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  1. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  2. Read more: http://www.montrealgazette.com/business/Whole+Foods+grocery+chain+seeks+locations+Montreal/8423890/story.html#ixzz2UBTI7njo I would so love to see them here. One could only hope, if they do open Loblaws (now being rebranded as Provigo) and Metro will finally serve a better assortment of warm meals.
  3. Au Québec Loblaw investit près de 100 millions $ Agence QMI 09/04/2013 11h42 BRAMPTON, Ontario – L’épicier Loblaw a annoncé des investissements de près de 100 millions $ au Québec pour revamper des magasins sous les bannières Provigo, Loblaws, Maxi et Maxi & Cie. Ces investissements vont se traduire par la création d’une centaine d’emplois permanents dans le réseau québécois du géant canadien de l'alimentation. Loblaw entend créer un nouveau concept de magasins Provigo et Loblaws dans différentes régions du Québec. En plus d’un nouveau magasin Provigo à Sherbrooke, les magasins Provigo Prieur (Ahuntsic) et de Boucherville seront rénovés, de même que les Loblaws de Magog, Saint-Bruno et Saint-Sauveur. Par ailleurs, le magasin Loblaw de Kirkland deviendra le magasin phare représentant le nouveau modèle de magasin conventionnel de l’entreprise au Québec. Plusieurs magasins exploités sous les bannières Maxi et Maxi & Cie seront réaménagés et feront l'objet d'ajouts d'équipements. Selon Pierre Dandoy, vice-président principal, Exploitation, Provigo et Loblaws, les équipes de Loblaw ont parcouru plusieurs continents «pour y identifier les meilleures pratiques et proposer l'expérience la plus riche qui soit en magasin». «Les Québécois aiment cuisiner et se réunir en famille ou entre amis autour d'une bonne table et d'aliments frais de qualité supérieure provenant de chez nous, a-t-il dit. Ces importantes considérations sont au cœur même de notre nouveau concept de magasins et de l'offre de produits qu'on y retrouvera.» Loblaw s’attend à ce qu’une centaine de travailleurs de la construction soient embauchés pour réaliser les travaux.
  4. Provigo : le siège social se vide aussi 15 novembre 2011 | 18h52 ARGENT Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière. « Provigo est l’enfant délaissé de Loblaw » Olivier Bourque Argent Il n’y a pas que les entrepôts montréalais de Provigo qui se vident. Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière, a appris Argent. Photo : Agence QMI En tout, environ une centaine de travailleurs évoluaient dans ce secteur. Loblaws a décidé d’impartir ce service vers IBM. Seulement une poignée de travailleurs de Provigo a pris le chemin du bureau montréalais du géant informatique. Cette information a été confirmée par plusieurs sources. «Tout a commencé en 2005. On a perdu les emplois par centaines dans tous les secteurs. Et selon moi, c’est loin d’être terminé», nous a indiqué un ex-employé qui a voulu demeurer anonyme pour éviter de se faire «stigmatiser» dans son secteur professionnel. Selon cet ex-travailleur, les derniers mois ont été particulièrement difficiles. Plusieurs employés devaient accepter d’être rétrogradés. D’autres ont passé des entrevues pour des postes, mais uniquement en anglais et menées par des patrons provenant de Loblaw à Toronto. «Nous avons eu plusieurs patrons qui étaient anglophones. Un d’entre eux était d’ailleurs unilingue anglais. C’était assez désolant», nous a-t-il confié. Questionnée sur ces pertes d’emplois au «siège social» de Provigo situé au 400, boulevard Sainte-Croix, l’entreprise a minimisé la situation. Par courriel, la porte-parole de Provigo Josée Bédard a souligné que 600 employés travaillaient toujours au siège social. Sur place, certains employés d’entreprises qui louent les locaux de Provigo ont confirmé le confinement de l’ancien géant de l’alimentation à quelques étages seulement. L’entreprise fait notamment la location d’une partie de ses installations à l’imprimeur Transcontinental. Courriels inquiétants Par ailleurs, Argent a reçu plusieurs courriels lors des derniers jours et a consulté plusieurs sources. La plupart nous ont confirmé qu’il était périlleux pour eux de s’adresser avec les médias. «Il est maintenant interdit aux employés de parler aux journalistes sous peine de congédiement. C’est rendu l’enfer», a relaté un employé. «Ils n’ont aucun respect du Québec, aucun respect du français, car parfois, on ne peut pas communiquer avec eux si on ne parle pas anglais», a affirmé un autre employé dans un autre courriel.
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