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Exposteve

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Tout ce qui a été posté par Exposteve

  1. Le nom vient du voisinage adjacent, "Lacey-Green", établi depuis des décennies. On peut ne pas l'aimer mais ca ne sort pas de nul part. Juste un FYI pour les gens qui ne le savaient pas.
  2. Je me souviens aussi par contre l'emplacement en question me semble BEAUCOUP trop grand pour un café / bagel shop. Je le vois plus comme un emplacement qui pourrait abriter un restaurant complet (style St-Hubert, Jack Astor's, etc).
  3. Je remarque que depuis quelques semaines il y a des travaux intérieurs de l’espace commercial à louer au RDC sur l’avenue des Canadiens près de de la Montagne. Je n’ai pas vu de pancartes. C’est un très grand espace qui est à louer depuis la fin de la construction. Est-ce que quelqu’un a une idée s’il y’a quelque chose d’imminent?
  4. Le métro n'est pas saturé du côté de Cote-Vertu.
  5. Also, while there are a number of available retail storefronts available downtown, Montreal appears to have a problem in terms of a large number of landlords renting relatively small storefronts. Too many landlords to negotiate with, getting the exact type of floorplan you want at the right spot at the right time can be challenging. Being able to start "fresh" in a new-build lifestyle centre has that going for it, like it or not. The high end luxury works downtown at the Ogilvy/Holts complex and a portion of de la Montagne where the Four Seasons is, but otherwise things are spread out.
  6. Glad that prime lot won’t sit empty long.
  7. Demeure que meme en excluant les extremes le revenue disponible au Quebecois moyen est inférieur vs les Etats-Unis et la plupart des provinces. Le pouvoir d’achat n’est pas aussi élevé. C’est une des raisons qu’on voit des Mazda3 et des Hyundais partout au Quebec (je n’embarque pas dans une discussion environmental ici…). Se comparer avec les Etats-Unis sera toujours un peu difficile surtout en raison des systèmes de santés qui sont totalement différent. Mais un petit voyage en Ontario démontre assez clairement un plus grand masse critique de personnes pouvant se permettre plus que le minimum. Des maisons (ou condo/maison de ville) en brique vs vinyl, des voitures plus grand/luxueux, des hotels des grandes chaines (comment est-ce que c’est possible que les groupes Marriott/Hilton n’ont pas de presence dans les “régions”?). Le plus désolant présentement est que l’économie du Québec roule « bien » depuis maintenant plusieurs années et nous avons des hôpitaux en ruines, des écoles en besoin majeur de rénovation, et un réseau routier qui fait excessivement dur (malgré Turcot et Champlain) et rend le commerce plus difficile. Se sont parmis les services “de base” qu’un gouvernement est supposé d’offrir. Oui je réalise qu’on a des garderies subventionnés et le metro de Montreal est performant. Ce n’est pas en s’enfermant que ca va s’améliorer.
  8. La loi 96, qui réforme la loi 101, menace d’endommager l’économie québécoise, dénoncent des entrepreneurs québécois dans une lettre ouverte adressée à François Legault. Ils lui demandent de revoir les modalités d’application de la loi, parce qu’elle risque de nuire à l’attraction de travailleurs étrangers spécialisés, surtout au sein des entreprises technologiques, dit en entrevue à InfoBref Pierre-Philippe Lortie, directeur, affaires gouvernementales du Conseil canadien des innovateurs Québec. La lettre: https://futur-quebec.ca/
  9. It’s a complicated issue. In the USA right wing “Fox News” types talk about Great Replacement Theory and are widely, and correctly, panned as white nationalist far-right conspiracy theorists. In Quebec, literally today Francois Legault talks about the importance of La nation maintaining its demographic weight and therefore needing to control all aspects of immigration in order to avoid eventual “Louisiane” scenario. He does this while also refusing to acknowledge systemic racism in the province or doing anything to combat it, enacting Bill 21 and Bill 96. He does this in the name of the French language, but it begs some questions… many outsiders perceive these policies as racist, discriminatory, etc. I’m not saying they necessarily are, I know there are nuances and circumstances. La nation québécoise can rationalize it on the basis that their nation is smaller in the context of North America, but otherwise, there are a lot of similarities. And Legault has positioned himself as the saviour and best option to avoid this fate… which sounds a lot like certain USA politicians. I’m not saying Legault is Trump, not in many respects… but in this respect they’re following a similar playbook. And most Trump supporters don’t actually benefit from Trump. It’s deception, especially when by virtually every measure French has never been as strong and engrained in Quebec as it is right now, save for mother tongue on the island of Montreal where Legault is happy to see francophones leave for suburbs and continue to pit Montreal against the rest of the province, while looking out for a small base in the eastern part of the island. La loi 101 n’a jamais existé en Louisiane. Et si on voulait s’assurer que le français survit, la loi 101 et même certains éléments de la loi 96 sont entièrement justifiable. Mais la de devoir contrôler l’immigration au nom de maintenir le « nous » ça commence à montrer les vrais couleurs. Ce n’est pas suffisant que les « autres » peuvent parler français, travailler en français, et s’intégrer en français (processus pas encore parfait mais de loin meilleur aujourd’hui qu’il y a 15 ans)… ça serait encore mieux s’ils le parlaient aussi entre-eux à la maison, et s’ils votent comme « nous ». Legault a été clair, en plein assemblée nationale, quand il a référé au parti Libéral comme le parti « Liberal » avec prononciation en anglais… ceux qui votent libéral ne sont pas « nous ». Je n’écris pas en appuyant le parti libéral… pas du tout. Mais la petite politique de division fonctionne à court terme mais jamais à long terme. En plus aujourd’hui, pour une deuxième fois, il dit clairement que voter pour Trudeau aux élections fédérales est mauvais pour l’autonomie du Québec. L’autre option c’est le parti de Pierre Poliviere ou Jean Charest.
  10. Malheureusement on voit la condition de l'entrée principal des voyageurs provenant de l'aéroport Trudeau, l'ouest / Toronto / Ottawa... Je réalise que ce n'est pas nécessairement la ville en charge mais même après l'installation d'un échangeur de 3G$ on voit ce que ca donne...
  11. Fair point. But we are not in a vacuum. Outside of refugees or extreme situations, many people have choice as to where they choose to live. So if you make it very difficult (I.e. 6 months to learn French) for a new arrival (who may have unique circumstances, not all created equal) those people might just go somewhere else. And those people who go somewhere else might have a lot of value in other aspects of society. When you add (significant) obstacles almost immediately upon arrival you limit your pool and when you limit your pool you are usually left with those who have fewer choices and maybe come with other drawbacks. The truth is we also need people to work, to bring new skills, etc and of course the integration of those new arrivals is important and should be in French, but flexibility in how we do so is important.
  12. Par contre, la loi 96 est jugé nécessaire en grande partie parce que le % de foyers sur l’île de Montréal ayant le français comme langue primaire a diminuer. Alors il y’a plus de gens qui parle d’autres langues à la maison et entre-eux. C’est maintenant perçu comme un problème. Malgré le fait que de plus en plus de francophones quittent l’île de Montréal (pour plusieurs raisons… prix des maisons, écoles…) laissant Montréal, et les écoles, de plus en plus allophone. Je comprend que parfois le bonjour/hi peut irriter. Mais mettons sur la rue Ste-Catherine, une rue sur des millions du Québec, plusieurs commerces sont là en grande partie pour servir les étudiants, les touristes, etc et j’imagine que de temps en temps un employé dans un magasin n’aura pas un français suffisant. Ce n’est pas bon, mais on ne peut me pas dire que c’est la norme. Et est-ce que cette personne est un étudiant étranger de McGill ou un québécois Anglo ici depuis 20 ans? Probablement pas le deuxième. Je n’ai pas les statistiques précis pour te dire combien d’anglophones sont bilingues au Québec. Mais j’ai fait mon primaire/secondaire en anglais (immersion française), mon cegep en anglais. Mettons que je regarde ma liste d’amis Facebook ou mes connexions LinkedIn… la totalité des anglophones que je connais qui sont toujours au Québec parle français à un point ou ils peuvent travailler (et pas juste survivre). Parce que pour la plupart ils veulent être ici et apprécient le français. Par contre, je connais des gens qui ont déménagé ici plus tard dans leur vie, mettons 40+, et ils parlent le français et l’apprend mais je ne peux pas prétendre qu’ils sont assez bilingue pour travailler en français. La plupart vont réussir éventuellement, ou vont déménager une fois leur travail ici complété. Est-ce que je connais des anglos plus âgés qui n’ont jamais appris le français ? Oui. Et c’est malheureux. Ça me dérange. Mais les générations qui ont suivi ont grandement amélioré leurs connaissances du français. Est-ce qu’il y a certains anglos aujourd’hui qui décident toujours de ne pas l’apprendre… oui, mais c’est une minorité et leurs options de carrière sont limités. For many of us, being a minority within a minority is a rare but valuable place to be. We have the benefit of taking what we like from Anglo, Franco, American cultures and it is an interesting perspective. One that should be appreciated. Unfortunately when the extremists come out on both sides it gets nasty. And that portion of the population that decides to hold out… well, maybe they dig in a little harder. And that fuels the other side. And around we go.
  13. You have to reflect as to whether “what Quebec wants to do” is really what all of Quebec wants to do or a portion of Quebec. A government is not there to take a popular opinion and apply it to all notwithstanding the impacts on the rights of people who are against it. If a majority of individuals want something that, as a consequence, infringes on rights of people, it doesn’t make it right. As an extreme example… a majority of people are not physically handicapped… if they all voted that we shouldn’t spend money on wheelchair ramps anymore, would that be acceptable? Of course not… even if that’s what “Quebec wants”. An issue here is the law causes actual problems (believe it or not, not just whining) for many in the population and adds huge bureaucratic costs and obstacles to both public and private sectors… all while the real “enemy” here is the world, globalization, mobility, and interconnected societies (especially online). We are not in a vacuum. We are also not in the same world as 1995. And as an added bonus we have extreme views from both sides back in the public view, which benefits nobody. And your comment about Québec wanting to integrate immigrants into the main culture… who ever said that is a bad thing? It’s not suggested to be “genocidal” to integrate… but to make it illegal to offer service in another language, even if both can speak that language, is a more extreme position. You can choose not to offer service in another language, but to make it illegal to provide such service is another story. That is the difference.
  14. Yeah, maybe true. But ask yourself why the government chose to use the notwithstanding clause twice in three years and whether that’s appropriate. You might see a justification “this time” (I don’t know you, I’m saying this hypothetically) but a lot of people don’t think it’s appropriate and next time it might be you who is materially impacted. Discussing sensitive political issues on an Internet forum is never productive, I’ll admit. But neither is dismissing entire opinions, or (in the case of other posts) just saying it’s typical whining from anglos. That’s painting with a wide brush, and when the government starts doing that it’s usually not a good sign.
  15. Sure, that’s frustrating. In my experience working for large multinational corporations it rarely happens (in 2022, not 1990) unless the meeting involves people from outside the province, which is very often in a time of mobility that we live in. But I can accept that it’s frustrating, even as an Anglo (bilingual) I get upset when a meeting has to be done in English when anglos are clearly in the minority. Par contre je ne vois pas comment la loi 96 changera cette situation. I don’t agree with how this individual writer framed everything or glossed over some counter-points… but you also can’t dismiss criticism of this as “typical Anglo fear mongering”. Using wild generalizations is how these bills come to be in the first place. Quand t’utilise la clause dérogatoire dès le début c’est parce que tu sais que les droits de plusieurs sont impacté négativement. La quasi-totalité de ma génération d’anglophones québécois, nés au Québec, sont bilingues (il en aura toujours qui ne le sont pas… parfois parce qu’ils sont épais, parfois parce qu’ils n’ont pas bien été encadrés ou parfois en raison des difficultés d’apprentissage). Je parle français, Je travailles en français, je parles en français aux travailleurs dans les magasins et restos en français. Mais on dirait que ce n’est jamais assez. Keep moving the goalposts. Maintenant c’est un problème que je ne parle pas le français principalement à la maison. Cette loi est parvenu en grande partie parce que le % de familles sur l’île de Montréal ayant français comme langue maternelle a baissé. 1) les francophones n’arrêtent pas de quitter l’île de Montréal vers la Rive-Sud. C’est un fait clair. It dilutes the gramophone population. 2) La langue parlé à la maison (dans un endroit spécifique) ne correspond pas à la langue utilisé au travail. Est-ce que je devrais être gêné de parler en anglais à ma famille dans le métro ou au resto? Dernièrement je me sens presque comme un problème en le faisant. C’est désolant. Mon point principal dans tout ça c’est que cette loi impact beaucoup de gens. On peut regarder l’exemple du CEO de Air Canada pour tout justifier mais ce serait une grave erreur parce qu’il ne représente pas la majorité. Il y a des gens avec des problèmes d’apprentissage, des maladies compliqués, des situations uniques. Sans dire que cette loi limite encore plus les choix et options des francophones québécois en terme de leur éducation et leur avenir. Oui il y en aura des bons qui seront chanceux et vont réussir à l’international peu importe, mais ça va demeurer l’exception. Demonizing bilingualism, like has been done throughout recent weeks, is a good way to create tension and hold back your own people, qui vient avec des avantages politique malheureusement. Il y a des limites à ce que tu peux faire au nom de la protection de la langue sans être discriminatoire. C’est une chose de ne pas obliger que certaines services soient disponibles en anglais ou autres langues… mais d’interdire qu’ils le sont est autre chose. Je ne serais directement peu impacté par cette loi. Je suis chanceux d’être parfaitement bilingue et d’être établi dans ma carrière. Mais ça soulève beaucoup de questions par rapport à 1) nos enfants (qui auront des étapes supplémentaires à suivre au cegep… qui sont « raisonnables » pour les plus intelligents/ brillants mais moins pour ceux qui ont des difficultés… qui devront appliquer aux universités basé sur leur rendement au cegep, et 2) tous les gens que je connais qui ne sont pas aussi chanceux que moi. Et bien-sur on se demande « what’s next? ». Ce n’est pas en limitant l’accès au cegep qu’une génération d’étudiants n’apercevra pas qu’il y a un monde à l’extérieur du Québec à découvrir (qui est plus facilement découverte en anglais)… est-ce qu’on va interdire l’accès aux sites web en anglais? Les commandes en ligne au McDo en anglais? Netflix en anglais? Ca parait peut-être extrême mais on est rendu là.
  16. https://www.washingtonpost.com/opinions/2022/05/26/quebec-bill-96-french-language-nationalism/
  17. Je reviens d’une fin de semaine à Toronto ou le centre-ville était plein à craquer, le développement partout, les hôtels remplis de chandails des Blue Jays (dont plusieurs parlait français). J’adore tellement Montréal mais c’était difficile à ignorer à quel point Montréal a peur du développement privé et que dans plusieurs égards nous ne sommes plus dans le meme stratosphère que Toronto.
  18. Exposteve

    Expos de Montréal

    MLB ne laissera pas demenager les Nationals. Washington est devenu un marché important.
  19. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-04-11/secteur-bridge-bonaventure/des-promoteurs-immobiliers-se-disent-baillonnes-par-montreal.php Des promoteurs et groupes immobiliers tirent à boulets rouge sur l’administration Plante, qu’ils accusent de flagrant « manque d’écoute » et de dialogue dans le dossier du redéveloppement du secteur Bridge-Bonaventure. D’après trois grands joueurs de l’industrie, la Ville se dirige vers un projet carrément « sous-développé ». Publié à 11h45 HENRI OUELLETTE-VÉZINALA PRESSE « Leur vision propose seulement 17 unités d’habitation à l’hectare, ce qui est une sous-densification marquée lorsqu’on sait qu’on est face à une crise du logement. On pense que ce développement-là n’est socialement pas responsable compte tenu des enjeux auxquels on devrait faire face », affirme le président de la firme COPRIM Inc., Vianney Bélanger. Accusant Montréal de « ghettoïser » le développement immobilier, les promoteurs – qui avaient convié les médias à un point de presse virtuel lundi – estiment plutôt pouvoir construire entre 12 000 et 15 000 logements dans le secteur. C’est au moins trois fois plus par rapport à la cible de l’administration Plante, qui a fixé à 4000 le nombre d’unités qu’elle prévoit construire il y a quelques semaines, dont 1270 logements sociaux et abordables ainsi que 320 logements familiaux. La création de « nombreux espaces verts » est aussi au cœur de la vision préliminaire de la Ville, qui aimerait par ailleurs voir une station du REM dans le secteur. En octobre, pendant la campagne électorale, la mairesse Valérie Plante avait aussi promis de créer une promenade riveraine sur les berges du fleuve Saint-Laurent. Montréal propose donc de créer « 48 hectares de nouveaux espaces verts publics » et cinq kilomètres de berges, le long du fleuve et du canal de Lachine. Une douzaine de kilomètres de voies cyclables seraient aussi ajoutés de part et d’autre de la nouvelle promenade. « Ça manque de réalisme » Or, pour M. Bélanger, la vision de la Ville « provient du XXe siècle ». « Les changements climatiques, l’étalement urbain, la crise du logement, tout ça, c’est comme si c’est absent de ce débat. Et avec leur processus, on en a encore pour trois ans de consultation. Ça manque de réalisme, de responsabilités. S’il n’y a pas un changement d’attitude et une vraie consultation ouverte, franche, on s’en va vers un projet qu’on va tous pouvoir regretter », ajoute le promoteur. Le vice-président au développement immobilier du groupe MACH, Cédric Constantin, affirme que cette attitude joue contre l’intérêt de la population. « Dans l’approche qu’on a proposée à la Ville, on a privilégié des immeubles de faible empreinte au sol de façon à dégager des espaces verts au sol. Malheureusement, la Ville – dans son idée de vouloir privilégier des activités économiques – vient proposer des immeubles avec très peu d’empreintes au sol, et donc, très peu d’espaces verts », illustre-t-il. Pour lui, la Ville agit carrément « comme une dictature » en refusant d’écouter les revendications de l’industrie. « On nous impose une vision alors que nous, les développeurs qui prenons le risque sur ces projets-là, avons finalement très peu d’écoute », dit encore M. Constantin. Une invitation au public PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Serge Goulet À ses côtés, le président de la société Devimco, Serge Goulet, a laissé entendre que la Ville est « en train d’instrumentaliser des activités de consultation » pour cautionner « sa vision ». « On est en train de se passer de ressources et de compétences dont Montréal aurait besoin. Le privé n’est pas à la table », déplore-t-il. « Ça fait trois ans qu’on essaie de se faire entendre. On a dû forcer la porte pour que la table de concertation accepte l’Institut de développement urbain (IDU) avec des développeurs privés », rajoute Serge Goulet, pour qui les démarches de consultation sont « improvisées » et « manquent de transparence ». Il réclame un « débat de fond » sur la manière qu’à la Ville de travailler avec le privé. Son groupe convie ainsi le public montréalais à une grande journée « portes ouvertes » prévue le 31 mai prochain, dont les détails seront révélés au cours des prochains jours. « On veut que toute la population ait l’occasion de voir notre vision à nous, notre façon de rendre ce projet-là responsable économiquement, socialement et du point de vue environnemental. On va vous montrer ce que sont nos compétences, notre vision et nos ressources », affirme M. Goulet. « Est-ce que les citoyens sont d’accord à payer de leurs taxes un projet sous-développé, alors qu’un projet responsable et bien financé s’autofinancerait ? Moi, ça m’intéresse de poser cette question-là, mais présentement, avec la plateforme qu’on nous donne, on n’est pas capable. On est bâillonnés », conclut-il. Joint par La Presse, le cabinet de Valérie Plante n’a pas immédiatement commenté la sortie des promoteurs immobiliers, lundi.
  20. Je crois que tu as amplement compris... lol.
  21. Rene-Levesque is the only wide boulevard in the sector with that many lanes and it's important to have at least one boulevard like that running through the downtown. While at any given moment (especially with so many people currently working from home) it may seem like too much capacity, it gets jammed up pretty good at rush hour in the evening especially, and it's used as an entry/exit route for events taking place downtown. I agree you don't want 8 lanes often downtown (and you could argue R-L is 6 at best in most places) but it's reasonable to have one such boulevard east-west.
  22. I am sorry, yes - it's $1B for the park and bike paths under the REM.
  23. Per La Presse the infrastructure beneath the track structure (parks and bike paths) is up to the city to pay for and could reach $10 billion. The project is becoming increasingly ridiculous.
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