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HABS


mont royal

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  • Administrateur
il y a 3 minutes, Rocco a dit :

Le logo de RBC est quaisiment aussi gros de celui du CH. Ridicule. Geoff Molson a vraiment besoin de cash.

hein?

Moi ce qui me surprends, c'est que RBC dame le pion à CIBC qui étaient pas mal investis avec les canadiens.

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il y a 25 minutes, Ricardo100 a dit :

@Rocco ..... tu exagères pas mal. Le logo est loin d'être quasiment aussi gros.

T'as pas remarqué qu'ils ont encore plus grossi le logo du CH pour que celui de RBC paraisse plus petit?

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  • Administrateur
il y a 15 minutes, Rocco a dit :

T'as pas remarqué qu'ils ont encore plus grossi le logo du CH pour que celui de RBC paraisse plus petit?

Moi je me demande si j'achète le chandail, j'ai tu l'option avec pas de logo? Ça va couter plus cher?

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  • 3 mois plus tard...

https://www.journaldemontreal.com/2023/01/05/le-berceau-du-hockey-fait-dur

MARC DE FOY
Le berceau du hockey fait dur!

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PHOTO AFP
Une vue des estrades du Fenway Park de Boston lors du match de lundi entre les Bruins et les Penguins.
    
MARC DE FOY 
Jeudi, 5 janvier 2023 05:00
MISE À JOUR Jeudi, 5 janvier 2023 05:00
Lundi, les Bruins de Boston sont devenus la première formation de la LNH à disputer un troisième match en plein air devant leurs partisans. Le 18 février, les Hurricanes de la Caroline seront la 23e équipe du circuit à présenter ce populaire événement. Seattle, la plus récente addition de la ligue, s’ajoutera à la liste en janvier prochain. Et Montréal dans tout ça ?

Le projet n’est plus dans les cartons, selon la réponse que j’ai obtenue du Canadien. Si l’organisation n’est pas vraiment à blâmer, il reste que c’est un dur coup pour l’image de la ville.


Montréal est considérée comme le berceau du hockey,


La Coupe Stanley était l’apanage d’équipes montréalaises à ses premières années d’existence, à la fin du 19e siècle, et le Canadien a poursuivi longtemps cette tradition.

Le Bleu-Blanc-Rouge est la plus ancienne organisation de la Ligue nationale, ayant vu le jour en 1909. 

C’était avant la fondation de la ligue, qui a été fondée en 1917 à l’ancien hôtel Windsor, rue Peel.

Jean Drapeau doit frémir

Que Montréal n’ait pas encore été le théâtre d’un match disputé à l’extérieur constitue une aberration.

On en connaît la cause. Nos installations sportives font dur.

Le visage du Stade olympique n’a pratiquement pas changé depuis son ouverture pour les Jeux olympiques de 1976.

La toile est vissée en permanence depuis des lunes. 

Son remplacement est prévu l’an prochain et encore. On va le croire quand on le verra.

Plus triste encore, le stade a perdu sa vocation sportive.

Les Expos sont partis à Washington, les Alouettes ont déménagé au stade Percival-Molson et le CF Montréal n’y dispute que son premier match local de la saison en attendant que les conditions climatiques lui permettent de jouer au stade Saputo.

Au plus fort de la pandémie, le stade servait de centre de vaccination contre le COVID-19.

Jean Drapeau doit se retourner dans sa tombe s’il voit ce que son grand stade est devenu.


C’est honteux pour Montréal.

Deux stades trop petits

Passons au stade Saputo. Avec ses 20 801 sièges, on y compte moins de places qu’au Centre Bell qui peut accueillir jusqu’à 21 302 spectateurs.

La capacité du stade Percival-Molson a été réduite à 20 025 personnes ces dernières années. Mais on peut présumer qu’en apportant des ajustements, on pourrait y entasser jusqu’à 25 000 amateurs, comme c’était le cas à la suite des rénovations apportées en 2010.

Mais encore là, ce ne serait pas suffisant pour que le Canadien puisse y jouer.

Et, disons-le, le stade est vieux comme la terre et les conditions d’accessibilité sont mauvaises.

Pourquoi pas à l’île Notre-Dame ?

Cela dit, il y a des endroits à Montréal qui se prêteraient à la présentation d’un match de hockey en plein air.

Pensons au circuit Gilles-Villeneuve où on retrouve des gradins en quantité. Le site offre une vue splendide du centre-ville de Montréal. Il y aurait aussi sur l’autre rive, dans le Vieux-Montréal.

Mais on dit que les coûts seraient trop onéreux.

Comment expliquer alors que, pas plus tard que l’an dernier, la LNH a présenté deux matchs, sans qu’il y ait des spectateurs, dans l’allée du 18e trou du Club de golf Edgewood, à Lake Tahoe ?

Derrière Hamilton et Regina

Hamilton et Regina, qui ne font pas partie de la LNH, ont été aussi le théâtre de ce grand happening.

Edmonton, qui avait été le site du tout premier match en novembre 2003 contre le Canadien, vivra à nouveau l’expérience en octobre prochain.


Je ne sais pas ce qu’en pense Geoff Molson et la mairie de Montréal, mais ça a l’effet d’une méchante claque pour notre ville.

Quelqu’un devrait y voir, car pour le moment, Montréal ne fait plus figure de berceau du hockey. 

PÉNIBLE À REGARDER, LE CH
On se doutait bien que le Canadien frapperait un mur à un moment donné. Mais ce qu’on voit depuis trois semaines est lancinant et pénible comme disait l’ami Jacques Laperrière dans une publicité des comprimés Anacin.

La troupe de Martin St-Louis n’a remporté qu’une victoire à ses 10 derniers matchs (1-8-1) et elle a eu besoin de tout son petit change pour venir à bout des Coyotes de l’Arizona en prolongation.

Plus d’entrain

C’est vrai que les blessures subies par Sean Monahan, David Savard et Kaiden Guhle n’ont pas aidé.

Mais quelque chose d’autre s’est cassé.

Le Tricolore ne joue plus avec l’entrain et la résilience qui le caractérisaient au cours des deux premiers mois de la saison.

Autant ils étaient difficiles à affronter au cours de cette période, autant ils sont des proies faciles maintenant. 

Suzuki doit se ressaisir

Nick Suzuki traverse une mauvaise passe. Mais en sa qualité de capitaine et à titre de joueur le mieux payé de l’équipe, il a des devoirs à remplir.

Il ne peut pas s’apitoyer sur son sort et imputer son passage à vide à sa jeunesse.

S’il est blessé, qu’il s’accorde un répit.

Cole Caufield est jeune, lui aussi, mais il trouve le moyen de produire.

Il y a aussi dans cette formation des vétérans qui n’en donnent pas beaucoup.

On les connaît, on a tous les mêmes noms sur nos listes.

Par leurs contre-performances, ils n’aident pas Jeff Gorton et Kent Hughes à s’en départir, mais bon.

Si le Canadien continue d’accumuler les contre-performances en deuxième moitié de saison, espérons que ça lui rapportera à la loterie du premier choix au repêchage et à la séance même de cet événement.

Go Connor Bedard go !

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