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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. As-tu des photos de l'arrière pour que je puisse comparer?
  2. Je trouve le basilaire très impressionnant même si on est à l'arrière du bâtiment où il est normal de trouver une entrée de garage et des grilles de ventilation par ailleurs fort discrètes. Et en plus on aura droit à un commerce, sans doute une petite épicerie.
  3. L’injonction est accordée aux Mères mohawks pour stopper les travaux à McGill Un juge de la Cour supérieure du Québec a ordonné l'arrêt temporaire des travaux d'excavation sur un important projet de l'Université McGill après qu'un groupe autochtone eut soulevé des inquiétudes concernant d'éventuelles tombes non marquées. Le juge Gregory Moore a accordé l'injonction interlocutoire tard jeudi à la suite d'une demande d'un groupe d'aînées de Kahnawake connu sous le nom de Mères mohawks. Kimberly R. Murray, l'interlocutrice spéciale indépendante nommée par le gouvernement fédéral pour les enfants disparus et les lieux de sépulture non marqués, a déclaré vendredi dans une entrevue que le juge avait demandé aux parties de préparer un plan de recherche de tombes non marquées. Les Mères mohawks ont intenté une action en justice en mars contre McGill et la Société québécoise des infrastructures (SQI), un organisme provincial qui soutient les projets d'infrastructures publiques. Aucune preuve de tombes anonymes, selon les avocats de McGill Lors d'une audience cette semaine, des avocats représentant McGill et la SQI ont fait valoir qu'il n'y avait aucune preuve de tombes anonymes sur ou à proximité du site de l'ancien hôpital Royal Victoria, que McGill envisage de transformer en centre de recherche, d'enseignement et d'apprentissage. Les Mères mohawks ont affirmé avoir découvert des éléments de preuve grâce à des entretiens avec une personne ayant survécu aux expériences psychiatriques menées par le Dr Donald Ewen Cameron à l'Institut Allan Memorial de McGill, sur le terrain du Royal Victoria, dans les années 50 et 60. Mme Murray, qui a demandé le statut d'intervenante dans l'affaire en août, a déclaré que le juge avait accepté sa demande et qu'elle participerait à des conférences et à des réunions avec les parties. L'Université McGill a refusé de réagir à la décision et a renvoyé toutes les questions à la SQI, qui n'a pas immédiatement répondu à une demande de La Presse canadienne pour commenter le dossier. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1928861/justice-cour-travaux-royal-vic-mkultra-tombes
  4. Je sais que tu aimes la rigueur et c'est pourquoi je porte à ton attention le fait que le Québec fait généralement preuve de plus de rigueur que les autres provinces concernant les données des statistiques. Par exemple, pendant la pandémie le Québec affichait des taux de mortalité effarants en comparaison des autres provinces et des autres pays. Pourtant le PM s'évertuait à nous faire comprendre que nous avions une méthode différente pour l'attribution d'une mortalité due à la COVID. Legault nous disait alors qu'il faudra éventuellement se référer au taux de surmortalité. Or il s'avère aujourd'hui qu'il avait raison car pour la période couvrant la pandémie nous affichons l'un des taux de surmortalité parmi les plus bas au monde et de loin le plus bas au Canada exception faite des plus petites juridictions. Pour l'éducation c'est un peu la même chose quoique le problème se pose différemment. En effet nous affichons le taux décrochage le plus élevé au Canada mais nous avons en même temps le plus grand pourcentage de notre population détenant un diplôme d'étude secondaire au Canada. La contradiction s'explique ainsi: nous avons un plus grand nombre de décrocheurs qui retournent éventuellement aux études et obtiennent sur le tard leur diplôme d'étude secondaire. Ce qui m'amène à dire que dans l'article il est clairement spécifié que le Québec publie des statistiques mensuelles concernant le PIB, ce qui n'est pas le cas pour les autres provinces qui sont probablement elles aussi en récession en ce moment mais nous ne le saurons que plus tard.
  5. Baisse du PIB de 0,5 % en juillet Le Québec est probablement déjà en récession, selon Desjardins L’économie canadienne a continué d’avancer au mois d’août, avec une légère hausse de 0,1 % du PIB, mais le Québec, dont le PIB a baissé de 0,5 % en juillet, est probablement déjà tombé en récession, avance Desjardins. Avec le recul de son PIB pour un quatrième mois de suite et les prévisions des deux prochains mois, « le Québec semble déjà avoir un pied dans la récession », observe Hélène Bégin, économiste principale de Desjardins. Le troisième trimestre affichera une contraction pour un deuxième trimestre consécutif de croissance négative, ce qui répond à la définition d’une récession. Selon l’économiste de Desjardins, le repli de l’économie du Québec sera assez important pour qu’on parle d’une récession classique, avec des pertes d’emplois, une diminution des ventes au détail et une chute des prix de l’immobilier. Même si le ralentissement de l’économie québécoise est généralisé, le marché de l’emploi résiste encore, ce qui laisse prévoir « une nouvelle variante de récession classique, avec des pertes d’emplois limitées et une remontée du taux de chômage, soit au niveau de 6 % d’ici un an ». La pénurie de main-d’œuvre et l’épargne accumulée par les Québécois pourraient atténuer l’impact de cette récession comparativement aux précédentes, affirme l’économiste de Desjardins. Le signal de récession peut être perçu plus tôt au Québec qu’ailleurs au Canada, parce que l’Institut de la statistique publie les chiffres du PIB tous les mois, ce que ne font pas les autres provinces. Le virage de l’économie québécoise est clair et donne probablement un avant-goût de ce qui attend les autres provinces, selon Desjardins. « Le signal de récession pour le Québec n’a pas à lui seul fait pencher la balance pour la Banque du Canada, mais il a peut-être été pris en considération lors de l’annonce du 26 octobre. Malgré la forte inflation, la décision [a été] d’augmenter les taux directeurs de 50 points de base, plutôt que 75 points de base », observe Hélène Bégin L’économie canadienne résiste Statistique Canada s’attendait à ce que le PIB fasse du surplace en août. La hausse de 0,1 % indique que l’économie se montre résiliente. « Au final, l’économie canadienne se porte un peu mieux que prévu, a commenté l’analyste de S&P Global Market Intelligence, Arlene Kish. La bonne performance de certains secteurs, particulièrement dans les services, semble atténuer l’impact négatif des hausses de taux d’intérêt sur les secteurs qui y sont les plus sensibles, comme la construction résidentielle. » La hausse du mois d’août suit une augmentation similaire de 0,1 % en juillet et en juin. C’est le secteur des services, en hausse de 0,3 %, qui tire la croissance en août, tandis que la production de biens est en baisse de 0,3 %. Le secteur de la construction s’est replié pour un cinquième mois consécutif, en baisse de 0,7 % en août, sous l’impact des hausses répétées des taux d’intérêt. Après le recul de juillet, le secteur du commerce de détail a enregistré une hausse de 1,2 % en août, indique Statistique Canada. Ce sont surtout les magasins de sport qui en ont profité. Les activités sportives ont repris à plein régime au cours de l’été, note Statistique Canada. Cette catégorie de dépense est en hausse de 5,4 % et a atteint leur plus haut niveau depuis juin 2021. Le prix de l’essence a diminué de 9,6 % en août, ce qui a stimulé la consommation. Les ventes des stations-service se sont accrues de 6,9 %, après avoir diminué pendant trois mois d’affilée. Les ventes des magasins d’alimentation ont augmenté de 1,3 % en août, après avoir diminué pendant deux mois consécutifs. Statistique Canada estime que le PIB a augmenté de 0,1 % en septembre, des chiffres qui seront confirmés le mois prochain. Pour l’ensemble du troisième trimestre, soit les mois de juillet, août et septembre, les estimations pointent vers une croissance de 0,4 %. Avec les chiffres du mois d’août, les économistes de la Banque Nationale s’attendent à une croissance de 1,6 % en rythme annualisé au troisième trimestre, après l’augmentation de 4,2 % enregistré au deuxième trimestre. Ce ralentissement devrait se poursuivre au cours des prochains mois, écrivent Kyles Adams et Alexandra Ducharme dans leur analyse. « La hausse des taux d’intérêt a eu un impact négatif sur les secteurs de la construction, de la finance et de l’immobilier au cours des derniers mois et devrait continuer à le faire dans la période à venir », notent-ils. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2022-10-28/baisse-du-pib-de-0-5-en-juillet/le-quebec-est-probablement-deja-en-recession-selon-desjardins.php
  6. C'est vrai, mais c'est en 2015 que l'on a commencé à en voir les résultats tangibles. La Tour Deloitte en est un bon exemple: sa construction a débuté en 2013 et s'est terminé en 2015. C'était la première tour à bureau depuis 20 ans. La démolition de l'autoroute Bonaventure a commencé en 2015. Le démantèlement de l'échangeur Turcot a également débuté en 2015. Les travaux du pont Samuel-De Champlain ont également commencé en 2015. Je viens de nommer ce qui était alors les trois plus gros chantiers du 21e siècle à Montréal. Cela devrait être suffisant il me semble pour dire que 2015 fut un point tournant. C'est d'ailleurs à partir de 2015 que l'on a commencé à dire que Montréal était en feu. Bien évidement tous les projets que l'on commençait alors à voir apparaître avaient été planifiés bien avant et certains avaient effectivement débuté avant 2015, mais il reste qu'en 2015 plusieurs observateurs, et je ne parle pas ici seulement des membres de MTLURB, commençaient à se demander ce qui se passait. Les projets sortaient de terre l'un après l'autre, et le plus souvent c'était de très gros projets. En 2015 on commençait à voir des grues partout et c'est à ce moment-là que les habitants de la région ont commencé à se plaindre des cônes oranges. C'était 2 ans avant le 375e et Coderre était lui aussi en feu. 🔥
  7. Je trouve curieux que l'on ne retire la toile qu'à tous les deux étages.
  8. Le chantier aujourd'hui en fin d'après-midi.
  9. En ce qui me concerne on ne reviendra jamais suffisamment sur le récent boom montréalais. C'est un phénomène extraordinaire qui en a pris plus d'un par surprise lorsqu'il a commencé à se manifester aux alentours de 2015. On peut cependant se demander s'il tire à sa fin car le nombre de nouveaux projets a en effet, comme tu l'as souvent mentionné, chuté drastiquement. Je crois cependant que c'est cyclique et qu'il y aura éventuellement, dans un avenir pas trop lointain j'espère, d'autres grands projets car la vitalité économique de Montréal ne connait pas elle un aussi fort ralentissement et devrait quand même poursuivre sa croissance.
  10. La mairesse Plante promet de se rendre sur place À quelques jours du début des travaux dans le pont-tunnel Louis-Hippolyte La Fontaine, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a indiqué qu’elle se rendra sur place pour observer le chantier. «On veut s’assurer que tout se passe bien et qu’on soit agile dans les prochains jours, les prochaines semaines et les prochains mois, et qu’on soit en mode action-réaction», a-t-elle expliqué, jeudi matin, en marge d’une mêlée de presse. À compter de lundi, trois voies de circulation du tunnel seront fermées en raison de travaux majeurs qui se dérouleront sur un échéancier de trois ans. Mme Plante a tenu à rappeler que l’importance que son administration accorde au bon déroulement des entrées et sorties de l’île, tant pour les travailleurs que pour le transport de marchandises. «On est le poumon économique. C’est extrêmement important. Tous les efforts sont déployés par la Ville de Montréal. Depuis des mois, des années, on prépare des mesures de mitigation. C’est extrêmement important de soutenir la population qui va vivre un moment difficile», a réitéré Mme Plante. Elle a également invité ceux qui le peuvent à utiliser le transport collectif, d’autant que l’offre a été augmentée, tant sur la ligne jaune du métro qu’aux abords de la station Radisson pour les autobus assurant une liaison avec la Rive-Sud. Le ministère des Transports du Québec calculait que 60 % des usagers devraient trouver une alternative afin d’assurer une fluidité de circulation. «En amont, on a allégé le calendrier des chantiers. Dans le grand secteur autour du pont-tunnel: Anjou, Saint-Léonard, Mercier - Hochelaga-Maisonneuve; c’est près de 80 chantiers qui ont été remis à plus tard, en sachant très bien que ce serait difficile», a révélé Mme Plante. Selon ses explications, seuls les travaux «absolument urgents» demeurent en cours. «J’en parle souvent, de la vétusté des infrastructures. On ne veut pas que des tuyaux cassent et que personne n’ait plus d’eau. Ce les urgences, les travaux qui doivent être terminés», a-t-elle illustré. https://www.tvanouvelles.ca/2022/10/27/pont-tunnel-la-mairesse-plante-promet-de-se-rendre-sur-place-1
  11. On déguédine et on décarbone Depuis la proposition de souveraineté, aucun gouvernement n’a réussi à soumettre un vrai projet de société pour le Québec. L’idée d’indépendance est maintenant flétrie, et une majorité de baby-boomers francos reste collée avec un vague à l’âme. Le presque demi-siècle au pouvoir de cette lignée achève toutefois. RÉGIS LABEAUME - MAIRE DE LA VILLE DE QUÉBEC DE 2007 À 2021 Au suivant, chantait Jacques Brel. La nouvelle génération, elle, sait ce qu’elle veut : un Québec vert, décarboné. Et elle a raison. Pour de multiples motifs environnementaux, sociaux et économiques. Il est temps de se donner collectivement cette tâche : UN QUÉBEC ZÉRO CARBONE EN 2050. Le voilà le grand chantier. Mais encore faudra-t-il que nos dirigeants se décalcinent eux-mêmes les esprits, et se donnent une volonté électrique pour passer à l’action. Si le premier ministre Legault veut laisser un héritage important de son séjour en politique, il devrait embrasser ce projet. Autrement, son legs pourrait rester englué dans la gestion de la pandémie. Un chapitre bien court dans l’évangile politique du Québec. Pour ce faire, avec ses ministres ténors, il ne faudra pas envisager le développement économique d’une manière comptable et poussiéreuse, mais plutôt le concevoir de façon visionnaire et XXIe siècle. Certes, le gouvernement s’est donné un Plan pour une économie verte 2030, et le premier ministre a exprimé il y a quelques jours ses intentions sur la transition énergétique. Mais pourquoi on n’y croit pas vraiment ? Pourquoi on sent cela fake potentiellement ? Parce que les signaux sont contradictoires. Tout d’abord, cette priorité sur la transition n’a pas été énoncée comme telle durant la campagne électorale. Et puis, le traitement du dossier de la fonderie Horne, en Abitibi, ou l’idée de la recherche d’entreprises étrangères, avec la carotte des contrats d’alimentation électrique cheapo. Ou les réponses dictées au ministre de l’Environnement, qui lui font perdre plus de crédibilité à chaque jour que le Bon Dieu amène. Quand René Lévesque a nationalisé l’électricité, quand Robert Bourassa a mis à exécution son plan de développement de la Baie-James, Claude Castonguay, créé l’assurance-maladie, les sommes en jeu étaient énormes. Ils ont sûrement dû vivre des moments de vertige. Mais ils avaient des plans, réfléchis, ont cru à leurs bons augures, et ont foncé. On appelle cela de la résolution, renchaussée par des convictions profondes, et de l’estomac. C’est exactement ce qu’on ne ressent pas actuellement du gouvernement. Le discours ne convainc pas. Un sentiment de politique désossée. Pourtant, un plan limpide, planifié dans le temps, chiffré et vérifiable, adossé à une détermination politique authentique, enverrait un message extraordinaire. Et s’il était bien vendu, aurait un écho planétaire. La semaine dernière, un spécialiste, Yvan Cliche, expliquait dans ces pages comment explosaient dans le monde les engagements des entreprises à n’émettre aucun GES d’ici 20-30 ans. Et comment le Québec peut devenir une terre d’accueil de choix pour celles-ci. Ajoutons également comment les actionnaires des fonds d’investissement mondiaux deviennent de plus en plus militants, et exigent de la rectitude climatique. On ne compte plus le nombre de ces fonds qui désinvestissent des entreprises impliquées dans l’exploitation des combustibles fossiles. Cette tendance est irréversible et à notre avantage, absolument. On le sait, très peu de pays dans le monde possèdent cet atout extraordinaire qu’est l’hydroélectricité, pour atteindre cet objectif du zéro carbone. Ce que ce portrait lance comme signal, c’est qu’un tel plan peut être vachement lucratif. Entre autres, en accueillant d’autres genres d’entreprises, moins gloutonnes en énergie et plus innovantes par exemple, sans trop mettre la main dans nos poches, ou brocanter nos réserves hydroélectriques. C’est rare ça, et ça nous changerait… Mais le grand dessein est de développer du savoir, de l’expertise, et des entreprises d’ici. Et des grappes industrielles, qui pourront éventuellement rayonner, et vendre leurs pratiques dans le monde entier. Bref, développer de manière endogène. Cette initiative nous mettrait de plus en harmonie avec une génération aux portes du pouvoir. Alors, prenons de l’avance. Et nous avons l’organisation parfaite pour mener ce chantier : Hydro-Québec. Sa présidente, Sophie Brochu, est brillante et actuelle. Cette femme sait où elle s’en va. Mais il faudra lui donner un mandat clair. Notamment sur l’augmentation de la capacité de production, toutes ressources confondues, et pour bâtir l’infrastructure nécessaire à l’électrification des transports, par exemple. Pour que cela fonctionne, le PM et sa part d’élus trop rococos devront se faire vacciner contre ces crises subites, qui les font fantasmer sur la communion avec les big shots énergivores. Un spasme jouissif à court terme, mais un plaisir évanescent avec la modernité. Ne nous contentons pas de flagosses économiques. Voyons loin, et grand, comme messieurs Lévesque et Bourassa. On n’a pas encore exploité toute la valeur ajoutée, sorti tout le jus de leurs visions historiques. Ils ont étatisé, et développé cette filière dans une perspective d’autosuffisance énergétique, mais également pour sa valeur commerciale, ne l’oublions pas. Le premier ministre a tout le pouvoir nécessaire, et la chance incroyable de faire arriver ce magnifique projet de société. La possibilité de laisser une empreinte indélébile de son passage en politique. Allons, soyons opportunistes, la fenêtre est là ! Think big, sti ! On déguédine et on décarbone. https://www.lapresse.ca/debats/chroniques/2022-10-27/on-deguedine-et-on-decarbone.php
  12. Suggestion: tu devrais ouvrir un fil sur les cônes oranges.
  13. On jase là: si Valérie t'invitait à souper, seul en tête-à-tête avec elle, qu'est-ce que tu lui dirais concernant son administration?
  14. On pourrait dire la même chose pour Denis Coderre. Par exemple le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie financé par Québec dans le cadre du 375e. Et dans une moindre mesure les sculptures du parc Guido-Nincheri offertes par la Ville de Québec. On a également entrepris à l'époque de gros chantiers qui n'auraient peut-être jamais vu le jour, comme la Promenade Fleuve-Montagne. L'illumination du pont Jacques-Cartier est également un lègue du 375e.
  15. N'ayant jamais entendu parler de lui je suis allé lire à son sujet sur Wikipédia: Aldis Bernard exerce sa profession de dentiste dans le sud des États-Unis et s'installe en 1841 à Montréal. Il est d’abord conseiller du quartier Montréal-Centre de 1858 à 1861 et de 1866 à 1873. Il est choisi en juin 1873 pour être le maire de Montréal, en remplacement de Francis Cassidy, décédé en exercice. Il est élu par la population à l’élection de 1874. Sous son administration, la charte de Montréal est modifiée afin de donner à la Ville plus de pouvoirs en matière d’hygiène publique. Aldis Bernard poursuit le travail de ses prédécesseurs Francis Cassidy, mais surtout Charles-Joseph Coursol et William Workman, permettant ainsi la création de grands parcs publics à Montréal. On lui doit ainsi les travaux au Parc Lafontaine, au Parc du Mont-Royal, à l’île Sainte-Hélène et au Square Dominion.
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