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steve_36

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Tout ce qui a été posté par steve_36

  1. 10 étages c'est parfait pour ce coin de rue. Je dirais même plus que c'est souhaitable. Il ne faut pas étouffer le petit square Cabot mais il faut plutôt bien l'entourer.
  2. Je seconde moi aussi cette explication que j'ai d'ailleurs déjà évoqué en essayant d'expliquer à des personnes de Toronto pourquoi Montréal était moins cher. Je leur disait que la banque de logement à Montréal était beaucoup plus grande qu'ailleurs au pays ce qui pouvait expliquer cette différence pour la location. C'est aussi pour cela que je suis en faveur de ce type de projets partout ou c'est possible en dehors du Centre-ville.
  3. Moi je trouve ce design très original. Ca donne vraiment de la personnalité au projet et ca vient consolider le coin de rue Peel et Wellington de façon assez particulière avec une œuvre d'art comme curiosité. Un coin de rue très urbain et éclectique avec maintenant un design attaché à chaque balcon d'un des édifices. Il fallait non seulement y penser mais le faire. Bravo !
  4. Can you blame the duck ?
  5. Merci pour cette information historique très intéressante datant du régime Français et qui est reconnue aujourd'hui par le promoteur de ce projet.
  6. Je suis d'accord que l'allusion à Brooklyn est complètement fantasmagorique. Et que l'ajout de ''Sir'' est une forme éhonté de marketing qui ne veut absolument rien dire. Il serait temps pour Longueuil de trouver sa propre identité et de ne pas essayer d'avoir des airs de Brooklyn, vraiment ridicule.
  7. Great! Keep up the good news, I like to hear them. I am counting on you ! Lol !
  8. On Bishop street, beetwen De Maisonneuve and Sherbrooke, on the west side, there's a bunch of nice victorians that belong to Concordia I think. There never seem to be a lot of activities there. So every time I pass by, I always envisioned Concordia using these houses to transfer their fine art activities. They could even use the parking lot behind to build on top of it if they need more space. That way, the Concordia fine art Centre would be a lot more funkier, more interesting and it would be facing the MBAM, therefor adding to the area as a museum destination. It would be a win win for a lot of institutions here. Plus, I don't know who the victorians on Mckay belong to but they could even add part of those in order to use the parking lot and gain even more space. A lot of possibilities there I think.
  9. Photos prises il y a 2 semaines....et rien ne s'améliore. C'est plutôt désolant. J'ai même entendu des passants qui parlaient des dalles brisées. Vite, enlevez moi tout cela et mettez du bois !
  10. 14 musées d'histoire à Montréal ? Est-ce que c'est comme les bibliothèques, chaque arrondissement possède son propre musée d'histoire ? Il y a peut-être matière à consolidation ici, non seulement pour éliminer des dédoublements mais aussi afin de créer un ou deux vrais musées d'histoires de grandes envergures.
  11. Montreal is a very resilient city and the condo market will follow the same road. I don't know about the stats but all I can say about the Griffintown, is that there is a lot of movement, in and out. It's a very young and mobile clientele but there doesn't seem to be an end to the people moving in or that are looking for something in the area.
  12. Superbe photo et magnifique combinaison de vieux et de moderne. Je crois que ce square sera l'un des joyaux de Montréal, avec la Place d'Armes et le Carré St-Louis.
  13. Un Canadian Tire urbain serait une bonne idée par contre.
  14. J'en connais une qui sera ravi de faire la découverte de cette nouvelle pâtisserie. Et je dois avouer que moi aussi, j'aimerais bien gouter à ces fameux éclairs. d'ailleurs, j'aime bien les pâtisseries françaises. Il y a un savoir faire assez particulier, un professionnalisme assumé mais aussi un amour incontestable du métier et de la pâtisserie. Par contre, je ne place pas la rue Ontario dans le Village. Je sais que certains peuvent le faire mais pour moi c'est un autre monde. C'est de Maisonneuve qui marque la ''frontière'' selon moi.
  15. Excellente nouvelle. Ça avance et ça bouge. Très prometteur pour le quartier.
  16. Merci pour cette série de photos à Angus. Comme on peut le constater, c'est un quartier qui se densifie agréablement surtout si on ajoute le Tak.
  17. Depuis hier nous avons visité des dizaines (en plus d'avoir téléphoné à plusieurs autres) d'appartements à la recherche d'un 3 et demi pour une amie. Elle veut absolument au Centre-ville (Shaughnessy Village, McGill Ghetto) et les pris demandé sont de $700 à $1000 pour un studio et entre $900 et $1300 pour un 3 et demi. Tout compris. Bien sur on ne regarde pas le haut de gamme. On reste dans les grands immeubles qui de l'extérieur ne sont pas très beau mais peuvent être jolie à l'intérieur. Il y a beaucoup d'appartement à louer surtout près de McGill mais les proprios nous disent qu'à partir de septembre ça se loue déjà beaucoup. Donc facile de louer d'aujourd'hui à la fin août mais plus difficile à partir de septembre. On sent qu'il y a quelque chose qui se passe à partir de la rentrée. Aucune certitude mais c'est dans l'air. De plus, lors de la ballade aujourd'hui laissez moi vous dire qu'il y avait beaucoup de monde à peu près partout. Et on y parle toutes les langues. La majorité étant plutôt jeune mais très actif. À part l'interdiction de s'asseoir dans les restos et cafés, il n'y avait pas grand différence avec une journée normale.
  18. Il va commencer à y avoir une densité intéressante dans le secteur. Il était temps car il y a de la place en masse pour développer. Je pense surtout à tout ce qui est entre Viau et Dickson, et entre Sherbrooke et Souligny.
  19. Moi, au contraire de la plupart de vous tous, je préfère de loin un projet d'environ 10 étages, grosso modo. Le tout afin de s'aligner avec ses voisins d'en face (Hôtel W et Power corp.), mais aussi pour ne pas obstruer l'ensoleillement de la Place Victoria. Ça peut paraitre négligeable pour plusieurs mais pour les travailleurs du secteur, c'est primordial. De plus, un édifice de 200m aurait un impact limité étant donné que la tour de la Bourse, le Victoria sur le Parc et la nouvelle Banque Nationale sont à proximité et ont justement des hauteurs de 200 m environs.
  20. Quand c'est rendu que les gars de mtlurb critiquent les couloirs et planchers des projets modestes !!!! Y'en a qui ont beaucoup de temps libre !
  21. Et la façade, est-ce qu'elle a du commercial au rez-de-chaussé ?
  22. This is a very good point but which is very hard for us, quebecois, to measure. There's a lot of reasons why some people chooses to emigrate to Quebec and the taxes that we pay is surely not one of them. But despite that, many people enjoy the lifestyle here and presumably develop an attachment of some kind towards Quebec that we under estimate. Of course, like in other places, some people are only in for the money, for the profits, therefor they will easily depart from Quebec when realizing that other jurisdiction pay a lot less taxes. And this is true for some quebecois as for some foreigners.
  23. Autant j'étais emballé par l'idée d'y installer un musée dédié à Jean-Paul Riopelle, autant je suis maintenant encore plus emballé avec cette nouvelle proposition d'y installer une ''Maison de la chanson et de la musique''. De plus, j'aime bien la collaboration entre Monique Giroux et Luc Plamondon, deux personnalités que j'apprécie favorablement. Donc, que ce soit dans l'immeuble Saint-Sulpice ou ailleurs, je crois que c'est un excellent projet pour promouvoir et valoriser la chanson québécoise et, par ricochet, la langue française et la culture d'ici. https://plus.lapresse.ca/screens/396643c9-ca98-45cc-9bd7-d5aa417477a4__7C___0.html Un toit pour notre chanson Le projet d’un espace entièrement consacré à la chanson québécoise est actuellement porté par Monique Giroux et Luc Plamondon. Tout indique que la très convoitée bibliothèque Saint-Sulpice pourrait en devenir l’écrin. Mario Girard La Presse Quand Monique Giroux a une idée dans la tête, elle ne l’a pas dans les bottines. Depuis près de 20 ans, l’animatrice d’ICI Musique nourrit le rêve de créer un lieu qui serait un refuge pour notre chanson. Cet endroit qu’elle a imaginé des milliers de fois raconterait l’histoire de cet art, mais le ferait également vivre. Ce projet fou et démesuré, Monique Giroux en parlait à des proches de temps à autre. Puis, un jour, il y a trois ans, lors d’un repas avec Luc Plamondon, ce dernier lui a confié qu’il aimerait mettre sur pied… une « maison de la chanson ». Monique Giroux a failli s’étouffer avec sa bavette de bœuf en écoutant celui qui est devenu un allié de taille dans cette aventure. « Le lendemain, je revoyais Luc et je lui montrais les détails de mon projet tel que je le voyais », m’a-t-elle confié lors d’un entretien. Plusieurs mois plus tard, le concept de cette Maison de la chanson et de la musique (MCM) franchit une étape cruciale. La philosophie du lieu est arrêtée, des rencontres déterminantes et encourageantes avec des autorités ont eu lieu, un plan de faisabilité a été établi. Quant à Monique Giroux, elle est prête à foncer. « C’est la Caserne de Robert Lepage qui m’a donné cette idée. Je me suis dit : pourquoi ne pas faire quelque chose comme ça pour la chanson ? C’était la fin des Cabarets des refrains et je voyais la joie du public d’assister à de l’inédit et celle des artistes de travailler ensemble. » — Monique Giroux Le mandat de la MCM est varié. Le lieu offrirait des présentations multimédias et interactives, des découvertes musicales, des expositions, permettrait la conservation de trésors d’archives provenant d’artistes et de créateurs, favoriserait la création, des rencontres, des spectacles, des résidences d’artistes, des classes de maître, de même que des ateliers scolaires ou d’affaires. Pour accueillir tout cela, l’endroit devra contenir des espaces d’exposition pour présenter les collections permanentes et des expositions temporaires, une salle de spectacle multifonctionnelle, un centre de documentation, une salle de répétition, ainsi que des espaces pour héberger les bureaux d’organismes en lien avec la chanson et la musique. Il n’y a pas à dire, le projet est doté d’une vision très claire. Grâce au mécénat de Luc Plamondon (président d’honneur de ce projet), un plan de faisabilité a été conçu par la firme Raymond Chabot Grant Thornton. Un conseil d’administration, présidé par Monique Giroux, a été formé. Il rassemble Marie-Christine Champagne (La Tribu), Claude A. Garneau (Autrement communications), Nathalie Gélinas (immersifTKNL créateurs d’expériences), Patrick Goodwin (conseiller en architecture), Martin Hudon (Orchestre Métropolitain), Zénaïde Lussier (avocate en droit du divertissement), Charles Nantel (CRI Agence), Michel Robitaille (Centre de la francophonie des Amériques) et Ines Talbi (artiste). Monique Giroux et Luc Plamondon ont eu des rencontres avec le ministère de la Culture (le plan de faisabilité lui a été présenté en mars 2020) et avec la mairesse de Montréal, Valérie Plante. Des visées sur la bibliothèque Saint-Sulpice Monique Giroux ne s’en cache pas, elle a des visées sur l’ancienne bibliothèque Saint-Sulpice, un lieu hautement convoité depuis quelques mois. On sait que le projet d’y installer la Fondation Riopelle est dans l’air. Le Parti québécois propose d’y créer un Musée de l’histoire du Québec. Quant à Québec solidaire, on a appris la semaine dernière qu’il aimerait que l’endroit devienne un « repère » de la littérature québécoise. « On est allés voir le Centre d’histoire de Montréal, dans le Vieux-Montréal, le Cinéma Impérial et d’autres lieux. Mais quand on a appris que le projet de Fab Lab ne se ferait finalement pas à la bibliothèque Saint-Sulpice, on s’est remis à rêver. » — Monique Giroux Monique Giroux a eu l’occasion de parler de son désir d’occuper ce joyau patrimonial qui trône dans la rue Saint-Denis, en plein cœur du Quartier des spectacles, à Jean-Louis Roy, président-directeur général de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), responsable de la bibliothèque Saint-Sulpice. « On lui a aussi proposé un véritable partenariat, dit-elle. Nous pouvons procurer de la vie à ce lieu. Il est en faveur de cela. C’est formidable qu’on puisse avoir son appui. Le ministère de la Culture est très favorable également. Nous devons maintenant franchir la seconde étape du plan de faisabilité. » Garder notre chanson au chaud Voyant nos artistes avancer en âge, Monique Giroux a le souci de la postérité de la chanson québécoise. « Je me suis souvent dit : qu’est-ce qui va arriver du manuscrit original de Quand les hommes vivront d’amour lorsque Raymond Lévesque disparaîtra ? Bien voilà, c’est arrivé. Raymond n’est plus là. Le temps est venu de rassembler les forces. » Pour Monique Giroux, le projet de cette « ruche de création » qui « gardera la chanson au chaud et à l’abri des intempéries » est le point de convergence d’une carrière qui dure depuis 30 ans et qui est entièrement consacrée à cet art que Gainsbourg qualifiait avec tout le sens de la provocation dont il était capable de… mineur. « J’ai l’envie de protéger la chanson du passé, mais aussi celle du présent, donc du futur. » — Monique Giroux « J’ai aussi en tête de protéger la langue française et la si grande accessibilité de cette forme d’art. Tout le monde a accès à la chanson. C’est souvent la première chose qu’on entend quand on vient au monde et c’est souvent la dernière chose qu’on entend quand on meurt », continue-t-elle. Quand on connaît la détermination de Monique Giroux et, surtout, l’incroyable passion qui a toujours accompagné tout ce qu’elle a fait pour la chanson d’expression française, il y a lieu de croire que ce projet réglé comme du papier à musique a toutes les chances du monde d’être réalisé. Dans la brochure résumant le projet de Maison de la chanson et de la musique, il y a cette jolie phrase de Félix Leclerc : « Il y a des maisons où les chansons aiment entrer. » Ça donne déjà envie de pousser la porte.
  24. Super petit projet avec, je le crois bien, du commercial sur Jarry. Et bravo pour avoir conservé l'arbre qui deviendra une sorte de curiosité dans le secteur.
  25. We don't talk about it a lot but there's a lot of construction in that area, I don't know how we call this specific area, maybe Snowdon, but I do like the construction boom, alongside the Decarie, that is happening. And it gets even better when we add Cote-St-Luc, the Royalmount, le Triangle and the portion north of the met.
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