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  1. Hydro Quebec 1986 annonce l'agrandissement de son siège social sur le quadrilatère au complet. - Le projet inclus un jardin exotique tropical sous un dome de verre (immédiatement derrière le bâtiment) - et la rénovation de tout les bâtiments sur le Boul. St-Laurent incluant le Monument National et le TNM. Créant ainsi un centre de la culture. - La ruelle derrière le boul. St-Laurent sera aussi couverte d'un toit vitré - on peu voir l'entrée a coté du bâtiment. - et sur Ste-Cath un bloc en verre (le verre était a la mode!) pour y loger un centre commercial. Le projet était supposé d'ouvrir en 1989. La récession a pris - le gouvernements a changé - les proprios des taudis sur le Boul. St-Laurent on crier qu'il voulait BEAUCOUP d'argent - ou bien qu'il ne voulait pas se départir de leurs immeubles. 3 images.
  2. Centre-ville Une lamelle de verre de la Grande Bibliothèque éclate Agence QMI Maxime Deland 08/09/2011 21h55 MONTRÉAL - Les lamelles de verre du parement extérieur de la Grande Bibliothèque du Québec (GBQ) font encore parler d'elles. Une des lattes du bâtiment situé au centre-ville de Montréal a volé en éclats, jeudi après-midi, presque trois ans jour pour jour après le dernier incident du genre. Le bris de la lamelle n'a heureusement pas fait de blessé. La cause exacte de l'éclatement n'a pas encore été déterminée, mais la variation de température pourrait avoir joué un rôle dans cet incident. Les nombreuses chutes de lamelles de verre à la GBQ ont fait couler beaucoup d'encre depuis la construction de l'édifice, en avril 2005. À ce jour, plus d'une douzaine de lattes se sont fracassées d'elles-mêmes. La Grande Bibliothèque compte au-delà de 6000 plaques similaires. En tombant au sol, les éclats de verre pourraient facilement blesser des passants. À la suite de la chute d'une sixième lamelle, en août 2005, des clôtures de sécurité avaient été installées le long de la bibliothèque afin d'éviter que des gens soient blessés. À l'époque, la GBQ avait dû débourser plusieurs dizaines de milliers de dollars pour l'aménagement du périmètre de sécurité.
  3. lien video: http://www.youtube.com/watch?v=BRHTZ7TnMAA BRANCHEZ-VOUS! est allé manger dans un restaurant d'un tout nouveau genre au centre-ville de Montréal, l'iBurger. À cette occasion, nous avons pu tester leur table techno, qui intègre un écran tactile permettant aux clients de consulter le menu et de passer leur propre commande. Ouvert depuis la fin janvier à Montréal par Alexandre Maher (président), Frank Roche (VP aux opérations) et Jonathan Cyr (chef cuisinier), l'iBurger se distingue par la présence d'une surface tactile animée par un Mac Mini sur le dessus de chaque table. Le véritable défi des fondateurs de l'iBurger est de rentabiliser leur projet notamment en vendant des franchises, car chaque table coûte environ 3 200$. Pour l'instant, des personnes basées au Canada et au Maroc se sont montrées intéressées par l'achat d'une franchise iBurger. Évidemment, l'expérience du restaurant ne se résume pas uniquement à son aspect technologique. Lors de notre passage à l'iBurger, nous avons mangé un burger d'agneau accompagné d'un verre de vin rouge, proposé sur le menu pour accompagner le plat. Lors d'un deuxième passage au resto, nous avons aussi pu déguster l'assiette de fromage. Nous nous sommes régalés!L'écran est protégé par un verre tactile remplaçable en cas d'usure, mais les fondateurs du restaurant veulent garder leur technologie tactile secrète. L'écran tactile sert principalement à afficher et à détailler le menu ainsi que les différents plats, à l'aide d'images dignes de relever de l'art culinaire. Un petit historique est aussi proposé pour expliquer l'origine de chaque catégorie de plats (burger, hot dog, salade, pizza, etc.). Les usagers peuvent ainsi se laisser tenter par un plat et se le commander eux-mêmes. Les commandes sont directement dirigées vers la cuisine depuis la table, mais les clients peuvent aussi s'adresser directement au serveur. Une excellente utilisation de la surface tactile survient à l'heure de l'assiette de fromage. Grâce à des applications spécifiquement conçues pour contrôler le système à distance depuis un iPhone, les serveurs peuvent afficher le nom et la description des fromages. lien pour l'article: http://www.branchez-vous.com/techno/actualite/2011/03/iburger-montreal-restaurant-branche-mac-mini-table-tactile.html Autre article: http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/en-vrac/201103/21/01-4381388-iburger-des-ecrans-tactiles-pour-commander.php site internet: http://iburger.net/
  4. 19/04/2007 La proposition de la Grande Bibliothèque du Québec d'installer des marquises au bas de l'édifice, afin de protéger le public contre d'éventuelles chutes de lamelles de verre provenant de sa façade, est rejetée. L'arrondissement Ville-Marie estime que les moyens proposés sont inadéquats et qu'ils n'assurent pas suffisamment la protection des citoyens. Une inspection a révélé que le tiers des 6200 plaques de verre de l'établissement sont défectueuses. La suggestion d'installer un filet le long des murs est cependant jugée acceptable sur une base temporaire, dans la mesure où cette solution obtienne l'appui d'experts.
  5. La Presse Le jeudi 28 juin 2007 La Grande Bibliothèque n'aura pas à payer un seul sou pour les clôtures qui l'encerclent. Par bon voisinage, l'arrondissement de Ville-Marie fait une croix sur la somme d'un million et demi de dollars que lui doit l'institution du boulevard De Maisonneuve. Les fameuses clôtures, qui monopolisent le trottoir depuis un an et demi, servent à éviter qu'une lame de verre de la bibliothèque n'assomme un passant. En janvier dernier, la Grande Bibliothèque (GBQ), avait proposé d'installer des marquises et des bacs à fleurs pour régler le problème. Un projet de 500 000$. Mais l'arrondissement, qui avait demandé une expertise externe, avait jugé l'idée non sécuritaire, et refusé de délivrer un permis. Une décision qui a mis le feu aux poudres. La direction de la GBQ, qui a douté de la bonne foi de Ville-Marie, a demandé un avis à la Régie du bâtiment. Un avis qui se fait toujours attendre. Le chargé de communication de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée, a expliqué, hier, que les élus ont jugé qu'il valait mieux ne pas facturer la Bibliothèque en attendant l'avis. Mais il n'a pas manqué de rappeler que le service d'incendie de Montréal avait appuyé Ville-Marie dans sa décision. «Nous agissons pour la sécurité du public, a dit M. Lavallée. Et il faut se souvenir que nous étions d'accord avec l'installation de filets de protection pour remplacer les clôtures de sécurité.» Au mois de mai dernier, la directrice de la Grande Bibliothèque, Lise Bissonnette, s'était indignée publiquement contre la facture de 38 000$ par mois imposée pour les clôtures. Une somme qui menaçait d'amputer son budget de fonctionnement et de programmation, disait-elle. Jointe hier, la directrice des communications de la GBQ, Hélène Panaïoti, a indiqué que l'institution avait un permis d'occupation du domaine public jusqu'au 31 juillet. Elle n'était pas au courant de la décision de l'arrondissement. «Vous comprendrez que je ne peux pas commenter une décision dont nous n'avons pas été informés. Mais il est exact de dire que nous n'avons pas reçu de facture pour les clôtures», a-t-elle dit. Essais techniques De son côté, la Régie du bâtiment affirme que des essais techniques ont été menés, il y a un mois, pour évaluer le projet de marquises et de bacs à fleurs. «Nous posons plusieurs questions aux experts de la Bibliothèque, notamment sur les matériaux utilisés, explique Christine Grant, porte-parole de la Régie. Il y a une bonne collaboration. Mais il m'est impossible, à ce moment-ci, de dire quand l'avis sera déposé.» La décision de Ville-Marie de ne pas facturer la GBQ pour les clôtures va réjouir les commerçants du centre-ville, croit pour sa part André Poulin, directeur de Destination Centre-Ville, qui représente 8000 entreprises. «Il est normal de sévir contre les mauvais clients corporatifs, explique-t-il. Mais pas contre les propriétaires qui font preuve de bonne volonté. Je pense que les frais sont de toute façon exagérés pour une institution gouvernementale. Et que d'une façon ou d'une autre, ils sortent des poches des contribuables.» Moins de risquesDix lamelles de verre de la Grande Bibliothèque se sont détachées depuis son ouverture, en avril 2005. Une expertise a démontré que plus le temps avance et plus les risques de chute diminuent. «Mais avant de clamer la fin du phénomène, il ne serait pas surprenant de voir, durant les prochaines années, quatre ou six lamelles additionnelles se briser», indique par ailleurs une expertise de CPA verre structurel, commandée par l'arrondissement de Ville-Marie. Les clôtures qui entourent la Grande Bibliothèque servent à éviter qu'une lame de vere qui se détache ne blesse en passant.
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