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Verrues Urbaines


Messages recommendés

Il y a 5 heures, acpnc a dit :

«Les élus doivent être vigilants à cet enjeu et se montrer à l’écoute, croit aussi François Racine. On sait qu’il faut plus de logements, mais il va falloir trouver une manière d’amener plus de densité sans forcément construire des tours de condos de 15 étages et surtout, penser à la durabilité dans une visée de développement écologique. Ça existe dans les pays scandinaves ou encore en Allemagne, l’écoquartier Vauban à Fribourg-en-Brisgau sert souvent d’exemple.»  

(ci-dessus un extrait de l'article complet cité par acpnc)

"Trouver une manière" est plus facile quand on veut construire ou reconstruire sur un site dégagé, par exemple l'écoquartier Vauban susmentionné.  L'insertion dans un milieu densément construit est plus délicat.  Sur le territoire de Montréal, les vastes espaces qui étaient disponibles dans Rivière-des-Prairies constituaient une belle occasion qui a été manquée, puisqu'on a construit selon le mode traditionnel de banlieue.  Ça peut vouloir dire que pour l'essentiel, il faudra s'en remettre à l'art de l'insertion réussie.  Cependant, quelques grands sites sont encore disponibles pour réaliser des projets de type  "écoquartiers" d'envergure; pourquoi pas Blue Bonnets?  

Le potentiel d'insertions demeure important, à commencer par le remplacement des centres commerciaux désuets et leurs stationnements en surface, mais ça concerne plus la banlieue que le territoire central de Montréal.  Naturellement, il y a aussi les édicules des stations de métro, plus nombreux à Montréal.  Tout cela pourra contribuer à la densification et à l'augmentation du nombre de logements, mais ce ne sera pas suffisant si la population de Montréal et de ses banlieues continue d'augmenter autant.  Des sites supplémentaires seront nécessaires.     

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  • 3 mois plus tard...

Autre type de verrue:

 

[VIDÉO] Des rats se promènent en plein centre-ville de Montréal

Agence QMI
Mardi, 17 janvier 2023 16:00

Des rats ont pu être aperçus lundi soir gambadant joyeusement dans la neige au parc Émilie-Gamelin, au centre-ville de Montréal, indifférents aux dizaines de piétons qui passaient dans les environs. 

Dans une vidéo captée vers 17 h 30 dans le parc à l’angle des rues Berri et Sainte-Catherine, on peut apercevoir quelques rongeurs se frayer un chemin dans la poudreuse tombée au cours de la fin de semaine.

Les animaux peuvent aussi être aperçus se faufilant dans des crevasses ou dans des tunnels creusés sous les infrastructures du parc.

 

Photo Journal de Montréal

La population de rats a explosé au centre-ville depuis le début de la pandémie, les rongeurs se reproduisant rapidement, notamment grâce à l’interdiction d’un pesticide le 1er janvier 2022.

  • Écoutez l'entrevue de Richard Martineau avec l'exterminateur Nathaniel Leavey via QUB radio :

Des exterminateurs rencontrés par le «Journal de Montréal» en octobre dernier s’inquiétaient de la prolifération rapide de la vermine.

 

Photo Journal de Montréal

«Cet été, les interventions pour les souris et les rats représentaient 75 % de notre travail. Habituellement, à la même période, c’est grand maximum 30 % à 40 % de notre job», avait notamment expliqué Frank Pulcuni, propriétaire de Centrale Extermination.

La Ville avait alors défendu sa décision d’interdire 36 molécules entrant dans la composition des produits contre les rats en invoquant un souci de protéger l’environnement.

 

Photo Journal de Montréal

Or, l’administration de la mairesse Valérie Plante a dû faire marche arrière la semaine dernière et se résoudre à réautoriser l’usage du diphacinone, un rodenticide qui provoque la mort des rongeurs en provoquant des hémorragies internes dans le corps des animaux.

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Le 2022-09-30 à 07:23, acpnc a dit :

Habitation et immobilier

Peut-on se battre contre un immeuble laid? 

Les immeubles laids peuvent avoir des conséquences sur la vie du voisinage. Photo: iStock

https://journalmetro.com/inspiration/habitation-et-immobilier/2916035/peut-on-se-battre-contre-immeuble-laid/

 

Zoé Magalhaès

29 septembre 2022 à 7h00 7 minutes de lecture

Ce qui compte c’est la beauté intérieure, non? Et bien peut-être pas quand on parle d’architecture. En effet, personne ne rêve de voir un gros bloc de béton de 15 étages s’implanter dans son quartier. Mais quand ça arrive, qui doit-on blâmer? Et surtout existe-t-il des recours? Métro s’est penché sur la question.  

La laideur c’est subjectif, c’est sûr, mais il existe quand même quelques indices qui indiquent qu’un immeuble est laid, reconnaît François Racine, architecte et professeur au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM. 

«On trouve souvent qu’un bâtiment est laid quand il détonne – par sa taille, ses couleurs, ses matériaux -, quand il écrase la rue, ou qu’il a une façade aveugle par exemple. Un immeuble laid c’est un immeuble qui ne s’intègre pas à son environnement», résume-t-il.  

Quand un projet immobilier est imaginé, l’architecte doit donc prendre en compte les bâtiments alentour, l’espace public et le paysage pour faire des choix esthétiques en adéquation avec son environnement.  

Ça serait donc la faute d’architectes qui ne connaissent pas le bon goût si des immeubles moches voient le jour? En réalité c’est un peu plus compliqué que ça.  

À qui la faute?  

Pour comprendre d’où viennent les immeubles laids, quelques explications s’imposent concernant la manière dont les permis de construire sont accordés aux projets immobiliers au Québec. Deux scénarios sont possibles, explique Danielle Pilette, urbaniste et professeure associée au département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’ESG-UQAM.  

«Soit le projet répond de plein droit aux exigences de la ville en matière d’urbanisme et dans ce cas la demande est simplement examinée par un fonctionnaire avant d’être approuvée. Soit le projet relève de ce qu’on appelle l’urbanisme discrétionnaire, parce qu’il sort des normes, qu’il s’agit d’un projet particulier de construction ou qu’il se trouve dans une zone qui dispose d’un plan d’implantation et d’intégration architecturale [PIIA]», précise-t-elle. 

Dans le premier cas, tant que le projet respecte toutes les normes dictées par le règlement d’urbanisme, l’aspect esthétique n’est pas pris en compte. En revanche, en urbanisme discrétionnaire, le projet peut être évalué selon des critères esthétiques et environnementaux. 

«On pense à une harmonisation des couleurs, des matériaux extérieurs avec les bâtiments voisins, la végétation à proximité, la protection de l’ensoleillement du voisinage, la protection des percées visuelles vers une montagne, un cours d’eau, etc.», illustre l’experte. 

C’est à l’architecte de réfléchir à un aménagement intelligent et bien intégré, mais la responsabilité est partagée avec la municipalité puisque c’est elle qui établit les normes et les critères.  

François Racine

Mais un autre facteur entre aussi en jeu, souligne Danielle Pilette, celui de la contrainte économique qui pousse les promoteurs à faire des concessions sur l’esthétique pour des questions de rentabilité. Un constat que partage d’ailleurs Jean-Pierre Du Sault, membre du Club d’investisseurs immobiliers du Québec. 

«Avec la pénurie de main-d’œuvre, la rareté des terrains et la hausse des taux, les contraintes économiques sont importantes. On est parfois forcé de simplifier un projet sur le plan architectural, de revoir les finitions, reconnaît-il. Mais je ne crois pas qu’il devient nécessairement plus laid, disons qu’il y a moins de fioritures.»  

Si un projet a été vendu avec certaines caractéristiques architecturales et que la construction finale ne respecte pas ces éléments, le propriétaire qui n’aurait pas été informé des changements peut toutefois entreprendre des mesures légales contre le promoteur, souligne François Racine. 

Un immeuble laid dans mon quartier 

On pourrait se dire qu’après tout, à part nous gâcher la vue, les bâtiments disgracieux ne font de mal à personne. Mais justement, enlaidir le paysage n’est pas sans conséquences. La qualité de vie d’un quartier peut être affectée par ce genre de constructions, affirme François Racine.  

«Par exemple, un immeuble avec une façade aveugle qui donne sur un parc, comme c’est le cas avec le palais de justice de Montréal, ça fait en sorte que les gens vont avoir tendance à moins s’approprier l’espace public. Ça peut même ensuite causer des enjeux de sécurité si les personnes qui fréquentent un parc viennent pour être à l’abri des regards. Sans compter que la beauté est importante, pour notre bien être», explique le spécialiste en design urbain. 

De plus, les choix qui vont contre le bon goût ont souvent un impact environnemental négatif. «Choisir des matériaux de moindre qualité, c’est nuire à la durabilité du bâtiment», note ainsi Danielle Pilette. «Un toit vert plutôt qu’un toit noir, ce n’est pas juste joli, mais ça permet de lutter contre les îlots de chaleur», ajoute-t-elle à titre d’exemple.  

Un bel environnement peut aussi être un argument de vente, selon François Racine. Et à l’inverse, des immeubles moches parsemés dans le quartier auront des conséquences sur la valeur foncière des autres immeubles alentour.  

«Plus que les nouvelles constructions, je pense que les bâtisses délaissées peuvent avoir un impact sur la valeur des biens, croit quant à lui l’investisseur Jean-Pierre Du Sault. Ça envoie le message que le quartier n’est pas sécuritaire et ce n’est pas très vendeur.» 

Comment lutter  

Malheureusement, une fois le bâtiment construit, en tant que citoyen il n’y a rien que vous puissiez faire. C’est en amont que ça se passe.  

«Si on veut donner son avis sur les projets de construction, il faut suivre les avis publics, s’informer et se présenter aux consultations publiques ou participer aux comités consultatifs d’urbanisme quand il y en a», conseille Danielle Pilette.  

Les mobilisations citoyennes ont d’ailleurs pesé sur plusieurs projets immobiliers, mais aussi sur des projets d’envergure, notamment à l’époque où Loto-Québec avait voulu déplacer le casino de Montréal plus proche du centre-ville ou dans le cas du REM de l’Est qui devait longer René-Lévesque. 

«Les élus doivent être vigilants à cet enjeu et se montrer à l’écoute, croit aussi François Racine. On sait qu’il faut plus de logements, mais il va falloir trouver une manière d’amener plus de densité sans forcément construire des tours de condos de 15 étages et surtout, penser à la durabilité dans une visée de développement écologique. Ça existe dans les pays scandinaves ou encore en Allemagne, l’écoquartier Vauban à Fribourg-en-Brisgau sert souvent d’exemple.»  

Le titre me donnait espoir pour La Montagne Verte!😂

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il y a 16 minutes, Brick a dit :

Le titre me donnait espoir pour La Montagne Verte!😂

La Montagne Verte est un chef-d'oeuvre à côté de cette véritable horreur en plein centre-ville au 607 de Maisonneuve, derrière le magasin La Baie. 

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Ramassage des poubelles aux deux semaines dans tout Montréal?

Poubelles-qui-debordent.jpg?resize=1051% Photo: iStock, laddawanh

La Ville pourrait prendre la décision d’appliquer le système de ramassage des poubelles aux deux semaines dans plusieurs arrondissements de la métropole. 

«On s’en va vers ce modèle-là», a laissé tomber, vendredi matin, la mairesse de Montréal Valérie Plante, en marge d’une conférence de presse. 

La mesure est déjà en vigueur dans l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Le contrat de collecte des déchets de l’arrondissement a été modifié ce mardi, au terme d’un projet-pilote d’une année dans les quartiers de Tétreaultville et de Maisonneuve-Longue-Pointe. Ce dernier a été jugé comme «concluant» par la mairesse. Désormais, les ordures y seront ramassées aux deux semaines, plutôt que chaque semaine. 

Valérie Plante voit dans la mesure une façon de «nous sensibiliser à notre propre consommation». «On jette trop, il y a trop de recyclage. Il faut couper à la source. C’est aussi une mesure qui s’inscrit dans l’écofiscalité», a-t-elle expliqué. 

Pour l’heure aucune date n’est arrêtée. La mairesse a fait part de son intention d’y aller «graduellement». 

Rappelons qu’en début de semaine, l’opposition officielle avait critiqué la gestion des déchets par la Ville et réclamé un nouveau plan de gestion pour améliorer la propreté de la métropole. 

«Les poubelles débordent, les mégots s’accumulent, les graffitis se multiplient et les rats sont rendus à magasiner sur la rue Sainte-Catherine et s’inscrire à l’université», avait pesté la leader adjointe d’Ensemble Montréal, Alba Zúñiga Ramos, lundi, lors du conseil municipal.

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Montréal est un «buffet à volonté pour les rats», dénonce l’opposition

 
 
[De gauche à droite] La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'environnement, Stéphanie Valenzuela, le chef de l'opposition officielle, Aref Salem, et l'exterminateur et propriétaire des Entreprises Maheu, Nathaniel Leavey. [De gauche à droite] La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'environnement, Stéphanie Valenzuela, le chef de l'opposition officielle, Aref Salem, et l'exterminateur et propriétaire des Entreprises Maheu, Nathaniel Leavey.  Photo: Quentin Dufranne / Métro Média

L’opposition officielle à la Ville de Montréal appelle l’administration Plante à agir rapidement face à la hausse du nombre de rats. On en compterait entre cinq à six millions dans la métropole. Au-delà de l’utilisation des rodenticides, l’opposition demande à la Ville d’employer une solution «plus durable» en revoyant notamment sa gestion des déchets.

«Le temps où on les retrouvait uniquement dans les égouts est révolu; les rats fréquentent désormais nos maisons, nos universités, nos parcs, nos commerces et nos bureaux, s’est désolé le chef d’Ensemble Montréal, Aref Salem, à l’hôtel de ville mardi. La prolifération des rats peut avoir des impacts sanitaires liés à la transmission de maladies en plus de faire des dégâts aux immeubles, aux parcs et aux infrastructures publiques.»

La Ville de Montréal avait interdit en janvier 2022 l’usage de rodenticides avant d’autoriser à nouveau l’utilisation d’un seul de ces produits, début 2023. Pour Aref Salem, l’abolition de l’utilisation des rodenticides pendant près d’une année serait «en partie la cause» de la hausse des rats observée à Montréal. 

C’est un problème de santé publique. On devrait le prendre avec cette vision-là.

Aref Salem, chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Montréalnone

«Il ne faut pas voir les rodenticides comme une recette miracle qui va régler tous les problèmes liés à la présence des rats […] c’est une solution ponctuelle et non une solution durable», dit-il. 

L’exterminateur et propriétaire des Entreprises Maheu, Nathaniel Leavey, soutient que le changement de réglementation autour des rodenticides aurait contribué à l’augmentation du nombre de rats. Selon lui, le nombre d’appels que son entreprise a reçus aurait quadruplé l’automne dernier et serait «facilement doublé» présentement.

Le cabinet de la mairesse Valérie Plante explique prendre «très au sérieux» la question des rats dans la métropole et se dit «conscient» de la source de préoccupation qu’elle peut représenter.

«Bien que depuis 2020 on enregistre une diminution de plaintes concernant la présence des rongeurs dans le centre-ville, on ne baisse pas la garde pour autant, explique le cabinet. On veut aussi s’assurer que les entreprises de gestion parasitaire aient ce qu’il faut dans leur boîte à outils, alors on fait preuve de flexibilité. C’est pourquoi on a de nouveau autorisé l’utilisation d’un rodenticide.»

Selon le cabinet, une option avait été identifiée pour contrôler la population de rats, mais cette dernière se serait avérée «pas suffisamment disponible» sur le marché pour permettre son utilisation par les exterminateurs. 

«Nous avons alors pris la décision, de concert avec l’industrie, de revoir la réglementation pour permettre l’utilisation du diphacinone dans les endroits extérieurs», ajoute le cabinet. 

Une motion contre les rats 

L’opposition entend déposer une motion lors de la prochaine séance du conseil municipal pour instaurer un plan de lutte contre les rats. Cette motion s’inspirerait des stratégies déjà déployées dans plusieurs villes telles qu’Ottawa, New York et Paris. 

Dans cette motion, l’opposition propose tout d’abord l’application systématique d’une procédure de dératisation dès que des travaux impliquent l’ouverture du système des égouts. 

Les rats s’échappent facilement lors de tels travaux et c’est là où il faut absolument travailler et agir en prévention, estime la porte-parole de l’opposition en matière d’environnement, Stéphanie Valenzuela. 

L’opposition demande à l’administration Plante de revoir le système de gestion des déchets domestiques et commerciaux ainsi que de remplacer les poubelles ouvertes des lieux publics par des poubelles fermées tout en augmentant la fréquence des brigades de propreté, et ce, même en hiver. 

«La propreté est un enjeu extrêmement important à Montréal en ce moment, où on voit vraiment un gros laisser-aller de la part de l’administration Plante, constate Stéphanie Valenzuela. Pour citer le maire de New York, notre ville mérite mieux que les rats, les graffitis et la saleté.» 

Enfin, la motion propose le lancement d’une campagne de sensibilisation ciblée auprès des commerçants du secteur de l’alimentation pour limiter la présence de déchets organiques dans l’espace public tout en invitant les citoyens à signaler automatiquement la présence de rats. 

Le cabinet de la mairesse explique recevoir avec «grande ouverture» la motion que l’opposition présentera lors de la prochaine séance du conseil. 

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  • 2 mois plus tard...
Le 2022-09-30 à 07:23, acpnc a dit :

Habitation et immobilier

Peut-on se battre contre un immeuble laid? 

Pour qu'il n'y ai pas de confusion, je parle, bien sûr, de la Montagne verte derrière.😀

DSC_2241.JPG

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  • 2 mois plus tard...

Welcome to Old Montréal

This is kitty-corner from Olives & Gourmando.

St-Pierre between St-Paul & Place d'Youville.

The grease accumulation and continuous garbage dump that is maintained by Le Butterfly restaurant.

Really disgusting to have our city be represented this way.  

Can we start a section where we shame businesses and property owners - not to mention the City - perhaps our voices could make a change.

What is truly sad - is that this is becoming more and more common in Old Montreal - and throughout the city.  

 

IMG_1037.jpeg

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