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  1. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/409493/montreal-veritable-panier-perce Montréal, véritable panier percé </header>29 mai 2014 |Karl Rettino-Parazelli | Actualités économiques <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Jacques Nadeau - Archives Le DevoirEntre 2007 et 2012, la population de Montréal a augmenté de 4 %, tandis que les dépenses de fonctionnement de la Ville ont progressé de 23 %</figcaption></figure><section class="retenir retenir_paysage" style="box-sizing: border-box; width: 230px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-right: 20px; margin-bottom: 10px; margin-top: 10px; font-size: 13px; background-color: rgb(239, 239, 242);">À consulter: le rapportRegard sur les dépenses municipales au Canada</section>Montréal figure parmi les villes les plus dépensières du Canada. Le rythme de croissance des dépenses de la métropole québécoise est largement supérieur au niveau de progression de sa population, ce qui a une incidence directe sur l’impôt foncier des contribuables, déplore la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI). Entre 2007 et 2012, la population montréalaise a augmenté de 4 %, tandis que les dépenses de fonctionnement de la Ville — ajustées en fonction de l’inflation — ont progressé de 23 %, indique une étude publiée mercredi par la FCEI. Cette hausse des dépenses presque six fois supérieure à la croissance démographique classe Montréal parmi les quatre villes canadiennes qui dépensent le plus en fonction de leur population, aux côtés de Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, d’Halifax et de Victoria. Au cours de la même période, la Ville de Québec n’a fait guère mieux : ses dépenses ont été quatre fois supérieures à sa croissance démographique. «Aucune des municipalités analysées n’a su restreindre l’augmentation de ses dépenses au niveau de l’inflation et de la croissance démographique, écrit l’auteure de l’étude, Nina Gormanns. Au fil des dix dernières années, elles ont toutes systématiquement dépensé nettement plus que le niveau raisonnable.» Si elles avaient été redistribuées à travers le pays, les dépenses de fonctionnement « excédentaires » des douze dernières années, c’est-à-dire celles qui ont été supérieures au rythme de l’inflation et de la croissance démographique, auraient permis à chaque ménage canadien de toucher plus de 7800 $. Selon la même logique, les ménages montréalais auraient empoché quelque 2150 $ entre 2007 et 2012. «Les taxes et les frais servant à financer ces dépenses excessives font peser un fardeau indu sur les PME et nuisent au développement des communautés», juge Mme Gormanns. Voilà pourquoi la FCEI recommande aux villes de maintenir la hausse des dépenses de fonctionnement au niveau de l’inflation et de la progression de la population, ou à un niveau inférieur. Elle demande également aux gouvernements fédéral et provincial de«geler» le financement accordé aux municipalités jusqu’à ce qu’elles atteignent ce seuil. Il s’agit d’un objectif ambitieux mais réaliste, affirme Simon Gaudreault, économiste à la FCEI. «Les villes québécoises pourraient par exemple s’inspirer de villes comme Ottawa ou Toronto, qui ont réussi à contenir leurs dépenses au cours des deux dernières années.» Masse salariale Sans grande surprise, la rémunération des employés municipaux est la principale responsable de ces dépenses à la hausse. Dans le cas de Montréal, les salaires et les différents avantages sociaux des fonctionnaires, incluant le coût des régimes de retraite, ont correspondu en moyenne à 58 % des dépenses de fonctionnement totales de la métropole entre 2007 et 2012, révèle le rapport. Selon les données budgétaires de la Ville, cette réalité s’est traduite par une forte augmentation de la masse salariale entre 2009 et 2014 : un bond de 650 millions de dollars, de 1,8 à 2,5 milliards. «Lorsque plus de la moitié de vos dépenses de fonctionnement sont liées à la rémunération et que celle-ci est plus généreuse que ce qui est offert sur l’ensemble du marché du travail dans le secteur privé, ce n’est pas étonnant d’observer des dépenses qui sont hors de contrôle», affirme M. Gaudreault. Aux yeux de la FCEI, les villes n’ont donc pas à se plaindre d’un manque de revenus. Elles n’ont qu’à freiner leurs dépenses. «Ça prend une volonté politique pour ne pas choisir la voie facile qui est d’augmenter le fardeau fiscal des contribuables plutôt que de négocier plus fermement avec les syndicats. Mais je pense que le contexte politique se prête bien à cela», souligne l’économiste, en mentionnant le débat à venir sur les régimes de retraite des employés municipaux. Après l’initiative péquiste, le gouvernement libéral reviendra bientôt à la charge avec le dépôt d’un projet de loi pour baliser la négociation de ces régimes entre les municipalités et leurs employés. Sur une note plus positive, le regroupement des PME canadiennes salue la volonté du maire de Montréal, Denis Coderre, de supprimer au moins 2200 postes d’ici 2018 en misant essentiellement sur le remplacement d’un seul employé partant à la retraite sur deux. Au moment de l’annonce de cette mesure en avril, syndicats et maires d’arrondissement ont fait valoir que cette décision affecterait les services offerts à la population.
  2. L'accès au crédit n'est plus ce qu'il était 28 novembre 2008 - 06h50 La Presse Il y a toujours eu un certain nombre de PME qui trouvaient que l'accès au crédit n'était plus ce qu'il était. La différence, c'est que cette proportion est maintenant trois fois plus élevée. C'est ce qui ressort d'un sondage effectué par la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) auprès de ses membres. Le directeur des affaires législatives de la section québécoise de la FCEI, Simon Prévost, indique que la fédération a décidé de procéder à ce sondage après avoir reçu des appels de membres qui se plaignaient de conditions plus contraignantes imposées par les institutions financières. «Habituellement, ces préoccupations ne se rendent pas à nos oreilles, affirme-t-il. Ça montre que c'est problématique.» Click here to find out more! La FCEI a demandé à ses membres comment avait évolué leur accès au crédit au cours des trois derniers mois. À l'échelle nationale, 27% des membres sondés ont indiqué qu'ils avaient vu une détérioration alors que 3% ont affirmé qu'il y avait eu amélioration. «Ça laisse 70% de membres qui ne voient pas de différence, observe M. Prévost. Mais, historiquement, quand l'économie va bien, on voit une détérioration de l'accès au crédit pour 7 à 8% des membres sondés. On peut donc dire que la préoccupation est trois fois plus importante.» Les petites entreprises qui ont vu une détérioration ont indiqué que leur banque avait voulu rappeler des prêts, ou encore qu'il leur était plus difficile d'avoir une ligne de crédit. Ou encore, qu'elle avait augmenté l'écart entre le taux préférentiel et le taux accordé à leur client. M. Prévost note toutefois que la situation semble un peu moins préoccupante au Québec que dans d'autres provinces. Seulement 21% des membres sondés par la FCEI au Québec faisaient état d'une détérioration de l'accès au crédit, alors que cette proportion atteint 28% en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique. «Il n'y a pas de grosses différences entre le Québec et les autres provinces au niveau des autres indicateurs économiques, indique M. Prévost. Peut-être que le marché du crédit est différent au Québec en raison de la présence d'un fort joueur, Desjardins. C'est quand même 50% du marché de la PME dans la province.»
  3. L'inquiétude gagne les entrepreneurs 25 juin 2008 - 15h54 Presse Canadienne L'optimisme des entreprises est à la baisse presque partout au Canada et a atteint son plus bas niveau depuis 2001 en raison de l'augmentation des prix de l'énergie et de l'incertitude économique. C'est ce que révèle le plus récent sondage de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI). L'indice du baromètre des affaires de la FCEI a reculé pour un troisième trimestre d'affilée pour se fixer, en juin, à 100,7 à l'échelle nationale, a indiqué mercredi le groupe dans un communiqué. En guise de comparaison, l'indice s'était élevé à 104,0 en mars 2008 et à 104,2 en décembre 2007. «La récente flambée des prix des carburants et la faiblesse continue des marchés d'exportation américains ont eu raison de l'optimisme des entreprises, a indiqué Simon Prévost, vice-président de la FCEI pour le Québec. «Les faibles résultats sont plus prononcés en ce qui concerne les entreprises qui exportent vers les États-Unis et celles dont la masse salariale est plus élevée.» Des dix provinces canadiennes, l'Alberta est la seule à afficher des résultats nettement supérieurs à ceux du trimestre précédent, l'indice y passant de 102,8 en mars à 106,3 en juin. L'optimisme des entrepreneurs demeure élevé en Saskatchewan et à Terre-Neuve-et-Labrador, à 110,3, quoique ces résultats soient nettement inférieurs à ceux enregistrés lors du précédent trimestre. Au Québec, par contre, l'indice a subi une légère baisse, glissant de 101,6 en mars à 100,2 en juin. Le repli a été beaucoup plus marqué en Ontario et en Nouvelle-Écosse où on a décelé des indices de 96,9 et 93,3 respectivement. L'optimisme par secteur est resté plus ou moins constant, avec des niveaux supérieurs dans le secteur des services et des niveaux inférieurs pour les industries de production de biens. Les attentes relatives à l'emploi demeurent positives, bien que les entreprises du Québec, de l'Ontario et du Manitoba affichent les plans d'embauche les plus faibles. Le rapport de la FCEI s'appuie sur 1874 réponses recueillies dans le cadre d'un sondage réalisé par télécopie et par Internet, entre le 2 et le 13 juin.
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