuis la dure époque de la colonisation au XIXe siècle, combien l’occupation du territoire est importante au Québec, mais il faut aussi maximiser l’utilité de ce territoire et les deux projets de nouveaux liens ferroviaires s’inscrivent tout à fait dans cette optique de développement stratégique. Une autre belle façon de mieux utiliser le territoire que l’on cherche à occuper serait d’assurer un lien beaucoup plus direct et fluide avec la Côte-Nord en mettant de l’avant une fois pour toutes la construction d’un pont pour franchir le Saguenay entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac. Mon plus récent passage dans cette magnifique région, il y a deux semaines, m’a valu des attentes de plus de deux heures pour franchir la belle rivière Saguenay, d’un côté comme de l’autre. La Côte-Nord mérite beaucoup mieux que ça. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2021-09-17/rater-le-sud-miser-sur-le-nord.php
  6. Analyse Jean St-Gelais prendra les commandes du conseil de la Caisse de dépôt Il avait déjà énormément d’influence. Il en aura bientôt encore plus. Jean St-Gelais deviendra sous peu président du conseil d’administration de la Caisse de dépôt et placement du Québec, un des pivots de l’économie québécoise. Denis Lessard - La Presse Les observateurs avaient probablement compris qu’en mai dernier, sa nomination comme membre indépendant du conseil n’était pas la fin de sa trajectoire. Robert Tessier, qui préside le conseil d’administration depuis 2009, quittera son poste en octobre ; St-Gelais lui succédera au pied levé. Un parcours hors norme, dans la haute fonction publique comme en dehors. PDG de 2016 à 2020 de La Capitale, compagnie d’assurance de Québec, il a réalisé la fusion avec SSQ Assurance, qui a généré Beneva, dont il préside le conseil d’administration. Avant d’être nommé à la CPDQ, il présidait aussi le conseil d’Investissement Québec. Depuis l’élection de la CAQ, il est consulté sur toutes les nominations importantes. Décision sans précédent, François Legault a choisi un fonctionnaire qu’il ne connaissait pas du tout comme secrétaire général du gouvernement ; Yves Ouellet, « le » candidat de St-Gelais. Jusqu’ici, ce poste de premier fonctionnaire était réservé à des mandarins bien connus du patron. Mais l’homme qui murmure à l’oreille des premiers ministres ne se limite pas à ces derniers ; Michèle Boisvert, déléguée générale du Québec à Paris, c’est son idée. L’humoriste Louis Morissette au conseil d’administration d’Investissement Québec, c’est lui aussi. Dans l’administration publique, jeune sous-ministre adjoint aux Finances, St-Gelais avait fait un bond étonnant en 2001. Son patron, Bernard Landry, devenu premier ministre, l’avait nommé secrétaire général du gouvernement, le numéro un des fonctionnaires. Dès lors, il jouera un rôle important dans l’avancement de la carrière d’une poignée de ses collègues des Finances. St-Gelais n’a pas cessé depuis de tisser un réseau serré de disciples, dans des postes névralgiques. Parmi ses moins bons coups, il était l’un des stratèges au moment du remaniement raté de Landry au début de l’année 2002, une manœuvre qui a plombé son bref mandat. St-Gelais s’était mis dans une position délicate quand, haut fonctionnaire à l’époque de Jean Charest – il dirigeait la nouvelle Agence du revenu –, il participait en sous-main au comité de transition mis en place par l’équipe de Pauline Marois. Le libéral Sam Hamad garde un bon souvenir de celui qui avait été nommé à la barre de la Commission des normes du travail, avec le mandat délicat de réaliser une fusion avec la Commission de la santé et de la sécurité du travail et celle de l’équité salariale. La CNESST est née sans débats douloureux. Idem pour la Régie des rentes et la Commission administrative des régimes de retraite (CARRA), regroupées sous Retraite Québec. Affable, mesuré, St-Gelais ne cogne jamais sur son bureau, « mais sait serrer la vis quand c’est le temps ». Avec l’élection de la CAQ, en octobre 2018, St-Gelais redevient l’homme qui murmure à l’oreille du premier ministre. Ou de sa garde rapprochée, à tout le moins. Les premières nominations du gouvernement Legault illustrent cette influence. St-Gelais avait identifié Yves Ouellet pour le poste crucial de secrétaire général. Il l’avait connu aux Finances, et l’avait amené au conseil exécutif à l’époque de Bernard Landry, avec un autre fonctionnaire de choc, le regretté Daniel Bienvenu. Un autre qui avait travaillé comme professionnel aux Finances dans le même bureau que St-Gelais, Luc Meunier, a aussi gravi rapidement les échelons dans l’administration publique, toujours dans le sillage de St-Gelais. Quand les libéraux seront élus, en 2003, le nouveau secrétaire général, André Dicaire, voudra garder autour de lui plusieurs de ces fonctionnaires de choc qui ne comptent pas leurs heures. Sous l’influence de St-Gelais, d’autres ex-collègues ont eu des fonctions stratégiques : Luc Monty sous-ministre aux Finances, André Legault, qui aura l’Agence du revenu. Mario Albert, autre ex-collègue, avait eu son appui pour devenir patron de l’Autorité des marchés financiers. C’est St-Gelais qui avait mis en place l’AMF, et qui avait recruté Louis Morisset, issu du secteur privé, qui sera aussi adoubé pour la présidence de l’organisme. Centre du comité de transition de Legault, St-Gelais jouera rapidement un rôle dans d’autres nominations névralgiques ; Eric Ducharme nommé secrétaire au Trésor, un autre ancien des Finances qui avait suivi St-Gelais à l’Agence du revenu. Brigitte Pelletier, nommée sous-ministre à l’Emploi (elle est passée depuis à la Sécurité publique), St-Gelais l’avait connue comme chef de cabinet de Bernard Landry. David Bahan, nommé sous-ministre à l’Économie, un autre ancien des Finances. Plus récemment, Réjean Houle a aussi pris du galon au Conseil exécutif. Déjà, sous Bernard Landry et Pauline Marois, il avait joué un rôle déterminant dans les choix des mandarins pour les postes clés. Hubert Bolduc, ancien attaché de presse de Bernard Landry, sera le grand responsable des communications gouvernementales sous Pauline Marois avec l’imprimatur de St-Gelais. Il est actuellement vice-président à Investissement Québec. Renaud Lachance, un ancien étudiant de Jacques Parizeau, fera un stage aux Finances et sera recruté pour une commission sur la fiscalité ; avec la bénédiction de St-Gelais et de Luc Meunier, il sera nommé vérificateur général. À Québec, l’anecdote est bien connue. Devant un problème, Bernard Landry disait toujours « arrange-moi ça, Jean ». Pour St-Gelais, les mandarins ne sont pas élus, les politiciens décident. Mais les collaborateurs qu’on lance sur leur orbite peuvent faire dévier une trajectoire risquée. https://www.lapresse.ca/affaires/2021-09-17/analyse/jean-st-gelais-prendra-les-commandes-du-conseil-de-la-caisse-de-depot.php
  7. Le toit prend forme et tout devrait être fermé avant l'hiver, ce qui leur permettra de terminer l'intérieur pour la rentrée de l'automne 2022.
  8. Je suis allé vérifier et je confirme qu'elle est de J-F Savaria, l'un des meilleurs photographes de Montréal.
  9. L'oratoire avant que la basilique ne soit construite.
  10. Bourse de Toronto Cinq sociétés du Québec parmi les plus performantes La Bourse TMX a publié mardi sa liste des titres les plus performants depuis trois ans. C’est la société minière Aura (symbole : ORA) qui décroche la première place devant la société de commerce électronique Shopify (SHOP). Le Québec place 5 sociétés dans le top 30. André Dubuc - La Presse Un actionnaire d’Aura a obtenu un rendement total de 1125 % depuis le 30 juin 2018. La minière possède et exploite des mines d’or et de cuivre au Honduras, au Brésil et au Mexique. Tout juste derrière, la société technologique Shopify a obtenu un rendement total de 846 %. Sa capitalisation boursière atteint maintenant les 205 milliards. La troisième place revient à l’assureur spécialisé Trisura Group (TSU), de l’Ontario, qui affiche une performance de 523 % en trois ans. Trisura est actif dans les segments du marché de la caution, des solutions de risque, de l’assurance des entreprises, de l’assurance de façade et de la réassurance. La première société québécoise se pointe le bout du nez au cinquième rang. Il s’agit de la minière Aya (AYA), du promoteur Benoit La Salle, fondateur de Semafo. Aya exploite une mine d’argent au Maroc. Son rendement total sur 3 ans s’élève à 365 %, mais, dans son cas, l’envolée s’est concentrée dans les 18 derniers mois. Dans l’ensemble des heureuses élues du palmarès, près de la moitié des titres, 14 sur 30, proviennent du secteur minier. Six viennent des technologies. Le paysage des titres québécois qui figurent sur la liste sélecte est plus diversifié. Outre Aya, on trouve une entreprise de services aux immeubles, GDI (GDI), société de transport et de logistique, TFI International (TFII), entreprise du secteur agroalimentaire, Goodfood (FOOD), et une entreprise technologique, Tecsys (TCS). Notons aussi la présence au sixième rang de la société Champion (CIA) qui, sans être une société québécoise à proprement parler puisque son siège social est en Australie, détient ses actifs au Québec, le principal étant la mine du lac Bloom, près de Fermont. En trois ans, l’action de Champion, qui ne verse aucun dividende, s’est appréciée de 365 %. Sa capitalisation boursière est passée de 402 millions à 2,2 milliards. Le gouvernement provincial, par le truchement d’Investissement Québec, détient 8,6 % des actions de Champion en date du 27 avril 2021, selon Refinitiv. https://www.lapresse.ca/affaires/marches/2021-09-16/bourse-de-toronto/cinq-societes-du-quebec-parmi-les-plus-performantes.php
  11. Un projet pour Disney Animation réalisé par Cinesite à Montréal Le studio d’animation Cinesite a reçu le mandat de réaliser des contenus animés pour la série Iwájú de Walt Disney Animation Studios. Une centaine d’artistes, techniciens et autre personnel de soutien seront recrutés au cours des prochains mois dans la métropole afin de participer à ce projet unique qui sera mené conjointement avec le studio de Londres. Iwájú, une série qui se déroule dans un Lagos futuriste au Nigéria, explore les thèmes de l’inégalité, de l’innocence et de la remise en question du statu quo. La production se fera en collaboration avec le studio africain Kugali qui se donne pour mission de raconter des histoires inspirées de la culture locale à travers la fiction, dont la bande dessinée. « Travailler avec le meilleur de l’animation à Walt Disney Animation Studios et les conteurs passionnants de Kugali est une première non seulement pour Cinesite, mais pour l’industrie. Les équipes de Cinesite ont travaillé fort pour continuellement élever les standards de qualité de nos productions, et notre collaboration avec Disney Animation est preuve de ceci, » a déclaré Eamonn Butler, Chef de l’Animation de Cinesite. Ce projet d’envergure renforce la position de Montréal comme pôle mondial dans le secteur de l’animation et des effets visuels. Avec 35 studios d’animation et d’effets visuels, l’écosystème local compte quelque 6 250 travailleurs spécialisés qui ont contribué à la réalisation de projets de renommée mondiale tel La famille Addams (2019), Game of Thrones et Stranger Things (3e saison). https://www.montrealinternational.com/fr/actualites/un-projet-pour-disney-animation-realise-par-cinesite-a-montreal/
  12. Montréal Pôle santé – Recursion Pharmaceuticals Quand Salt Lake City débarque à Montréal L’expertise montréalaise en intelligence artificielle (IA) attire des gens de partout dans le monde. C’est du moins ce qui a séduit Recursion Pharmaceuticals, de Salt Lake City, spécialisée dans la recherche médicale utilisant l’intelligence artificielle. Cette firme de l’Utah reconnaît déjà que Montréal sera un des grands pôles mondiaux du développement de l’IA, et elle ne veut pas rater l’occasion. Jean Gagnon - La Presse À la suite des efforts de l’agence de promotion économique Montréal International, Recursion a annoncé en juin dernier qu’elle louait de l’espace de bureau chez Mila, qui se décrit comme une communauté de plus de 500 chercheurs située au cœur de l’écosystème québécois en intelligence artificielle, et qui se spécialise en apprentissage machine (machine learning). « La métropole québécoise nous apparaît depuis des années comme une destination inévitable dans la poursuite de nos objectifs, compte tenu de l’immense bassin de talent que l’on y retrouve », explique Heather Kirby, responsable des ressources humaines chez Recursion. La firme compte engager 12 chercheurs pour ses activités de Montréal. Elle signale que le réputé chercheur Yoshua Bengio, fondateur et directeur scientifique du Mila, agit depuis quatre ans à titre de conseiller scientifique auprès de l’entreprise. Et c’est sans compter la culture que l’on retrouve au Québec, qui s’avère semblable à celle de l’entreprise, ajoute Mme Kirby. « L’intelligence et l’empathie de la population du Québec ressemblent en tout point à celles des gens qui travaillent pour la compagnie à Salt Lake City », dit celle qui a fait de nombreux séjours au Québec au fil des ans. En s’installant à Montréal, Recursion Pharmaceuticals voit à long terme, explique Heather Kirby. Elle compte profiter du talent qu’offre Montréal en intelligence artificielle et en apprentissage machine pour assurer son succès dans 10 ans. « Du talent jaillira le succès », affirme-t-elle. L’IA santé, une priorité au Québec La volonté de Montréal International de développer les outils d’intelligence artificielle et d’apprentissage machine ne laisse aucun doute, explique Stéphanie Doyle, directrice, développement des affaires, sciences de la vie et technologies de la santé. En janvier, accompagnée de Montreal InVivo et avec le soutien de Deloitte, Montréal International a orchestré et déposé auprès du gouvernement québécois le projet Zone IA Santé. Deux créneaux prioritaires en vue de bien positionner le Québec à l’étranger ont été établis, soit la médecine préventive et la valorisation des mégadonnées en santé. On compte attirer 4 milliards de dollars d’investissements privés d’ici 2022, ce qui fera du Québec l’un des cinq pôles nord-américains les plus importants du secteur des sciences de la vie d’ici 2027. D’où l’attrait que Montréal suscite pour des firmes comme Recursion Pharmaceuticals. Une firme bien positionnée Recursion, devenue une entreprise publique il y a quatre mois à la suite de son inscription à la Bourse NASDAQ, travaille déjà sur 48 programmes de recherche et de développement afin de découvrir de nouveaux médicaments et de nouvelles solutions médicales. Parmi ces programmes, 4 sont au stade clinique, 4 autres en préclinique, 7 en découverte avancée et, finalement, 33 proviennent de découvertes récentes. L’intelligence artificielle et l’apprentissage machine reposent sur la collecte et l’utilisation de mégadonnées. Chez Recursion, le total d’expériences phénomiques, soit la recherche transdisciplinaire qui implique la biologie, les sciences des données et l’ingénierie, atteint 82 millions, et l’ampleur de son univers de données propriétaires est de 9 pétaoctets. Recursion s’appuie sur son système d’opération à multiples facettes qui lui permet de générer, d’analyser de multiples situations et d’en tirer un aperçu. L’apprentissage machine lui permet de décortiquer les modèles complexes de la biologie. Ses données et ses systèmes logiciels lui assurent la capacité de poursuivre ses recherches vers la découverte de nouvelles thérapies, à une vitesse et avec une ampleur exceptionnelles. https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2021-09-16/montreal-pole-sante-recursion-pharmaceuticals/quand-salt-lake-city-debarque-a-montreal.php
  13. Pour le Stade olympique il aura fallu attendre environ 11 ans avant que la tour soit érigée. Mais pour l'oratoire je ne savais pas exactement et je suis allé vérifier sur Wikipédia: Crypte L'oratoire était trop petit pour les immenses foules qu'il accueillait pour rencontrer le frère André et prier saint Joseph. Il fut alors décidé en 1915 de construire une église. Les plans prévoyaient la construction d'une crypte couverte par une basilique. Les travaux débutèrent en 1916 selon les plans des deux architectes Dalbé Viau et Alphonse Venne. L'inauguration ainsi que la bénédiction eurent lieu en 1917. Le nom crypte vient du fait que sa voûte repose sur des arcs surbaissées et de sa position au pied de la basilique. La crypte peut accueillir 1 000 personnes. Encore aujourd'hui, elle reçoit la visite des fidèles pour participer aux offices quotidiens. Basilique La construction de la basilique commença en 1924. On fit alors appel aux architectes Dalbé Viau et Alphonse Venne. Le moine français Dom Paul Bellot dessina le dôme suivant le style de la renaissance italienne accompagné de quelques touches modernes. La mort du frère André précède les travaux de finition extérieure, entrepris par les architectes montréalais Lucien Parentet Ernest Cormier en collaboration avec Dom Bellot, qui débutèrent en 1937. Un dôme d'une hauteur extérieure de 97 m du sol, 39 m de diamètre à sa base, surmonté d'un lanterneau hexagonal, lui-même surmonté d'une croix de 6,1 m de hauteur, sera réalisé selon des plans de Dom Bellot et Lucien Parent (1937). La chapelle votive (1946-1949) selon des plans de Dom Bellot, Lucien Parent et Ernest Cormier. Les verrières de la basilique (1958-1961) seront réalisées par Marius Plamondon.
  14. Innergex affirme ses ambitions de croissance L’entreprise Innergex, un important développeur et exploitant de centrales d’énergie électrique de sources renouvelables (hydro, éolien, solaire), a affirmé ses ambitions de croissance jusqu’à 1,4 milliard de revenus en 2025 lors de sa « journée d’investisseurs » tenue mercredi en téléconférence avec des analystes et des gestionnaires de fonds d’investissement. Martin Vallières - La Presse « C’était important pour nous d’expliquer aux investisseurs que le marché des énergies renouvelables est devenu énorme et qu’il attire de plus en plus des capitaux qui se retirent de l’industrie pétrolière et gazière. Et que dans un tel contexte, Innergex a énormément de potentiel de marché devant elle, qui alimentera une croissance assez exceptionnelle au cours des prochaines années », a indiqué Michel Letellier, président et chef de la direction d’Innergex, lors d’une discussion avec La Presse après la première « journée d’investisseurs » pour cette entreprise d’une peu plus de quatre milliards de dollars en valeur boursière. « En tant qu’entreprise pleinement intégrée, de la conception à la réalisation et l’exploitation de projets d’énergies renouvelables, Innergex est bien outillée pour créer de la valeur ajoutée dans ce marché en pleine croissance, a ajouté M. Letellier. « Aussi, avec Hydro-Québec comme actionnaire minoritaire principal (19,9 %) depuis l’an dernier, nous avons l’avantage d’un solide partenaire à long terme pour bien réaliser notre potentiel de croissance au Canada et à l’international. » Lors de leur présentation aux investisseurs, les hauts dirigeants d’Innergex ont pu expliquer et détailler leur plan d’affaires pour atteindre leurs principaux objectifs financiers établis d’ici la fin de l’année financière 2025. Pour l’essentiel, Innergex veut doubler ses revenus annuels totaux aux environs de 1,4 milliard, tout en rehaussant son bénéfice d’exploitation (BAIIA ajusté) aux environs du milliard de dollars. Innergex veut aussi doubler ses flux de trésorerie disponibles (« free cash flow ») à hauteur d’un dollar par action en 2025, contre 50 cents dans son plus récent exercice 2020. Pour parvenir à de tels objectifs, Innergex mise notamment sur la réalisation d’ici 2025 d’une trentaine de projets qui ajouteront quelque 2112 mégawatts à sa capacité de production totale, qui passerait alors le seuil des 5500 mégawatts. Cette capacité est située surtout au Canada et aux États-Unis, mais aussi en France et au Chili. Dans son compte-rendu de la présentation d’Innergex, l’analyste Nelson Ng de la firme RBC Dominion Securities, une filiale de la Banque Royale, estime que « la direction d’Innergex a fourni de bons détails et un plan crédible pour atteindre ses objectifs financiers de 2025, qui ont d’ailleurs été légèrement augmentés. » L’analyste de RBC réitère sa prévision d’une « performance de secteur » et son prix-cible de 24 $ d’ici un an envers les actions d’Innergex cotées à la Bourse de Toronto. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-09-15/innergex-affirme-ses-ambitions-de-croissance.php
  15. Ou pourrait d'ailleurs dire la même chose de la tour du stade olympique. Mais grâce à Dieu chacun d'eux nous offrira bientôt un nouvel observatoire qui nous donnera une vue imprenable sur Montréal.
  16. Autres signes d'activité: une foreuse est arrivée sur le chantier en fin de journée aujourd'hui et un camion de service s'est approché du puits où l'on retrouve ce qui semble être une soudeuse. De plus une plateforme élévatrice s'est installée au fond du futur carillon, sans doute en prévision de travaux à effectuer demain. On sent que les choses bougent et que le chantier reprend vie tranquillement.
  17. Normand Hamel

    Réservoir McTavish

    Présentation du projet au Comité exécutif, le 10 juin 2020, disponible ici en version PDF: https://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CE/CE_DA_ORDI_2020-06-10_08h30_Station_de_Pompage_McTavish.pdf
  18. Je ne sais pas ce que vous avez tous à vous en prendre à Sandra. Je ne peux m'empêcher d'y voir un certain machisme. D'abord son orthographe est pas mal meilleure que celle de la plupart des membres de MTLURB. Et la même Sandra publiait il y a un mois des photos qui témoignent effectivement de l'avancement des travaux lorsqu'on les compare avec les plus récentes. Les deux premières photos datent du 9 août dernier et les trois suivantes sont celles d'hier. Pour ce qui est de la dernière photo elle vient de la caméra de chantier ce matin où l'on voit deux bétonnières en action.
  19. 1- Le Québec dispose depuis longtemps d'une Délégation du Québec à Los Angeles et d'une Antenne du Québec à Silicon Valley. 2- En 2014, le Québec a lié son système à celui de la Californie dans le cadre de la Western Climate Initiative, créant ainsi le plus grand marché du carbone en Amérique du Nord et le premier à avoir été conçu et à être géré par des gouvernements infranationaux de pays différents. 3- Ça fait 25 ans que le Québec prête ses avions à la Californie à chaque année lorsque la saison là-bas est propice aux incendies de forêt.
  20. Je trouve que la Tour de la Bourse et le 628 se mettent en valeur mutuellement.
  21. C'est plausible car en 1976 la famille Wiseman a vendu l'édifice à Rita Solak, l'épouse d'Irving Baron. On peut donc présumer que peu de temps après des changements importants ont pu être apportés.
×
×
  • Créer...