Aller au contenu
publicité

eastender85

Membre
  • Compteur de contenus

    1 260
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Tout ce qui a été posté par eastender85

  1. eastender85

    Expos de Montréal

    Rien de bien précis mais Coderre semble toujours y croire Qu’est-ce qui unit Denis Coderre et Rodger Brulotte? Leur grande passion pour le baseball, bien sûr! Il a donc évidemment été question du retour éventuel des Expos lorsque les deux hommes ont discuté de leur amour commun pour ce sport à l’émission de Dave Morissette en direct consacrée à l’ancien député du comté de Bourassa et maire de Montréal, jeudi soir, dans le cadre de la semaine thématique politique. Coderre y croit fermement. «Ils vont revenir, a-t-il affirmé sans détour. Tout le monde travaille pour que ça arrive.» S’il en est si convaincu, c’est qu’il soutient que «ça fait partie de notre ADN». «Je pense que la passion, comme celle de la famille Bronfman, demeure. Cette passion, on la sent. Le courant passe à travers une bonne partie de la population», a-t-il soutenu. Coderre n’est pas le seul à espérer qu’un tel projet se concrétise. Plusieurs personnalités du monde du baseball, dont d’anciens joueurs des Expos et d’autres clubs, l’ont encouragé dans ses démarches alors qu’il était maire de la métropole québécoise, poste qu’il a occupé de 2013 à 2017. https://www.tvasports.ca/2020/11/12/expos-denis-coderre-croit-toujours-a-un-retour
  2. eastender85

    Expos de Montréal

    Que sont devenus les Rays de Montréal ? Les Rays de Tampa Bay sont en Série mondiale. Mais au fait, que se passe-t-il avec les Rays… de Montréal ? Publié le 21 octobre 2020 à 7h45 ALEXANDRE PRATT LA PRESSE Rappel du dernier épisode. C’était en février dernier. Avant le Grand Confinement. L’investisseur Stephen Bronfman affichait la confiance de Babe Ruth montrant du doigt la section où il allait frapper son prochain circuit. « D’ici quelques mois, trois ou quatre sans doute, notre groupe de Montréal va devenir copropriétaire de l’équipe de Tampa », assurait-il au Journal de Montréal. M. Bronfman promettait de conclure des ententes de télédiffusion « dès cet été », pour que les Québécois se familiarisent avec leurs futurs Rays. Début mars, la mairesse Valérie Plante lui a lancé une balle cassante. Le projet de stade au centre-ville devra être « créatif » et « tangible » pour que la Ville l’approuve, a-t-elle affirmé. Trois jours plus tard, la première vague de la pandémie a tout englouti. Le groupe de Stephen Bronfman est passé en mode sous-marin. Depuis ? Rien. On cherche le périscope. J’ai demandé à un porte-parole de M. Bronfman si le projet était encore « vivant ». « Nous ne ferons pas de commentaire pendant la Série mondiale », m’a-t-il répondu. Les Rays de Tampa Bay sont les champions de la Ligue américaine de baseball. Au cabinet de la mairesse, on me souligne que « la Ville n’a pas reçu de dépôt officiel d’un projet de stade ». À Québec, notre chef de bureau Tommy Chouinard s’est fait confirmer qu’il ne se passe « rien de neuf depuis des mois ». Seuls petits bips sur le sonar : Stephen Bronfman a renouvelé son mandat de lobbyiste en août. Et un informateur proche de son groupe m’a confié que « les fourmis s’attardent discrètement » au projet. Les fourmis ? « Souviens-toi de la fable de la cigale et de la fourmi », m’a-t-il répondu, avec un émoji de bonhomme sourire. *** Déjà avant la pandémie, c’était un projet compliqué. Les Rays allaient disputer leurs matchs locaux dans deux nouveaux stades : un à Tampa, l’autre à Montréal. Le printemps en Floride, l’été à Montréal. L’automne ? À voir. En théorie, ce concept de garde partagée est progressiste. Novateur. Disruptif. En réalité ? C’est épouvantable. On s’en doutait un peu. On en a maintenant la preuve. Car la fermeture de la frontière entre le Canada et les États-Unis a forcé trois clubs de la MLS à disputer leurs matchs locaux dans deux villes. Depuis un mois, l’Impact de Montréal s’est installé au New Jersey. Le Toronto FC, au Connecticut. Les Whitecaps de Vancouver, en Oregon. Comment ça se passe ? Franchement mal. La garde partagée, « c’est la chose la plus difficile que j’ai vécue [comme coach] », m’a confié l’entraîneur-chef des Whitecaps, le Montréalais Marc Dos Santos Marc Dos Santos, entraîneur-chef des Whitecaps de Vancouver « C’est tellement difficile que si ça devenait une chose normale dans le sport, je ne sais pas si c’est ce que je voudrais faire. C’est à ce point-là. J’ai une famille. Trois enfants. Peut-être que si tu es seul, avec un sac à dos, tu t’en fous. Mais je pense que pour n’importe quel coach qui tient à construire une famille, qui veut être un père, ce n’est pas une situation soutenable à long terme. » « Si tu as une équipe composée seulement de célibataires, sans responsabilité, est-ce possible ? Oui. Mais ça change beaucoup le profil des joueurs et de l’entraîneur que tu recherches. J’ai des joueurs qui vivent cela très difficilement. Je pense à Fredy Montero, à Lucas Cavallini, qui ont des enfants. À Andy Rose. Il a un garçon de 3 ans et un bébé de 3 mois. Son épouse est seule à leur maison de Vancouver. C’est difficile. On vit de l’espoir que ça va changer. Mais si ça devenait une norme, il faudrait qu’on pense beaucoup au profil des personnes recherchées. » Le Colombien Cristian Dajome, lui, s’est joint aux Whitecaps peu avant le Grand Confinement. Ses trois filles et sa conjointe n’ont pas obtenu les visas avant la fermeture des frontières. La situation vient tout juste d’être réglée. Ses proches sont arrivés à Vancouver… quatre jours avant son départ pour l’Oregon. Les Whitecaps y resteront jusqu’à la fin de la saison, sauf pour de rares sauts de puce d’une journée ou deux à Vancouver. « C’est vrai qu’on est bien payés. Si on s’attarde juste à l’aspect financier, je suis gêné de parler de nos problèmes. Je sais que des gens n’ont pas de job. Que d’autres ont perdu leurs revenus. On ne souffre pas financièrement, c’est vrai. Mais sur d’autres aspects, ça reste difficile. » Shamit Shome, 23 ans, joue pour l’Impact de Montréal. Il n’a pas d’enfant. Pas de famille au Québec non plus. Malgré tout, lui aussi trouve difficile de disputer ses matchs locaux dans une autre ville. Quand je l’ai appris, je ne pensais pas que ce serait un enjeu. Sauf que ce n’est pas aussi facile que ça en a l’air. Une fois sur place, tu passes tes journées dans une petite chambre d’hôtel. Ce n’est pas aussi confortable qu’à la maison. Shamit Shome, de l’Impact de Montréal Shome souligne que c’est pénible mentalement, mais aussi physiquement. « Quand je suis à Montréal, je fais des activités. Je vois mes amis. Mais [au New Jersey], je suis pris dans ma chambre d’hôtel. Je m’étends sur mon lit. Oui, je suis plus reposé. Sauf que mes muscles sont moins sollicités. Ils sont plus rigides. » Comme Marc Dos Santos, Shamit Shome remarque que c’est plus ardu pour les pères que pour les jeunes célibataires. « C’est difficile pour moi. Je n’ose même pas imaginer ce qu’ils vivent. – Et si tu savais qu’un club partagerait son domicile entre deux villes, de façon permanente, signerais-tu un contrat de quatre ou cinq ans ? – Je ne sais pas. Je ne voudrais pas vivre dans un hôtel à temps plein. Ça me prendrait une maison dans chaque ville. Sauf que ça coûte vraiment cher [Shome gagne 100 000 $ par saison]. Si tu as deux maisons, et que ta famille peut te suivre, ça peut devenir une expérience. Mais je crois que la période d’adaptation serait longue. » Autre enjeu de la garde partagée : soutenir l’intérêt dans le marché délaissé. Pas évident. TVA Sports déploie des efforts colossaux pour faire la promotion des matchs de l’Impact. L’excellent descripteur des parties de l’équipe, Frédéric Lord, remarque quand même une baisse de l’intérêt depuis que les Montréalais sont partis au New Jersey, pour pouvoir y affronter des clubs des États-Unis. « Les diffusions sportives bénéficient des évènements sur place, indique-t-il. Nos meilleures cotes d’écoute, c’est lorsque les matchs sont disputés à Montréal. Parce qu’il y a un buzz en ville. Les gens en parlent un peu plus. Sans vouloir faire de jeu de mots avec la situation actuelle, une certaine fièvre se propage. » La réalité de la garde partagée. La pandémie. La récession. Les priorités du gouvernement. Les réserves de la mairesse. Le silence radio de Stephen Bronfman. Platement, le projet du retour du baseball à Montréal a connu des jours meilleurs. Les fourmis devront travailler très fort pour que le projet soit une réussite. https://www.lapresse.ca/sports/baseball/2020-10-21/que-sont-devenus-les-rays-de-montreal.php
  3. Vers un coût de 8 milliards pour le train de la Caisse de dépôt MICHEL GIRARD Samedi, 14 novembre 2020 05:00MISE À JOUR Samedi, 14 novembre 2020 05:00 Je ne serais aucunement surpris de voir la facture finale du REM (Réseau express métropolitain) atteindre les 8 milliards de dollars, soit 45 % de plus que le coût initial projeté au début de 2017. À l’instar de tous les grands projets d’infrastructures publiques, les travaux du REM accusent des retards majeurs et des dépassements de coûts importants. Initialement projeté à un coût de 5,5 milliards (en 2017), le projet est passé officiellement à 6,3 milliards en août 2018, lorsque le montage financier a été complété. Et lorsque tous les travaux seront terminés, la facture finale devrait friser les 8 milliards, si on inclut bien entendu tous les ajouts d’argent effectués à gauche et à droite par Québec et des organismes publics impliqués dans le transport en commun dans la grande région métropolitaine. En tant que promoteur, investisseur et opérateur de ce gigantesque projet, la Caisse de dépôt et placement du Québec en a plein les bras du REM. SOURCE DE DIVERSION Et je maintiens ce que j’avais écrit le 7 février 2017 : le REM serait une source de diversion pour la Caisse et elle risquait fort de se mettre dans le trouble et de devoir déployer une grande partie de ses énergies à défendre constamment son projet dans les diverses étapes de sa réalisation. À preuve : l’achat controversé de trains indiens pour le REM ; les critiques du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) ; des arrêts forcés de travaux ; la tonne d’imprévus ; la pandémie du coronavirus... Etc., etc. Je persiste à croire que ce n’était pas la job des gestionnaires de la Caisse de construire et d’opérer un réseau de transport collectif au Québec. Leur job, c’est de faire fructifier le bas de laine des Québécois en effectuant des placements. CELA DIT... Évidemment, il est aujourd’hui trop tard pour changer de promoteur du REM. Que le « bébé » de Michael Sabia, l’ancien PDG de la Caisse, s’avère nettement plus onéreux que les prévisions de départ ne devrait pas pour autant fragiliser le rendement de la Caisse. Car le gros des suppléments de coût du REM va sans doute être épongé tôt ou tard par divers ministères et organismes liés à ce gigantesque projet de transport en commun. Officiellement, la contribution du gouvernement du Québec au REM s’élève à 1,28 milliard. C’est une contribution à titre d’équité dans le REM de la Caisse, laquelle lui procure 30 % du REM. Mais quand on ajoute toutes les sommes versées (ou à être versées) directement et indirectement par Québec dans le REM, il faut ajouter au moins 1,2 milliard de plus. LA RENTABILITÉ En raison des retards et des coûts supplémentaires de construction du REM, la Caisse risque-t-elle de s’engouffrer dans un projet déficitaire ? La question est d’autant pertinente qu’au lendemain de la pandémie du coronavirus, il y a fort à parier que le nombre de travailleurs appelés à délaisser le transport en commun à cause du télétravail s’annonce relativement élevé. Rassurez-vous, la Caisse, elle, devrait faire passablement d’argent avec son REM lorsqu’il roulera. Sa prévision de rendement annuel (8 à 9 %) sur son investissement de 2,95 milliards $ dans le REM devrait, au pire, baisser peut-être de 1 point de pourcentage. Sachez que la Caisse s’est dotée dans le calcul de ses prévisions de rendement d’un grand coussin en termes d’achalandage. Il serait surprenant qu’elle n’atteigne ses objectifs d’achalandage. QUÉBEC, LA VACHE À LAIT En vertu de l’entente conclue entre la Caisse et l’ex-gouvernement de Philippe Couillard, c’est l’ARTM (Autorité régionale de transport métropolitain) qui sera responsable de payer la facture d’achalandage du REM. Où l’ARTM prendra-t-elle l’argent ? Dans le prix initial que le REM va facturer à l’ARTM pour l’achalandage, soit 72 cents le passager/kilomètre, les usagers vont débourser 21 cents, soit 29 % de la facture de la randonnée en REM. Pour leur part, les municipalités desservies par le REM assumeront environ 16 % de la note (11,4 cents le passager/kilomètre). Et le gouvernement du Québec, lui, s’est engagé à couvrir le reste, soit 55 % de la facture (39,6 cents, le passager/kilomètre). TROP CHER Le REM de la Caisse représente-t-il vraiment une bonne affaire pour l’ensemble des contribuables étant donné qu’ils doivent assumer 55 % de la facture d’achalandage ? L’analyste en transport Réjean Benoit, d’Option Transport Durable, estime que le train de la Caisse est très coûteux. Pour une randonnée de 15 km, par exemple, il en coûtera 10,80 $ (soit 15 km x 72 cents) par usager avec le REM. À Vancouver, précise l’expert, le train de la Canada Line (dont la Caisse est concessionnaire) charge quatre fois moins cher par passager, soit 2,47 $ pour les 15 km. UNE DÉCISION HONTEUSE Et dire que la Caisse va faire rouler des trains indiens sur son REM au lieu des trains québécois de Bombardier. Quand je pense à cela, je ne décolère pas. Cette décision d’achat de trains indiens de la multinationale Alstom reste honteuse à mes yeux. Un, le REM est entièrement financé par nos impôts, taxes et épargnes. Deux, il s’agit d’un achat étranger effectué carrément sur le dos des travailleurs québécois. Trois, la Caisse a préféré favoriser une compagnie étrangère au détriment de Bombardier Transport, dont elle détient 30 % des actions. Quatre, avec son REM, la Caisse va promouvoir des trains fabriqués en Inde, dévalorisant par la force des choses les trains québécois de Bombardier. BOMBARDIER VEND À ALSTOM Cette décision de la Caisse d’acquérir des trains indiens d’Alstom pour le REM au détriment des trains de Bombardier est d’autant injustifiable que le PDG d’Alstom, Henri-Poupart-Lafarge, était lui-même monté au créneau l’an dernier pour dénoncer la menace de voir le gouvernement français acheter des trains espagnols au lieu de ses trains français. Depuis cette gaffe de la Caisse, Bombardier a vendu sa Division transport à Alstom, le fabricant des trains indiens du REM. Et c’est la Caisse qui va bientôt devenir le principal actionnaire de la multinationale Alstom. Il ne reste plus qu’à attendre le jour où la Caisse se vantera de faire rouler sur le REM « ses » trains indiens ! La Caisse va dévoiler lundi prochain les nouveaux wagons indiens du REM https://www.journaldemontreal.com/2020/11/14/vers-un-cout-de-8-milliards-pour-le-train-de-la-caisse-de-depot
  4. ARGENT Hochelaga-Maisonneuve: un ensemble immobilier de 350 M$ sur le site du ProGym 22 PHOTO COURTOISIE/RACHEL JULIEN GUILLAUME PICARD Lundi, 19 octobre 2020 15:34MISE À JOUR Lundi, 19 octobre 2020 15:34 Les installations du ProGym vont disparaître de leur emplacement actuel dans le quartier montréalais d’Hochelaga-Maisonneuve pour être remplacées par un ensemble immobilier mixte de 350 M$ piloté par la firme Rachel Julien. Six phases sont prévues pour le projet Canoë, soit des immeubles de 3 à 12 étages qui seront aménagés au coin des rues Hochelaga et Bennett. Rachel Julien doit d’abord obtenir le feu vert de l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve et de la ville-centre, mais le processus suit son cours après une longue préparation en amont et de récentes consultations publiques, incluant un atelier de cocréation avec des acteurs du quartier. À ce stade-ci, 1008 unités résidentielles sont prévues, incluant 158 logements abordables et sociaux. Des 850 condos envisagés, 200 seront locatifs. PHOTO COURTOISIE/RACHEL JULIEN La firme Rachel Julien, qui est établie dans HoMa depuis une quinzaine d’années, souhaite créer un projet s’inscrivant dans le tissu urbain du quartier et adoptant les valeurs propres au développement durable. Pour ce faire, on misera notamment sur des toits verts avec potagers, un partenariat avec Miel Montréal pour la mise en place de ruches, la plantation de nombreux arbres, un parc linéaire, des cases de stationnement prêtes pour les véhicules électriques et la gestion de l’eau, etc. «C’est un terrain qu’on regardait depuis plusieurs années quand on l’a acquis au début de 2019», a indiqué à l’Agence QMI la vice-présidente et directrice générale de Rachel Julien, Mélanie Robitaille. «On a demandé à quatre firmes de nous soumettre leur vision et nous avons retenu la meilleure, qui est marquée par un passage piétonnier central, une allée des artistes qui sera animée toute saison pour les résidents du projet et ceux qui vivent dans le secteur. Notre volonté, c’est de faire des choix parmi les meilleures pratiques écologiques, tout en demeurant un projet accessible pour les gens du quartier», a-t-elle ajouté. En plus des unités d’habitation, le site accueillera une épicerie, une pharmacie, des commerces de proximité et plusieurs services. «Il y a un déficit de commerces alimentaires dans le quartier et nous sommes en pourparlers avec des bannières. On parle d’une épicerie de 25 000 à 30 000 pieds carrés sur le site», a dit Mme Robitaille. PHOTO COURTOISIE/RACHEL JULIEN Il y aura aussi un CPE d’une soixantaine de places, une clinique, un gym, une salle communautaire, des ateliers d’artistes et de nombreux espaces publics extérieurs. «L’implantation sera à 50%, c’est donc la moitié du terrain qui sera occupée par des espaces extérieurs verts ou minéralisés», a dit Mme Robitaille. Le quartier s’est redéveloppé, ces dernières années, avec des ensembles de condos. Une ancienne usine-entrepôt sur Bennett est en train d’être convertie pour accueillir des bureaux de type loft et la relocalisation d’une école est prévue à l’ouest du site, sur un terrain qui a décontaminé l’an dernier. Bref, le secteur est en mutation, incluant la réfection importante prévue sur l’avenue Pierre-De Coubertin, au nord du projet Canoë. Soulignons que le ProGym doit normalement avoir quitté le site en date du 1er septembre 2021, selon Rachel Julien. Il sera relocalisé à l’est de l’ancienne Biscuiterie Viau, sur la rue Ontario Est. Si toutes les autorisations ont été obtenues entre-temps, les pelles mécaniques et les ouvriers pourraient ainsi débarquer sur place le 2 septembre prochain pour entreprendre la démolition du bâtiment actuel et l’excavation. «Le site est très pollué, mais ça ne retardera pas la construction. Il va falloir payer pour disposer des terres contaminées», a résumé Mme Robitaille, en parlant d’une livraison de la première phase à la fin de 2022 ou au début de 2023. PHOTO COURTOISIE/RACHEL JULIEN Jusqu’à 12 étages En ce qui a trait aux hauteurs, soit de 3 à 12 étages, Rachel Julien soutient qu’il n’y aura pas de problème d’ensoleillement pour les résidents des rues limitrophes, notamment sur la rue Bennett. «Les bâtiments plus bas de notre projet seront situés le long de la rue Bennett, avec des reculs pour maximiser l’ensoleillement des voisins», a dit Mme Robitaille. «Les hauteurs, on y croit, car on est à distance de marche de deux stations de métro – Pie-IX et Viau –, donc à dix minutes du centre-ville», a indiqué Mme Robitaille. Les structures de 9 à 12 étages, les plus imposantes de Canoë, seront localisées à l’ouest ou au sud du site, en bordure d’un parc linéaire qui, espère-t-on, permettra de créer un lien piétonnier entre le Marché Maisonneuve et le Stade olympique. LES AUTRES PROJETS IMMOBILIERS DE RACHEL JULIEN - Les Bassins du Havre: Rachel Julien est en train de compléter les Bassins du Havre, un imposant ensemble immobilier qu’elle a réalisé ces 10 dernières années dans Griffintown en association avec Prével. - Laurent & Clark: l’ensemble immobilierie Laurent & Clark est constitué de deux tours dans le Quartier des spectacles, au coin nord-ouest du carrefour de la rue Saint-Laurent et du boulevard de Maisonneuve Ouest. La première tour est construite et 10 étages de la deuxième, qui en comptera 26, ont été coulés. Deux nouveaux projets seront annoncés incessamment, l’un dans le quartier Côte-des-Neiges et l’autre dans le Quartier des spectacles, sur le site de Screaming https://www.journaldemontreal.com/2020/10/19/hochelaga-maisonneuve--un-ensemble-immobilier-de-350-millions--sur-le-site-du-progym
  5. Il parle vraiment d'un prolongement du REM dans l'axe Taschereau jusqu'à la station Longueuil et dans l'axe du prolongement de la ligne jaune. Il y a aurait annonce plus tard aujourd'hui
  6. Le chroniqueur politique Bernard Drainville dévoilait, mardi matin, qu'une annonce du gouvernement va faire miroiter le prolongement du REM dans l'axe du boulevard Taschereau vers Longueuil. On demandera à la Caisse de dépot et placement de vérifier la faisabilité et les coûts et faire rapport aussi tôt qu'en 2021. https://www.985fm.ca/nouvelles/politique/340810/drainville-le-rem-prolonge-vers-longueuil
  7. Le gym déménagera où finalement est-ce que c'est connu?
  8. Pas mal dans la tendance cheap des immeubles blocs Légos 🙄
  9. J'ai 37 ans croyez-vous qu'il y a des chances que je vois celui-là toppé de mon vivant !?
  10. Donc à compter de 2021 on retourne en 2001.....
  11. L'immeuble qui sera le plus en vue à partir du futur stade des Expos...donc à la télé 81 jours par année ( ou 40 avec la garde partagée 😑 )
  12. Tu as surement raison pour la date c'est pour ça que j'ai mis un (?) je n'étais pas certain et je n'avais pas l'info
  13. As tu l'intention de faire ce commentaire sur chaque projet qui n'est pas encore en route lol ? 🤪
  14. Juste un gars sur son cellulaire au coin de la rue
  15. Ouais m'essemble ça aurait fait un autre beau terrain près de l'eau pour y construire autre chose
  16. Le Groupe MACH a choisi le pôle Roland-Therrien pour un important projet résidentiel de 160 M$. Le projet prévoit la construction de tours résidentielles de 600 unités, incluant 10% de logements sociaux et abordables et 10% de logements de trois chambres ou plus pouvant accueillir des familles. «Nous sommes sensibles à la réalité des clientèles plus vulnérables de Longueuil et avons signifié à maintes reprises notre souhait de répondre de manière durable à l’enjeu de l’accès au logement, indique la mairesse Sylvie Parent, par voie de communiqué. Ce projet est un pas de plus pour bonifier l’offre de logements sociaux et abordables sur le territoire.» Le comité exécutif recommande que la Ville vende au Groupe MACH le terrain visé, d’une superficie totale de 12 400 mètres carrés, situé en bordure de la rue Bord-de-l’Eau, pour la somme de 13 M$. Cette transaction sera soumise au conseil municipal lors de l’assemblée du 16 juin. «MACH est enthousiaste à l’idée de collaborer avec la Ville de Longueuil, indique la directrice Conception et développement du Groupe MACH Marie-Geneviève B-Pelland. Nous serons fiers de créer un milieu de vie différent qui contribuera à la qualité de vie de ses résidents et de la communauté en s’appuyant sur des valeurs humaines telles que la qualité de vie et le développement durable.» «Après une annonce majeure d’investissement au centre-ville le mois dernier, un autre important groupe immobilier choisit Longueuil pour investir dans un secteur névralgique de la ville», se réjouit la Ville. Projet Devimco: il faut des logements sociaux et une vie communautaire, disent des organismes «Cette proposition démontre une fois de plus que malgré la situation économique et la crise qui nous frappe, les investisseurs voient Longueuil comme un lieu stratégique de développement et d’investissement», ajoute la mairesse. «Énorme retard à rattraper» Prenant part à une conférence de presse pour la présentation d’une vaste enquête sur les conditions de vie et d’habitation dans l’agglomération de Longueuil jeudi après-midi, le coordonnateur de la Maison La Virevolte Guy Levesque a salué l’initiative. «On ne sera jamais contre le logement social, mais on est loin de la coupe aux lèvres, a-t-il cependant mentionné. On a un énorme retard à rattraper du côté du logement social dans l’agglomération et on estime que c’est une proportion de 20% de tous les projets résidentiels à venir qui devrait y être consacrée.» La Coalition des organismes de l’agglomération de Longueuil pour le droit au logement réclame la construction de 500 unités de logements sociaux accessibles universellement par année pour les 5 prochaines années. Denis Trudel salue l’effort de la Ville L’inclusion de logements sociaux et de logements pour les familles dans le projet du pôle Roland-Therrien est très bien accueillie par le député de Longueuil-Saint-Hubert Denis Trudel, qui plaide pour une mixité dans la construction de nouveaux projets de logements dans l’agglomération de Longueuil. Pour le député, il est temps que tout le monde se mette à pied d’œuvre pour offrir du logement social. «Je m’attends à ce que les cinq villes de l’agglomération investissent dans le logement social, c’est de leur compétence de développer des projets. Et le logement social est un excellent moyen pour favoriser la reprise économique.» (G.M.) Le territoire visé par le Programme particulier d’urbanisme (PPU) du Pôle Roland-Therrien Un milieu de vie au cœur de la mobilité Situé tout près du fleuve Saint-Laurent, le pôle Roland-Therrien est un ancien secteur industriel disposant d’une localisation stratégique, étant situé à moins de quatre kilomètres de la station de métro de Longueuil–Université-de-Sherbrooke et du terminus d’autobus de Longueuil. Le pôle Roland-Therrien se démarque par ses conditions d’accès avantageuses à la mobilité. Le secteur compte notamment un réseau rapide de bus de même que plusieurs corridors de transport collectif, auxquels serait appelé à s’ajouter Léeo (Lien électrique est-ouest), reliant le pôle Roland-Therrien à la station Panama du futur Réseau express métropolitain (REM). (Source: Ville de Longueuil) https://www.lecourrierdusud.ca/un-projet-residentiel-de-160-m-au-pole-roland-therrien-inclura-10-de-logements-abordables/
  17. En moins de trois semaines, Longueuil a annoncé deux grands projets immobiliers qui illustrent le dynamisme de la Ville malgré la crise sanitaire, estime la mairesse Sylvie Parent. Publié le 11 juin 2020 à 17h41 KATHLEEN LÉVESQUE LA PRESSE « Avec la morosité qu’on a connue au cours des derniers mois, ces projets donnent vraiment une erre d’aller », a expliqué jeudi la mairesse de Longueuil à La Presse. « On avait anticipé ce développement-là lorsque Molson est venu s’installer chez-nous. Les gens réalisent qu’on a de la place, des projets, une planification et une vision. On est en train de récolter le travail des dernières années », a souligné Mme Parent. Le mois dernier, la Ville a vendu l’édicule du métro et un stationnement adjacent à Devimco qui y construira quatre tours résidentielles (1200 unités d’habitation). Le promoteur détenait déjà une entente d’exclusivité pour son projet d’une valeur de 500 millions. Les travaux doivent s’échelonner sur six ou sept ans et participeront au développement du centre-ville de Longueuil. À environ 4 kilomètres de là, un autre projet prendra forme, mais cette fois dans le cadre du plan de développement du pôle Roland-Therrien, une ancienne friche industrielle comptant 97 hectares (8000 logements à construire, un parc central et des commerces de proximité). Au terme d’un appel d’offres pour la vente et le développement d’un terrain appartenant à la municipalité, trois promoteurs ont soumissionné et c’est le Groupe MACH qui a remporté la mise. Le terrain visé est d’une superficie totale de 12 400 mètres carrés ; il sera vendu 13 millions. Les élus du conseil municipal devront se prononcer sur le projet lors de l’assemblée de mardi prochain. Le Groupe MACH prévoit y construire des tours comptant 600 logements, dont 10 % de logement social et abordable, ainsi que 10 % d’unités comportant trois chambres ou plus pour les familles. Il s’agit des « conditions » à la réalisation du projet, a mentionné Sylvie Parent. Le projet représente un investissement total de 160 millions. La Ville de Longueuil devra également injecter de l’argent pour construire les infrastructures (canalisations, égouts, rues, trottoirs, éclairage, par exemple) dans le secteur. Selon le plus récent Programme triennal d’immobilisations (PTI), une somme de 10 millions est prévue en 2020 et près de 20 millions supplémentaires au cours des deux prochaines années, pour la phase 1 du pôle Roland-Therrien. Par ailleurs, la mairesse Parent a rappelé que le pôle Roland-Therrien se retrouvera au cœur du développement du projet de tramway (Léeo – Lien électrique est-ouest) qui sera relié à la station Panama du futur train électrique (REM-Réseau express métropolitain), à Brossard. https://www.lapresse.ca/actualites/2020-06-11/longueuil-sur-une-erre-d-aller-immobiliere
×
×
  • Créer...